Feuilleton : pour tester mon amour, elle m'a fait croire qu'elle était dans le coma
A
AncienMembre
Non connecté
Il ment pas ,,, il a tendance a exagerer les choses lolIl nous a menti :'(
Nos trois parties
Il est marseillais peutetre
C'est donc ça
Pas besoin, il est au moins méditerranéen, c'est sur, ça suffit pour l'exagération
A
AncienMembre
Non connecté
Tu connais le conte du tailleur : 7 d'un coupC'est donc ça
Pas besoin, il est au moins méditerranéen, c'est sur, ça suffit pour l'exagération
Cest pareil , il en pecho 7 d'un coup
Seulement 7 ? Mais je me souviens d'avoir lu plus de noms que ça au moment de l'énumération "des conquêtes de la banque"
A
AncienMembre
Non connecté
Désolé ! Comme tout informaticien on conçoit des produits imaginés par des marketeux et des juristes incompétents. C’est-à-dire des produits incompréhensibles, à moitié définis. Du coup, il y’a quelques jours, le produit a été testé avant sa commercialisation dans deux semaines … du coup j’ai plein de remontés. C’est pourquoi là je craque depuis quelques jours ….
Normalement, j’aurais un coup de mou cet après midi et je pourrais à nouveau écrire hi hiiiii
Normalement, j’aurais un coup de mou cet après midi et je pourrais à nouveau écrire hi hiiiii
Une fille avec talentVoyons, je t'ai déjà dit que j'étais une fille ><'
En plus Summer, je ne suis pas aussi atypique que lui, si ?
ton récit est bien écrit. J'ai bien aimé te lireUne fille avec talent
Merci ^^'
@misspopotte : A ton tour d'écrire une histoire
A
AncienMembre
Non connecté
Je suis nulle , j'arrive meme plus a lire mon livre de nouvelles de king@misspopotte : A ton tour d'écrire une histoire
Et pourtant cest juste des nouvelles
A
AncienMembre
Non connecté
N'hesites pas a le remplacer , tu es tres douéeC'est à cause de Septime qui nous donne pas la suite de l'histoire tout ça
Byby septime
Hors de question !
Je n'assurerais pas la maintenance parce que Monsieur refuse de travailler et de livrer ses articles dans les délais convenus XD
Du coup, je me mets en grève, plus d'histoire tant que Septime ne publie pas un nouveau chapitre
En réalité, j'ai aussi eu pas mal de travail donc j'ai rien écrit aussi depuis la dernière fois
A
AncienMembre
Non connecté
Table des matières :
Préambule
Chapitre 1
Chapitre 2
Chapitre 3
Chapitre 4
Chapitre 5
Chapitre 6
Chapitre 7 : Le sms qui m'a paralysé
Le premier rendez-vous était à la fois magique et désarmant ! J’étais face à cette fille que je trouvais magnifique ! Elle était tellement belle ! Même de près. 10 ans après, je le dis sans sourciller, jamais je n’ai pu retrouver une fille aussi belle.
Toutefois, quelque chose m’avait très vite gêné. Au-delà de sa beauté, je la trouvais commune. Elle n’avait pas beaucoup de discussion et elle me paraissait arrogante. Elle s’adressait à moi en me signifiant que j’étais l’élu, celui qui avait la chance d’être assis face à elle pour partager un café.
Je vous vois venir : qui se ressemble s’assemble ! Peut-être, mais j’ai quand même la naïveté de croire que j’ai de la discussion.
Après notre rendez-vous, nous avons convenu de nous revoir au cinéma quelques jours plus tard. Nous sommes allés voir Wanted avec Angelina Jolie, après quoi nous sommes allés boire un verre en ville. Là, elle s’est mise à me reprocher mon comportement. Selon elle, je n’étais pas entreprenant. Depuis notre premier rendez-vous, c’était toujours elle qui appelait. Elle n’avait pas l’habitude de ça.
La semaine d’après, elle m’appela une après-midi au hasard et a découvert que j’avais posé RTT. Chose tout à fait anodine, vous allez me dire. Pour elle, non. Elle est restée silencieuse au téléphone. Quand elle s’est remise à parler, elle m’a demandé la raison du RTT et elle voulait absolument savoir pourquoi je ne lui ai donc pas proposé de se voir vu que j’étais libre. Là, elle s’est mise à me raconter que ses exs posaient RTT rien que pour avoir la chance de la voir alors que moi, il semblait que je ne mesurais pas la chance d’être avec elle.
Après avoir raccroché, je lui ai envoyé un sms … de rupture. Ce qui l’a rendit folle de rage ! Mais folle de rage ! Elle accepta tout de même la situation.
Jusqu’à ce fameux jour où au bureau j’ai reçu un sms qui me paralysa : « Bonjour à tous, j’écris depuis le portable de Samia pour vous annoncer qu’elle est dans le coma depuis hier soir. Je suis son amie. Priez pour elle. »
A suivre
Préambule
Chapitre 1
Chapitre 2
Chapitre 3
Chapitre 4
Chapitre 5
Chapitre 6
Chapitre 7 : Le sms qui m'a paralysé
Le premier rendez-vous était à la fois magique et désarmant ! J’étais face à cette fille que je trouvais magnifique ! Elle était tellement belle ! Même de près. 10 ans après, je le dis sans sourciller, jamais je n’ai pu retrouver une fille aussi belle.
Toutefois, quelque chose m’avait très vite gêné. Au-delà de sa beauté, je la trouvais commune. Elle n’avait pas beaucoup de discussion et elle me paraissait arrogante. Elle s’adressait à moi en me signifiant que j’étais l’élu, celui qui avait la chance d’être assis face à elle pour partager un café.
Je vous vois venir : qui se ressemble s’assemble ! Peut-être, mais j’ai quand même la naïveté de croire que j’ai de la discussion.
Après notre rendez-vous, nous avons convenu de nous revoir au cinéma quelques jours plus tard. Nous sommes allés voir Wanted avec Angelina Jolie, après quoi nous sommes allés boire un verre en ville. Là, elle s’est mise à me reprocher mon comportement. Selon elle, je n’étais pas entreprenant. Depuis notre premier rendez-vous, c’était toujours elle qui appelait. Elle n’avait pas l’habitude de ça.
La semaine d’après, elle m’appela une après-midi au hasard et a découvert que j’avais posé RTT. Chose tout à fait anodine, vous allez me dire. Pour elle, non. Elle est restée silencieuse au téléphone. Quand elle s’est remise à parler, elle m’a demandé la raison du RTT et elle voulait absolument savoir pourquoi je ne lui ai donc pas proposé de se voir vu que j’étais libre. Là, elle s’est mise à me raconter que ses exs posaient RTT rien que pour avoir la chance de la voir alors que moi, il semblait que je ne mesurais pas la chance d’être avec elle.
Après avoir raccroché, je lui ai envoyé un sms … de rupture. Ce qui l’a rendit folle de rage ! Mais folle de rage ! Elle accepta tout de même la situation.
Jusqu’à ce fameux jour où au bureau j’ai reçu un sms qui me paralysa : « Bonjour à tous, j’écris depuis le portable de Samia pour vous annoncer qu’elle est dans le coma depuis hier soir. Je suis son amie. Priez pour elle. »
A suivre
Dernière modification par un modérateur:
Les juristes non mais ça va pas???!!!!
Il va certainement se justifier en disant qu'il a visé que les juristes "incompétents" mais il ne faudra pas s'y laisser prendre ! C'est une critique claire et nette du métier !
A
AncienMembre
Non connecté
J'ai dis "incompétents"
. Pas toi Dawn ... je reste persuadé que toi et moi on se comprendrait. N'est ce pas. Quand je dis qu'un truc est pas possible tu arriverais à comprendre ça. Ptdrrrrrrrrrrrrrr toi jte kif hahahahahah
A
AncienMembre
Non connecté
Sinon, désolé, je sais que les dernières parties sont nulles. Je ne sais pas si je l'ai dit, mais je l'ai écris au taf.
Quand j'ai publié les premiers chapitres, j'avais pas du tout de travail, j'avais le temps de les écrire, les corriger etc... Mais ce n'était plus le cas pour les derniers chapitres.
Veuillez m'en excuser.
Je fini ce feuilleton et j'en écrirai un autre.
Ces feuilletons me servent à m'exercer non à l'écriture mais à créer des effets dramatiques. Effets que j'ai voulus créer dès les premiers chapitres. Vos retours dans les premiers chapitres m'ont permis d'évaluer ma réussite ou non.
Merci à tous !
Je pense clôturer l'histoire en deux voir max trois chapitre. Je le répète histoire rocambolesque mais vrai.
Quand j'ai publié les premiers chapitres, j'avais pas du tout de travail, j'avais le temps de les écrire, les corriger etc... Mais ce n'était plus le cas pour les derniers chapitres.
Veuillez m'en excuser.
Je fini ce feuilleton et j'en écrirai un autre.
Ces feuilletons me servent à m'exercer non à l'écriture mais à créer des effets dramatiques. Effets que j'ai voulus créer dès les premiers chapitres. Vos retours dans les premiers chapitres m'ont permis d'évaluer ma réussite ou non.
Merci à tous !
Je pense clôturer l'histoire en deux voir max trois chapitre. Je le répète histoire rocambolesque mais vrai.
A
AncienMembre
Non connecté
Prends ton temps aussi cest pas grave si cest long
Tu fréquentes quand même des gens étranges, heureusement que vous étiez vu que deux fois qu'est-ce que ça aurait été sinon
Comme tout les autres. Le mec il a volé son employeur il a une vidéo ou on le voit voler, il se fait licencier mais malgré ça il veux aller aux prud'hommes tu lui dit qu'il va perdre mais non il veux y allez quand MM. Il perd et te traité d'incompétente. NORMALLLLL
J'ai dis "incompétents"
Of course
A
AncienMembre
Non connecté
Septime continue ...
Ne lâche rien ...
Baudelaire wesh wesh
LOL Baudelaire du Lidl yek ?!
Une station plus tard, c’est un couple d’un certain âge qu’il doit récupérer. Par un certain âge, terme politiquement correct, comprenez un couple âgé, et même très âgé, dans le cas présent 85 ans pour l’homme et 81 pour sa femme. Eux-aussi la semaine prenaient quotidiennement son bus à la même heure pour se prendre au parc.
S’il devait continuer son métier pour seulement certains passagers alors ce serait sans aucun doute en premier lieu pour ce couple.
Ils ont quotidiennement les mêmes gestes, une routine qu’ils répètent dans son bus sans quasiment jamais s’en écarter.
Kamel, lui, aborde une relation particulière avec la routine, celle-ci le rassure, le fait de savoir ce qu’il allait faire quasiment à la minute avait un effet apaisant pour lui, celui-ci détestant plus que tous les surprises et les imprévus.
La routine le stabilise, elle lui assure une certaine tranquillité d’esprit. Tout prévoir, ça lui évite de trop cogiter, de trop pensé, ça lui permet de se concentrer sur « ce qu’il doit faire ». Cette stabilité, le fait de répéter les mêmes journées, les mêmes gestes, de voir les mêmes personnes, ça maintenait son esprit stable, cela lui évitait donc de sombrer dans la folie, une folie si facile à se manifester dans son cas.
Pourtant, malgré la tranquillité que la routine lui apporte, un paradoxe l’anime, il ressent au fond de lui que répéter les mêmes gestes à longueur de journée, retranscrire ses jours de semaine à l’identique, recommencer pour le weekend, c’est plutôt cela qui un jour finira par le rendre dingue. Cette routine aspirait tous les jours un peu de son énergie et donc de sa vie, mais aussi de ses espoirs. Il se voyait condamner à répéter jour après jour le même schéma. Il se sentait comme en cage, la routine lui devenant, jour après jours, semblable à une prison dont on ne s’échappe pas. Plus les jours se répétaient et plus il semblait difficile de s’échapper de cette prison. Alors concernant sa cage, à défaut de se demander si elle allait finir par le rendre fou, parfois, il finissait par se demander quand elle allait finir par absorber assez de sa vie pour le tuer afin de mettre un frein à tout cela.
Il se demandait si le vieux couple pensait aussi comme lui, après tout, il avait l’air tous deux très heureux, alors est-ce qu’à leur « certain âge » ils attendaient la mort ou est-ce qu’ils l’appréhendaient ? Après tout le fait qu’ils soient heureux signifiait peut-être qu’ils pouvaient bien mourir, qu’ils seraient en paix et non qu’ils voulaient rester accroché à la vie. Ils semblaient très différents de ces personnes d’un certain âge qui n’hésitaient pas à s’injecter tout un cas de produits dans le corps pour apparaître plus jeune, comme s’ils voulaient arrêter la mort, comme l’on pouvait duper celle-ci. Finalement, ces personnes à force de courir vainement derrière une jeunesse éternelle, abordaient un visage figé et d’horreur qui loin de témoigner leur jeunesse démontrait plutôt leur désespoir à vouloir arrêter le temps. Dans cette ville aisée qu’il traversait, Kamel en avait transporté de tels phénomènes dans son bus, tous leur avait inspiré une profonde pitié.
Ce qui était certain, c’est que le vieux couple qu’il transportait, abordait surement à leur âge une relation bien particulière avec la mort. On peut mourir n’importe quand, c’est ce que l’on nous entonne tout le temps, mais passé un certain âge, ce n’est plus n’importe quand que l’on peut mourir mais plutôt à tout moment.
Ainsi, quotidiennement en semaine, Kamel arrêtait son bus à leur station, la femme qui se tenait à la gauche de son époux, lui tenait alors fermement le bras pour l’aider à monter dans le bus. L’époux tenait à la main droite une canne, quand les portes du bus s’ouvraient, il appuyait celle-ci sur l’entrée du bus de toutes ses maigres forces afin de pouvoir grimper dans celui-ci. Son épouse l’aidait à accomplir ce simple geste en agrippant son bras libre pour lui permettre de monter. Après cette micro ascension, la femme s’excusait auprès de Kamel pour elle et son époux bien que le chauffeur lui répétait quotidiennement qu’elle n’avait aucune raison de s’excuser.
La gêne et les excuses de la vieille femme … c’était à croire, que vieillir, devenir plus dépendant, plus lent, était une tare. Comme si les effets naturels de l’âge étaient une charge pour la société entière dont les « vieux » devaient s’excuser. S’excuser de quoi précisément ? D'exister ? Ou plutôt d'exister encore ? Comme si après tant d’années arrivé à un certain niveau d’usure, à un certain niveau de dépendance, on devenait alors une gêne, qu’il fallait alors s’écarter de la société et de ses membres pour ne pas prendre le risque les importuner. Comme s’il devenait préférable alors de s’enfermer, de se couper de tout et d’attendre simplement la fin.
C’est peut-être pour cela qu’on les parque tous ensemble dans des maisons de retraite, on se dit peut-être que là-bas loin de tout au moins, ils n’embêtent personnes, mieux ils fournissent du travail à certains, font vivre l’économie à leur manière dans ces cimetières d’avant mort où l’on espère des visites de ceux que l’on chérie comme le messie.
Kamel, dans son bus, pouvait constater ce type de pensée. Il savait qu’il fallait un peu plus de temps que pour les autres à ce couple âgé pour monter dans le bus, et cela ne le dérangeait pas, mais il voyait parfois dans son rétroviseur, celui lui donnant une vue sur tout le couloir du bus, certaines personnes se mettre à souffler, et même parfois à rouspéter face à cette scène, ne supportant sans doute pas cette « lenteur » aux conséquences plus que néfastes à leur égard, cette lenteur qui les retardait et leur faisait perdre à eux qui avait sans doute encore toute la vie et tout le temps devant eux, 2 précieuses minutes de leur vie.
Kamel, dans son bus, pouvait constater ce type de pensée. Il savait qu’il fallait un peu plus de temps que pour les autres à ce couple âgé pour monter dans le bus, et cela ne le dérangeait pas, mais il voyait parfois dans son rétroviseur, celui lui donnant une vue sur tout le couloir du bus, certaines personnes se mettre à souffler, et même parfois à rouspéter face à cette scène, ne supportant sans doute pas cette « lenteur » aux conséquences plus que néfastes à leur égard, cette lenteur qui les retardait et leur faisait perdre à eux qui avait sans doute encore toute la vie et tout le temps devant eux, 2 précieuses minutes de leur vie.
A
AncienMembre
Non connecté
@Pasdidees10 tu acceptes les critiques constructives ?
A
AncienMembre
Non connecté
Ca manque d'enjeux ! Ton chauffeur là, il passe son temps à observer ? C'est tout ?
On veut du clash ! Une anecdote ! Un client qui s'avere etre l'amant de son ex ou le mari de son amante! Ou plus mysterieux : Kamel se fige en voyant entrer quelqu'un dans son bus ... et on reste accroché pour savoir pourquoi
La c'est bien ecrit meme tres bien mais pas d'enjeux dramatique !!!
Oui, j'ai conscience de cela. Mais ce n'est pas Kamel mon personnage principal. Kamel me sert d'excuse pour décrire les gens qui l'entourent, c'est eux les personnages principaux, il s'intéresse et analyse beaucoup son environnement, ce qui lui permet de découvrir des choses sur la vie des gens qu'ils croisent.
Il y a pas d'enjeu dramatique parce que c'est surtout la description des gens qui nous entourent, des personnes que l'on voit que tous les jours sans ne jamais prêter attention à elle. C'est l'histoire de plusieurs destins qui parfois vont se croiser, ça parle aussi de l'impact que l'on peut avoir sur les autres, des regrets, de nos paradoxes.
Et aussi du fait que parfois les gens qu'on croise ont une vie passionnante et aurait beaucoup de chose à raconter.
C'est aussi un peu une critique de notre société.
Dernière édition:
A
AncienMembre
Non connecté