Fusion du MNLA et d'Ançar Dine pour Etat islamique dans l'Azwad
- Initiateur de la discussion 100pur100arrifi
- Date de début
L’Algérie achemine une nouvelle aide aux réfugiés Maliens
L’Algérie vole au secours des réfugiés Maliens et des populations déplacées à l’intérieur du pays en apportant « une importante cargaison » composée de produits pharmaceutiques et alimentaires, et matériels de couchage.
L’ambassadeur d’Algérie au Mali Ayadi Noureddine a fait cette annonce hier à l’issue d’une rencontre avec le Premier ministre Malien de la transition, Dr Cheick Modibo Diarra, affirmant que cette assistance humanitaire sera transportée par trois avions-cargo.
Un avion va prochainement atterrir à Bamako et deux auront comme destinations Agadès (Niger) et le Burkina Faso qui accueillent des centaines de milliers de réfugiés Maliens depuis le 17 janvier dernier, date des premières attaques rebelles dans le nord-Mali.
« C’est une contribution constante de l’Algérie pour soulager les populations déplacées du pays suite à la crise au nord du Mali « , a rappelé le diplomate Algérien à sa sortie d’audience.
L’Algérie avait récemment offert au Mali 3.100 tonnes de riz d’une valeur de plus d’un milliard F CFA (environ 1,8 million USD) pour aider le pays à faire face à situation humanitaire créée par l’occupation de ses régions septentrionales.
http://www.algerie1.com/actualite/l’algerie-achemine-une-nouvelle-aide-aux-refugies-maliens/
L’Algérie vole au secours des réfugiés Maliens et des populations déplacées à l’intérieur du pays en apportant « une importante cargaison » composée de produits pharmaceutiques et alimentaires, et matériels de couchage.
L’ambassadeur d’Algérie au Mali Ayadi Noureddine a fait cette annonce hier à l’issue d’une rencontre avec le Premier ministre Malien de la transition, Dr Cheick Modibo Diarra, affirmant que cette assistance humanitaire sera transportée par trois avions-cargo.
Un avion va prochainement atterrir à Bamako et deux auront comme destinations Agadès (Niger) et le Burkina Faso qui accueillent des centaines de milliers de réfugiés Maliens depuis le 17 janvier dernier, date des premières attaques rebelles dans le nord-Mali.
« C’est une contribution constante de l’Algérie pour soulager les populations déplacées du pays suite à la crise au nord du Mali « , a rappelé le diplomate Algérien à sa sortie d’audience.
L’Algérie avait récemment offert au Mali 3.100 tonnes de riz d’une valeur de plus d’un milliard F CFA (environ 1,8 million USD) pour aider le pays à faire face à situation humanitaire créée par l’occupation de ses régions septentrionales.
http://www.algerie1.com/actualite/l’algerie-achemine-une-nouvelle-aide-aux-refugies-maliens/
La tension persiste à Kidal
n calme précaire est revenu à laube dans la ville située dans le nord-est du Mali mais la tension reste palpable.
Rien ne va plus entre le MNLA et Ansar Dine au nord Mali.
Des échanges de tirs ont eu lieu cette nuit à Kidal, dans le nord-est du Mali, entre les combattants du mouvement touaregs et ceux du groupe islamiste, Ansar Dine.
Ces combats interviennent après trois jours de manifestations à Kidal d'habitants refusant l'application de la charia, la loi islamique.
C'est la première fois qu'est rapporté un affrontement direct entre ces groupes depuis le début du conflit en janvier dernier.
Tout est parti dune manifestation qui a dégénéré, selon un témoin sur place qui a préféré garder lanonymat.
Toujours selon notre source sur place, la marche de ce jeudi a dégénéré et il y a eu deux morts du cote de MNLA et beaucoup de blessés.
Un calme relatif est revenu à laube mais la tension reste palpable.
Mardi et mercredi, des habitants de cette ville, surtout des femmes et des jeunes, avaient manifesté contre la présence des islamistes et dit leur soutien au MNLA.
La manifestation de mardi avait été dispersée.
Selon lAFP, le MNLA dément quil y a eu des affrontements.
Le MNLA et Ansar Dine nont pas pu se mettre daccord sur un projet de fusion de leurs mouvements.
Les discussions ont achoppé sur la question de lapplication de la charia.
Par ailleurs, l'Union africaine a annoncé quil allait saisir l'ONU pour obtenir son "appui" à une éventuelle intervention militaire dans le nord du Mali, ont annoncé jeudi à Abidjan des responsables des Nations unies, de l'UA et de la Communauté économique des Etats d'Afrique de l'Ouest (Cédéao).
BBC Afrique
n calme précaire est revenu à laube dans la ville située dans le nord-est du Mali mais la tension reste palpable.
Rien ne va plus entre le MNLA et Ansar Dine au nord Mali.
Des échanges de tirs ont eu lieu cette nuit à Kidal, dans le nord-est du Mali, entre les combattants du mouvement touaregs et ceux du groupe islamiste, Ansar Dine.
Ces combats interviennent après trois jours de manifestations à Kidal d'habitants refusant l'application de la charia, la loi islamique.
C'est la première fois qu'est rapporté un affrontement direct entre ces groupes depuis le début du conflit en janvier dernier.
Tout est parti dune manifestation qui a dégénéré, selon un témoin sur place qui a préféré garder lanonymat.
Toujours selon notre source sur place, la marche de ce jeudi a dégénéré et il y a eu deux morts du cote de MNLA et beaucoup de blessés.
Un calme relatif est revenu à laube mais la tension reste palpable.
Mardi et mercredi, des habitants de cette ville, surtout des femmes et des jeunes, avaient manifesté contre la présence des islamistes et dit leur soutien au MNLA.
La manifestation de mardi avait été dispersée.
Selon lAFP, le MNLA dément quil y a eu des affrontements.
Le MNLA et Ansar Dine nont pas pu se mettre daccord sur un projet de fusion de leurs mouvements.
Les discussions ont achoppé sur la question de lapplication de la charia.
Par ailleurs, l'Union africaine a annoncé quil allait saisir l'ONU pour obtenir son "appui" à une éventuelle intervention militaire dans le nord du Mali, ont annoncé jeudi à Abidjan des responsables des Nations unies, de l'UA et de la Communauté économique des Etats d'Afrique de l'Ouest (Cédéao).
BBC Afrique
Mali: les présidents de Guinée et du Niger appellent à une intervention militaire
Les chefs d'Etat de Guinée et du Niger, Alpha Condé et Mahamadou Issoufou, se sont déclarés samedi, à Conakry, favorables à une intervention militaire au Mali pour chasser les putschistes de Bamako et les groupes armés touareg et islamistes qui controlent le Nord du pays.
"Il faut intervenir militairement à Bamako. Comment peut-on rentrer dans un palais présidentiel (et) malmener un président ? Si on fait ça à un président, quel est l'homme politique qui est en sécurité ?", s'est interrogé le président Alpha Condé qui s'exprimait lors d'un meeting avec son homologue nigérien.
Le président intérimaire malien Dioncounda Traoré a été agressé le 21 mai par des manifestants à Bamako. Il s'était ensuite rendu en France pour des examens médicaux et y poursuit son séjour.
"La deuxième chose à faire, a insisté M. Condé, est d'intervenir militairement au Nord du Mali pour chasser les forces islamistes".
De son côté, le président nigérien, évoquant la double crise au Mali, a estimé: "l'idéal serait de trouver des solutions négociées mais à défaut il faut l'intervention militaire". M. Issoufou est arrivé samedi à Conakry pour une visite de 48 heures.
Les putschistes et leur chef, le capitaine Amadou Haya Sanogo, ont officiellement quitté le pouvoir en vertu d'un accord conclu le 20 mai avec l'Afrique de l'Ouest, après le coup d'Etat du 22 mars. Mais ils restent très présents face au président intérimaire Dioncounda Traoré et au gouvernement, en place pour une transition d'un an.
Depuis plus de deux mois, l'immense région nord du Mali est contrôlée par le Mouvement national de libération de l'Azawad (MNLA, rébellion touareg) et surtout Ansar Dine et son allié jihadiste d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi).
A l'issue d'une réunion de chefs d'Etat mercredi à Lomé, la Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'ouest (Cédéao) avait appelé à la poursuite des négociations avec les mouvements armés "à l'exclusion des groupes terroristes", mais aussi décidé d'une saisine du Conseil de sécurité de l'ONU en vue d'une éventuelle intervention.
Toutefois les contours, les composantes et le mandat exact d'une telle opération dans l'immense Nord malien ne sont toujours pas déterminés.
TV5
Les chefs d'Etat de Guinée et du Niger, Alpha Condé et Mahamadou Issoufou, se sont déclarés samedi, à Conakry, favorables à une intervention militaire au Mali pour chasser les putschistes de Bamako et les groupes armés touareg et islamistes qui controlent le Nord du pays.
"Il faut intervenir militairement à Bamako. Comment peut-on rentrer dans un palais présidentiel (et) malmener un président ? Si on fait ça à un président, quel est l'homme politique qui est en sécurité ?", s'est interrogé le président Alpha Condé qui s'exprimait lors d'un meeting avec son homologue nigérien.
Le président intérimaire malien Dioncounda Traoré a été agressé le 21 mai par des manifestants à Bamako. Il s'était ensuite rendu en France pour des examens médicaux et y poursuit son séjour.
"La deuxième chose à faire, a insisté M. Condé, est d'intervenir militairement au Nord du Mali pour chasser les forces islamistes".
De son côté, le président nigérien, évoquant la double crise au Mali, a estimé: "l'idéal serait de trouver des solutions négociées mais à défaut il faut l'intervention militaire". M. Issoufou est arrivé samedi à Conakry pour une visite de 48 heures.
Les putschistes et leur chef, le capitaine Amadou Haya Sanogo, ont officiellement quitté le pouvoir en vertu d'un accord conclu le 20 mai avec l'Afrique de l'Ouest, après le coup d'Etat du 22 mars. Mais ils restent très présents face au président intérimaire Dioncounda Traoré et au gouvernement, en place pour une transition d'un an.
Depuis plus de deux mois, l'immense région nord du Mali est contrôlée par le Mouvement national de libération de l'Azawad (MNLA, rébellion touareg) et surtout Ansar Dine et son allié jihadiste d'Al-Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi).
A l'issue d'une réunion de chefs d'Etat mercredi à Lomé, la Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'ouest (Cédéao) avait appelé à la poursuite des négociations avec les mouvements armés "à l'exclusion des groupes terroristes", mais aussi décidé d'une saisine du Conseil de sécurité de l'ONU en vue d'une éventuelle intervention.
Toutefois les contours, les composantes et le mandat exact d'une telle opération dans l'immense Nord malien ne sont toujours pas déterminés.
TV5
Le seul risque qui existe c'est la population qui se trouve au nord ,,si ils arrivent a les faire sortir le reste serait très facile , surtout si lalgerie intervienne
De toute façon les islamistes ont déjà pris les populations en otage de Kidal jusqu'à Tombouctou...
Il faut que l'armée les dégomme et ils ont perdu trop de temps là, palabrer sous le fromager ça va 5 mns et c'est bien l'africain mais le Niger, Sénégal, Guinée aurait du envoyer leurs soldats et nettoyer tout ça! Des milliers de réfugiés maliens éparpillés dans l'Afrique en train de crever de faim et de soif à cause de cette salo*peries d'islamistes financés par les arabes! Quand est ce que la oummah va réagir face au wahabisme d'arabie saoudite et du qatar qui finance avec les usa tous ces islamistes jihadistes égorgeurs d'hommes et violeurs et éventreurs de femmes?
L'Algérie a connu ça et dans son désert ils étaient toujours là ces salo*pards ainsi qu'en Libye et ils les ont laissé envahir le Mali avec leurs armes sophistiquées, un pays ou la démocratie était un exemple en Afrique!
Il faut que l'armée les dégomme et ils ont perdu trop de temps là, palabrer sous le fromager ça va 5 mns et c'est bien l'africain mais le Niger, Sénégal, Guinée aurait du envoyer leurs soldats et nettoyer tout ça! Des milliers de réfugiés maliens éparpillés dans l'Afrique en train de crever de faim et de soif à cause de cette salo*peries d'islamistes financés par les arabes! Quand est ce que la oummah va réagir face au wahabisme d'arabie saoudite et du qatar qui finance avec les usa tous ces islamistes jihadistes égorgeurs d'hommes et violeurs et éventreurs de femmes?
L'Algérie a connu ça et dans son désert ils étaient toujours là ces salo*pards ainsi qu'en Libye et ils les ont laissé envahir le Mali avec leurs armes sophistiquées, un pays ou la démocratie était un exemple en Afrique!
rabzouz93
VIB
quand khadafi l'arabe financer les saloperie de laicard ca te posait pas probleme hein??
d'ailleurs aucune preuve que c'est les pays arabe qui les finance
parler parler parler c'est bien mais tu as des preuves??
De quoi tu parles?
Quand Khadafi lâchait les subsahariens dont les maliens dans le désert sans eau et sans vivre ça te gênait pas? en Afrique noire on l'appelait le fossoyeur d'Afrique Khadafi et y'a des charniers de migrants dans ce désert!
Kesskisse passe tu soutiens les islamistes jihadistes financés par les arabes et l'Occident et qui ont envahi le Mali Nord?
Quand Khadafi lâchait les subsahariens dont les maliens dans le désert sans eau et sans vivre ça te gênait pas? en Afrique noire on l'appelait le fossoyeur d'Afrique Khadafi et y'a des charniers de migrants dans ce désert!
Kesskisse passe tu soutiens les islamistes jihadistes financés par les arabes et l'Occident et qui ont envahi le Mali Nord?
il faut isolé le nord est encerclé les villes occupés le tous en avançant doucement pour les étouffées , une attaque en masse fera plus de dégâts est jouera pour le compte du mnla et des islamistes
rabzouz93
VIB
ah bon je savais pas jpensai ke kadafi etai bien vu par les africains
Le MNLA devra écouter les populations Songhaïs, Peulhs et autres ethnies noires ainsi que les Arabes...les touaregs ne sont qu'une petite minorité ethnique au Mali et le Mali Nord ne leur appartient pas!
oui mais la n'est pas le cas , est le mnla est pret a faire la guerre pour le nord
Bah j'espère qu'ils ont cette optique parce que c'est grâce à eux que les islamistes jihadistes ont envahi le Nord, ils leur ont ouvert la porte au détriment des populations maliennes, c'est une belle traitrise!
rabzouz93
VIB
Quand les armes parlent les populations se taisent.
Peut-être mais pour l'instant en Europe on reçoit le MNLA qui représente une minorité ethnique et pas le Mali du Nord!
Tous les touaregs ne veulent pas la division du Mali et encore moins des jihadistes armés pour leur dicter quoi que ce soit.
Tous les touaregs ne veulent pas la division du Mali et encore moins des jihadistes armés pour leur dicter quoi que ce soit.
C'est quoi le Mali du Nord??????
C'est qui le Mali du Nord????????????????
Qu'en pensent les maliens?
Nord-Mali : Quand la question de pétrole suscite toutes les convoitises ?
Le Septentrion malien retient toutes les attentions des grandes puissances. A lorigine de cet intérêt, la présence supposée de pétrole dans cette zone. Plus dun milliard 500 millions deuros de financement sont annoncé pour son extraction.
Les bailleurs de fonds ont les yeux rivés sur la partie septentrionale du pays. Cette convoitise est relative à la richesse de son sous sol, qui renfermerait de quantité importante de pétrole. Déjà les multinationales commencent à pointer leur nez pour financer lextraction de ce liquide précieux. Lune dentre les multinationales a annoncé la mise à la disposition dun milliard 500 millions deuro, venant dune société arabe.
Depuis lannonce de cette somme faramineuse, le Nord est sujet à des crises sans précédent. La rébellion touarègue répond à ce besoin. Chacun veut se positionner avant le jour J pour prendre la grosse part. Des pays arabes financent la rébellion pour avoir leur quote part de lor noir. Un partage de gâteau voulant se faire au nez et à la barbe des autorités maliennes, qui font profil bas devant une rébellion apatride et patricide. La recherche du gain facile a conduit les rebelles à mener une guerre lâche contre les autochtones du Nord. Ils sont appuyés dans leur quête par certains pays, qui ne soucient que de leurs intérêts égoïstes. Le Mali ne doit pas perdre de vue que la guerre de libération est une question de survie pour le pays. Les potentialités énormes que renferment les Régions du Nord invitent les soldats maliens à mener cette guerre contre les envahisseurs de tous acabits qui nont pas intérêt à ce que le Mali retrouve son intégrité territoriale. LArmée se trouve dans lobligation dintervenir pour éviter lenlisement total de la situation, car la venue dautres combattants aux côtés de ces rebelles nest pas à écarter. Présence de pétrole oblige. Les nouvelles autorités doivent agir ici et maintenant pour maîtriser la situation devenue inquiétante.
Hassane Kanambaye
Source : Le Politicien Africain
http://maliactu.net/13850/nord-mali-quand-la-question-de-petrole-suscite-toutes-les-convoitises
Le Septentrion malien retient toutes les attentions des grandes puissances. A lorigine de cet intérêt, la présence supposée de pétrole dans cette zone. Plus dun milliard 500 millions deuros de financement sont annoncé pour son extraction.
Les bailleurs de fonds ont les yeux rivés sur la partie septentrionale du pays. Cette convoitise est relative à la richesse de son sous sol, qui renfermerait de quantité importante de pétrole. Déjà les multinationales commencent à pointer leur nez pour financer lextraction de ce liquide précieux. Lune dentre les multinationales a annoncé la mise à la disposition dun milliard 500 millions deuro, venant dune société arabe.
Depuis lannonce de cette somme faramineuse, le Nord est sujet à des crises sans précédent. La rébellion touarègue répond à ce besoin. Chacun veut se positionner avant le jour J pour prendre la grosse part. Des pays arabes financent la rébellion pour avoir leur quote part de lor noir. Un partage de gâteau voulant se faire au nez et à la barbe des autorités maliennes, qui font profil bas devant une rébellion apatride et patricide. La recherche du gain facile a conduit les rebelles à mener une guerre lâche contre les autochtones du Nord. Ils sont appuyés dans leur quête par certains pays, qui ne soucient que de leurs intérêts égoïstes. Le Mali ne doit pas perdre de vue que la guerre de libération est une question de survie pour le pays. Les potentialités énormes que renferment les Régions du Nord invitent les soldats maliens à mener cette guerre contre les envahisseurs de tous acabits qui nont pas intérêt à ce que le Mali retrouve son intégrité territoriale. LArmée se trouve dans lobligation dintervenir pour éviter lenlisement total de la situation, car la venue dautres combattants aux côtés de ces rebelles nest pas à écarter. Présence de pétrole oblige. Les nouvelles autorités doivent agir ici et maintenant pour maîtriser la situation devenue inquiétante.
Hassane Kanambaye
Source : Le Politicien Africain
http://maliactu.net/13850/nord-mali-quand-la-question-de-petrole-suscite-toutes-les-convoitises
^^
N’oubliez pas que des les premières attaques les communautées arabes ont beaucoup souffert des pillages et des exactions commis par les rebelles envers eux.
Ce n’est pas la première fois et le MNLA doit être fou s’ils pensent que les arabes vont tranquillement accepté ce hold-up. Tot ou tard le boomerang leur retournera en pleine tête.
La Guinée et le Niger appellent à préserver l'intégrité du territoire malien, même par la force
CONAKRY (Xinhua) - Le président guiéen Alpha Condé et son homologue nigérien Mahamadou Issoufou, en visite en Guinée, ont lancé appelé la communauté internationale à soutenir les efforts de la Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) et de l'Union africaine (UA) en vue de "la préservation de l'unité du Mali, y compris par l'usage de la force'', selon un communiqué du Bureau de presse de la présidence guinéenne publié dimanche.
Les deux chefs d'Etat tiennent à "réitérer leur attachement à l'application des décisions de la CEDEAO et de l'Union Africaine relatives à la préservation de l'ordre constitutionnel et de l'intégrité territorial du Mali'', indique le communiqué.
Les deux chefs d'Etat ont aussi condamné l'agression perpétrée sur la personne du président malien de la transition Dioncounda Traoré, tout en réaffirmant leur soutien au président Traoré.
Ils ont convenu de la nécessité "de renforcer le rôle de l'Union Africaine auprès de la communauté internationale, en vue de lui permettre d'être un acteur majeur dans la gestion et la résolution des conflits, ainsi que pour le développement solidaire du continent".
Ils ont appelé leurs homologues des pays de la CEDEAO et de l'UA à s'investir dans la recherche des voies et moyens devant aboutir à la normalisation de la situation sociopolitique dans la bande sahélo-sahélienne.
Le Niger est l'un des pays qui accueille nombre de réfugiés depuis le déclenchement de la crise dans le nord du Mali, où des mouvements armés ont occupé une bonne partie du territoire dont ils réclament la sécession.
http://www.afriquinfos.com/articles...grite-territoire-malien-même-force-203965.asp
CONAKRY (Xinhua) - Le président guiéen Alpha Condé et son homologue nigérien Mahamadou Issoufou, en visite en Guinée, ont lancé appelé la communauté internationale à soutenir les efforts de la Communauté économique des Etats de l'Afrique de l'Ouest (CEDEAO) et de l'Union africaine (UA) en vue de "la préservation de l'unité du Mali, y compris par l'usage de la force'', selon un communiqué du Bureau de presse de la présidence guinéenne publié dimanche.
Les deux chefs d'Etat tiennent à "réitérer leur attachement à l'application des décisions de la CEDEAO et de l'Union Africaine relatives à la préservation de l'ordre constitutionnel et de l'intégrité territorial du Mali'', indique le communiqué.
Les deux chefs d'Etat ont aussi condamné l'agression perpétrée sur la personne du président malien de la transition Dioncounda Traoré, tout en réaffirmant leur soutien au président Traoré.
Ils ont convenu de la nécessité "de renforcer le rôle de l'Union Africaine auprès de la communauté internationale, en vue de lui permettre d'être un acteur majeur dans la gestion et la résolution des conflits, ainsi que pour le développement solidaire du continent".
Ils ont appelé leurs homologues des pays de la CEDEAO et de l'UA à s'investir dans la recherche des voies et moyens devant aboutir à la normalisation de la situation sociopolitique dans la bande sahélo-sahélienne.
Le Niger est l'un des pays qui accueille nombre de réfugiés depuis le déclenchement de la crise dans le nord du Mali, où des mouvements armés ont occupé une bonne partie du territoire dont ils réclament la sécession.
http://www.afriquinfos.com/articles...grite-territoire-malien-même-force-203965.asp
amsawad
Tayri nem tuder g-ul inu
Lagha Chegrouche est chercheur en stratégies internationales. Après avoir travaillé sur la région de la Caspienne, il s’est intéressé à l’Azawad région sur laquelle il travaille depuis plusieurs années.
Dans cet entretien, Lagha Chegrouche revient sur la légitimité de l’indépendance de l’Azawad et s’étonne de l’attitude unanime d’une communauté internationale hostile à cette indépendance. Jamais la communauté internationale est aussi unanime sur une question liée à la libération nationale.
Il a évoqué la relation qu’il qualifie d’incestueuse que la France entretient avec ses anciennes colonies et cette obsession française à vouloir faire de l’Afrique du Nord une région arabe et musulmane. Enfin, il explique comment l’indépendance de l’Azawad est une fierté amazighe et que l’ensemble des Berbères se doivent de la défendre et de soutenir les Touaregs dans leur marche vers l’instauration de ce premier État amazigh.
Tamazgha
Azawad : fierté amazighe (première partie) - YouTube
Azawad : fierté amazighe (deuxième partie) - YouTube
Dans cet entretien, Lagha Chegrouche revient sur la légitimité de l’indépendance de l’Azawad et s’étonne de l’attitude unanime d’une communauté internationale hostile à cette indépendance. Jamais la communauté internationale est aussi unanime sur une question liée à la libération nationale.
Il a évoqué la relation qu’il qualifie d’incestueuse que la France entretient avec ses anciennes colonies et cette obsession française à vouloir faire de l’Afrique du Nord une région arabe et musulmane. Enfin, il explique comment l’indépendance de l’Azawad est une fierté amazighe et que l’ensemble des Berbères se doivent de la défendre et de soutenir les Touaregs dans leur marche vers l’instauration de ce premier État amazigh.
Tamazgha
Azawad : fierté amazighe (première partie) - YouTube
Azawad : fierté amazighe (deuxième partie) - YouTube
Si la situation était simple les populations (celles qui devraient pouvoir s'exprimer) ont majoritairement pris la fuite pour se réfugier....au Sud Mali et même dans les pays voisins....
Le pays des touaregs? Le pays des maliens?
Qui contrôle cette région aujourd'hui? A la demande de qui?
Le pays des touaregs? Le pays des maliens?
Qui contrôle cette région aujourd'hui? A la demande de qui?
Interview de Assarid Imbarcaouane, Vice-président de l'Assemblée nationale du Mali, coprésident de l'Assemblée Parlementaire ACP-UE, député de la circonscription de Gao, à propos de la guerre déclenchée dans le nord du pays (Azawad) par l'organisation armée sécessionniste "MNLA" s'appuyant sur des centaines d'ex-mercenaires touaregs maliens du colonel Khadafi ayant fui la Libye vaincus par les révolutionnaires libyens et de retour dans leur région natale lourdement armés, dirigés par Mohamed Najem (ancien officier dans les milices de Khadafi), en association avec divers autres groupes armés, dont la brigade d'obédience salafiste "Ansar Eddine" (dirigée par Iyad ag Ghali), ainsi qu'une coalition hétéroclite formée de diverses factions, déserteurs, jeunes désuvrés, déçus du régime corrompu d'ATT, trafiquants et milices aux allégeances conjoncturelles et variables.
Mali multi-ethnique
Assarid Imbarcaouane: la partition du Mali est inacceptable | Azawad MNLA - YouTube
Mali multi-ethnique
Assarid Imbarcaouane: la partition du Mali est inacceptable | Azawad MNLA - YouTube
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Espiegle69
Evil Halouf
Oui mais bon, Ganda Izo est un mouvement Songhaï donc finalement on va se retrouver avec un Songhaï vs Touareg.
Et après, on parle d'unité du Mali.....
Qui plus est, cela va encore accentuer le rapprochement MNLA, Ansar, AQMI, MUJAO alors que ces factions commencent à s'affronter.....
Je le répète, le MNLA est celui avec qui le dialogue est possible et on ferait bien de discuter avec lui car c'est le seul mouvement qui a les moyens d'affronter les salafistes au Sahara.
A moins bien sur de compter sur l'armée malienne......
Heu normal qu'on trouve des Songhaïs dans le Nord Mali c'est leur pays et Gao et Tombouctou sont des villes songhaïs et pas touaregs, on trouve aussi une majorité de Peulhs et d'autres ethnies.
Le MNLA n'a aucune légitimité à parler pour le peuple malien du Nord, les touaregs sont une minorité ethnique qui compose 10% de la population et ce sont des nomades, ne pas oublier que des touaregs maliens sont pour un Mali Un et Indivisible ainsi que la minorité ethnique arabe qui vit aussi au Nord.
Il est tout à fait normal que des maliens veulent libérer leur pays des envahisseurs, on parle de violation de territoire, le même problème que la Palestine avec Sion!
Le peuple malien veut que la cedeao intervienne ainsi que l'occident pour sauver les populations maliennes du nord qui subissent des crimes contre l'Humanité, à un moment faut plus palabrer mais agir!
On a vu ce que ça a donné la Palestine avec Sion, ils sont colonisés!
Le MNLA n'a aucune légitimité à parler pour le peuple malien du Nord, les touaregs sont une minorité ethnique qui compose 10% de la population et ce sont des nomades, ne pas oublier que des touaregs maliens sont pour un Mali Un et Indivisible ainsi que la minorité ethnique arabe qui vit aussi au Nord.
Il est tout à fait normal que des maliens veulent libérer leur pays des envahisseurs, on parle de violation de territoire, le même problème que la Palestine avec Sion!
Le peuple malien veut que la cedeao intervienne ainsi que l'occident pour sauver les populations maliennes du nord qui subissent des crimes contre l'Humanité, à un moment faut plus palabrer mais agir!
On a vu ce que ça a donné la Palestine avec Sion, ils sont colonisés!
Oui mais bon, Ganda Izo est un mouvement Songhaï donc finalement on va se retrouver avec un Songhaï vs Touareg.
Et après, on parle d'unité du Mali.....
Qui plus est, cela va encore accentuer le rapprochement MNLA, Ansar, AQMI, MUJAO alors que ces factions commencent à s'affronter.....
Je le répète, le MNLA est celui avec qui le dialogue est possible et on ferait bien de discuter avec lui car c'est le seul mouvement qui a les moyens d'affronter les salafistes au Sahara.
A moins bien sur de compter sur l'armée malienne......
Crise malienne : Pour une intervention militaire, lAfrique veut une résolution de lONU
LUnion africaine (UA) veut soumettre au Conseil de sécurité de lONU un projet de résolution en vue dune intervention militaire au Mali pour y rétablir lordre constitutionnel et lintégrité territoriale « en cas de besoin ».
« La voie militaire paraît de plus en plus incontournable mais la décision ne peut être une décision unilatérale de la CEDEAO (Communauté économique de lAfrique de lOuest) et nous comptons rédiger un projet de résolution à soumettre au Conseil de sécurité de lONU après avoir suivi tous les canaux nécessaires à ce type de démarche », a déclaré le ministre des Affaires étrangères du Bénin, représentant le président en exercice de lUnion africaine (UA), Thomas Yayi Boni, à louverture jeudi à Abidjan de la première réunion du Groupe de soutien et de suivi sur le Mali créé par linstitution panafricaine.
« La réunion doit esquisser les objectifs collectifs de laction militaire à mener qui se précise de jour en jour », a indiqué le représentant de M. Yayi Boni.
Le Groupe de soutien et de suivi sur le Mali a été crée en mars en tant que structure rassemblant les pays africains directement concernés par la crise au Mali et les partenaires au développement.
La réunion du Groupe se tient dans un contexte de renforcement des groupes armés dans le nord du Mali et de difficultés du retour à lordre constitutionnel malgré la nomination dun Premier ministre pour la formation dun gouvernement de transition.
Le président de la Commission de la CEDEAO, Désiré Kadré Ouédraogo, a également appelé à « introduire une requête » auprès du Conseil de sécurité pour le vote dune résolution qui donne « le cadre légal et juridique » à une intervention au Mali.
« Lhistoire ne nous pardonnera pas si nous nintervenons pas au Mali par faute de volonté politique », a-t-il souligné, appelant les participants à conjuguer leurs efforts pour une stabilisation de la transition au Mali, lintégrité du territoire nationale et la prise en charge humanitaire.
« Le temps presse et chaque jour qui passe est une souffrance pour le Mali et donne loccasion aux terroristes de renforcer leur implantation », a averti Désiré Kadré Ouédraogo.
« Il nous faut rallier tous nos partenaires aux prises de positions de principe arrêtées par nos organisations régionales et notamment la CEDEAO », a pour sa part souhaité le ministre des Affaires étrangères de Côte dIvoire, Daniel Kablan Duncan, au nom du président en exercice de la CEDEAO, Alassane Ouattara.
« Il nous incombe de mobiliser et de coordonner harmonieusement nos efforts pour apporter lappui nécessaire au Mali », a poursuivi M. Duncan non sans inviter le Groupe de soutien et de suivi à « inventorier les actions déjà menées, en évaluer limpact, et prescrire des correctifs sil y a lieu et de nouvelles initiatives à prendre ».
Daniel Kablan Duncan insiste quil faut « examiner, si les négociations naboutissent pas, la nécessité de faire adopter et de mettre en oeuvre par le Conseil de sécurité de lONU une résolution permettant une intervention militaire pour le dénouement de la crise ».
La réunion qui se tient à huis clos doit déboucher dans la soirée sur une action internationale « mieux coordonnée » pour résoudre la crise au Mali.
Yattara Ibrahim
http://www.maliweb.net/news/la-situ...ritaire-au-nord/2012/06/13/article,72774.html
LUnion africaine (UA) veut soumettre au Conseil de sécurité de lONU un projet de résolution en vue dune intervention militaire au Mali pour y rétablir lordre constitutionnel et lintégrité territoriale « en cas de besoin ».
« La voie militaire paraît de plus en plus incontournable mais la décision ne peut être une décision unilatérale de la CEDEAO (Communauté économique de lAfrique de lOuest) et nous comptons rédiger un projet de résolution à soumettre au Conseil de sécurité de lONU après avoir suivi tous les canaux nécessaires à ce type de démarche », a déclaré le ministre des Affaires étrangères du Bénin, représentant le président en exercice de lUnion africaine (UA), Thomas Yayi Boni, à louverture jeudi à Abidjan de la première réunion du Groupe de soutien et de suivi sur le Mali créé par linstitution panafricaine.
« La réunion doit esquisser les objectifs collectifs de laction militaire à mener qui se précise de jour en jour », a indiqué le représentant de M. Yayi Boni.
Le Groupe de soutien et de suivi sur le Mali a été crée en mars en tant que structure rassemblant les pays africains directement concernés par la crise au Mali et les partenaires au développement.
La réunion du Groupe se tient dans un contexte de renforcement des groupes armés dans le nord du Mali et de difficultés du retour à lordre constitutionnel malgré la nomination dun Premier ministre pour la formation dun gouvernement de transition.
Le président de la Commission de la CEDEAO, Désiré Kadré Ouédraogo, a également appelé à « introduire une requête » auprès du Conseil de sécurité pour le vote dune résolution qui donne « le cadre légal et juridique » à une intervention au Mali.
« Lhistoire ne nous pardonnera pas si nous nintervenons pas au Mali par faute de volonté politique », a-t-il souligné, appelant les participants à conjuguer leurs efforts pour une stabilisation de la transition au Mali, lintégrité du territoire nationale et la prise en charge humanitaire.
« Le temps presse et chaque jour qui passe est une souffrance pour le Mali et donne loccasion aux terroristes de renforcer leur implantation », a averti Désiré Kadré Ouédraogo.
« Il nous faut rallier tous nos partenaires aux prises de positions de principe arrêtées par nos organisations régionales et notamment la CEDEAO », a pour sa part souhaité le ministre des Affaires étrangères de Côte dIvoire, Daniel Kablan Duncan, au nom du président en exercice de la CEDEAO, Alassane Ouattara.
« Il nous incombe de mobiliser et de coordonner harmonieusement nos efforts pour apporter lappui nécessaire au Mali », a poursuivi M. Duncan non sans inviter le Groupe de soutien et de suivi à « inventorier les actions déjà menées, en évaluer limpact, et prescrire des correctifs sil y a lieu et de nouvelles initiatives à prendre ».
Daniel Kablan Duncan insiste quil faut « examiner, si les négociations naboutissent pas, la nécessité de faire adopter et de mettre en oeuvre par le Conseil de sécurité de lONU une résolution permettant une intervention militaire pour le dénouement de la crise ».
La réunion qui se tient à huis clos doit déboucher dans la soirée sur une action internationale « mieux coordonnée » pour résoudre la crise au Mali.
Yattara Ibrahim
http://www.maliweb.net/news/la-situ...ritaire-au-nord/2012/06/13/article,72774.html
Des rebelles Touaregs ont lancé une rébellion visant a occuper un territoire multi-ethnique pour défendre uniquement les intérêts des Touaregs(voir la composition de leur gouvernement provisoire), quoi de plus normal que des Songhaïs et dautres sorganisent pour mettre un stop a loccupation de leurs villages, les viols de leurs femmes et filles, le pillage de leurs biens et lhumiliation de leur communauté par de vulgaires bandits ethniques et extrémistes islamistes. Les mouvements arabes, songhaïs ou peuls qui connaissent parfaitement le terrain peuvent servir de force dappoint. Ils sont entrainé par des (ex-)officiers officiers maliens et peuvent coordonner leurs actions avec larmée malienne multi-ethnique. Il sagit donc bien de restaurer lunité du Mali.
Cela va accentuer le rapprochement avec les islamistes tu dis. Mais ils nont pas attendu que lennemi sorganise pour combattre cote a cote avec les islamistes.
Allant jusquà se fondre avec eux et déclarer la république islamique de lAzawad pour se détracter quelques jours après sous pression de leurs sympathisants.
Il est a noté que les rebelles sur le terrain sont plutôt favorable a lunion avec les islamistes, ce sont les théoriciens du MNLA exilés en France qui ont vite compris que cela serait inacceptable pour la communauté internationale. Ils ont perdu toute crédibilité.
Tu parles de dialogue possible avec le MNLA ? Tu penses que cest possible de dialoguer avec un groupe sans scrupule, en partie composé dex-mercenaires de Kadhaffi, qui sest allié a des islamistes armés, qui a causé le chaos, pris en otage des millions de personnes, provoqué une catastrophe humanitaire avec 300.000 refugies dans les pays voisins et un manque de tout dans le Nord. Tout cela sans demander l avis des populations et avec comme but une république ethnique sur des terres qui nappartiennent pas qua leur communauté. Combien de dialogues y a-t-il eu avant ? Vont-ils etre recompensé, ranger les armes pour les reprendre dans 2 ou 3 ans sous prétexte x ou y ? Va-t-on demander a larmée malienne de réintégrer pour la n-ième fois des bandits dont on a vu la traitrise et les non-valeurs. Le gouvernement malien doit-il être composé a 30% de Touaregs alors quils ne composent même pas 8% de la population nationale ?
Dailleurs le gouvernement malien a plusieurs fois appelé au dialogue des le debut des attaques mais ils nont pas voulu, ce nest que mnt quils ont vu que les islamistes sont en position de force par rapport a eux et que personne ne reconnaitra un état Azawad islamiste ou pas quils veulent négocier.
De toute façon le MNLA n'a pas les moyens d'affronter les salafistes au Sahara. Il ne contrôle presque plus rien et cest pour cela quils ont tenté de sallier avec Ansar Dine. Il ya beaucoup de jeunes touareg qui ont choisis les rangs dAnsar Dine plutôt que le MNLA. Car les caisses sont vides, le MNLA na plus dargent pour payer ces soldats, ils en sont même venu a devoir vendre des véhicules.
Le seule moyen de venir a bout des bandits laïcs ou islamistes, trafiquants et autres brigands du Nord-Mali cest une force régionale aidée en renseignements et logistiques par les occidentaux. Larmée malienne aidé par larmée mauritanienne, algérienne et nigérienne ont la connaissance du terrain et des techniques de combats dans le désert. Ils peuvent venir a bout de ces criminels.
Mali: le Conseil de sécurité réservé quant à une intervention militaire
L'Union africaine, par la voix de son président Jean Ping, demande l'envoi de troupes au Mali sous mandat de l'ONU
LUnion africaine demande au Conseil de sécurité de l'ONU de soutenir une intervention militaire au Mali. Le sujet était discuté ce mercredi 13 juin à New York entre les deux organisations. Mais pour linstant, le Conseil de sécurité est encore très prudent car il juge que la feuille de route présentée par l'Union africaine et la Cédéao n'est pas assez claire. Une nouvelle réunion est prévue vendredi 15 juin à New York.
Le Conseil de sécurité a pris quelques distances avec la demande de lUnion africaine denvoyer des troupes au Mali sous mandat de lONU. Les membres du Conseil nexcluent pas une intervention militaire, mais ils jugent que lUA et la Cédéao nont pas présenté une feuille de route suffisamment claire sur leurs intentions.
Le Conseil veut par exemple voir élaborer un plan politique après une éventuelle intervention. Les Etats-Unis ont également suggéré dappliquer des sanctions avant une opération militaire.
Si des troupes sont envoyées, sagira-t-il dune invasion militaire ou plus simplement dun appui aux forces de sécurité maliennes ? Combien de soldats seront mobilisés au Mali et pour quel coût ? À toutes ces questions, le Conseil de sécurité attend encore des réponses.
Alger, Paris, New York : le dossier malien est sur la table dans de nombreux pays
Dans la capitale algérienne où il achève sa visite [entamée le mardi 12 juin, Ndr], le Premier ministre malien se dit « très satisfait ». Cheik Modibo Diarra était accompagné du ministre malien de la Défense, et la situation dans le nord du Mali a été évoquée. Contre toute atteinte à lintégrité territoriale de son voisin malien, Alger abat de plus en plus ses cartes pour privilégier une solution sous-régionale, au conflit dans le septentrion malien.
Mais à son arrivée à Paris ce jeudi 14 juin, le Premier ministre malien va très probablement entendre un autre son de cloche : la France soutiendrait volontiers une opération militaires de la Cédéao, sous légide de lONU, dans le nord du Mali. Ensuite, Cheik Modibo Diarra rencontrera longuement Dioncounda Traoré, le président de la transition malienne, en séjour médical dans la capitale française.
Mais dès vendredi 15 juin, les regards seront tournés vers New York où le dossier Mali sera étudié à la loupe.
http://www.rfi.fr/afrique/20120614-...-diarra-dioncounda-traore-alger-france-cedeao
L'Union africaine, par la voix de son président Jean Ping, demande l'envoi de troupes au Mali sous mandat de l'ONU
LUnion africaine demande au Conseil de sécurité de l'ONU de soutenir une intervention militaire au Mali. Le sujet était discuté ce mercredi 13 juin à New York entre les deux organisations. Mais pour linstant, le Conseil de sécurité est encore très prudent car il juge que la feuille de route présentée par l'Union africaine et la Cédéao n'est pas assez claire. Une nouvelle réunion est prévue vendredi 15 juin à New York.
Le Conseil de sécurité a pris quelques distances avec la demande de lUnion africaine denvoyer des troupes au Mali sous mandat de lONU. Les membres du Conseil nexcluent pas une intervention militaire, mais ils jugent que lUA et la Cédéao nont pas présenté une feuille de route suffisamment claire sur leurs intentions.
Le Conseil veut par exemple voir élaborer un plan politique après une éventuelle intervention. Les Etats-Unis ont également suggéré dappliquer des sanctions avant une opération militaire.
Si des troupes sont envoyées, sagira-t-il dune invasion militaire ou plus simplement dun appui aux forces de sécurité maliennes ? Combien de soldats seront mobilisés au Mali et pour quel coût ? À toutes ces questions, le Conseil de sécurité attend encore des réponses.
Alger, Paris, New York : le dossier malien est sur la table dans de nombreux pays
Dans la capitale algérienne où il achève sa visite [entamée le mardi 12 juin, Ndr], le Premier ministre malien se dit « très satisfait ». Cheik Modibo Diarra était accompagné du ministre malien de la Défense, et la situation dans le nord du Mali a été évoquée. Contre toute atteinte à lintégrité territoriale de son voisin malien, Alger abat de plus en plus ses cartes pour privilégier une solution sous-régionale, au conflit dans le septentrion malien.
Mais à son arrivée à Paris ce jeudi 14 juin, le Premier ministre malien va très probablement entendre un autre son de cloche : la France soutiendrait volontiers une opération militaires de la Cédéao, sous légide de lONU, dans le nord du Mali. Ensuite, Cheik Modibo Diarra rencontrera longuement Dioncounda Traoré, le président de la transition malienne, en séjour médical dans la capitale française.
Mais dès vendredi 15 juin, les regards seront tournés vers New York où le dossier Mali sera étudié à la loupe.
http://www.rfi.fr/afrique/20120614-...-diarra-dioncounda-traore-alger-france-cedeao
Nouvel accrochage entre Touareg et islamistes dans le nord du Mali
13 juin 2012
Des échanges de coups de feu ont opposé, mercredi 13 juin, des Touareg du Mouvement national de libération de lAzawad (MNLA) aux islamistes près de Tombouctou, dans le nord du Mali, ont rapporté des témoins et des habitants.
Un élu local a indiqué que laccrochage avait eu lieu aux alentours de Tombouctou, sur la route de Goundam, où des islamistes dAnçar Eddine ont tenté de stopper des hommes armés du MNLA circulant dans un véhicule. « Il y a eu des échanges de tirs et les blessés ont été transférés à lhôpital », a déclaré El Hadj Baba Haidara par téléphone à Reuters. « Des rumeurs font état dun mort dans les rangs du MNLA mais ce nest pas confirmé », a-t-il ajouté.
TENSIONS ACCRUES
Le porte-parole du MNLA, Attaye Ag Mohamed, a imputé la fusillade au groupe proche dAl-Qaida, soulignant que laccrochage avait été bref. « Des membres dAl-Qaida ont empêché nos véhicules dentrer dans la ville. Cest un incident mineur », a-t-il dit, sans fournir de bilan détaillé.
Daprès un habitant, qui a préféré ne pas être nommé, cet affrontement survient après plusieurs tentatives des combattants dAnçar Eddine de désarmer les membres du MNLA, dont la principale position est laéroport. « Le MNLA ne sentend pas avec Ançar Eddine ( ) Ça fait une semaine que cest très tendu », a-t-il dit. Le 8 juin, des combattants du MNLA et du groupe islamiste Ançar Eddine sétaient déjà affrontés à une vingtaine de kilomètres de Kidal.
UN PROJET DE FUSION JAMAIS FINALISÉ
Dans la foulée du coup dEtat militaire du 22 mars qui a chassé du pouvoir le président Amadou Toumani Touré, le MNLA et les milices islamistes se sont emparés de plusieurs villes du nord du pays, parmi lesquelles Tombouctou, Kidal et Gao.
A la fin du mois de mai, les rebelles touareg et lorganisation islamiste avaient accepté dunir leurs forces et de créer un Etat islamique indépendant dans le nord du Mali. Mais le projet de fusion na jamais été finalisé en raison notamment dun différend concernant lapplication de la charia, la loi coranique.
http://www.maliweb.net/news/la-situ...ritaire-au-nord/2012/06/13/article,72997.html
13 juin 2012
Des échanges de coups de feu ont opposé, mercredi 13 juin, des Touareg du Mouvement national de libération de lAzawad (MNLA) aux islamistes près de Tombouctou, dans le nord du Mali, ont rapporté des témoins et des habitants.
Un élu local a indiqué que laccrochage avait eu lieu aux alentours de Tombouctou, sur la route de Goundam, où des islamistes dAnçar Eddine ont tenté de stopper des hommes armés du MNLA circulant dans un véhicule. « Il y a eu des échanges de tirs et les blessés ont été transférés à lhôpital », a déclaré El Hadj Baba Haidara par téléphone à Reuters. « Des rumeurs font état dun mort dans les rangs du MNLA mais ce nest pas confirmé », a-t-il ajouté.
TENSIONS ACCRUES
Le porte-parole du MNLA, Attaye Ag Mohamed, a imputé la fusillade au groupe proche dAl-Qaida, soulignant que laccrochage avait été bref. « Des membres dAl-Qaida ont empêché nos véhicules dentrer dans la ville. Cest un incident mineur », a-t-il dit, sans fournir de bilan détaillé.
Daprès un habitant, qui a préféré ne pas être nommé, cet affrontement survient après plusieurs tentatives des combattants dAnçar Eddine de désarmer les membres du MNLA, dont la principale position est laéroport. « Le MNLA ne sentend pas avec Ançar Eddine ( ) Ça fait une semaine que cest très tendu », a-t-il dit. Le 8 juin, des combattants du MNLA et du groupe islamiste Ançar Eddine sétaient déjà affrontés à une vingtaine de kilomètres de Kidal.
UN PROJET DE FUSION JAMAIS FINALISÉ
Dans la foulée du coup dEtat militaire du 22 mars qui a chassé du pouvoir le président Amadou Toumani Touré, le MNLA et les milices islamistes se sont emparés de plusieurs villes du nord du pays, parmi lesquelles Tombouctou, Kidal et Gao.
A la fin du mois de mai, les rebelles touareg et lorganisation islamiste avaient accepté dunir leurs forces et de créer un Etat islamique indépendant dans le nord du Mali. Mais le projet de fusion na jamais été finalisé en raison notamment dun différend concernant lapplication de la charia, la loi coranique.
http://www.maliweb.net/news/la-situ...ritaire-au-nord/2012/06/13/article,72997.html
LONU entre le marteau et lenclume
La situation qui prévaut au Mali est grave. A Bamako le pouvoir constitutionnel intérimaire est contesté par les putschistes. Le Nord du pays est en état de sécession et voué à la dérive anarchiste de bandes rivales.
LUnion africaine sest rapprochée de la CEDEAO et de lUEMOA afin de demander laide de lONU pour lenvoi dune force militaire destinée à rétablir un pouvoir légitime sur toute létendue du Mali.Jusquà présent, en effet, toutes les tentatives de médiation se sont révélées vaines et, si on ne veut pas que lanarchie prenne racine, il faut agir vite.
Mais on comprend que les différents acteurs hésitent avant de se décider et cherchent le concours de lONU.
La cohérence nest pas totale dans les revendications africaines. Nul ne conteste que la situation actuelle trouve en partie sa source dans laction militaire de lONU en Libye. En déstabilisant le régime libyen, lONU a créé les conditions dune vacance dautorité qui a lâché dans la nature des bandes puissamment armées LUnion africaine sest, à lépoque opposée aux modalités de lintervention onusienne. Voici quà présent elle sollicite le renfort de lorganisation de Manhattan pour mener une opération militaire au Mali. Mais la contradiction nest quapparente Cest une façon de rappeler à lOnu que la situation actuelle est la conséquence des conditions dans lesquelles a eté engagée lopération libyenne. Mais, lONU estime quil faut réfléchir à deux fois avant de se lancer au Mali dans une guerre des sables qui exige des moyens importants.
On verra dans les prochaines semaines si lONU, qui en a sans doute trop fait en Libye, est disposée à en faire assez au Mali.
Koffi Souza
http://www.republicoftogo.com/Toutes-les-rubriques/Editos/L-ONU-entre-le-marteau-et-l-enclume
La situation qui prévaut au Mali est grave. A Bamako le pouvoir constitutionnel intérimaire est contesté par les putschistes. Le Nord du pays est en état de sécession et voué à la dérive anarchiste de bandes rivales.
LUnion africaine sest rapprochée de la CEDEAO et de lUEMOA afin de demander laide de lONU pour lenvoi dune force militaire destinée à rétablir un pouvoir légitime sur toute létendue du Mali.Jusquà présent, en effet, toutes les tentatives de médiation se sont révélées vaines et, si on ne veut pas que lanarchie prenne racine, il faut agir vite.
Mais on comprend que les différents acteurs hésitent avant de se décider et cherchent le concours de lONU.
La cohérence nest pas totale dans les revendications africaines. Nul ne conteste que la situation actuelle trouve en partie sa source dans laction militaire de lONU en Libye. En déstabilisant le régime libyen, lONU a créé les conditions dune vacance dautorité qui a lâché dans la nature des bandes puissamment armées LUnion africaine sest, à lépoque opposée aux modalités de lintervention onusienne. Voici quà présent elle sollicite le renfort de lorganisation de Manhattan pour mener une opération militaire au Mali. Mais la contradiction nest quapparente Cest une façon de rappeler à lOnu que la situation actuelle est la conséquence des conditions dans lesquelles a eté engagée lopération libyenne. Mais, lONU estime quil faut réfléchir à deux fois avant de se lancer au Mali dans une guerre des sables qui exige des moyens importants.
On verra dans les prochaines semaines si lONU, qui en a sans doute trop fait en Libye, est disposée à en faire assez au Mali.
Koffi Souza
http://www.republicoftogo.com/Toutes-les-rubriques/Editos/L-ONU-entre-le-marteau-et-l-enclume
L’Algérie serait favorable à une intervention militaire au Mali
Alors que l’intervention militaire sous l’égide l’ONU semble se préciser, l’Algérie est sollicitée par les Maliens pour apporter sa précieuse coopération afin de faire face à la crise qui secoue son « Nord » depuis plusieurs mois.
Pour convaincre son voisin de l’option militaire, qui semble l’unique solution pour la menace qui pèse sur son intégrité territoriale, le Mali a dépêché son premier ministre Cheikh Modibo Diarra cette semaine à Alger ou il a été reçu au plus haut niveau de l’état notamment par le président de la République Abdelaziz Bouteflika et son homologue Ahmed Ouyahia.
Ce dernier connait assez bien le dossier du Nord Malien pour avoir été l’intermédiaire dans le conflit entre le gouvernement malien et le mouvement Touareg, Azaouad au début des années 90. Des négociations menées alors qu’il était ambassadeur d’Algérie au Mali et couronnées par la signature du traité « Pacte national » de Bamako. Il était considéré comme le principal artisan de cette paix retrouvée après des années de rébellion au Nord du Mali.
« Un pont aérien à partir des aéroports de Tamanrasset et de Reggane »
Par ailleurs, selon le magazine Jeune Afrique, les Algériens commencent à bouger dans la crise malienne pour mettre fin à une « expectative » qui n’a que trop duré. Le même magazine écrit que » le Département du renseignement et de la sécurité (DRS) que dirige le général Mohamed Mediène, alias Toufik, envisage d’offrir un appui logistique (renseignement, transport, ravitaillement) à la future force africaine d’intervention dans le nord du Mali ».
Les Algériens auraient, toujours selon la même source, apporté déjà leur contribution militaire lors de la bataille de Tessalit en février dernier par l’envoi d’un avion C130 algérien basé à Tamanrasset pour larguer « vivres et médicaments au-dessus du camp de l’armée malienne encerclé par les rebelles ». A en croire Jeune Afrique « l’Algérie serait cette fois prête à organiser un pont aérien à partir des aéroports de Tamanrasset et de Reggane ».
http://www.algerie1.com/actualite/lalgerie-serait-favorable-a-une-intervention-militaire-au-mali/
Alors que l’intervention militaire sous l’égide l’ONU semble se préciser, l’Algérie est sollicitée par les Maliens pour apporter sa précieuse coopération afin de faire face à la crise qui secoue son « Nord » depuis plusieurs mois.
Pour convaincre son voisin de l’option militaire, qui semble l’unique solution pour la menace qui pèse sur son intégrité territoriale, le Mali a dépêché son premier ministre Cheikh Modibo Diarra cette semaine à Alger ou il a été reçu au plus haut niveau de l’état notamment par le président de la République Abdelaziz Bouteflika et son homologue Ahmed Ouyahia.
Ce dernier connait assez bien le dossier du Nord Malien pour avoir été l’intermédiaire dans le conflit entre le gouvernement malien et le mouvement Touareg, Azaouad au début des années 90. Des négociations menées alors qu’il était ambassadeur d’Algérie au Mali et couronnées par la signature du traité « Pacte national » de Bamako. Il était considéré comme le principal artisan de cette paix retrouvée après des années de rébellion au Nord du Mali.
« Un pont aérien à partir des aéroports de Tamanrasset et de Reggane »
Par ailleurs, selon le magazine Jeune Afrique, les Algériens commencent à bouger dans la crise malienne pour mettre fin à une « expectative » qui n’a que trop duré. Le même magazine écrit que » le Département du renseignement et de la sécurité (DRS) que dirige le général Mohamed Mediène, alias Toufik, envisage d’offrir un appui logistique (renseignement, transport, ravitaillement) à la future force africaine d’intervention dans le nord du Mali ».
Les Algériens auraient, toujours selon la même source, apporté déjà leur contribution militaire lors de la bataille de Tessalit en février dernier par l’envoi d’un avion C130 algérien basé à Tamanrasset pour larguer « vivres et médicaments au-dessus du camp de l’armée malienne encerclé par les rebelles ». A en croire Jeune Afrique « l’Algérie serait cette fois prête à organiser un pont aérien à partir des aéroports de Tamanrasset et de Reggane ».
http://www.algerie1.com/actualite/lalgerie-serait-favorable-a-une-intervention-militaire-au-mali/