Il attaque l'italie et israël pour avoir condamné jésus

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Non, premièrement c'est pour te montrer qu'il y'a PLUS (le double) d'historiens qui disent que la crucifixion ne s'est jamais déroulée

Affirmation totalement gratuite et sans aucun fondement. Tu es historien ? Personnellement, je ne connais pas un professeur d'Histoire ancienne à l'Université qui se prononce contre la crucifixion. Mais si tu as des statistiques secrètes à ta disposition, n'hésite pas à nous les faire partager.

En plus zakir naik te plait pas car il humilie les chrétiens, je me demande si t'a déjà vu son débat contre william campbell qui a déclaré à la fin:
" Je suis d'accord avec zakir naik sur le fait qu'il y'a des erreurs scientifiques dans la bible, mais sa ne veut pas dire que ce n'est pas la parole de Dieu".
C'est comme ça que sa se passe, zakir naik est très convaincant, il parle tout en donnant des preuves et des exemples, mais tu sais quoi? y'a pas plus aveugle que celui qui ne veut pas voir, et il n'y a pas plus sourd que celui qui ne veut pas entendre, zakir naik connais le Coran, la bible, les vedas, regarde cette vidéo, un de ses débats avec un chrétien:

Naik humilie les crédules, oui, il est fort pour ça. Son travail d'amateur (il n'est ni historien, ni spécialiste de grec ancien ou d'araméen) est critiqué par la plupart des universitaires sérieux. Vaut-il vraiment la peine qu'on en parle ? Oui, pour faire des blagues peut-être...
 
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PS: Tu m'a toujours pas répondu en ce qui concerne les 3 jours et les 3 nuits du vendredi au dimanche, je sais pourquoi, car y'a aucune réponse, et c'est une grave erreur.

PS : tu ne m'as pas répondu non-plus sur deux choses :

1. Les passages de l'Evangile ou le Christ annonce sa mort prochaine dans la souffrance.

2. Le linceul de Turin, aujourd'hui proche de l'authentification scientifique.

3. Les sources non-chrétiennes qui évoquent la crucifixion.
 
Vendredi + samedi + dimanche = 3 jours. Jésus est ressuscité le 3ème jour, donc dimanche. Comprendre ?
D'ailleurs, puisque cette histoire de jours à l'air de te turlupiner particulièrement, tu dois savoir que la Bible ne dis pas précisément quel jour Jésus a été crucifié : certains défendent le mercredi, d'autres le jeudi, et d'autres encore le vendredi... Les arguments de chacun se tiennent à peu près, si ce n'est qu'il s'agit d'une question très MINEURE. L'important est qu'il soit ressuscité le dimanche, premier jour de la semaine venant après celle de sa mise à mort.

Voilà de quoi satisfaire ta curiosité : http://www.gotquestions.org/Francais/Jesus-Vendredi-Dimanche.html

T'es sérieux? on a dit 3 jours et 3 nuits, Donc on a:
le jour du samedi
La nuit du samedi
Le jour du dimanche

On a 2 jours et une nuit, je ne sais pas si t'a un problème de calcul, mais il y'a un problème sur ça, Il y'a que 2 jours et une nuit, en plus le vendredi ne doit pas être compté, puisque la crucifixion s'est déroulée juste avant le sabbat (La nuit du vendredi), et même si on le compte, on a 2 jours et 2 nuits, et c'est loin d'être 3 jours et 3 nuits.
 
PS : tu ne m'as pas répondu non-plus sur deux choses :

1. Les passages de l'Evangile ou le Christ annonce sa mort prochaine dans la souffrance.

2. Le linceul de Turin, aujourd'hui proche de l'authentification scientifique.>

3. Les sources non-chrétiennes qui évoquent la crucifixion.

1. Les passages de l'Evangile ou le Christ annonce sa mort prochaine dans la souffrance:
Les témoins n'ont pas été témoins oculaires.
2. Le linceul de Turin, aujourd'hui proche de l'authentification scientifique:
http://www.morpheus.fr/spip.php?article153 Ce lien va tout t'expliquer, puisque en tout cas je n'ai pas le niveau pour répondre à ça. En plus, beaucoup de scientifiques sont impressionnés lorsqu'ils voient que leurs découvertes ont été mentionné dans le Coran, un exemple, regarde ce que dit maurice bucaille:
["Je voulais savoir si ce nom [Hâmân] n'aurait pas correspondu à un nom hiéroglyphique conservé dans des documents de cette époque. D'abord, que pouvait suggérer la translittération [de ce nom en arabe, tel qu'il figure dans le texte coranique] à un expert qui devait naturellement en plus [de connaître la langue égyptienne ancienne] connaître parfaitement la langue arabe littéraire [classique] et non le [seul] dialecte [arabe] égyptien actuel, familier à nombre d'égyptologues à l'exclusion de la langue classique ? Un de nos plus distingués égyptologues répondant pleinement à ces deux conditions voulut bien me répondre.
Je m'abstins de faire connaître à mon interlocuteur de quel texte en langue arabe il s'agissait, me contentant de lui faire savoir que ce texte datait du VIIè siècle de l'ère chrétienne. Lorsque j'eus écrit devant lui le nom arabe, il reconnut immédiatement ce qu'il traduisait de la langue égyptienne ancienne, tout en m'assurant que j'avais été abusé en ce qui concernait la date du texte arabe pour la raison suivante (que je n'ignorais pas) : aucun texte de toute la longue période d'oubli total des hiéroglyphes ne pouvait contenir un nom, jusqu'alors inconnu, de consonance hiéroglyphique, consonance qu'avait précisément ce mot arabe. Il me conseilla néanmoins de consulter le Dictionnaire des noms de personnes du Nouvel Empire de l'Allemand Ranke, ouvrage classique, et d[e] rechercher si le nom dont il dessinait le hiéroglyphe était bien contenu dans ce dictionnaire donnant les translittérations en allemand, ce qui me faciliterait le contrôle. Je découvris le nom écrit dans ce dictionnaire très exactement comme l'expert l'avait prévu. Et, ô stupeur, voici qu'en plus je lisais en allemand la profession de ce notable : "Chef des ouvriers des carrières", car c'est ainsi qu'on appelait celui qui avait la main haute sur les constructions.
Lorsque je revins vers l'expert, avec la photocopie de la page concernée du dictionnaire, et que j'ouvris devant lui une des pages du Coran où il put lire Hâmân, il fut sans voix…
J'ajouterai que Ranke donnait en référence un livre de 1906 de l'égyptologue Walter Wreszinski mentionnant que le nom de Hâmân figurait sur une stèle du musée de la ville de Vienne (Autriche) ; plus tard, je fus à même de lire la profession écrite en hiéroglyphe et ponctuée, si je puis dire, de déterminatifs accompagnant le nom et ne laissant aucun doute sur l'importance du personnage. (Moïse et Pharaon, 1995, Seghers, pp. 321-323).]

En plus, toi même tu ne connais rien sur le Le linceul de Turin, et tu ne sais pas que ça a été réfuté par beaucoup de gens.

3. Les sources non-chrétiennes qui évoquent la crucifixion.:
J'ai dit que les historiens qui affirment que la crucifixion ne s'est jamais déroulé sont PLUS NOMBREUX que ceux qui disent qu'elle s'est déroulée.
 
Tu comprends mal l'Ecriture, mon ami, ou alors tu es de mauvaise foi. La résurrection du Christ est d'une nature différente que celle promise aux croyants pour le dernier jour. La résurrection de Jésus, comme celle de Lazare (Jean : 11), s'effectue dans la chair et surtout dans le temps présent. Le Seigneur lui-même établit une distinction claire entre les deux, entre le miracle immédiat et particulier d'une part, et la résurrection finale et générale d'autre part :

"Jésus lui dit : Ton frère ressuscitera. Je sais, lui répondit Marthe, qu'il ressuscitera à la résurrection, au dernier jour. Jésus lui dit : Je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi vivra, quand même il serait mort" (Jean 11 : 23-25).

Dans les deux cas, il s'agit d'une résurrection particulière, une grâce particulière accordée dans le monde avant la venue du Royaume des cieux. Jésus et Lazare reviennent bien au milieu des leurs en tant que corps, non-pas comme "des anges dans le ciel".



Vendredi + samedi + dimanche = 3 jours. Jésus est ressuscité le 3ème jour, donc dimanche. Comprendre ?
D'ailleurs, puisque cette histoire de jours à l'air de te turlupiner particulièrement, tu dois savoir que la Bible ne dis pas précisément quel jour Jésus a été crucifié : certains défendent le mercredi, d'autres le jeudi, et d'autres encore le vendredi... Les arguments de chacun se tiennent à peu près, si ce n'est qu'il s'agit d'une question très MINEURE. L'important est qu'il soit ressuscité le dimanche, premier jour de la semaine venant après celle de sa mise à mort.

Voilà de quoi satisfaire ta curiosité : http://www.gotquestions.org/Francais/Jesus-Vendredi-Dimanche.html

Tu sais que c'est une réponse malheureuse de dire que la résurrection de jésus n'est pas celle comme les autres? en plus tu me cite un verset qui n'explique rien du tout, franchêment j'en ai mâre à répondre tout le temps à ces banaleries. Tu donne des explications qui sont illogiques, et qui contredisent tes croyances, et qui contredisent la bible, je ne sais pas si je suis vraiment entrain de débattre avec quelqu'un qui s'y connait.
Je donne toujours l'avis des grands savants, avec les versets de la bible, et toi tu parle dans le vide, t'essaye de justifier une doctrine avec les croyances...
 
Non tu ne m'a pas répondu.

Bon, alors reprenons et répétons :

"Si Dieu a toujours soutenu jésus, pourquoi quand il a été mis sur la croix il a crié "Elie Elie ima shabaqtani?" ce qui veut dire "Dieu Dieu pourquoi m'a-tu abandonné ?"

Ce cri du Christ sur la Croix, "Éli, Éli, lama sabachthani" (Matthieu 27 : 46) reprend la phrase d'introduction du Psaume 22. De quoi parle ce psaume ? C'est le dénouement d'un long processus, qui mêle souffrance et certitude d'une aurore prochaine, d'une délivrance promise et d'un bonheur incommensurable. C'est un récit qui rappelle les douleurs de l'enfantement, thème essentiel de l'Evangile. Tout le Nouveau Testament annonce qu'une phase de douleur intense, quasi-immédiate, doit introduire la révélation de la gloire divine. La destruction du vieux Temple doit mener à la reconstruction d'un autre (Marc 13 : 1-2), les chrétiens doivent être persécutés (Marc 13 : 9) pour que le Christ revienne (Marc 13 : 26), et, surtout, Jésus lui-même doit faire l'expérience de la destruction la plus totale sur la Croix (Luc 9 : 22 ; Luc 24 : 6 , etc...) pour revenir vainqueur de la mort. Ces parallélismes font sens !

L'Evangile, et plus encore la Bible dans sa totalité forment un tout cohérent où tous les éléments sont en dialogue. Il faut donc comprendre le cri de détresse de Jésus sur la Croix à la lumière de tout ce corpus, et notamment à celle du psaume dont il est tiré ! "Él, Éli, lama sabachthani" n'est qu'une introduction à la résurrection, à l'éclatante lumière qui est promise à la fin du poème (Psaume 22 : 27-32) et que le Christ réalise dans sa gloire. Tu comprends, c'est une logique sur le long terme ! Jésus devait éprouver le sentiment d'abandon, le désespoir humain le plus total, pour que la nuit soit complète et pour que l'aube puisse arriver. Sans cela, la résurrection aurait été insensée ! C'est pourquoi, après avoir poussé ce cri, il dit : "tout est accompli" (Jean 19 : 30), sereinement. Aurait-il eu cette phrase s'il pensait que Dieu lui avait retiré son soutien ?

Bref, en conclusion, pour être sûr que tout soit clair : la Passion doit être mise en parallèle avec le Psaume 22 (et les autres prophéties bibliques). Elle commence exactement par la même phrase (comment croire à un hasard ?) et suit un déroulement similaire, de la détresse jusqu'à la gloire. Dans les deux cas, il s'agit d'une renaissance.
 
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1. Les passages de l'Evangile ou le Christ annonce sa mort prochaine dans la souffrance:
Les témoins n'ont pas été témoins oculaires.

Question de point de vue. Toujours est-il que le Christ a annoncé, à de nombreuses reprises, qu'il allait connaître une mort douloureuse et la résurrection le troisième jour, n'est-ce pas ?

2. Le linceul de Turin, aujourd'hui proche de l'authentification scientifique:
http://www.morpheus.fr/spip.php?article153
Je crois que toutes les objections soulevées ici ont déjà été traitées dans le thread que j'ai consacré au linceul : http://www.bladi.info/358911-linceul-turin-lislam/?page=1 (il y a plusieurs vidéos, liens et retranscriptions d'articles à ce sujet).

En plus, beaucoup de scientifiques sont impressionnés lorsqu'ils voient que leurs découvertes ont été mentionné dans le Coran

Mais je n'ai jamais dis que le Coran était un livre idiot. Chrétien ou pas, je connais sa valeur spirituelle, politique, et (pourquoi pas) scientifique. Et alors ? Nous ne parlons pas du Coran ici.

En plus, toi même tu ne connais rien sur le Le linceul de Turin, et tu ne sais pas que ça a été réfuté par beaucoup de gens

http://www.bladi.info/358911-linceul-turin-lislam/?page=1 Tu verras si je n'y connais rien et s'il n'y a pas aussi beaucoup (de plus en plus) de gens qui s'accordent sur son authenticité.


3. Les sources non-chrétiennes qui évoquent la crucifixion.:
J'ai dit que les historiens qui affirment que la crucifixion ne s'est jamais déroulé sont PLUS NOMBREUX que ceux qui disent qu'elle s'est déroulée.

Oui, tu le dis sans le prouver. Moi je te dis le contraire. Je te parle de ce que j'ai lu et de mon expérience en tant qu'étudiant en Histoire.
 
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Tu sais que c'est une réponse malheureuse de dire que la résurrection de jésus n'est pas celle comme les autres? en plus tu me cite un verset qui n'explique rien du tout, franchêment j'en ai mâre à répondre tout le temps à ces banaleries. Tu donne des explications qui sont illogiques, et qui contredisent tes croyances, et qui contredisent la bible, je ne sais pas si je suis vraiment entrain de débattre avec quelqu'un qui s'y connait.
Je donne toujours l'avis des grands savants, avec les versets de la bible, et toi tu parle dans le vide, t'essaye de justifier une doctrine avec les croyances...

1. C'est quoi des "banaleries" ?

2. Je t'ai cité de nombreux auteurs et historiens renommés plus haut, mais cela ne t'a visiblement pas intéressé ! T'es gonflé quand même...
 
T'es sérieux? on a dit 3 jours et 3 nuits, Donc on a:
le jour du samedi
La nuit du samedi
Le jour du dimanche

On a 2 jours et une nuit, je ne sais pas si t'a un problème de calcul, mais il y'a un problème sur ça, Il y'a que 2 jours et une nuit, en plus le vendredi ne doit pas être compté, puisque la crucifixion s'est déroulée juste avant le sabbat (La nuit du vendredi), et même si on le compte, on a 2 jours et 2 nuits, et c'est loin d'être 3 jours et 3 nuits.

http://www.gotquestions.org/Francais/Jesus-Vendredi-Dimanche.html

Question : "Jésus fut-il crucifié un vendredi ? Si c’est le cas, comment a-t-il séjourné trois jours dans le tombeau s’il est ressuscité le dimanche ?"

Réponse : La Bible ne déclare pas spécifiquement quel jour de la semaine Jésus fut crucifié. Les deux opinions dominantes sont vendredi et mercredi. D’aucuns toutefois font la synthèse des deux et acceptent le jeudi comme étant le jour.

Jésus dit dans Matthieu 12:40 : “Car tout comme Jonas fut dans le ventre du monstre marin trois jours et trois nuits, ainsi le Fils de l'homme sera dans le sein de la terre trois jours et trois nuits”. Ceux qui défendent la crucifixion un vendredi disent qu’il est possible de compter de manière telle qu’on puisse effectivement considérer qu’il fut dans la tombe pour trois jours. Dans la pensée juive du 1er siècle, une partie de journée était comptabilisée comme une journée entière. Comme Jésus fut enseveli un vendredi, tout le samedi et une partie du dimanche, on pourrait considérer qu’il passa trois jours dans la tombe. L’argument principal pour le vendredi se trouve dans Marc 15:42 qui précise que Jésus fut crucifié la “veille du sabbat”. S’il s’agit bien du sabbat hebdomadaire – samedi – alors la crucifixion eut lieu un vendredi. Un autre argument en faveur du vendredi se fonde sur des versets tels que Matthieu 16:21 et Luc 9:22 où Jésus enseigne qu’il ressuscitera le troisième jour, et donc qu’il ne restera pas trois jours et trois nuits entiers dans la tombe. Plusieurs traducteurs utilisent l’expression “le troisième jour”, mais non pas tous : d’aucuns contestent la manière de traduire ces versets. De surcroit Marc 8 :31 dit bien que Jésus sera ressuscité “après” trois jours.

Le débat sur le jeudi se construit sur celui du vendredi en arguant qu’il y a trop d’événements – jusqu’à vingt selon ses défenseurs – qui se passent entre l’ensevelissement du Christ et dimanche matin pour que tout se soit déroulé entre vendredi et dimanche matin. Il faut faire ressortir qu’il est particulièrement problématique que le seul jour plein entre vendredi et dimanche soit le samedi – le Sabbat juif. Un jour de plus ou deux résolvent ce problème. Les défenseurs du jeudi font le raisonnement suivant : supposez que vous n’avez pas vu un ami depuis le lundi soir. La prochaine fois que vous le rencontrez c’est le jeudi matin et vous lui dites : “Je ne t’ai pas vu depuis trois jours”, mais techniquement il ne s’est passé que 60 heures (2.5 jours). Si Jésus a été crucifié un jeudi, cet exemple montre comment on pourrait considérer cette durée comme trois jours.

L’hypothèse du mercredi avance qu’il y avait deux sabbats cette semaine-là. Après le premier sabbat (celui qui débute le soir de la crucifixion, Marc 15:42 ; Luc 23:52-54), les femmes sont allés acheter les aromates – notez bien qu’elles les ont achetées après le sabbat (Marc 16:1). Dans cette hypothèse du mercredi, ce premier sabbat est la Pâque (cf. Lévitique 16:29-31 ; 23:24-32 ; 39 où les jours très saints ne sont pas nécessairement le septième jour, mais sont appelés sabbat tout de même). Le second sabbat cette semaine était le sabbat hebdomadaire normal, samedi. Notez que dans Luc 23:56, les femmes qui avaient acheté les aromates après le premier sabbat s’en retournèrent, préparèrent les aromates puis “se reposèrent durant le sabbat” (Luc 23:56). On ne peut imaginer qu’elles achetèrent les aromates après le sabbat et les préparèrent avant le sabbat que s’il y eut deux sabbats cette semaine-là. Avec l’hypothèse de deux sabbats, si Christ fut crucifié un jeudi, alors le jour très saint (la Pâque) aurait débuté au coucher du soleil le jeudi et pris fin le vendredi au coucher du soleil – juste au début du sabbat hebdomadaire – le samedi. Acheter les aromates après le premier sabbat signifierait alors en faire l’acquisition le samedi, en violation avec les lois du sabbat.

Ainsi, dans cette hypothèse, la seule explication qui ne viole pas les récits bibliques des femmes et des aromates et tient à la lecture littérale de Matthieu 12:40 est que Christ fut crucifié le mercredi. Le premier sabbat – un jour très saint (Pâque) – fut un jeudi, les femmes achetèrent les aromates le vendredi suivant et s’en retournèrent les préparer le jour même, elles se reposèrent le samedi qui était le sabbat hebdomadaire et portèrent enfin les aromates au tombeau tôt le dimanche. Jésus fut enseveli proche du coucher du soleil le mercredi, ce qui est le début du jeudi selon le calendrier juif. En usant de ce calendrier, nous avons le jeudi nuit (nuit une), jeudi jour (jour un), vendredi nuit (nuit deux), vendredi jour (jour deux), samedi nuit (nuit trois), samedi jour (jour trois). Nous ne savons pas exactement quand il est ressuscité, mais sous savons que ce fut avant le levé du soleil du dimanche (Jean 20:1, Marie Madeleine vient au tombeau “alors qu’il faisait encore sombre” ; la pierre du tombeau était roulée et elle partit trouver Pierre lui dire “ils ont sorti le Seigneur de la tombe”), alors il pourrait très être ressuscité juste après le coucher du soleil du samedi soir, ce qui est le premier jour de la semaine pour les juifs.

Un problème possible avec l’hypothèse du mercredi est que les disciples qui marchèrent avec Jésus sur le chemin d’Emmaüs le firent le jour même de sa résurrection (Luc 24:13). Les disciples, qui ne reconnurent pas Jésus, lui racontèrent sa propre résurrection (24:20) et dirent : “aujourd’hui, c’est le troisième jour depuis ces événements” (24:21). Mercredi à dimanche, ça fait quatre jours. Une explication possible est qu’ils comptèrent depuis le mercredi soir au moment de l’ensevelissement du Christ, ce qui correspond au jeudi juif, et de jeudi à dimanche, cela fait trois jours.

Dans le grand dessein des choses, il n’est pas important de connaître le jour de la semaine où Christ fut crucifié. Si cela avait été primordial, alors la Parole de Dieu nous aurait communiqué clairement le jour précis. Ce qui est important est qu’il soit mort, et qu’il soit physiquement ressuscité d’entre les morts. Ce qui est également important est la raison pour laquelle il est mort – pour prendre sur lui la punition qui revenait à tous les pécheurs. Jean 3:16 et 3:36 proclament tous deux que croire en lui – mettre sa confiance en lui – nous conduit à la vie éternelle !

En savoir plus: http://www.gotquestions.org/Francais/Jesus-Vendredi-Dimanche.html#ixzz2bKespaWG
 
1. C'est quoi des "banaleries" ?

2. Je t'ai cité de nombreux auteurs et historiens renommés plus haut, mais cela ne t'a visiblement pas intéressé ! T'es gonflé quand même...

Quels auteurs et historiens? Ne vois-tu pas que t'es entrain de mentir?
. Question d'évangile de jean et de mathieu je t'ai cité 3 grands savants.
. Question crucifixion, il y'a des preuves de la bible même que jésus n'est pas mort sur la croix, en plus de ça beaucoup d'historiens disent que la crucifixion ne s'est jamais déroulée.
 
http://www.gotquestions.org/Francais/Jesus-Vendredi-Dimanche.html

Question : "Jésus fut-il crucifié un vendredi ? Si c’est le cas, comment a-t-il séjourné trois jours dans le tombeau s’il est ressuscité le dimanche ?"

Réponse : La Bible ne déclare pas spécifiquement quel jour de la semaine Jésus fut crucifié. Les deux opinions dominantes sont vendredi et mercredi. D’aucuns toutefois font la synthèse des deux et acceptent le jeudi comme étant le jour.

Jésus dit dans Matthieu 12:40 : “Car tout comme Jonas fut dans le ventre du monstre marin trois jours et trois nuits, ainsi le Fils de l'homme sera dans le sein de la terre trois jours et trois nuits”. Ceux qui défendent la crucifixion un vendredi disent qu’il est possible de compter de manière telle qu’on puisse effectivement considérer qu’il fut dans la tombe pour trois jours. Dans la pensée juive du 1er siècle, une partie de journée était comptabilisée comme une journée entière. Comme Jésus fut enseveli un vendredi, tout le samedi et une partie du dimanche, on pourrait considérer qu’il passa trois jours dans la tombe. L’argument principal pour le vendredi se trouve dans Marc 15:42 qui précise que Jésus fut crucifié la “veille du sabbat”. S’il s’agit bien du sabbat hebdomadaire – samedi – alors la crucifixion eut lieu un vendredi. Un autre argument en faveur du vendredi se fonde sur des versets tels que Matthieu 16:21 et Luc 9:22 où Jésus enseigne qu’il ressuscitera le troisième jour, et donc qu’il ne restera pas trois jours et trois nuits entiers dans la tombe. Plusieurs traducteurs utilisent l’expression “le troisième jour”, mais non pas tous : d’aucuns contestent la manière de traduire ces versets. De surcroit Marc 8 :31 dit bien que Jésus sera ressuscité “après” trois jours.

Le débat sur le jeudi se construit sur celui du vendredi en arguant qu’il y a trop d’événements – jusqu’à vingt selon ses défenseurs – qui se passent entre l’ensevelissement du Christ et dimanche matin pour que tout se soit déroulé entre vendredi et dimanche matin. Il faut faire ressortir qu’il est particulièrement problématique que le seul jour plein entre vendredi et dimanche soit le samedi – le Sabbat juif. Un jour de plus ou deux résolvent ce problème. Les défenseurs du jeudi font le raisonnement suivant : supposez que vous n’avez pas vu un ami depuis le lundi soir. La prochaine fois que vous le rencontrez c’est le jeudi matin et vous lui dites : “Je ne t’ai pas vu depuis trois jours”, mais techniquement il ne s’est passé que 60 heures (2.5 jours). Si Jésus a été crucifié un jeudi, cet exemple montre comment on pourrait considérer cette durée comme trois jours.

L’hypothèse du mercredi avance qu’il y avait deux sabbats cette semaine-là. Après le premier sabbat (celui qui débute le soir de la crucifixion, Marc 15:42 ; Luc 23:52-54), les femmes sont allés acheter les aromates – notez bien qu’elles les ont achetées après le sabbat (Marc 16:1). Dans cette hypothèse du mercredi, ce premier sabbat est la Pâque (cf. Lévitique 16:29-31 ; 23:24-32 ; 39 où les jours très saints ne sont pas nécessairement le septième jour, mais sont appelés sabbat tout de même). Le second sabbat cette semaine était le sabbat hebdomadaire normal, samedi. Notez que dans Luc 23:56, les femmes qui avaient acheté les aromates après le premier sabbat s’en retournèrent, préparèrent les aromates puis “se reposèrent durant le sabbat” (Luc 23:56). On ne peut imaginer qu’elles achetèrent les aromates après le sabbat et les préparèrent avant le sabbat que s’il y eut deux sabbats cette semaine-là. Avec l’hypothèse de deux sabbats, si Christ fut crucifié un jeudi, alors le jour très saint (la Pâque) aurait débuté au coucher du soleil le jeudi et pris fin le vendredi au coucher du soleil – juste au début du sabbat hebdomadaire – le samedi. Acheter les aromates après le premier sabbat signifierait alors en faire l’acquisition le samedi, en violation avec les lois du sabbat.

Ainsi, dans cette hypothèse, la seule explication qui ne viole pas les récits bibliques des femmes et des aromates et tient à la lecture littérale de Matthieu 12:40 est que Christ fut crucifié le mercredi. Le premier sabbat – un jour très saint (Pâque) – fut un jeudi, les femmes achetèrent les aromates le vendredi suivant et s’en retournèrent les préparer le jour même, elles se reposèrent le samedi qui était le sabbat hebdomadaire et portèrent enfin les aromates au tombeau tôt le dimanche. Jésus fut enseveli proche du coucher du soleil le mercredi, ce qui est le début du jeudi selon le calendrier juif. En usant de ce calendrier, nous avons le jeudi nuit (nuit une), jeudi jour (jour un), vendredi nuit (nuit deux), vendredi jour (jour deux), samedi nuit (nuit trois), samedi jour (jour trois). Nous ne savons pas exactement quand il est ressuscité, mais sous savons que ce fut avant le levé du soleil du dimanche (Jean 20:1, Marie Madeleine vient au tombeau “alors qu’il faisait encore sombre” ; la pierre du tombeau était roulée et elle partit trouver Pierre lui dire “ils ont sorti le Seigneur de la tombe”), alors il pourrait très être ressuscité juste après le coucher du soleil du samedi soir, ce qui est le premier jour de la semaine pour les juifs.

Un problème possible avec l’hypothèse du mercredi est que les disciples qui marchèrent avec Jésus sur le chemin d’Emmaüs le firent le jour même de sa résurrection (Luc 24:13). Les disciples, qui ne reconnurent pas Jésus, lui racontèrent sa propre résurrection (24:20) et dirent : “aujourd’hui, c’est le troisième jour depuis ces événements” (24:21). Mercredi à dimanche, ça fait quatre jours. Une explication possible est qu’ils comptèrent depuis le mercredi soir au moment de l’ensevelissement du Christ, ce qui correspond au jeudi juif, et de jeudi à dimanche, cela fait trois jours.

Dans le grand dessein des choses, il n’est pas important de connaître le jour de la semaine où Christ fut crucifié. Si cela avait été primordial, alors la Parole de Dieu nous aurait communiqué clairement le jour précis. Ce qui est important est qu’il soit mort, et qu’il soit physiquement ressuscité d’entre les morts. Ce qui est également important est la raison pour laquelle il est mort – pour prendre sur lui la punition qui revenait à tous les pécheurs. Jean 3:16 et 3:36 proclament tous deux que croire en lui – mettre sa confiance en lui – nous conduit à la vie éternelle !

En savoir plus: http://www.gotquestions.org/Francais/Jesus-Vendredi-Dimanche.html#ixzz2bKespaWG

Les juifs ont crucifié jésus juste avant le shabbat, et l'histoire reconnait que soit disant la crucifixion a toujours été le vendredi selon les chrétiens, en plus nous pouvons lire dans la bible annotée sur Mathieu 12:40:
[Beaucoup d'interprètes se sont achoppé à cette expression trois jours et trois nuits, parce que Jésus n'est resté dans la tombe qu'un jour et deux nuits. M. Godet va jusqu'à dire que dans la teneur qu'elle a chez Matthieu cette parole peut être difficilement mise dans la bouche de Jésus. (Commentaire sur #Lu 11:30)], et la bible annotée est très réputée en ce qui concerne l'éxégèse, et là elle explique la durée pendant laquelle jésus est resté sous la terre.
 
http://www.gotquestions.org/Francais/Jesus-Vendredi-Dimanche.html

Question : "Jésus fut-il crucifié un vendredi ? Si c’est le cas, comment a-t-il séjourné trois jours dans le tombeau s’il est ressuscité le dimanche ?"

Réponse : La Bible ne déclare pas spécifiquement quel jour de la semaine Jésus fut crucifié. Les deux opinions dominantes sont vendredi et mercredi. D’aucuns toutefois font la synthèse des deux et acceptent le jeudi comme étant le jour.

Jésus dit dans Matthieu 12:40 : “Car tout comme Jonas fut dans le ventre du monstre marin trois jours et trois nuits, ainsi le Fils de l'homme sera dans le sein de la terre trois jours et trois nuits”. Ceux qui défendent la crucifixion un vendredi disent qu’il est possible de compter de manière telle qu’on puisse effectivement considérer qu’il fut dans la tombe pour trois jours. Dans la pensée juive du 1er siècle, une partie de journée était comptabilisée comme une journée entière. Comme Jésus fut enseveli un vendredi, tout le samedi et une partie du dimanche, on pourrait considérer qu’il passa trois jours dans la tombe. L’argument principal pour le vendredi se trouve dans Marc 15:42 qui précise que Jésus fut crucifié la “veille du sabbat”. S’il s’agit bien du sabbat hebdomadaire – samedi – alors la crucifixion eut lieu un vendredi. Un autre argument en faveur du vendredi se fonde sur des versets tels que Matthieu 16:21 et Luc 9:22 où Jésus enseigne qu’il ressuscitera le troisième jour, et donc qu’il ne restera pas trois jours et trois nuits entiers dans la tombe. Plusieurs traducteurs utilisent l’expression “le troisième jour”, mais non pas tous : d’aucuns contestent la manière de traduire ces versets. De surcroit Marc 8 :31 dit bien que Jésus sera ressuscité “après” trois jours.

Le débat sur le jeudi se construit sur celui du vendredi en arguant qu’il y a trop d’événements – jusqu’à vingt selon ses défenseurs – qui se passent entre l’ensevelissement du Christ et dimanche matin pour que tout se soit déroulé entre vendredi et dimanche matin. Il faut faire ressortir qu’il est particulièrement problématique que le seul jour plein entre vendredi et dimanche soit le samedi – le Sabbat juif. Un jour de plus ou deux résolvent ce problème. Les défenseurs du jeudi font le raisonnement suivant : supposez que vous n’avez pas vu un ami depuis le lundi soir. La prochaine fois que vous le rencontrez c’est le jeudi matin et vous lui dites : “Je ne t’ai pas vu depuis trois jours”, mais techniquement il ne s’est passé que 60 heures (2.5 jours). Si Jésus a été crucifié un jeudi, cet exemple montre comment on pourrait considérer cette durée comme trois jours.

L’hypothèse du mercredi avance qu’il y avait deux sabbats cette semaine-là. Après le premier sabbat (celui qui débute le soir de la crucifixion, Marc 15:42 ; Luc 23:52-54), les femmes sont allés acheter les aromates – notez bien qu’elles les ont achetées après le sabbat (Marc 16:1). Dans cette hypothèse du mercredi, ce premier sabbat est la Pâque (cf. Lévitique 16:29-31 ; 23:24-32 ; 39 où les jours très saints ne sont pas nécessairement le septième jour, mais sont appelés sabbat tout de même). Le second sabbat cette semaine était le sabbat hebdomadaire normal, samedi. Notez que dans Luc 23:56, les femmes qui avaient acheté les aromates après le premier sabbat s’en retournèrent, préparèrent les aromates puis “se reposèrent durant le sabbat” (Luc 23:56). On ne peut imaginer qu’elles achetèrent les aromates après le sabbat et les préparèrent avant le sabbat que s’il y eut deux sabbats cette semaine-là. Avec l’hypothèse de deux sabbats, si Christ fut crucifié un jeudi, alors le jour très saint (la Pâque) aurait débuté au coucher du soleil le jeudi et pris fin le vendredi au coucher du soleil – juste au début du sabbat hebdomadaire – le samedi. Acheter les aromates après le premier sabbat signifierait alors en faire l’acquisition le samedi, en violation avec les lois du sabbat.

Ainsi, dans cette hypothèse, la seule explication qui ne viole pas les récits bibliques des femmes et des aromates et tient à la lecture littérale de Matthieu 12:40 est que Christ fut crucifié le mercredi. Le premier sabbat – un jour très saint (Pâque) – fut un jeudi, les femmes achetèrent les aromates le vendredi suivant et s’en retournèrent les préparer le jour même, elles se reposèrent le samedi qui était le sabbat hebdomadaire et portèrent enfin les aromates au tombeau tôt le dimanche. Jésus fut enseveli proche du coucher du soleil le mercredi, ce qui est le début du jeudi selon le calendrier juif. En usant de ce calendrier, nous avons le jeudi nuit (nuit une), jeudi jour (jour un), vendredi nuit (nuit deux), vendredi jour (jour deux), samedi nuit (nuit trois), samedi jour (jour trois). Nous ne savons pas exactement quand il est ressuscité, mais sous savons que ce fut avant le levé du soleil du dimanche (Jean 20:1, Marie Madeleine vient au tombeau “alors qu’il faisait encore sombre” ; la pierre du tombeau était roulée et elle partit trouver Pierre lui dire “ils ont sorti le Seigneur de la tombe”), alors il pourrait très être ressuscité juste après le coucher du soleil du samedi soir, ce qui est le premier jour de la semaine pour les juifs.

Un problème possible avec l’hypothèse du mercredi est que les disciples qui marchèrent avec Jésus sur le chemin d’Emmaüs le firent le jour même de sa résurrection (Luc 24:13). Les disciples, qui ne reconnurent pas Jésus, lui racontèrent sa propre résurrection (24:20) et dirent : “aujourd’hui, c’est le troisième jour depuis ces événements” (24:21). Mercredi à dimanche, ça fait quatre jours. Une explication possible est qu’ils comptèrent depuis le mercredi soir au moment de l’ensevelissement du Christ, ce qui correspond au jeudi juif, et de jeudi à dimanche, cela fait trois jours.

Dans le grand dessein des choses, il n’est pas important de connaître le jour de la semaine où Christ fut crucifié. Si cela avait été primordial, alors la Parole de Dieu nous aurait communiqué clairement le jour précis. Ce qui est important est qu’il soit mort, et qu’il soit physiquement ressuscité d’entre les morts. Ce qui est également important est la raison pour laquelle il est mort – pour prendre sur lui la punition qui revenait à tous les pécheurs. Jean 3:16 et 3:36 proclament tous deux que croire en lui – mettre sa confiance en lui – nous conduit à la vie éternelle !

En savoir plus: http://www.gotquestions.org/Francais/Jesus-Vendredi-Dimanche.html#ixzz2bKespaWG
 
Dernière édition:
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Question : "Jésus fut-il crucifié un vendredi ? Si c’est le cas, comment a-t-il séjourné trois jours dans le tombeau s’il est ressuscité le dimanche ?"

Réponse : La Bible ne déclare pas spécifiquement quel jour de la semaine Jésus fut crucifié. Les deux opinions dominantes sont vendredi et mercredi. D’aucuns toutefois font la synthèse des deux et acceptent le jeudi comme étant le jour.



En savoir plus: http://www.gotquestions.org/Francais/Jesus-Vendredi-Dimanche.html#ixzz2bKespaWG

Tu sais, John Toland dans son livre « Le Nazaréen- ou, Le christianisme des Juifs, des Gentils et des Mahométans » affirme ce qui suit (chapitre 6, page 32) :
[Dans l'histoire ecclésiastique, Epiphanius nous apprend qu'il a lu un livre intitulé « le voyage des apôtres » contenant les actes de pierre, Jean, André, Thomas et Paul, qu'entre plusieurs choses on y lit ce qui suit : « QUE LE Christ n'a jamais été crucifié, mais un autre à sa place , que par ce moyen il s'était moqué de ceux qui s'imaginaient l'avoir crucifié » : quelque uns ont avancé que c'était judas qui a été crucifié à sa place . Cette circonstance que Jésus-Christ s'était moqué des Juifs, est aussi affirmée par les Bazilidiens, comme on peut le voir dans le passage que je viens de citer d'Epiphanius.]

En plus, les anciens manuscrits retrouvés des évangiles prouvent que les premiers chrétiens ne croyaient pas à la crucifixion, je te donne un simple exemple (y'en a beaucoup si tu veut je te les montres), dans le chapitre 216 de l'évangile de Barnabé on lit:
[Judas fit irruption le premier dans la pièce d'où Jésus avait été enlevé et où dormaient les onze. Alors, l'admirable Dieu agit admirablement : Judas devint si semblable à Jésus par son langage et dans son visage que nous crûmes que c'était Jésus.
Judas, lui, nous ayant réveillés, cherchait où était le Maître. Mais, stupéfaits, nous répondîmes : "C'est toi, Seigneur, notre Maître! Nous as-tu oubliés ?" Mais il nous dit en souriant : "Etes-vous fous? Je suis Judas Iscariote."
Tandis qu'il parlait, la milice entra et on mit la main sur lui car il était en tout semblable à Jésus. Quant à nous, après avoir entendu les paroles de Judas et vu la foule des soldats, comme hors de nous-mêmes, nous nous enfuîmes. Jean qui dormait enveloppé d'un drap s'éveilla et s'enfuit. Comme un soldat l'avait saisi par le drap, il laissa le drap et se sauva nu, car Dieu avait exaucé la prière de Jésus et sauvé les onze du mal.

Chapitre 217
Les soldats s'emparèrent de Judas et le ligotèrent non sans dérision car il niait la vérité qu'il était Jésus. Ils lui disaient en se moquant de lui : "Ne crains pas, Seigneur, nous sommes venu pour te faire roi d'Israël! Nous ne t'avons ligoté que parce que nous savons que tu refuses le royaume!" Judas répondit : "Avez-vous perdu la cervelle? Vous êtes venus prendre Jésus Nazaréen avec des armes et des lanternes comme un voleur et vous m'avez ligoté pour me faire roi, moi qui vous ai conduits ici!" Alors les soldats perdirent patience et à coups de poings et à coups de pieds ils commencèrent à rendre à Judas la monnaie de sa pièce et en furie, ils le conduisirent à Jérusalem.]

Et parlons d'évangiles qui n'y figurent pas dans la bible, tu sais que la bible a été rédigé par saint Jérôme sous l'ordre du pape Damase, et c'est lui même qui a choisi les évangiles qui devaient être dans la bible (il y'avait une cinquantaine à l'époque), tout simplement, car jérome même affirme:
"Si je l'ai fait pour les exemplaires écrits dans notre langue, je dois avouer que je n'en ai retiré aucune utilité; en conséquence, je ne m'engage ici qu'à l'examen des quatre évangiles, dont voici l'ordre nominal : saint Mathieu, saint Marc, saint Luc et saint Jean; je ne prétends me servir que de la collection épurée des anciens textes grecs. D'ailleurs , afin que notre travail ne s'écartât pas trop de la teneur des exemplaires latins, nous n'avons corrigé que les passages qui nous ont paru s'écarter du véritable sens, laissant les autres tels que nous les avons reçus de la rédaction primitive ".

Mais, si tu veut quand même pas croire que c'est un évangile comme les autres, alors disons que c'est un livre historique (d'ailleurs ils mentionnent le nom de notre prophète, comme le fait le cantique des cantiques).

Et je pense que c'est suffisant question d'histoires ou bien d'historiens.
 
Mais je n'ai jamais dis que le Coran était un livre idiot. Chrétien ou pas, je connais sa valeur spirituelle, politique, et (pourquoi pas) scientifique. Et alors ? Nous ne parlons pas du Coran ici.
J'apprécie énormément ce que tu viens de dire, c'est rare de trouver un chrétien qui dit ça puisque de nos jours tout le monde s'acharnent contre notre religion sans même la connaître.
Je t'en ajoute aussi une autre, c'est les miracles numériques, je vais te citer un seul exemple qui concerne le christianisme, il y'a un verset coranique qui dit (Tout en gardant à l'esprit que 7 et 19 sont des chiffres miraculeux dans le Coran):
[Pour Allah, Jésus est comme Adam qu'Il créa de poussière, puis Il lui dit ‹Sois›: et il fut]
Ce verset montre la similitude entre jésus et adam (pse), mais ce n'est pas tout, si on compte la mention de jésus et d'adam dans le Coran, on va trouver que tout les 2 sont mentionnés 25 fois.
Le premier résultat est surprenants, mais ce n'est pas tout:
Le verset que j'ai cité mentionne adam et jésus en même temps, et en vérité, c'est la 7 eme mention de ces deux noms dans le Coran; la 7 eme mention de jésus se trouve dans le verset, ainsi que celle de adam.
Et ce n'est pas tout encore, la 19 eme mention de adam et celle de jésus se trouvent toutes les 2 dans le chapitre 19.
Je te donne aussi un autre exemple;
Le Coran nous parle des gens de la caverne, qui sont restés dans la caverne endormis pendant 309 années. Le mot clé de ce miracle numérique est le mot "s’engouffrèrent", et c'est le mot utilisé pour montrer l'entrer des gens de la caverne dans la grotte, le plus surprenant, c'est que quand on compte les mots du premier "s'engouffrèrent" jusqu'au dernier "s'engouffrèrent", il y'a exactement 309 mots!
Mais ce n'est pas tout, le Coran nous dit [Ils s'engouffrèrent dans leurs grottes trois-cents années et ils ajoutèrent neufs années, Dis: Dieu seul connait combien ils s'engouffrèrent]
En vérité, en arrivant à trois-cents (celui que j'ai mis en Gras), le nombre de mots atteints exactement 300, c'est à dire : Trois = le 299eme, cent = le 300 eme. Et puis vient le reste (les 9 mots, car dans le Coran qui est avec la langue arabe, il y'a 9 mots après trois-cents).
Alors tu peux ajouter ça à ta petite liste.
 
Quels auteurs et historiens? Ne vois-tu pas que t'es entrain de mentir?
. Question d'évangile de jean et de mathieu je t'ai cité 3 grands savants.
. Question crucifixion, il y'a des preuves de la bible même que jésus n'est pas mort sur la croix, en plus de ça beaucoup d'historiens disent que la crucifixion ne s'est jamais déroulée.

Salut à toi,

Non, j'ai fais référence à Jean-Christian Petitfils, Richard Bauckham, Jean Grosjean, Raymond E. Brown et Marie-Françoise Baslez. Tu pourras tous les retrouver dans mes commentaires précédents. Pour ce qui est du linceul de Turin, j'aurais également dû mentionner Raymond N. Rogers (du Los Alamos Scientific Laboratory) et le professeur Gérard Lucotte, biologiste et généticien, qui a confirmé par microscope électronique que le test au C14 de 1988 avait pu être faussé par la présence de nombreuses bactéries et moisissures sur le linge.

Pour ce qui est de la Crucifixion, tu dis que beaucoup d'historiens penchent pour sa non-existence historique. Moi, je te dis que je n'en ai pas rencontré ni lu un seul pour le moment. Et rien dans la Bible ne permet de penser qu'elle n'a pas eu lieu, rien que tu n'aies déjà cité en tous cas.
 
Les juifs ont crucifié jésus juste avant le shabbat, et l'histoire reconnait que soit disant la crucifixion a toujours été le vendredi selon les chrétiens, en plus nous pouvons lire dans la bible annotée sur Mathieu 12:40:
[Beaucoup d'interprètes se sont achoppé à cette expression trois jours et trois nuits, parce que Jésus n'est resté dans la tombe qu'un jour et deux nuits. M. Godet va jusqu'à dire que dans la teneur qu'elle a chez Matthieu cette parole peut être difficilement mise dans la bouche de Jésus. (Commentaire sur #Lu 11:30)], et la bible annotée est très réputée en ce qui concerne l'éxégèse, et là elle explique la durée pendant laquelle jésus est resté sous la terre.

Tout mon commentaire précédent te montre justement que le débat n'est pas tranché à ce propos, notamment parce que la Bible n'est pas limpide sur la datation précise de la Crucifixion.

Cependant, voici encore comment l'on peut considérer que Jésus, crucifié le vendredi et ressuscité le dimanche, a effectivement pu trois jours dans la tombe. Il faut se replacer dans la pensée juive de l'époque :

"Ceux qui défendent la crucifixion un vendredi disent qu’il est possible de compter de manière telle qu’on puisse effectivement considérer qu’il fut dans la tombe pour trois jours. Dans la pensée juive du 1er siècle, une partie de journée était comptabilisée comme une journée entière. Comme Jésus fut enseveli un vendredi, tout le samedi et une partie du dimanche, on pourrait considérer qu’il passa trois jours dans la tombe".

Mais dans ce cas, ça fait trois jours et seulement deux nuits. Comment l'expliquer ?

Un autre argument en faveur du vendredi se fonde sur des versets tels que Matthieu 16:21 et Luc 9 : 22 où Jésus enseigne qu’il ressuscitera le troisième jour, et donc qu’il ne restera pas trois jours et trois nuits entiers dans la tombe. Plusieurs traducteurs utilisent l’expression "le troisième jour", mais non pas tous : d’aucuns contestent la manière de traduire ces versets. De surcroit Marc 8 : 31 dit bien que Jésus sera ressuscité “après” trois jours.

Ces arguments me paraissent convaincants, quoique les arguments en faveur du Mercredi et du Jeudi saints ne soient pas idiots. Il est effectivement possible que Jésus ait passé trois jours et seulement deux nuits dans la tombe. Il est difficile de trancher entre les trois possibilités.
 
Tu sais, John Toland dans son livre « Le Nazaréen- ou, Le christianisme des Juifs, des Gentils et des Mahométans » affirme ce qui suit (chapitre 6, page 32) :
[Dans l'histoire ecclésiastique, Epiphanius nous apprend qu'il a lu un livre intitulé « le voyage des apôtres » contenant les actes de pierre, Jean, André, Thomas et Paul, qu'entre plusieurs choses on y lit ce qui suit : « QUE LE Christ n'a jamais été crucifié, mais un autre à sa place , que par ce moyen il s'était moqué de ceux qui s'imaginaient l'avoir crucifié » : quelque uns ont avancé que c'était judas qui a été crucifié à sa place . Cette circonstance que Jésus-Christ s'était moqué des Juifs, est aussi affirmée par les Bazilidiens, comme on peut le voir dans le passage que je viens de citer d'Epiphanius.]

Oui, mais peut-on considérer John Toland comme une source crédible pour la question qui nous préoccupe ? Ce philosophe irlandais et déiste du XVIIIe siècle ne fait pas un historien ou un archéologue très sérieux. Dans le passage que tu cites, il ne fait que rapporter l'interprétation musulmane des évènements, sans pour autant prouver quoique ce soit.

En plus, les anciens manuscrits retrouvés des évangiles prouvent que les premiers chrétiens ne croyaient pas à la crucifixion, je te donne un simple exemple (y'en a beaucoup si tu veut je te les montres), dans le chapitre 216 de l'évangile de Barnabé on lit:

Tout d'abord, il est aujourd'hui prouvé que l'apocryphe du pseudo-Barnabé est un faux grossier, probablement rédigé tel que nous le connaissons par un musulman espagnol à la fin du Moyen-Âge. Ses erreurs et ses anachronismes sont beaucoup trop nombreux pour qu'il puisse être pris au sérieux : il place la naissance de Jésus sous le "règne" de Ponce Pilate (hors Ponce Pilate n'était pas roi, et son mandat n'a début qu'en l'an 26), il fait mention de tonneaux de vin alors que ce récipient gaulois était inconnu des palestiniens de l'époque, etc... On est loin de la rigueur historique de l'évangile de Jean.

Ensuite, tu dis que les plus vieux manuscrits chrétiens prouvent que les premières communautés ne croyaient pas à la crucifixion. C'est faux, étant donné que le plus vieux fragment de texte chrétien dont nous disposons, le Papyrus P52, appartient précisément à l'évangile de Jean, qui atteste justement de la Crucifixion. Les plus vieux auteurs chrétiens que nous connaissons (Polycrate d'Ephèse, Irénée de Lyon, Papias d'Hiérapolis, etc...) n'expriment jamais aucun doute sur la réalité de la Croix.

C'est aussi le cas des sources antiques non-chrétiennes (païennes ou juives) datant de la même époque. Flavius Josèphe (37 - 100) mentionne la mort de Jésus ("Pilate le condamna à être crucifié et à mourir [...]. Mais ceux qui étaient devenus ses disciples [...] disaient qu'il leur était apparu trois jours après sa crucifixion et qu'il était vivant.") Pline le Jeune, fonctionnaire affecté au Levant et à l'Asie mineure depuis l'an 82, rapporte que les chrétiens vouent un culte à Jésus ressuscité. Encore avant, Tacite (56 - 118) écrit en parlant des chrétiens : "Ce nom leur vient de Christ, que le procurateur Ponce Pilate, sous le principat de Tibère, avait livré au supplice".

As-tu connaissance de sources plus anciennes ? Moi pas.

Et parlons d'évangiles qui n'y figurent pas dans la bible, tu sais que la bible a été rédigé par saint Jérôme sous l'ordre du pape Damase, et c'est lui même qui a choisi les évangiles qui devaient être dans la bible (il y'avait une cinquantaine à l'époque), tout simplement, car jérome même affirme:
"Si je l'ai fait pour les exemplaires écrits dans notre langue, je dois avouer que je n'en ai retiré aucune utilité; en conséquence, je ne m'engage ici qu'à l'examen des quatre évangiles, dont voici l'ordre nominal : saint Mathieu, saint Marc, saint Luc et saint Jean; je ne prétends me servir que de la collection épurée des anciens textes grecs. D'ailleurs , afin que notre travail ne s'écartât pas trop de la teneur des exemplaires latins, nous n'avons corrigé que les passages qui nous ont paru s'écarter du véritable sens, laissant les autres tels que nous les avons reçus de la rédaction primitive ".

Dès le IIe siècle, Irénée de Lyon présente les quatre évangiles canoniques comme les sources les plus dignes de foi sur la vie et l'enseignement de Jésus, parce que ces quatre livres étaient les plus anciens, les plus précis et les plus traçables. En vérité, dès cette époque, ce sont ces quatre livres et nulle autre qui sont au coeur de la foi chrétienne.
Au début du troisième siècle, même si le "tri sélectif" officiel n'a pas encore été fait, le Nouveau Testament couramment utilisé et reconnu comporte déjà les quatre évangiles canoniques, treize lettres de Saint Paul, les Actes des Apôtres, la première lettre de Jean et la première lettre de Paul.
 
J'apprécie énormément ce que tu viens de dire, c'est rare de trouver un chrétien qui dit ça puisque de nos jours tout le monde s'acharnent contre notre religion sans même la connaître.

Pas de soucis, j'ai toujours eu du respect pour l'Islam et le Coran. D'ailleurs, dans ce pays, les catholiques et les musulmans ont en commun d'être les deux communautés religieuses les plus méprisées par la classe politique et la société en générale.

Je t'en ajoute aussi une autre, c'est les miracles numériques, je vais te citer un seul exemple qui concerne le christianisme, il y'a un verset coranique qui dit (Tout en gardant à l'esprit que 7 et 19 sont des chiffres miraculeux dans le Coran):
[Pour Allah, Jésus est comme Adam qu'Il créa de poussière, puis Il lui dit ‹Sois›: et il fut]
Ce verset montre la similitude entre jésus et adam (pse), mais ce n'est pas tout, si on compte la mention de jésus et d'adam dans le Coran, on va trouver que tout les 2 sont mentionnés 25 fois.
Le premier résultat est surprenants, mais ce n'est pas tout:
Le verset que j'ai cité mentionne adam et jésus en même temps, et en vérité, c'est la 7 eme mention de ces deux noms dans le Coran; la 7 eme mention de jésus se trouve dans le verset, ainsi que celle de adam.
Et ce n'est pas tout encore, la 19 eme mention de adam et celle de jésus se trouvent toutes les 2 dans le chapitre 19.
Je te donne aussi un autre exemple;
Le Coran nous parle des gens de la caverne, qui sont restés dans la caverne endormis pendant 309 années. Le mot clé de ce miracle numérique est le mot "s’engouffrèrent", et c'est le mot utilisé pour montrer l'entrer des gens de la caverne dans la grotte, le plus surprenant, c'est que quand on compte les mots du premier "s'engouffrèrent" jusqu'au dernier "s'engouffrèrent", il y'a exactement 309 mots!
Mais ce n'est pas tout, le Coran nous dit [Ils s'engouffrèrent dans leurs grottes trois-cents années et ils ajoutèrent neufs années, Dis: Dieu seul connait combien ils s'engouffrèrent]
En vérité, en arrivant à trois-cents (celui que j'ai mis en Gras), le nombre de mots atteints exactement 300, c'est à dire : Trois = le 299eme, cent = le 300 eme. Et puis vient le reste (les 9 mots, car dans le Coran qui est avec la langue arabe, il y'a 9 mots après trois-cents).
Alors tu peux ajouter ça à ta petite liste.

Oui, c'est une correspondance intéressante. Il semble que le Coran soit un livre très mathématique.
 
C'est aussi le cas des sources antiques non-chrétiennes (païennes ou juives) datant de la même époque. Flavius Josèphe (37 - 100) mentionne la mort de Jésus ("Pilate le condamna à être crucifié et à mourir [...]. Mais ceux qui étaient devenus ses disciples [...] disaient qu'il leur était apparu trois jours après sa crucifixion et qu'il était vivant.") Pline le Jeune, fonctionnaire affecté au Levant et à l'Asie mineure depuis l'an 82, rapporte que les chrétiens vouent un culte à Jésus ressuscité. Encore avant, Tacite (56 - 118) écrit en parlant des chrétiens : "Ce nom leur vient de Christ, que le procurateur Ponce Pilate, sous le principat de Tibère, avait livré au supplice".

As-tu connaissance de sources plus anciennes ? Moi pas.

J'aurais était peut-être d'accord avec toi que si l'évangile de bernabé est le seul qui dément la crucifixion, mais tu sais, beaucoup d'anciens manuscrits ne sont pas d'accord avec la crucifixion.
En plus si vous dites que l'évangile de bernabé n'a pas était écrit par bernabé, donc c'est le même cas que celui de mathieu et de Jean.
 
J'aurais était peut-être d'accord avec toi que si l'évangile de bernabé est le seul qui dément la crucifixion, mais tu sais, beaucoup d'anciens manuscrits ne sont pas d'accord avec la crucifixion.

Peut-être, mais je n'en ai pas connaissance. Quels sont ces manuscrits ? Ce sont des apocryphes ou des sources juives ?

En plus si vous dites que l'évangile de bernabé n'a pas était écrit par bernabé, donc c'est le même cas que celui de mathieu et de Jean.

Je crois que ce n'est pas comparable : comme je l'ai dis plus haut, l'apocryphe du pseudo-Barnabé contient beaucoup d'anachronismes et d'erreurs historiques (les tonneaux, le "règne" de Ponce Pilate, etc...), alors que l'évangile de Jean est justement réputé pour sa précision. Je cite encore Petitfils à ce propos :

"L’historienne Marie-Françoise Baslez note : « l’évangile de Jean apparaît finalement comme le plus riche d’informations historiques, comme le plus crédible et le plus cohérent dans l’articulation des faits »Bible et Histoire). Ce que nous disent les données historiques extérieures, y compris les dernières découvertes de l’archéologie, se retrouve à merveille dans ce texte : les lieux, villes et villages, les frontières, les institutions, les hommes en place, les jeux de pouvoir entre Juifs et Romains, les factions religieuses rivales, les mentalités et les menus détails de la vie quotidienne d’avant la chute de Jérusalem en 70 de notre ère."

Ce sont quand même des indices assez probants.
 
Quels auteurs et historiens? Ne vois-tu pas que t'es entrain de mentir?
. Question d'évangile de jean et de mathieu je t'ai cité 3 grands savants.
. Question crucifixion, il y'a des preuves de la bible même que jésus n'est pas mort sur la croix, en plus de ça beaucoup d'historiens disent que la crucifixion ne s'est jamais déroulée.

alala qu'est qu'il ne faut pas lire, tu peut pas te contenter de vivre ta religion sans essayer de deformer celle du voisin ?
tu es telleemnt peu sur de toi que tu doives justifier ta religion à partir de la Bible ?
 
En plus si vous dites que l'évangile de bernabé n'a pas était écrit par bernabé, donc c'est le même cas que celui de mathieu et de Jean.

aucun rapport l'Evangile de Barnabé est un faux reconnu comme tel.
c'est l'ancetre des video de propagande islamique sur Youtube, dcomme quoi cela fait un moment que les musulmans diffame le christiannisme pour leur propagande, tu n'as rien inventé.
 
Les Irakiens devraient attaquer les Mongols en justice pour la destruction de Baghdad en 1258. Ça leur changerait les idées. :rolleyes:

Au fait, saviez-vous que la grande peste du 14ème siècle qui a ravagé l'Europe a été causée délibérément par les Mongols? Ils ont en quelque sorte utilisé une arme biologique.
 
Les Irakiens devraient attaquer les Mongols en justice pour la destruction de Baghdad en 1258. Ça leur changerait les idées. :rolleyes:

Au fait, saviez-vous que la grande peste du 14ème siècle qui a ravagé l'Europe a été causée délibérément par les Mongols? Ils ont en quelque sorte utilisé une arme biologique.
Tes sources brokman?
 
La peste bubonique sévissait de façon endémique en Asie centrale, et ce sont probablement les guerres entre Mongols et Chinois qui provoquèrent les conditions sanitaires permettant le déclenchement de l'épidémie. Elle se déclara en 1334, dans la province chinoise du Hubei et se répandit rapidement dans les provinces voisines : Jiangxi, Shanxi, Hunan, Guangdong, Guangxi, Henan et Suiyuan, une ancienne province disputée entre les empires mongol et chinois.
En 1346, les Tatars de la Horde d'Or attaquèrent la ville portuaire de Caffa, comptoir commercial génois, sur les bords de la mer Noire, en Crimée, et y établirent leur siège. L’épidémie, ramenée d'Asie centrale par les Mongols, toucha bientôt assiégeants et assiégés, car les Mongols catapultaient les cadavres des leurs par-dessus les murs pour infecter les habitants de la ville[5]. Cependant, pour Boris Bove il est plus plausible d'imaginer que la contamination des génois le fût par des rats passant des rangs Mongols jusque dans la ville[6].
Le siège fut levé, faute de combattants valides en nombre suffisant : Gênes et les Tartares signèrent une trêve ; les bateaux génois, pouvant désormais quitter la ville, disséminèrent la peste dans tous les ports où ils faisaient halte : la maladie atteignit Messine en septembre 1347[7], et Gênes et Marseille en novembre de la même année. Venise fut atteinte en juin 1348. En un an, la peste se répandit sur tout le pourtour méditerranéen.
Dès lors, l'épidémie de peste s'étendit à toute l’Europe du sud au nord, y rencontrant un terrain favorable : les populations n’avaient pas d’anticorps contre cette variante du bacille de la peste, et elles étaient déjà affaiblies par des famines répétées[8], des épidémies[9], un refroidissement climatique sévissant depuis la fin du XIIIe siècle, et des guerres[10].


http://fr.wikipedia.org/wiki/Peste_noire
 
La peste bubonique sévissait de façon endémique en Asie centrale, et ce sont probablement les guerres entre Mongols et Chinois qui provoquèrent les conditions sanitaires permettant le déclenchement de l'épidémie. Elle se déclara en 1334, dans la province chinoise du Hubei et se répandit rapidement dans les provinces voisines : Jiangxi, Shanxi, Hunan, Guangdong, Guangxi, Henan et Suiyuan, une ancienne province disputée entre les empires mongol et chinois.
En 1346, les Tatars de la Horde d'Or attaquèrent la ville portuaire de Caffa, comptoir commercial génois, sur les bords de la mer Noire, en Crimée, et y établirent leur siège. L’épidémie, ramenée d'Asie centrale par les Mongols, toucha bientôt assiégeants et assiégés, car les Mongols catapultaient les cadavres des leurs par-dessus les murs pour infecter les habitants de la ville[5]. Cependant, pour Boris Bove il est plus plausible d'imaginer que la contamination des génois le fût par des rats passant des rangs Mongols jusque dans la ville[6].
Le siège fut levé, faute de combattants valides en nombre suffisant : Gênes et les Tartares signèrent une trêve ; les bateaux génois, pouvant désormais quitter la ville, disséminèrent la peste dans tous les ports où ils faisaient halte : la maladie atteignit Messine en septembre 1347[7], et Gênes et Marseille en novembre de la même année. Venise fut atteinte en juin 1348. En un an, la peste se répandit sur tout le pourtour méditerranéen.
Dès lors, l'épidémie de peste s'étendit à toute l’Europe du sud au nord, y rencontrant un terrain favorable : les populations n’avaient pas d’anticorps contre cette variante du bacille de la peste, et elles étaient déjà affaiblies par des famines répétées[8], des épidémies[9], un refroidissement climatique sévissant depuis la fin du XIIIe siècle, et des guerres[10].


http://fr.wikipedia.org/wiki/Peste_noire
Ben elle est où l'infection délibérée Birdy? :intello:
 
Peut-être, mais je n'en ai pas connaissance. Quels sont ces manuscrits ? Ce sont des apocryphes ou des sources juives ?



Je crois que ce n'est pas comparable : comme je l'ai dis plus haut, l'apocryphe du pseudo-Barnabé contient beaucoup d'anachronismes et d'erreurs historiques (les tonneaux, le "règne" de Ponce Pilate, etc...), alors que l'évangile de Jean est justement réputé pour sa précision. Je cite encore Petitfils à ce propos :

"L’historienne Marie-Françoise Baslez note : « l’évangile de Jean apparaît finalement comme le plus riche d’informations historiques, comme le plus crédible et le plus cohérent dans l’articulation des faits »Bible et Histoire). Ce que nous disent les données historiques extérieures, y compris les dernières découvertes de l’archéologie, se retrouve à merveille dans ce texte : les lieux, villes et villages, les frontières, les institutions, les hommes en place, les jeux de pouvoir entre Juifs et Romains, les factions religieuses rivales, les mentalités et les menus détails de la vie quotidienne d’avant la chute de Jérusalem en 70 de notre ère."

Ce sont quand même des indices assez probants.

Essaye de comprendre un peu ce que tu copie, je doute même que tu ne lis pas tes réponses.
L'évangile de jean n'a pas été écrit par jean, et j'ai prouvé ça à partir de l'avis de 3 grands savants: Un catholique, un protestant, un ex-chrétien qui a renié sa foi après avoir étudié la bible.
Tu ne sais pas que jean n'est pas le même que celui de l'autre fois? Tu sais que beaucoup de textes sont omis de l'évangile de jean tels que l'épisode de la femme adultère, (jean 7:53 à 8:11).
Regarde ce que dit Frederic Godet (célèbre savant protestant):
... A ce point de vue, le récit de la femme adultère ne peut être envisagé dans notre évangile que comme un hors-d'oeuvre. Comme le dit très bien Reuss : « Des anecdotes de ce genre, aboutissant à un enseignement essentiellement moral, sont étrangères au IVe évangile. » Aussitôt qu'on retranche ce passage, la liaison entre le témoignage qui précède et celui qui suit, saute aux yeux. Elle est expressément marquée par le p?lin, de nouveau, 8.12, qui rattache la nouvelle déclaration, 8.12-20, à celle du grand jour de la fête, 7.37 et suiv. Aussi l'authenticité de ce morceau n'est-elle plus admise que par un petit nombre d'exégètes protestants (Lange, Ebrard, Wieseler), par les interprètes catholiques (Hug, Scholz, Maier) et par quelques adversaires de l'authenticité de l'évangile qui se font une arme des invraisemblances internes du récit (Bretschneider, Strauss, B. Bauer, Hilgenfeld).Dès le temps de la Réformation, il a été jugé inauthentique par Erasme, Calvin, Bèze ; plus tard, il a été également éliminé par Grotius, Wetstein, Semler Lücke, Tholuck, Olshausen, de Wette, Baur, Reuss, Luthardt, Ewald, Hengstenberg, Lachmann, Tischendorf, Westcott et Hort, Meyer, Weiss, Keil, Jülicher, Zahn, etc. Selon Hilgenfeld, ce morceau aurait en sa faveur des témoignages prépondérants ; il nous placerait dans le vrai milieu des jours qui suivaient le grand jour de fête ; enfin il serait exigé par la parole 8.15 a. Ces raisons n'ont pas besoin d'être réfutées. »
Et c'est confirmé par Bruce Metzger, qui dit:
« L’évidence pour l’origine non Johannique de la péricope de la femme adultère est dominant. Il est absent des manuscrits (la liste est déjà cité au-dessus)…En orient, il est absent des plus anciennes formes de la version Syriaque, bohaïrique, Sahidique, sub-Achmimique. Quelques manuscrits Arménien et la vieille version géorgienne l’omettent aussi. En occident, le passage est absent de la version Gothique et de plusieurs anciens manuscrits Latin…Le Comité est UNANIME pour dire que la péricope de la femme adultère ne fait pas parti originellement des 4 évangiles… » « Commentaire de Bruce Metzger du Greek New Testament » 2ème édition, p.188-189] Ainsi que beaucoup d'autres savants (je vais les citer si tu veut.)
Et y'a beaucoup de mots et de texte ajoutés:

Jean 1:18:
Bible Ostervald:"Personne ne vit jamais Dieu; le Fils unique, qui est dans le sein du Père, est celui qui nous l'a fait connaître."
Bible segond: Personne n'a jamais vu Dieu; Dieu le Fils unique, qui est dans le sein du Père, est celui qui l'a fait connaître.

Jean 1;27:
Ostervald: "... qui m'est préféré, et je ne suis pas digne de dénouer la courroie de ses souliers"
Segond: "je ne suis pas digne de délier la courroie de ses souliers"

Jean 3;15:
Ostervald: "afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu'il ait la vie éternelle"
Segond: "afin que quiconque croit en lui ait la vie éternelle"

Jean 4:42:
Ostervald:" ... car nous l'avons entendu nous-mêmes, et nous savons que c'est lui qui est véritablement le CHRIST, le Sauveur du monde."
Segond: " ... car nous l'avons entendu nous-mêmes, et nous savons qu'il est vraiment le Sauveur du monde."

Et beaucoup d'autres, mais vraiment beaucoup, maintenant c'est à toi de me dire quel évangile de jean je dois suivre. y'en a des manuscrits qui ont des versets en plus, d'autres en moins ...
 
Peut-être, mais je n'en ai pas connaissance. Quels sont ces manuscrits ? Ce sont des apocryphes ou des sources juives ?



Je crois que ce n'est pas comparable : comme je l'ai dis plus haut, l'apocryphe du pseudo-Barnabé contient beaucoup d'anachronismes et d'erreurs historiques (les tonneaux, le "règne" de Ponce Pilate, etc...), alors que l'évangile de Jean est justement réputé pour sa précision. Je cite encore Petitfils à ce propos :

"L’historienne Marie-Françoise Baslez note : « l’évangile de Jean apparaît finalement comme le plus riche d’informations historiques, comme le plus crédible et le plus cohérent dans l’articulation des faits »Bible et Histoire). Ce que nous disent les données historiques extérieures, y compris les dernières découvertes de l’archéologie, se retrouve à merveille dans ce texte : les lieux, villes et villages, les frontières, les institutions, les hommes en place, les jeux de pouvoir entre Juifs et Romains, les factions religieuses rivales, les mentalités et les menus détails de la vie quotidienne d’avant la chute de Jérusalem en 70 de notre ère."

Ce sont quand même des indices assez probants.

Tu fais preuve d'ignorance, c'est impossible que l'évangile de bernabé soit écrit par un musulman,
car premièrement il détermine le messie comme étant notre prophète Muhammad, alors qu'en Islam le messie = jésus christ.
Deuxièmement, il a été trouvé dans un environnement chrétien à 100% , il a été découvert par des chrétiens , il a été présenté au monde par des chrétiens , et il a été publié par des chrétiens, les musulmans n'ont jamais rien connu à propos de cet évangile avant que George Sale (AD 1697-1736) ne le mentionne en 1734 dans son prologue de sa traduction du saint coran :" Alkoran of Mohammed". À travers les siècles , aucune quotation musulmane d'un évangile de Barnabé n'a été enregistrée , est toujours logique de dire qu'il s'agit d'un musulman qui l'a rédigé ? Et puis si c'est réellement le cas, la moindre des choses aurait été d'utiliser cette "forgerie" , mais bizarrement ce "musulman" se serait contenté de rédiger un évangile, de le glisser dans la bibliothèque du pape au Vatican , et puis l'oublier jusqu'à ce que des siècles passent et qu'un prêtre ( framarno) le découvre .
Troisièmement, plusieurs miracles de jésus cités dans le coran n'ont pas été cités dans cet évangile , ce qui prouve que l'auteur n'a aucune connaissance sur le contenu du saint coran.
Quatrièmement, L'évangile de Bernabé existe avant la venue de l'Islam:
"l'évanile de barnabas a été déclaré comme un livre rejeté dans le Decret de Galates par le pape pelasius ( Pope de rome 492-96) , selon E.Vpon Dobschtz , c'st un écrit qui fut composé en italie au début du sixième siècle "he Oxford Dictionary of the Christian Church, Ed. F. L. Cross and E. A. Livingstone, London, Oxford Univ. Press, II Ed, 1974, p. 385"

En plus, dire que l'évangile de bernabé contient beaucoup d'incohérences, donc il est faux, ce n'est pas possible car:
1. dans son évangile Barnabé n'a jamais prétendu écrire une parole divine mais seulement les paroles qu'il entendit de jésus christ , il n'a pas non plus prétendu avoir été inspiré.
2. Barnabé avoue dans son écrit qu’il peut oublier certaines choses , il est humain et c’est normal .
3. Il n'est pas impossible non plus que cet évangile aie subi des modifications au fil des temps lors de sa traduction , ce qui expliquera toute incohérence qu'il contient , c'est d'ailleurs le cas pour les évangiles canoniques qui contiennent un grand nombre d'erreurs et de contradictions apparentes.
4. Le nouveau testament contiennent bien plus d’incohérences que l’évangile de Barnabé , qu’il s’agisse d’incohérences internes , ou d’incohérences avec l’histoire ou la science , un jugement juste serait de faire la même conclusion pour le nouveau testament .
 
Peut-être, mais je n'en ai pas connaissance. Quels sont ces manuscrits ? Ce sont des apocryphes ou des sources juives ?



Je crois que ce n'est pas comparable : comme je l'ai dis plus haut, l'apocryphe du pseudo-Barnabé contient beaucoup d'anachronismes et d'erreurs historiques (les tonneaux, le "règne" de Ponce Pilate, etc...), alors que l'évangile de Jean est justement réputé pour sa précision. Je cite encore Petitfils à ce propos :

"L’historienne Marie-Françoise Baslez note : « l’évangile de Jean apparaît finalement comme le plus riche d’informations historiques, comme le plus crédible et le plus cohérent dans l’articulation des faits »Bible et Histoire). Ce que nous disent les données historiques extérieures, y compris les dernières découvertes de l’archéologie, se retrouve à merveille dans ce texte : les lieux, villes et villages, les frontières, les institutions, les hommes en place, les jeux de pouvoir entre Juifs et Romains, les factions religieuses rivales, les mentalités et les menus détails de la vie quotidienne d’avant la chute de Jérusalem en 70 de notre ère."

Ce sont quand même des indices assez probants.

Quand il s'agit de l'évangile de bernabé, voilà tout le monde l'étudie profondément, mais quand il s'agit des 4 évangiles: Non c'est la parole de Dieu, ce n'est pas la peine.
Regarde ce que Dit Bart Ehrman:
Non seulement nous n'avons pas les originaux, mais nous n'avons pas les premières copies des originaux, nous n'avons même pas les copies des copies des originaux , ni même les copies des copies des copies des originaux . ce que nous avons sont des copies faites plus tard- beaucoup plus tard. dans la plupart des cas , ce sont des copies rédigées nombreux siècles plus tard, et toutes ces copies sont différentes l'une de l'autre, dans de MILLIERS d'endroits.

En plus, l'évangile de bernabé rapporte les commandements de jésus, (la circoncision etc..), et ceux là ne sont pas rapportés par les 4 évangiles, en plus bernabé écrit lui même qu'il était un témoin oculaire, par contre les 4 évangiles non, mais ils sont des auteurs inconnus, ajoutons à cela beaucoup de défauts dans les manuscrits du nouveau testament, les différences, les versions ...

Outre, L'évangile de bernabé N'EST PAS LE SEUL à dire que la CRUCIFIXION NE S'EST JAMAIS DEROULEE DES APROCRYPHES.

Bref, j'espère que tu va lire mes réponses, et que tu lise les tiennes avant de poster, car à chaque fois tu poste directement sans même les lires, et tu ne connais même pas ta propre bible, car tu me dit que Esaïe 53 c'était une prophétie, alors que le texte de la bible a très bien mentionner " ETAIT ". Mais tu sais, y'a pas d'aveugle tel que celui qui ne veut pas voir, ni un sourd tel que celui qui ne veut pas entendre.
 
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Peut-être, mais je n'en ai pas connaissance. Quels sont ces manuscrits ? Ce sont des apocryphes ou des sources juives ?



Je crois que ce n'est pas comparable : comme je l'ai dis plus haut, l'apocryphe du pseudo-Barnabé contient beaucoup d'anachronismes et d'erreurs historiques (les tonneaux, le "règne" de Ponce Pilate, etc...), alors que l'évangile de Jean est justement réputé pour sa précision. Je cite encore Petitfils à ce propos :

"L’historienne Marie-Françoise Baslez note : « l’évangile de Jean apparaît finalement comme le plus riche d’informations historiques, comme le plus crédible et le plus cohérent dans l’articulation des faits »Bible et Histoire). Ce que nous disent les données historiques extérieures, y compris les dernières découvertes de l’archéologie, se retrouve à merveille dans ce texte : les lieux, villes et villages, les frontières, les institutions, les hommes en place, les jeux de pouvoir entre Juifs et Romains, les factions religieuses rivales, les mentalités et les menus détails de la vie quotidienne d’avant la chute de Jérusalem en 70 de notre ère."

Ce sont quand même des indices assez probants.

PS: Lis attentivement les réponses, car tu ne lis pas mes réponses, ni même les tiennes (dire que Esaïe 53 c'est une prophétie sans même connaitre le texte ...), tu contente de faire des copier collé sans même lire ce que t'a copié, en plus tu croit que vraiment tu donne des réponses. Et quant aux 4 évangiles, le nouveau testament .., je suis prêt à débattre sur la question des différentes versions, de la falscification ETC..
 
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