La reconnaissance faciale se met en place à bas bruit

Interdite sur la voie publique en France, la reconnaissance faciale en temps réel fait malgré tout son chemin. Plusieurs municipalités testent des dispositifs qui s’en rapprochent, avant sa possible autorisation pour les Jeux olympiques de Paris en 2024.

Technologie de reconnaissance faciale à l'aéroport. Les conditions générales de vente des billets pourraient contenir une clause de consentement.'aéroport. Les conditions générales de vente des billets pourraient contenir une clause de consentement.
Technologie de reconnaissance faciale à l'aéroport. Les conditions générales de vente des billets pourraient contenir une clause de consentement. © Getty / izusek
Le nouveau marché de la reconnaissance faciale est évalué à sept milliards d’euros en France. Les Jeux de 2024, dont l’enjeu sécuritaire est très fort, ainsi que la Coupe du monde masculine de rugby en 2023, devraient être les laboratoires de ces technologies. "La filière industrielle française en matière de sécurité est en train de se positionner, analyse Félix Treguer, sociologue et fondateur de La Quadrature du net. Des sociétés comme Atos, Dassault Systèmes, Capgemini, sont en lien avec le ministère de l’Intérieur pour rafler les marchés publics autour des JO de 2024."

Plusieurs expérimentations à grande échelle ont déjà eu lieu ou sont programmées, comme à Nice, Cannes, Marseille... Avec une question centrale, celle du consentement des personnes. Pour le journaliste Olivier Tesquet, c’est par ces différentes expérimentations dans les communes que le terrain se prépare : "Ces municipalités se sont transformées en showrooms sécuritaires, analyse-t-il. À Valenciennes, Huawei offre des caméras de vidéosurveillance à la commune. À Nice et à Marseille, c’est l’américain Cisco qui a approché la région Provence-Alpes-Côte d'Azur pour l'installation de portiques de reconnaissance faciale à l'entrée des lycées. Le problème, c’est qu’il n’y'a pas d'appels d'offres, et les habitants sont assez cruellement sous-informés sur ces questions-là."

Reconnaissance faciale : officiellement interdite, elle se met peu à peu en place

Nice, Metz, Marseille... Toutes ces villes tentent d’expérimenter des dispositifs qui s’apparentent à de la reconnaissance faciale, toujours interdite en France. La Cnil veille au grain, mais n’exclut pas de rendre un avis favorable pour les Jeux olympiques de Paris en 2024.

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Je suis contre vent debout
parcontre il y a une erreur ; Le problème, c’est qu’il n’y'a pas d'appels d'offres, C'est faux
Tu pàeux voir les appels d'offres publics, celui de aéroport mulhouse qui est clos est tjs visible, au dela de 25 000€ tu as un marché public pour des stylos ou de la reconnaissance faciale, rien d'invisible si 'est une volonté d'acheter rien ne les empêche
 

Esperluette

Vivre et laisser vivre
VIB

Aéroport d’Orly - La reconnaissance faciale testée à l’embarquement​


Un dispositif de reconnaissance faciale à l’embarquement a été mis en place à l’aéroport d’Orly. Les caméras sont testées depuis le 18 mars.

Depuis le 18 mars dernier, l’aéroport d’Orly teste un nouveau dispositif de reconnaissance faciale, rapporte Le Parisien . Les caméras sont placées dans la zone d’embarquement. Selon les informations du quotidien francilien, ce dispositif sera utilisé pour l’ouverture des portes et les contrôles.

Les voyageurs doivent s’enregistrer devant une borne en montrant son visage sans masque. Puis, il faut ensuite enregistrer sa pièce d’identité ainsi que son billet d’avion. Les voyageurs auront juste à « scanner [leur] étiquette-bagage, poser [leur] valise sur le tapis et c’est tout », assure ADP au Parisien.

Testée sur une seule compagnie pour le moment

Pour l’heure, seule la compagnie Transavia, pour ses vols à destination du Maroc, se sert de cette technologie à l’intérieur de l’aéroport situé dans le Val-de-Marne.

Le projet devait pour autant voir le jour dès 2020. L’ Express assurait que la biométrie devait être expérimentée dès le début de l’année 2020, toutefois la pandémie de Covid-19 a ralenti la mise en place de l’expérimentation, confirme Le Parisien.

Selon le quotidien francilien, la reconnaissance faciale sera expérimentée pour des vols de la compagnie Air Caraïbes pour des vols vers les départements et territoires d’Outre-Mer.

 

nwidiya

Moulate Chagma Lmech9o9a 🤣
Super Modératrice

Aéroport d’Orly - La reconnaissance faciale testée à l’embarquement​


Un dispositif de reconnaissance faciale à l’embarquement a été mis en place à l’aéroport d’Orly. Les caméras sont testées depuis le 18 mars.

Depuis le 18 mars dernier, l’aéroport d’Orly teste un nouveau dispositif de reconnaissance faciale, rapporte Le Parisien . Les caméras sont placées dans la zone d’embarquement. Selon les informations du quotidien francilien, ce dispositif sera utilisé pour l’ouverture des portes et les contrôles.

Les voyageurs doivent s’enregistrer devant une borne en montrant son visage sans masque. Puis, il faut ensuite enregistrer sa pièce d’identité ainsi que son billet d’avion. Les voyageurs auront juste à « scanner [leur] étiquette-bagage, poser [leur] valise sur le tapis et c’est tout », assure ADP au Parisien.

Testée sur une seule compagnie pour le moment

Pour l’heure, seule la compagnie Transavia, pour ses vols à destination du Maroc, se sert de cette technologie à l’intérieur de l’aéroport situé dans le Val-de-Marne.

Le projet devait pour autant voir le jour dès 2020. L’ Express assurait que la biométrie devait être expérimentée dès le début de l’année 2020, toutefois la pandémie de Covid-19 a ralenti la mise en place de l’expérimentation, confirme Le Parisien.

Selon le quotidien francilien, la reconnaissance faciale sera expérimentée pour des vols de la compagnie Air Caraïbes pour des vols vers les départements et territoires d’Outre-Mer.

Bah tu m’étonnes Transavia a destination au maroc’
Où on vaccine à tour de bras ...
 

Esperluette

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« ÇA DONNE L’IMPRESSION QUE LA RECONNAISSANCE FACIALE DEVIENT LA PROCÉDURE STANDARD POUR UN CONTRÔLE D’IDENTITÉ »

Dans tous les commissariats de France, on utilise la reconnaissance faciale


Près de 400.000 fois par an, la police utilise la reconnaissance faciale via un fichier qui recense 19 millions de personnes. Le système est à la frontière de la légalité et provoque son lot d’inquiétudes. StreetPress fait le point.
« Cela fait plusieurs fois que des personnes nous disent qu’elles se sont fait photographier en manifestation, dans des ZAD ou des squats », annonce avec inquiétude la Quadrature du Net. Dernier exemple en date pour l’association de défense des libertés en ligne : l’expulsion du squat le Marbré, le 27 février dernier à Montreuil (93). Lors de l’intervention policière – due « au non-respect des consignes sanitaires » suite à l’organisation d’une cantine solidaire au sein du lieu alternatif –, les fonctionnaires ont utilisé la reconnaissance faciale, selon un texte de soutien publié sur le média alternatif et collaboratif Indymedia Nantes :

« Certaines personnes ont été identifiées après avoir refusé de décliner leur identité. Les keufs les ont photographiés et comparés leurs photos via un système de reconnaissance faciale. »

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Esperluette

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VIB


51 organisations demandent l’interdiction de la reconnaissance faciale en Europe


La Commission européenne doit interdire les pratiques de surveillance de masse biométrique”, c’est ce que réclame une lettre ouverte adressée au commissaire européen à la justice Didier Reynders ce 1er avril et signée par 51 organisations européennes.

La reconnaissance biométrique, plus communément appelée reconnaissance faciale, est l’une des technologies qui inquiètent le plus les défenseurs des droits à la vie privée. L’utilisation de l’IA biométrique, la reconnaissance des individus, pour la surveillance des foules viole en effet la Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne. Selon la lettre, sont bafoués en particulier : “les droits à la vie privée, à la protection des données, à l’égalité, à la non-discrimination, à la liberté d’expression et d’association, à une application régulière de la loi et à une bonne administration, à la présomption d’innocence, aux droits sociaux, aux droits des travailleurs, à la dignité, ainsi qu’aux principes fondamentaux de la justice, de la démocratie et de l’État de droit”.

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Esperluette

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VIB

JUGEMENT IMMINENT CONTRE LA SURVEILLANCE DE MASSE​


D’ici deux ou trois semaines, le Conseil d’État rendra sa décision finale dans l’affaire la plus importante que La Quadrature ait jamais porté en justice : celle contre les services de renseignement français. Ce sera le terme de six années de procédure, de dizaines de mémoires et d’innombrables rebondissements qui auront contribué à faire de notre association une grande partie de ce qu’elle est aujourd’hui.

Cette aventure se clôt dans un fracas prodigieux. Coincé au pied du mur, le gouvernement français joue ses dernières cartes dans une stratégie aussi désespérée que destructrice : nier la légitimité des institutions européennes et, ainsi, placer la France dans une quasi-indépendance de fait vis-à-vis de l’Union européenne.

Peu importe le droit, tout doit être sacrifié pour sauver la surveillance de masse.

Les juges contre la surveillance​

L’aventure commence il y a sept ans. Le 8 avril 2014, nous nous réjouissions d’une « décision historique » : « la Cour de Justice de l’Union européenne (CJUE) venait de s’opposer au fichage systématique de nos communications en ligne ». De façon inédite, la Cour estime que le droit européen interdit qu’un État puisse obliger les opérateurs de télécommunications à conserver des données de connexion sur toute la population : liste des appels et messages émis et reçus par chaque personne, listes des antennes téléphoniques croisées par tous les téléphones portables, adresses IP permettant de lever l’anonymat sur Internet, etc. C’est notamment ce qu’impose la France, où chaque personne est considérée par l’administration comme un potentiel suspect à surveiller.

Alors que le gouvernement français aurait du abroger ce régime, un an après la décision de la Cour de justice, il n’en avait toujours rien fait : le 27 avril 2015, nous nous associons à FFDN et FDN pour lui demander officiellement d’abroger les décrets organisant la conservation généralisée des données de connexion. Par son silence, le gouvernement a refusé notre demande. Le 1er septembre 2015, nous avons saisi le Conseil d’État pour contester ce refus et, ainsi, faire tomber le système français de conservation généralisée des données (nous avons développé nos arguments pendant un an encore dans diverses écritures ici, ici, ou encore ).

Le 21 décembre 2016, tandis que notre affaire avançait doucement, intervenait ailleurs une deuxième décision historique de la Cour de justice : dans son célèbre arrêt Tele2, elle dénonçait la conservation généralisée des données de connexion imposée par les droits suédois et anglais. Il ne restait plus au Conseil d’État qu’à appliquer directement cette décision dans notre affaire française pour nous donner victoire. Mais la procédure n’allait pas suivre un déroulement classique.

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KINGjulian

Modérateur
Interdite sur la voie publique en France, la reconnaissance faciale en temps réel fait malgré tout son chemin. Plusieurs municipalités testent des dispositifs qui s’en rapprochent, avant sa possible autorisation pour les Jeux olympiques de Paris en 2024.

Technologie de reconnaissance faciale à l'aéroport. Les conditions générales de vente des billets pourraient contenir une clause de consentement.'aéroport. Les conditions générales de vente des billets pourraient contenir une clause de consentement.
Technologie de reconnaissance faciale à l'aéroport. Les conditions générales de vente des billets pourraient contenir une clause de consentement. © Getty / izusek
Le nouveau marché de la reconnaissance faciale est évalué à sept milliards d’euros en France. Les Jeux de 2024, dont l’enjeu sécuritaire est très fort, ainsi que la Coupe du monde masculine de rugby en 2023, devraient être les laboratoires de ces technologies. "La filière industrielle française en matière de sécurité est en train de se positionner, analyse Félix Treguer, sociologue et fondateur de La Quadrature du net. Des sociétés comme Atos, Dassault Systèmes, Capgemini, sont en lien avec le ministère de l’Intérieur pour rafler les marchés publics autour des JO de 2024."

Plusieurs expérimentations à grande échelle ont déjà eu lieu ou sont programmées, comme à Nice, Cannes, Marseille... Avec une question centrale, celle du consentement des personnes. Pour le journaliste Olivier Tesquet, c’est par ces différentes expérimentations dans les communes que le terrain se prépare : "Ces municipalités se sont transformées en showrooms sécuritaires, analyse-t-il. À Valenciennes, Huawei offre des caméras de vidéosurveillance à la commune. À Nice et à Marseille, c’est l’américain Cisco qui a approché la région Provence-Alpes-Côte d'Azur pour l'installation de portiques de reconnaissance faciale à l'entrée des lycées. Le problème, c’est qu’il n’y'a pas d'appels d'offres, et les habitants sont assez cruellement sous-informés sur ces questions-là."

Reconnaissance faciale : officiellement interdite, elle se met peu à peu en place

Nice, Metz, Marseille... Toutes ces villes tentent d’expérimenter des dispositifs qui s’apparentent à de la reconnaissance faciale, toujours interdite en France. La Cnil veille au grain, mais n’exclut pas de rendre un avis favorable pour les Jeux olympiques de Paris en 2024.

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Vive la burqa !



:D
 
Interdite sur la voie publique en France, la reconnaissance faciale en temps réel fait malgré tout son chemin. Plusieurs municipalités testent des dispositifs qui s’en rapprochent, avant sa possible autorisation pour les Jeux olympiques de Paris en 2024.

Technologie de reconnaissance faciale à l'aéroport. Les conditions générales de vente des billets pourraient contenir une clause de consentement.'aéroport. Les conditions générales de vente des billets pourraient contenir une clause de consentement.
Technologie de reconnaissance faciale à l'aéroport. Les conditions générales de vente des billets pourraient contenir une clause de consentement. © Getty / izusek
Le nouveau marché de la reconnaissance faciale est évalué à sept milliards d’euros en France. Les Jeux de 2024, dont l’enjeu sécuritaire est très fort, ainsi que la Coupe du monde masculine de rugby en 2023, devraient être les laboratoires de ces technologies. "La filière industrielle française en matière de sécurité est en train de se positionner, analyse Félix Treguer, sociologue et fondateur de La Quadrature du net. Des sociétés comme Atos, Dassault Systèmes, Capgemini, sont en lien avec le ministère de l’Intérieur pour rafler les marchés publics autour des JO de 2024."

Plusieurs expérimentations à grande échelle ont déjà eu lieu ou sont programmées, comme à Nice, Cannes, Marseille... Avec une question centrale, celle du consentement des personnes. Pour le journaliste Olivier Tesquet, c’est par ces différentes expérimentations dans les communes que le terrain se prépare : "Ces municipalités se sont transformées en showrooms sécuritaires, analyse-t-il. À Valenciennes, Huawei offre des caméras de vidéosurveillance à la commune. À Nice et à Marseille, c’est l’américain Cisco qui a approché la région Provence-Alpes-Côte d'Azur pour l'installation de portiques de reconnaissance faciale à l'entrée des lycées. Le problème, c’est qu’il n’y'a pas d'appels d'offres, et les habitants sont assez cruellement sous-informés sur ces questions-là."

Reconnaissance faciale : officiellement interdite, elle se met peu à peu en place

Nice, Metz, Marseille... Toutes ces villes tentent d’expérimenter des dispositifs qui s’apparentent à de la reconnaissance faciale, toujours interdite en France. La Cnil veille au grain, mais n’exclut pas de rendre un avis favorable pour les Jeux olympiques de Paris en 2024.

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Comme pour les tests et vaccination covid.. ça commence toujours dans les aéroports... Pourquoi ? j'ai qu'une seule partie de la réponse.
 

minervie

أَسْتَغْفِرُ اللهَ الذِي لا إِلَهَ إِلاَّ هُوَ
VIB

« ÇA DONNE L’IMPRESSION QUE LA RECONNAISSANCE FACIALE DEVIENT LA PROCÉDURE STANDARD POUR UN CONTRÔLE D’IDENTITÉ »

Dans tous les commissariats de France, on utilise la reconnaissance faciale


Près de 400.000 fois par an, la police utilise la reconnaissance faciale via un fichier qui recense 19 millions de personnes. Le système est à la frontière de la légalité et provoque son lot d’inquiétudes. StreetPress fait le point.
« Cela fait plusieurs fois que des personnes nous disent qu’elles se sont fait photographier en manifestation, dans des ZAD ou des squats », annonce avec inquiétude la Quadrature du Net. Dernier exemple en date pour l’association de défense des libertés en ligne : l’expulsion du squat le Marbré, le 27 février dernier à Montreuil (93). Lors de l’intervention policière – due « au non-respect des consignes sanitaires » suite à l’organisation d’une cantine solidaire au sein du lieu alternatif –, les fonctionnaires ont utilisé la reconnaissance faciale, selon un texte de soutien publié sur le média alternatif et collaboratif Indymedia Nantes :

« Certaines personnes ont été identifiées après avoir refusé de décliner leur identité. Les keufs les ont photographiés et comparés leurs photos via un système de reconnaissance faciale. »

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Ils ont que 19 millions ds le fichier alors qu'ils sont 60 millions de personnes en France . Ils sont encore loin du compte.
 

minervie

أَسْتَغْفِرُ اللهَ الذِي لا إِلَهَ إِلاَّ هُوَ
VIB
Bientôt on va nous balance : « parce que la stérilité est un droit! »
C'est pour ça que les gays ont droit à l'adoption ?:confused:
Cela dit y a des heteros qui revendiquent leur droit à ne pas avoir des enfants . C'est leur choix.
 
Interdite sur la voie publique en France, la reconnaissance faciale en temps réel fait malgré tout son chemin. Plusieurs municipalités testent des dispositifs qui s’en rapprochent, avant sa possible autorisation pour les Jeux olympiques de Paris en 2024.

Technologie de reconnaissance faciale à l'aéroport. Les conditions générales de vente des billets pourraient contenir une clause de consentement.'aéroport. Les conditions générales de vente des billets pourraient contenir une clause de consentement.
Technologie de reconnaissance faciale à l'aéroport. Les conditions générales de vente des billets pourraient contenir une clause de consentement. © Getty / izusek
Le nouveau marché de la reconnaissance faciale est évalué à sept milliards d’euros en France. Les Jeux de 2024, dont l’enjeu sécuritaire est très fort, ainsi que la Coupe du monde masculine de rugby en 2023, devraient être les laboratoires de ces technologies. "La filière industrielle française en matière de sécurité est en train de se positionner, analyse Félix Treguer, sociologue et fondateur de La Quadrature du net. Des sociétés comme Atos, Dassault Systèmes, Capgemini, sont en lien avec le ministère de l’Intérieur pour rafler les marchés publics autour des JO de 2024."

Plusieurs expérimentations à grande échelle ont déjà eu lieu ou sont programmées, comme à Nice, Cannes, Marseille... Avec une question centrale, celle du consentement des personnes. Pour le journaliste Olivier Tesquet, c’est par ces différentes expérimentations dans les communes que le terrain se prépare : "Ces municipalités se sont transformées en showrooms sécuritaires, analyse-t-il. À Valenciennes, Huawei offre des caméras de vidéosurveillance à la commune. À Nice et à Marseille, c’est l’américain Cisco qui a approché la région Provence-Alpes-Côte d'Azur pour l'installation de portiques de reconnaissance faciale à l'entrée des lycées. Le problème, c’est qu’il n’y'a pas d'appels d'offres, et les habitants sont assez cruellement sous-informés sur ces questions-là."

Reconnaissance faciale : officiellement interdite, elle se met peu à peu en place

Nice, Metz, Marseille... Toutes ces villes tentent d’expérimenter des dispositifs qui s’apparentent à de la reconnaissance faciale, toujours interdite en France. La Cnil veille au grain, mais n’exclut pas de rendre un avis favorable pour les Jeux olympiques de Paris en 2024.

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de passage

I'm just passing through
VIB
quand on scanne le QR code , les infos ils vont ou ? est ce sécurisé ? qui utilise ces infos ?
je pense que c est plus grave que la reconnaissance faciale qui existe depuis longtemps !!
 

nwidiya

Moulate Chagma Lmech9o9a 🤣
Super Modératrice
quand on scanne le QR code , les infos ils vont ou ? est ce sécurisé ? qui utilise ces infos ?
je pense que c est plus grave que la reconnaissance faciale qui existe depuis longtemps !!
Là où vont les résultats de 23andMe etc
Là où vont les milliards de datas sur les femmes enceintes
Etc
 

nwidiya

Moulate Chagma Lmech9o9a 🤣
Super Modératrice
En pleine « pandémie » c’est prioritaire biensur

les
Complotiss avaient encore raison
Wesh ils travaillent avec madame Irma?

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