Diogene
VIB
2020 : hold up sur la démocratie, j'aurais jamais eu cru qu'on puisse en arriver là.
Pourtant Wikipedia dit qu’on est tous **** (plotis) et qu’on comprends rien à la crise du co vide
Follow along with the video below to see how to install our site as a web app on your home screen.
Note: This feature may not be available in some browsers.
2020 : hold up sur la démocratie, j'aurais jamais eu cru qu'on puisse en arriver là.
Pourtant Wikipedia dit qu’on est tous **** (plotis) et qu’on comprends rien à la crise du co vide
Je suis contre vent deboutInterdite sur la voie publique en France, la reconnaissance faciale en temps réel fait malgré tout son chemin. Plusieurs municipalités testent des dispositifs qui s’en rapprochent, avant sa possible autorisation pour les Jeux olympiques de Paris en 2024.
Technologie de reconnaissance faciale à l'aéroport. Les conditions générales de vente des billets pourraient contenir une clause de consentement. © Getty / izusek![]()
Le nouveau marché de la reconnaissance faciale est évalué à sept milliards d’euros en France. Les Jeux de 2024, dont l’enjeu sécuritaire est très fort, ainsi que la Coupe du monde masculine de rugby en 2023, devraient être les laboratoires de ces technologies. "La filière industrielle française en matière de sécurité est en train de se positionner, analyse Félix Treguer, sociologue et fondateur de La Quadrature du net. Des sociétés comme Atos, Dassault Systèmes, Capgemini, sont en lien avec le ministère de l’Intérieur pour rafler les marchés publics autour des JO de 2024."
Plusieurs expérimentations à grande échelle ont déjà eu lieu ou sont programmées, comme à Nice, Cannes, Marseille... Avec une question centrale, celle du consentement des personnes. Pour le journaliste Olivier Tesquet, c’est par ces différentes expérimentations dans les communes que le terrain se prépare : "Ces municipalités se sont transformées en showrooms sécuritaires, analyse-t-il. À Valenciennes, Huawei offre des caméras de vidéosurveillance à la commune. À Nice et à Marseille, c’est l’américain Cisco qui a approché la région Provence-Alpes-Côte d'Azur pour l'installation de portiques de reconnaissance faciale à l'entrée des lycées. Le problème, c’est qu’il n’y'a pas d'appels d'offres, et les habitants sont assez cruellement sous-informés sur ces questions-là."
Reconnaissance faciale : officiellement interdite, elle se met peu à peu en place
Nice, Metz, Marseille... Toutes ces villes tentent d’expérimenter des dispositifs qui s’apparentent à de la reconnaissance faciale, toujours interdite en France. La Cnil veille au grain, mais n’exclut pas de rendre un avis favorable pour les Jeux olympiques de Paris en 2024.
Suite et source
Reconnaissance faciale : officiellement interdite, elle se met peu à peu en place
Nice, Metz, Marseille... Toutes ces villes tentent d’expérimenter des dispositifs qui s’apparentent à de la reconnaissance faciale, toujours interdite en France. La Cnil veille au grain, mais n’exclut pas de rendre un avis favorable pour les Jeux olympiques de Paris en 2024.www.franceinter.fr
Bah tu m’étonnes Transavia a destination au maroc’Aéroport d’Orly - La reconnaissance faciale testée à l’embarquement
Un dispositif de reconnaissance faciale à l’embarquement a été mis en place à l’aéroport d’Orly. Les caméras sont testées depuis le 18 mars.
Depuis le 18 mars dernier, l’aéroport d’Orly teste un nouveau dispositif de reconnaissance faciale, rapporte Le Parisien . Les caméras sont placées dans la zone d’embarquement. Selon les informations du quotidien francilien, ce dispositif sera utilisé pour l’ouverture des portes et les contrôles.
Les voyageurs doivent s’enregistrer devant une borne en montrant son visage sans masque. Puis, il faut ensuite enregistrer sa pièce d’identité ainsi que son billet d’avion. Les voyageurs auront juste à « scanner [leur] étiquette-bagage, poser [leur] valise sur le tapis et c’est tout », assure ADP au Parisien.
Testée sur une seule compagnie pour le moment
Pour l’heure, seule la compagnie Transavia, pour ses vols à destination du Maroc, se sert de cette technologie à l’intérieur de l’aéroport situé dans le Val-de-Marne.
Le projet devait pour autant voir le jour dès 2020. L’ Express assurait que la biométrie devait être expérimentée dès le début de l’année 2020, toutefois la pandémie de Covid-19 a ralenti la mise en place de l’expérimentation, confirme Le Parisien.
Selon le quotidien francilien, la reconnaissance faciale sera expérimentée pour des vols de la compagnie Air Caraïbes pour des vols vers les départements et territoires d’Outre-Mer.
Interdite sur la voie publique en France, la reconnaissance faciale en temps réel fait malgré tout son chemin. Plusieurs municipalités testent des dispositifs qui s’en rapprochent, avant sa possible autorisation pour les Jeux olympiques de Paris en 2024.
Technologie de reconnaissance faciale à l'aéroport. Les conditions générales de vente des billets pourraient contenir une clause de consentement. © Getty / izusek![]()
Le nouveau marché de la reconnaissance faciale est évalué à sept milliards d’euros en France. Les Jeux de 2024, dont l’enjeu sécuritaire est très fort, ainsi que la Coupe du monde masculine de rugby en 2023, devraient être les laboratoires de ces technologies. "La filière industrielle française en matière de sécurité est en train de se positionner, analyse Félix Treguer, sociologue et fondateur de La Quadrature du net. Des sociétés comme Atos, Dassault Systèmes, Capgemini, sont en lien avec le ministère de l’Intérieur pour rafler les marchés publics autour des JO de 2024."
Plusieurs expérimentations à grande échelle ont déjà eu lieu ou sont programmées, comme à Nice, Cannes, Marseille... Avec une question centrale, celle du consentement des personnes. Pour le journaliste Olivier Tesquet, c’est par ces différentes expérimentations dans les communes que le terrain se prépare : "Ces municipalités se sont transformées en showrooms sécuritaires, analyse-t-il. À Valenciennes, Huawei offre des caméras de vidéosurveillance à la commune. À Nice et à Marseille, c’est l’américain Cisco qui a approché la région Provence-Alpes-Côte d'Azur pour l'installation de portiques de reconnaissance faciale à l'entrée des lycées. Le problème, c’est qu’il n’y'a pas d'appels d'offres, et les habitants sont assez cruellement sous-informés sur ces questions-là."
Reconnaissance faciale : officiellement interdite, elle se met peu à peu en place
Nice, Metz, Marseille... Toutes ces villes tentent d’expérimenter des dispositifs qui s’apparentent à de la reconnaissance faciale, toujours interdite en France. La Cnil veille au grain, mais n’exclut pas de rendre un avis favorable pour les Jeux olympiques de Paris en 2024.
Suite et source
Reconnaissance faciale : officiellement interdite, elle se met peu à peu en place
Nice, Metz, Marseille... Toutes ces villes tentent d’expérimenter des dispositifs qui s’apparentent à de la reconnaissance faciale, toujours interdite en France. La Cnil veille au grain, mais n’exclut pas de rendre un avis favorable pour les Jeux olympiques de Paris en 2024.www.franceinter.fr
Interdite sur la voie publique en France, la reconnaissance faciale en temps réel fait malgré tout son chemin. Plusieurs municipalités testent des dispositifs qui s’en rapprochent, avant sa possible autorisation pour les Jeux olympiques de Paris en 2024.
Technologie de reconnaissance faciale à l'aéroport. Les conditions générales de vente des billets pourraient contenir une clause de consentement. © Getty / izusek![]()
Le nouveau marché de la reconnaissance faciale est évalué à sept milliards d’euros en France. Les Jeux de 2024, dont l’enjeu sécuritaire est très fort, ainsi que la Coupe du monde masculine de rugby en 2023, devraient être les laboratoires de ces technologies. "La filière industrielle française en matière de sécurité est en train de se positionner, analyse Félix Treguer, sociologue et fondateur de La Quadrature du net. Des sociétés comme Atos, Dassault Systèmes, Capgemini, sont en lien avec le ministère de l’Intérieur pour rafler les marchés publics autour des JO de 2024."
Plusieurs expérimentations à grande échelle ont déjà eu lieu ou sont programmées, comme à Nice, Cannes, Marseille... Avec une question centrale, celle du consentement des personnes. Pour le journaliste Olivier Tesquet, c’est par ces différentes expérimentations dans les communes que le terrain se prépare : "Ces municipalités se sont transformées en showrooms sécuritaires, analyse-t-il. À Valenciennes, Huawei offre des caméras de vidéosurveillance à la commune. À Nice et à Marseille, c’est l’américain Cisco qui a approché la région Provence-Alpes-Côte d'Azur pour l'installation de portiques de reconnaissance faciale à l'entrée des lycées. Le problème, c’est qu’il n’y'a pas d'appels d'offres, et les habitants sont assez cruellement sous-informés sur ces questions-là."
Reconnaissance faciale : officiellement interdite, elle se met peu à peu en place
Nice, Metz, Marseille... Toutes ces villes tentent d’expérimenter des dispositifs qui s’apparentent à de la reconnaissance faciale, toujours interdite en France. La Cnil veille au grain, mais n’exclut pas de rendre un avis favorable pour les Jeux olympiques de Paris en 2024.
Suite et source
Reconnaissance faciale : officiellement interdite, elle se met peu à peu en place
Nice, Metz, Marseille... Toutes ces villes tentent d’expérimenter des dispositifs qui s’apparentent à de la reconnaissance faciale, toujours interdite en France. La Cnil veille au grain, mais n’exclut pas de rendre un avis favorable pour les Jeux olympiques de Paris en 2024.www.franceinter.fr
Ce n’est pourtant pas une centrale nucléaire, leur magasin, ils abusent. C’est en Chine le magasin ? Je pose la question, parce que ce n’est pas écrit en Chinois.
Ils ont que 19 millions ds le fichier alors qu'ils sont 60 millions de personnes en France . Ils sont encore loin du compte.« ÇA DONNE L’IMPRESSION QUE LA RECONNAISSANCE FACIALE DEVIENT LA PROCÉDURE STANDARD POUR UN CONTRÔLE D’IDENTITÉ »
Dans tous les commissariats de France, on utilise la reconnaissance faciale
Près de 400.000 fois par an, la police utilise la reconnaissance faciale via un fichier qui recense 19 millions de personnes. Le système est à la frontière de la légalité et provoque son lot d’inquiétudes. StreetPress fait le point.
« Cela fait plusieurs fois que des personnes nous disent qu’elles se sont fait photographier en manifestation, dans des ZAD ou des squats », annonce avec inquiétude la Quadrature du Net. Dernier exemple en date pour l’association de défense des libertés en ligne : l’expulsion du squat le Marbré, le 27 février dernier à Montreuil (93). Lors de l’intervention policière – due « au non-respect des consignes sanitaires » suite à l’organisation d’une cantine solidaire au sein du lieu alternatif –, les fonctionnaires ont utilisé la reconnaissance faciale, selon un texte de soutien publié sur le média alternatif et collaboratif Indymedia Nantes :
« Certaines personnes ont été identifiées après avoir refusé de décliner leur identité. Les keufs les ont photographiés et comparés leurs photos via un système de reconnaissance faciale. »
Suite et source :
![]()
Dans tous les commissariats de France, on utilise la reconnaissance faciale
Retrouvez sur StreetPress nos enquêtes & infos, sur Paris et en banlieue. Et découvrez chaque jour les lieux et les gens qui font l’actu urbaine en Île-de-France.www.streetpress.com
Ils ont que 19 millions ds le fichier alors qu'ils sont 60 millions de personnes en France . Ils sont encore loin du compte.
Normal vu qu ils naîtront depuis les utérus artificielsT'inquiète bientôt y'aura même les enfants à naître.
Oui je sais . Mais y a un sursis.T'inquiète bientôt y'aura même les enfants à naître.
C'est pour ça que les gays ont droit à l'adoption ?Bientôt on va nous balance : « parce que la stérilité est un droit! »
Est ce vrai qu en Russie ils ne paient plus que par reconnaissance faciale ?disparition des cartes bleues?
Interdite sur la voie publique en France, la reconnaissance faciale en temps réel fait malgré tout son chemin. Plusieurs municipalités testent des dispositifs qui s’en rapprochent, avant sa possible autorisation pour les Jeux olympiques de Paris en 2024.
Technologie de reconnaissance faciale à l'aéroport. Les conditions générales de vente des billets pourraient contenir une clause de consentement. © Getty / izusek![]()
Le nouveau marché de la reconnaissance faciale est évalué à sept milliards d’euros en France. Les Jeux de 2024, dont l’enjeu sécuritaire est très fort, ainsi que la Coupe du monde masculine de rugby en 2023, devraient être les laboratoires de ces technologies. "La filière industrielle française en matière de sécurité est en train de se positionner, analyse Félix Treguer, sociologue et fondateur de La Quadrature du net. Des sociétés comme Atos, Dassault Systèmes, Capgemini, sont en lien avec le ministère de l’Intérieur pour rafler les marchés publics autour des JO de 2024."
Plusieurs expérimentations à grande échelle ont déjà eu lieu ou sont programmées, comme à Nice, Cannes, Marseille... Avec une question centrale, celle du consentement des personnes. Pour le journaliste Olivier Tesquet, c’est par ces différentes expérimentations dans les communes que le terrain se prépare : "Ces municipalités se sont transformées en showrooms sécuritaires, analyse-t-il. À Valenciennes, Huawei offre des caméras de vidéosurveillance à la commune. À Nice et à Marseille, c’est l’américain Cisco qui a approché la région Provence-Alpes-Côte d'Azur pour l'installation de portiques de reconnaissance faciale à l'entrée des lycées. Le problème, c’est qu’il n’y'a pas d'appels d'offres, et les habitants sont assez cruellement sous-informés sur ces questions-là."
Reconnaissance faciale : officiellement interdite, elle se met peu à peu en place
Nice, Metz, Marseille... Toutes ces villes tentent d’expérimenter des dispositifs qui s’apparentent à de la reconnaissance faciale, toujours interdite en France. La Cnil veille au grain, mais n’exclut pas de rendre un avis favorable pour les Jeux olympiques de Paris en 2024.
Suite et source
Reconnaissance faciale : officiellement interdite, elle se met peu à peu en place
Nice, Metz, Marseille... Toutes ces villes tentent d’expérimenter des dispositifs qui s’apparentent à de la reconnaissance faciale, toujours interdite en France. La Cnil veille au grain, mais n’exclut pas de rendre un avis favorable pour les Jeux olympiques de Paris en 2024.www.franceinter.fr
Les Complotistes avaient encore raison ...
Là où vont les résultats de 23andMe etcquand on scanne le QR code , les infos ils vont ou ? est ce sécurisé ? qui utilise ces infos ?
je pense que c est plus grave que la reconnaissance faciale qui existe depuis longtemps !!