Je pensais plus au schéma qui part du
néant pour arriver à l'homme préhistorique

Il y aurai aussi des choses à analyser concernant l'évolution des hommes préhistoriques en elle même.
Le néant, le vide, pas vide qui fluctue ...
Passer du néant, du vide au plein, de quoi remettre en question une causalité qui perd tout son sens, même pour les tenants de la théorie de la génération spontanée en revenant aux détracteurs de Pasteur.
Un énorme maillon manquant ? Des interrogations sans réponses au delà du mur de Planck ? Des clashs entre les tenant des big-crush et des big-bang ? Problème de l'adhérence des modèles et des représentations, dont l'évolutionnisme, à l'Univers tangible ?
Pourtant pour arriver à la poule, il faut un œuf, et pour arriver à un œuf, il faut des cellules, lesquelles nécessitent de la matière qui a son tour requiert de l'énergie, une énergie du vide pas vide ?
Comment tisser une relation entre un supposé néant originel, celui de la table rase et le plein ?
Pourquoi supposer nécessairement un néant originel ?
Avec le problème de l’œuf et de la poule, le raisonnement par itération récurrente "causaliste" bute sur un mur : à l'origine, il n'y a ni poule, ni œuf, mais une cellule qui subit des mutations telles ces autres transformant du graphite en diamant.
Les raisonnements par induction, par extension, par prolongement intuitif, par continuité ou connexité, par analogie ne fonctionnent pas, tels seuls prônant les théories de la monogénèse ou encore de polygénèse déclinant l'humanité en races pourtant interfécondes.
Comment comprendre l'évolution : linéaire, avec des régressions du nombre de chromosomes suivies d'augmentations, au gré d'un hasard (pas hasardeux vu les pré-requis) et une nécessité, à partir d'un néant ?
Une évolution subrogée à les lois universelles physiques, chimiques, produit de "petites" variations "viables" qui au bout du compte font la diversité naturelle minérale, végétale et animale ?