Cet article paru dans la presse scientifique, qui a fait peu de bruit, alors que la révélation ici est extraordinaire :
la génomique est combinatoire, à savoir qu'elle n'est pas additionnelle, d'autant qu'elle ne démultiplie pas les génes non plus : il s'agit d'autre chose !
... Toute oeuvre de la Nature est un SYSTEME IMBRIQUE aun plan de son programme génétique, et qui ne peut donc se passer du moindre élément qui le constitue.........
COMBINATOIRE : une révolution en génétique... Et qui met bien à plat les thèses ineptes et honteuses vis à vis de la vérité, c'est à dire de la science, et allant contre les Sacro-Saints Evolutionnistes très officiels: autant incapables qu'incapacitants dans la gestion du Réel, autant que de gérer la découverte de Notre Origine, qui n'a aucun rapport d'aucune sorte avec ce que j'appelle le HASARDOÏSME DIVINISE, et qui n'est qu'un dieu surnaturel supplémentaire, tout aussi malfaisant que les autres.
Ce qui suit dmande de s'y connaitre en géntique moléculaire ; ce qui suit est iuen donnée expérimentale de génétique moléculaire (appliquée à des embryons), et confirme la signification du caractère combinatoire du génöme humain : la conclusion que devrait tirer les évolutionniste est AU MINIMUM que l'expression génomique est UN VRAI PATAQUES TOTALEMENT complexe, invalidant fortement l'évolutionnnisme, théorie fofole, se justifiant seulement par des attitude sociales, comme celles d'une laïcité généreuse...
http://www.acfas.ca/congres/congres67/S162.HTM
Les gènes à boîte homéo jouent un rôle important au cours du développement des organismes multicellulaires. Cette classe de gènes code pour des homéoprotéines qui agissent comme facteur de transcription en se liant à l'ADN. En régulant l'expression de gènes-cibles, ils donnent aux cellules une identité fonctionnelle et positionnelle. Les gènes à boîtes homéo sont regroupés en familles selon la séquence de leur homéodomaine. Les membres de la famille Dlx sont impliqués dans le développement des oreilles, du cerveau, des arcs viscéraux et des membres autant chez les vertébrés inférieurs que chez les vertébrés supérieurs. Chez les vertébrés supérieurs, comme la souris, il existe six membres de la famille dlx alors que chez les vertébrés inférieurs, comme le poisson zèbre, huit gènes dlx ont été découverts. Il a été démontré autant chez les vertébrés inférieurs que supérieurs que l'expression de ces gènes est combinatoire, c'est-à-dire, que plus d'un gène dlx sont exprimés dans la même région de l'embryon durant le développement. Par exemple, dans le cerveau, les gènes dlx1, dlx2, dlx4, dlx5 et dlx6 sont exprimés. Les conséquences fonctionnelles de la co-expression de plusieurs gènes dlx dans la même cellule sont encore incomprises. Le but de ce projet est de mieux comprendre les fonctions spécifiques de chacun des gènes dlx. Pour ce faire, deux méthodes expérimentales sont utilisées: des expériences de co-transfection oû les domaines d'activation de dlx1, dlx2 et dlx4 sont identifiés et la microinjection d'ARNm dans des embryons de poissons. Les résultats des co-transfections suggèrent que le domaine d'activation des dlx est situé dans la partie N-terminale de la protéine et que les Dlx étudiés démontrent des niveaux d'activation différents. De plus, nous avons étudié in vivo cette famille de gènes en surexprimant des ARNm codant des versions tronquées de dlx2 et dlx3 ainsi qu'un chimère composé de la partie N-terminale de dlx3 et de la partie C-terminale de dlx2 dans des embryons de danio rerio et avons mesuré l'expression de dlx4 à des stades ultérieurs du développement. Nous avons observé une altération de l'expression endogène de dlx4 lorsque la forme tronquée de dlx2 et le chimère entre dlx3-dlx2 étaient surexprimés dans les embryons. De plus, ces diminutions d'expression de dlx4 sont accompagnées de malformations des structures craniofaciales. Ces résultats suggèrent des mécanismes de régulation croisées entre les différents gènes dlx et que la co-expression de plusieurs gènes dlx peut être essentielle au développement.