Il n’a rien à considérer sur les raisons des votes qui ne sont détenus que par les électeurs. Ce qui lui donne sa légitimité, c’est la loi et le résultat des dépouillements. Chirac en 2002, ça ne faisait aucun doute que c’était contre Le Pen (d’ailleurs je n’ai pas voté à ces élections, j’avais d’autres problèmes qui préoccupaient
), il a quand même été autant autoritaire qu’à son précédent mandat (pas voté non‑plus). L’élection de Sarkozy en 2007 avait produit des heurs dès le lendemain, ça ne l’a pas empêché de se prendre pour Napoléon. Les pouvoirs sont donnés par la loi, Macron n’a pas eu besoin d’invoquer les raisons du vote. Je continue à croire quand‑même que ça aurait été pire avec Le Pen ou Mélenchon (euphorie passagère pour certain‑e‑s ou pas).
Tu as d’une manière ou d’une autre, probablement trop pris l’habitude d’être traitée comme une princesse : je ne fais pas partie de ta cour. Comme je disais :
Il n’a rien à considérer sur les raisons des votes qui ne sont détenus que par les électeurs. Ce qui lui donne sa légitimité, c’est la loi et le résultat des dépouillements. Chirac en 2002, ça ne faisait aucun doute que c’était contre Le Pen (d’ailleurs je n’ai pas voté à ces élections, j’avais d’autres problèmes qui préoccupaient
Je ne sais pas si j’ai suivi, je ne suis pas beaucoup les actualités. C’est quelle petite histoire ?
(citation bis)
Tout à fait , c'est du n'importe quoi ...mais, il fallait trouver vite quelques centaines de millions pour rentrer dans les 3 % débiles et arbitraires
On ne peut jamais toucher à une corporation, c’est vrai, mais parle‑t‑on d’une corporation là ?la députée LREM
Si Macron veut mettre fin au corporatisme et que tout le monde y participe comme elle dit, qu’il mette en place un droit universel, ce qui était le programme de NKM : revenu de base universel, flat tax, simplification du droit (surtout économique). Cette décision ne met pas fin à l’opposition entre classes sociales, elle l’aggrave.
Je crois que les loyers atteignent des sommet du fait des ApL
La spéculation immobilière crapuleuse a début au début des années 1980 au profit d'ordures de lâches.
Ou quand on a pas les moyens de l’entretenir comme on voudrait …
C’est la même que là : La candidate en marche qui voulait accélérer en voyant un «barbu en djellaba» au feu rouge.la députée LREM
Il fait surtout des réformes qui vont plaire à certain(e)s, mais ne pas être supportables par d’autres, c’est à dire qu’il fait des réformes sans prévoir les conditions de leur viabilité. C’est en résumé ce que je disais ici : Les réformes qui viennent — message № 5. Par exemple en remettant les négociations sociales entre les mains des patrons et des salariés, sans ce soucier de permettre la même marge de liberté aux deux : les patrons sont bien plus libres que les salariés, les patrons choisissent leurs employés, les employés ne choisissent par leur patron. C’est du vent de parler de négociations dans ces conditions.
Les « pauvres victimes » peuvent échanger leur place avec les « privilégiés qui profitent ». C’est pas bon pour la santé de trop se sacrifier pour rien, faut que les « privilégiés » soient des « pauvres victimes » un peu aussi, pour partager et alléger le « fardeau »
.La perte pour l'état est de combien pour la TA ?
À mon avis, c'est pas encore fait. On en reparle dans 4-5 ans juste avant la prochaine élection^^
Il a renvoyé ça en fin de mandat effectivement...tout comme la refonte du RSI, un "vol" caractérisé.
Qu’est‑ce qu’il a renvoyé en promesses de tenir les promesses non‑tenues au second mandat (il rêve) encore à part ça ?
