Macron au Maroc fin Octobre ?

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion montana93
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@mielle
au sujet de l'article de l'hespress
Je pense que c'est un gros fake - alla8 u 3lam
Les tournures de phrase sont grotesques
Soit c un fake poussé par le pouvoir pour faire réagir de l'autre côté de la méditerranée
Soit le journaliste s'est fait entubé comme il faut par son informateur
Honnêtement aucune idée, mais il y donne des références de dossier et nom donc ! et les pressions suggéré sont bien concrètes on les a vu arrivé.

Rien ne m'étonnerait nos services sont connus pour leurs informations et qu'ils arrivent à se procurer ce type d'infos n'aurait rien d'improbable et quand on sort ce type d'article vrai faux mélange des deux par extrapolation c'est toujours pour envoyer un message .
 
Suite
Et la ou le DGSE de recommander à monsieur le Président, de mettre encore plus de pression, car le fait d’avoir réduit le nombre de visas accordés aux Marocains n’a pas donné les résultats escomptés, « C’est pourquoi nous vous demandons d’accepter la deuxième ligne, qui consiste en un ensemble de mesures destinées à faire pression sur Rabat afin de rester au premier plan et préserver les intérêts de la République française, qui sont, les symboles du Royaume.
– Exposer les comptes bancaires et les projets de nombreux responsables, ce qui permettra de créer une pression populaire sur l’autorité.
– Publier des vidéos scandaleuses de certaines personnalités influentes de la société marocaine sur le sol de notre pays, qui ont été enregistrées par nos appareils.

– Donner le feu vert à la justice pour suivre de nombreux responsables marocains
– Perturber l’avancement des projets marocains en Afrique.
– Travailler pour ne pas changer beaucoup de grands pays, notamment européens, dans leurs positions vis-à-vis du dossier du Sahara Occidental.
– Publication de rapports noirs sur les droits de l’homme et l’aspect humanitaire au Maroc dans les grands journaux internationaux.
Bizarrement, il y a pour conclure ce clin d’œil, probablement inséré par une taupe algérienne influente au sein de la DGSE “En Algérie, on nous demande une réconciliation historique en échange du recouvrement de notre influence économique et politique, et cela ne peut être ignoré, car nous ne pouvons pas gâcher cette occasion historique”.

*DGSE (depuis juin 2017), Ambassadeur en Algérie (sept 2014-juin 2017), ancien ambassadeur de France au Royaume-Uni

Rien ne m'étonnerait nos services sont connus pour leurs informations et qu'ils arrivent à se procurer ce type d'infos n'aurait rien d'improbable et quand on sort ce type d'article vrai faux mélange des deux par extrapolation c'est toujours pour envoyer un message .
Moi je leur répondrais, et alors !
Si cette France coloniale raciste et islamophobe cherche à mettre à genoux le Maroc, alors c'est l'occasion pour vous d’être unifiés derrière votre roi et ne jamais jouer le jeu de ces info qui pourraient être divulguées, peu importe leur teneur ou leur gravité d'un point de vue morale.
 
Moi je leur répondrais, et alors !
Si cette France coloniale raciste et islamophobe cherche à mettre à genoux le Maroc, alors c'est l'occasion pour vous d’être unifiés derrière votre roi et ne jamais jouer le jeu de ces info qui pourraient être divulguées, peu importe leur teneur ou leur gravité d'un point de vue morale.

Kon lkhoukh idawi kon dawa rasso 🤣🤣
Mais merci du conseil
chkina 3lik ..??
On rapporte juste les infos
 

"Plutôt que l'Algérie, le Maroc est le seul allié crédible de la France au Maghreb"​


« Entre une Algérie au gouvernement anti-français et le Maroc qui n'attend qu'un signal de notre part au Sahara pour que la France puisse de nouveau rayonner en Afrique, il n'y a plus à hésiter », estime Hadrien Desuin, ancien élève de l'ESM (Ecole spéciale militaire) Saint-Cyr, et auteur de « La France atlantiste » (Cerf).


Après un retrait en bon ordre du Mali et le redéploiement de la mission Barkhane au Sahel, la diplomatie française a plus que jamais besoin de ses partenaires du Maghreb pour aplanir les tensions en Afrique et lutter efficacement contre le djihadisme international. Hélas, la dernière visite présidentielle en Algérie a fait prendre conscience que les plaies de l'Histoire n'étaient pas encore refermées.

Contre un peu de gaz, la France doit battre sa coulpe et livrer des milliers de visas. Sans doute l'Algérie pense-t-elle profiter du retrait français du Mali et de la crise énergétique en Europe pour retrouver de l'influence à Bamako et à Paris. Comme le rappelait dans son dernier ouvrage, Xavier Driencourt, notre ancien ambassadeur à Alger, les généraux algériens sont parvenus à étouffer le Hirak après la chute du clan Bouteflika. La rente mémorielle et la clientèle de la junte au pouvoir depuis la fin de la guerre d'Algérie vont pouvoir se perpétuer.

 

CONTEXTE MAGHRÉBIN EXPLOSIF

La situation n'est pas beaucoup plus brillante à l'est d'Alger. En Tunisie, pays sans influence réelle en Afrique subsaharienne, le raidissement de la présidence de Kaïs Saïed est peu propice à un rapprochement politique avec la France. Quant à la Libye, elle est toujours plongée dans la guerre civile et la question de sa partition va finir par se poser à court terme. C'est dans ce contexte maghrébin explosif que se profile pour octobre la prochaine visite officielle d'Emmanuel Macron au Maroc.

Le Maroc, qui subit également un voisinage très difficile avec l'Algérie, peine à comprendre les effusions d'amour-haine échangés entre Paris et Alger. Soixante ans après les indépendances, les efforts de la France et du Maroc pour développer leur voisinage avec l'Algérie sont restés stériles. Pourquoi s'entêter dans une réconciliation impossible ? Les enjeux sécuritaires en Afrique de l'Ouest sont pressants et nécessitent une riposte rapide. Pour contourner le verrou algérien, le Maroc offre une alternative si la France voulait bien reconnaître son rôle historique au Sahara.

Les récentes reconnaissances de la marocanité du Sahara-occidental par les États-Unis ou Israël ont montré que la France pouvait perdre le Maroc sans gagner l'Algérie si elle persistait dans une position ambivalente sur ce sujet. Récemment, l'Espagne et l'Allemagne se sont montrés favorables à la proposition marocaine pour l'autonomie du Sahara-occidental. Le 20 août dernier, le roi marocain Mohammed VI en a fait l'axe principal de sa diplomatie. « Le dossier du Sahara est le prisme à travers lequel le Maroc considère son environnement international », a-t-il déclaré. La France aurait tout intérêt à relancer ses efforts en faveur de l'autonomie des provinces du sud-marocain si elle voulait s'appuyer sur Rabat pour redéployer son influence en Afrique de l'ouest. Certains de nos partenaires, dont les États-Unis, ont déjà installé des consulats à Dakhla ou à Laayoune. Leurs gouvernements y travaillent au développement de leurs entreprises. Or nos échanges économiques franco-marocains surpassent nettement ceux qui nous lient à l’Algérie en dépit de notre dépendance gazière.

LUTTE CONTRE L'ISLAMISME RADICAL

Dans cette région riveraine de l'Atlantique, potentielle passerelle stratégique entre le nord et le sud de l'Afrique de l'Ouest, Paris entretient d'excellents rapports avec la Mauritanie, traditionnellement neutre sur la question du Sahara-occidental. La France pourrait la convaincre de profiter d'un accord frontalier avec le Maroc. La place de la France au conseil de sécurité de l'ONU est un atout dans le cadre de la MINURSO, la mission des Nations Unies chargée depuis 1991 de faciliter un référendum sur la question.

La reconnaissance de la marocanité du Sahara-occidental aurait également pour avantage de faciliter les relations franco-marocaines dans le domaine de la lutte contre le djihadisme. L’immigration subsaharienne qui frappe à la porte d’entrée espagnole pourrait profiter du statu quo. Le royaume chérifien est pourtant un allié solide dans la lutte contre l'islamisme radical. En 2021, les islamistes du PJD [Parti de la justice et du développement] qui dirigeaient le gouvernement depuis dix ans ont reculé aux élections générales.

Entre une Algérie dont la junte persiste à forger son identité nationale dans la détestation de son ancienne métropole et le Maroc qui n'attend qu'un signal de notre part au Sahara pour que la France puisse de nouveau rayonner en Afrique, il n'y a plus à hésiter. Le Maroc est notre seul allié crédible au Maghreb


Par Hadrien Desuin
 
Je partage un autre article
La presse française a quand même bien conscience du rafraîchissement des relations entre les 2 pays.

«Ne sacrifions pas Rabat pour Alger»​




Auteur
Laurent Gayard est enseignant et chroniqueur à la Revue des Deux Mondes, à la Revue Phébé, au Magazine Causeur et à la Revue Conflits. Il a publié Géopolitique du Darknet. Nouvelles frontières et nouveaux usages du numérique (éd. ISTE, 2018).

Le voyage d'Emmanuel Macron en Algérie du 25 au 27 août dernier a été investi – voire surinvesti – d'une importance particulière par l’Élysée et une partie des médias français. Depuis le début de son premier mandat, Emmanuel Macron a fait de la réconciliation franco-algérienne une affaire personnelle. Mais ce faisant et pour beaucoup d'observateurs, le président français s'est laissé enfermer dans le piège mémoriel et dans la rhétorique du ressentiment, devenu l'axe essentiel de la politique étrangère algérienne quand elle touche à la France. Au point de dangereusement négliger d'autres possibles, et plus fructueuses, alliances dans la région.

Le processus de réconciliation mémorielle a peu de chances d'aboutir tant que les militaires conserveront une telle influence politique en Algérie et il n'est aucunement dans l'intérêt de l'armée ou du gouvernement algérien de faire aboutir ce processus. Dans un contexte de crise énergétique, causé par les déficiences du parc nucléaire français et par la guerre en Ukraine, l'exécutif français s'imagine, avec beaucoup de naïveté, pouvoir entrer à nouveau dans le jeu du chantage mémoriel, dans l'espoir que le gaz naturel en provenance d'Alger puisse en partie remplacer celui de Moscou. Et avec plus de naïveté encore, la France s'évertue à promouvoir un très illusoire partenariat stratégique et sécuritaire avec l'Algérie, qui partage respectivement 1329 et 951 kilomètres de frontières avec le Mali et le Niger, où la France possède des intérêts vitaux dans le domaine de l'extraction de l'uranium et où Paris entend aussi continuer à lutter contre la propagation du djihadisme, en dépit de la brouille récente avec le Mali. Ce calcul est compréhensible mais il démontre aussi la persistance d'une réflexion stratégique encore prisonnière de schémas postcoloniaux obsolètes, ceux-là même qu'Alger persiste à exploiter pour profiter au mieux de la double rente énergétique et mémorielle. Si les nécessités énergétiques et sécuritaires condamnent la France à ne pas négliger Alger, rien ne la force pour autant à dédaigner, au nom de sa politique algérienne, les autres alliances possibles dans la région, et en particulier celle avec le Maroc.
 
La relance du dialogue franco-algérien peut répondre à une urgence, celle du gaz, mais il n'est pas sûr qu'elle puisse s'inscrire dans une problématique sécuritaire et stratégique de long terme. La république algérienne n'a cessé, en effet, de renforcer les liens déjà anciens entretenus avec Moscou, et la visite du ministre russe des Affaires étrangères Sergueï Lavrov, le 10 mai dernier, a précédé celle d'Emmanuel Macron en août. Le partenariat stratégique avec la Russie, qui reste le premier fournisseur d'armes d'Alger, a été amplement renouvelé, avec, notamment, l'organisation d'exercices militaires conjoints dans le Sahara en novembre dans le cadre… de la lutte antiterroriste. Avec l'arrivée des mercenaires de l'agence Wagner au Mali voisin, que les troupes françaises ont quitté, à la demande de la nouvelle junte militaire au pouvoir, il n'est rien de dire qu'en dépit des belles promesses échangées entre Emmanuel Macron et Abdelmajid Tebboune, la position française est totalement à la merci d'un revirement algérien. Les échecs militaires en Ukraine pourraient d'ailleurs pousser la Russie à renforcer plus encore sa présence en Afrique et sa coopération avec l'Algérie, au détriment des Français.

Contrairement à l'Algérie, extrêmement ambivalente, le Maroc est un allié historique de l'Occident, et l'expression n'est pas vaine si l'on considère que le royaume chérifien, dont la création remonte à 789 ap. J.C., avec la fondation de la ville de Fès, qui devient capitale du nouveau royaume en 791, a été le premier état à reconnaître l'indépendance des États-Unis d'Amérique en 1777. La «relation spéciale» entretenue entre les États-Unis et le Maroc est, de fait, presque aussi ancienne que celle entretenue entre le Royaume-Uni lui-même et ses anciennes colonies. Ce fait historique, associé à la réalité géographique, fait à l'évidence du Maroc un pont entre l'Afrique, l'Europe et l'espace transatlantique. Avec 3500 kilomètres de côtes, le Maroc est le seul pays d'Afrique à disposer à la fois d'une façade atlantique et méditerranéenne, et la politique de Mohamed VI, roi du Maroc, monté sur le trône en 1999, est résolument tournée vers la consolidation de l'influence marocaine en Afrique, mais aussi des liens avec les diverses puissances européennes et américaines.

Certaines de ces puissances l'ont bien compris et en premier lieu, l'Espagne. Les deux pays entretiennent une frontière terrestre commune, grâce aux enclaves de Ceuta et Melila sur la côte marocaine, mais aussi une frontière maritime commune puisque les côtes marocaines ne sont situées qu'à quatorze kilomètres du point le plus proche sur la côte espagnole et de l'ilot du Persil. En 2002, la tentative d'annexion de l'îlot par le Maroc avait généré une crise diplomatique de grande ampleur entre les deux pays mais les choses ont bien changé depuis. Le 20 mars dernier, l'ambassadrice du Maroc en Espagne, Karima Benyaich, déclarait que son pays appréciait le soutien de l'Espagne à la proposition marocaine d'autonomie du Sahara «dans sa juste valeur», et a souligné que désormais une «nouvelle étape» s'ouvrait en ce qui concerne les relations entre les deux pays. Les relations entre les deux nations se sont en effet améliorées au point de pouvoir évoquer une véritable lune de miel diplomatique entre Madrid et Rabat.
 
L'Allemagne, autre puissance européenne qui entretient une relation historique avec le Maroc, semble elle aussi décidée à miser sur ce pays-pivot de 446 000 kilomètres carrés et 37 millions d'habitants. Pendant qu'Emmanuel Macron était à Alger, le Maroc recevait, au même moment, les 27 et 28 août, la ministre des Affaires Étrangères allemande à Rabat. «Il n'y a pas d'amitié permanente, ni d'hostilité permanente, seulement des intérêts permanents», soulignait, à l'occasion de la visite de la ministre Annalena Baerbock, l'éditorialiste du journal Al AkhbarRachid Niny, dans l'édition des 27 et 28 août. «Car les relations de notre pays avec les alliés traditionnels ne sont pas une tétine éternelle que l'on peut sucer indéfiniment», poursuit l'éditorialiste, dans une allusion à peine voilée à la relation d'interdépendance savamment entretenue par Alger à l'égard de Paris.

Car le Maroc a toutes les raisons de se désoler que Paris, au contraire de Madrid, Berlin, ou même Washington, tende à sérieusement négliger les relations franco-marocaines au profit de la problématique «amitié» franco-algérienne. En décembre 2021, Rabat avait ainsi protesté face à la décision française de diviser par deux le nombre de visas attribués aux ressortissants de l'Algérie, de la Tunisie et du Maroc, traité de la même manière que son grand voisin maghrébin. La décision de Paris était une mesure de rétorsion face aux difficultés faites pour rapatrier les ressortissants maghrébins faisant l'objet d'une procédure d'expulsion sur le sol français. Mais «le Maroc n'a jamais refusé de rapatrier des clandestins, estime Chakib Benmoussa, ambassadeur du Maroc en France, mais la police française lui envoie souvent des personnes algériennes ou tunisiennes dont il ne peut pas s'occuper.» Il faudrait donc considérer la décision récente des autorités marocaines de suspendre le laissez-passer consulaire de l'imam Hassan Iquioussen, après que le Conseil d’État a décidé de son expulsion, comme une façon de protester contre une décision prise unilatéralement, et sans consulter les autorités marocaines. De manière générale, le Maroc se sent délaissé et peu soutenu par la France, partenaire trop ambivalent, en particulier en ce qui concerne les dossiers brûlants de la gestion des flux migratoires et du Sahara, au cœur des tensions algéro-marocaines, une ambivalence française qui profite plutôt à son rival algérien et dont Rabat souhaiterait moins pâtir, en particulier dans l'optique du sommet arabe à Alger qui aura lieu les 1er et 2 novembre et auquel Mohamed VI a annoncé qu'il devrait malgré tout participer.

Les relations entre la France et le Maroc ont certes connu des hauts et des bas, et l'on se rappellera le refroidissement des relations entre les deux pays au début du mandat de François Hollande. Pour autant, Rabat a beaucoup d'atouts à faire valoir, dont d'autres puissances que la France ont plus nettement conscience: sa stabilité politique, la diversification et le dynamisme d'une économie où le secteur tertiaire joue déjà un grand rôle, ainsi que la reconnaissance diplomatique dont jouit le royaume. À force de vouloir trop miser sur l'Algérie, la France court le risque de privilégier les alliances de circonstance au détriment de sa crédibilité dans la région. Il importe donc qu'Emmanuel Macron, dans sa course à la réconciliation mémorielle et à la sécurisation énergétique, ne soit pas tenté de sacrifier Rabat pour Alger.
 
Surtout ne sous estimez pas Macron.


Oh No You Didnt GIF by happydog



1. Il a donne au Redneck 16 cranes. Pas plus. On a mis chaque crane dans un grand cerceuil. Entre nous un cerceuil aurai suffit. On pourrai meme ajouter deux petit Naims a la Bouteflika. Pas un. Deux. Et il y aura encore de la place ...
Le Redneck etait content . Il s'est presse a l'aeroport pour des photos avec les cerceuils.
2. Il a invite les sois disant Harkis au Champs Elysees. Le Redneck a ferme les yeux et a fait semblant que ca ne le regarde pas. Je me rappelle d'une pseudo blonde qui voulait se jeter sur Macron. Love At First Sight.
3. Il signifie au Redneck qu'il n'a pas d'histoire ..... Le Redneck fait semblant d'etre en colere ....

Et puis il va faire une petite balade chez le Redneck.

Dans le tout premier Cours de la Geostrategie et de la Geopolitique Pour Les Rednecks, on appelle cela: La Grenouille Formidable. En Anglais The Formidable Frog.

frog GIF
 
Vu le contexte ça sera une visite sous haute tension si elle a lieu...

Ou alors elle sera reporté sine die par une des deux parties!
 
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