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Au Maroc, l’inquiétante suspension d’une enseignante d’une école française accusée d’«apologie de l’homosexualité»
Visée par une plainte déposée par deux parents d’élève, une institutrice a été mise à l’écart par la direction de l’établissement où elle travaille, à Kénitra. Indignés, ses soutiens dénoncent la passivité de l'AEFE.
En novembre 2022, en pleine coupe du monde de football au Qatar, les élèves doivent étudier un numéro du journal pour enfants Mon Petit Quotidien. Celui-ci est consacré aux critiques faites à l’encontre du Mondial, notamment sur les droits humains. L’élève chargé de faire l’exposé est le fils de l’une des plaignantes. Lorsque la question des droits LGBTQI+ arrive, il refuse de prononcer le mot « homosexualité » rapporte Libération. Ce qui aurait attisé la curiosité des élèves, et aurait poussé l’institutrice à en lire la définition écrite dans le journal.
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Finalement , deux plaignants avec leur fils qui refusent de prononcer le mot Homosexuel ( antécédents en 2022) , le reste des élèves et des parents de cette classe ne comprennent pas la réaction des plaignants et s’en offusquent , au lieu de pointer les lgbt qui s’infiltrerait partout , ne devrait-on pas pointer les obscurantistes ?
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