Le problème c’est que ce n’est pas aux réseaux sociaux de faire justice et d´amplifier cette affaire , cette enseignante est victime d’un lynchage sur les réseaux sociaux alors qu’aucun des internautes n’étaient la et ne connait la prof .Les barbus sont aux portes .Classe de CM1 , donc 10 , 11 ans , ce n’est déjà plus 7 ans bizarrement , elle aurait montré une image d’homosexuel s’embrassant à des élèves , oups on apprend que quelques élèves ont vu subrepticement cette image alors qu’elle faisait des recherches sur l’ordinateur concernant les pêchés en islam , certainement pour confronter les dires des élèves , on est déjà loin de l’article initial .Elle a 55 ans et enseigne au Maroc depuis 30 ans et y vit , autant dire qu’elle a fait toute sa carrière au Maroc donc elle doit bien connaître les mœurs .
Une semaine après le communiqué conjoint du groupe scolaire Balzac et de l’Agence pour l’enseignement français à l’étranger annonçant la suspension de l’enseignante pour « manquement graves dans sa posture professionnelle et ses pratiques pédagogiques », de nombreux parents d’élèves, actuels ou anciens de l’école, ont décidé de prendre la parole.
Alors que la professeure présente depuis de nombreuses années au Maroc fait l’objet d’une plainte déposée par deux familles devant la justice pour « apologie de l’homosexualité » et « atteinte au symbole de l’Islam », 17 parents de la même classe ont exprimé par écrit à l’AEFE et à l’école leur désaccord sur le fond de l’histoire.
Pour eux, l’enseignante « a toujours aimé le Maroc et exprimé son respect à nos valeurs marocaines et à notre religion », concernant les propos tenus en classe, ils préfèrent garder les détails pour la justice marocaine. Tous se sont dit prêt à témoigner : « quand on aime quelqu’un, on peut le défendre jusqu’au bout », indique l’un d’entre eux.
Enfin, ces parents se disent dégoutés et consternés par la campagne de haine injuste à l’encontre de cette professeure qui se déroule depuis plusieurs jours sur les réseaux sociaux
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Une scène rapportée à l’administration de l’école, à laquelle elle n’a pas donné suite. Mais l’homosexualité est à nouveau brièvement évoquée en classe début janvier 2023, lorsque les enfants travaillent sur l’ouvrage Barbe Bleue. Une discussion sur les sept péchés de l’islam ayant été ouverte après la question d’un élève, la professeure fait des recherches sur Internet à ce propos. Une image de deux hommes qui s’embrassent apparaît. L’institutrice a immédiatement refermé l’image.
Plus on recherche plus on constate qu’il n’y a rien eu ou que certains en profitent pour jeter leur fiel et leurs idées obscures .
Maroc: des parents dénoncent la suspension de l’enseignante accusée d’apologie de l’homosexualité
Un rebondissement dans l’affaire de l’enseignante d’une classe de CM1 de l’école française Honoré de Balzac de Kénitra dans le Nord-Est du pays. Elle avait été suspendue suite à une plainte de parents d’élèves (2 parents) concernant des « propos inappropriés » qu’elle aurait tenus sur l’homosexualité et sur l’islam. Mais depuis quelques jours, d’autres parents d’élève se sont rassemblés pour défendre la professeure et l’assurer de leur soutien.Une semaine après le communiqué conjoint du groupe scolaire Balzac et de l’Agence pour l’enseignement français à l’étranger annonçant la suspension de l’enseignante pour « manquement graves dans sa posture professionnelle et ses pratiques pédagogiques », de nombreux parents d’élèves, actuels ou anciens de l’école, ont décidé de prendre la parole.
Alors que la professeure présente depuis de nombreuses années au Maroc fait l’objet d’une plainte déposée par deux familles devant la justice pour « apologie de l’homosexualité » et « atteinte au symbole de l’Islam », 17 parents de la même classe ont exprimé par écrit à l’AEFE et à l’école leur désaccord sur le fond de l’histoire.
Pour eux, l’enseignante « a toujours aimé le Maroc et exprimé son respect à nos valeurs marocaines et à notre religion », concernant les propos tenus en classe, ils préfèrent garder les détails pour la justice marocaine. Tous se sont dit prêt à témoigner : « quand on aime quelqu’un, on peut le défendre jusqu’au bout », indique l’un d’entre eux.
Enfin, ces parents se disent dégoutés et consternés par la campagne de haine injuste à l’encontre de cette professeure qui se déroule depuis plusieurs jours sur les réseaux sociaux

Maroc: des parents dénoncent la suspension de l’enseignante accusée d’apologie de l’homosexualité
Un rebondissement dans l’affaire de l’enseignante d’une classe de CM1 de l’école française Honoré de Balzac de Kénitra dans le Nord-Est du pays. Elle avait été suspendue suite à une plainte de parents…
Des questions des élèves sur l’homosexualité
En novembre 2022, en pleine coupe du monde de football au Qatar, les élèves doivent étudier un numéro du journal pour enfants Mon Petit Quotidien. Celui-ci est consacré aux critiques faites à l’encontre du Mondial, notamment sur les droits humains. L’élève chargé de faire l’exposé est le fils de l’une des plaignantes. Lorsque la question des droits LGBTQI+ arrive, il refuse de prononcer le mot « homosexualité » rapporte Libération. Ce qui aurait attisé la curiosité des élèves, et aurait poussé l’institutrice à en lire la définition écrite dans le journal.Une scène rapportée à l’administration de l’école, à laquelle elle n’a pas donné suite. Mais l’homosexualité est à nouveau brièvement évoquée en classe début janvier 2023, lorsque les enfants travaillent sur l’ouvrage Barbe Bleue. Une discussion sur les sept péchés de l’islam ayant été ouverte après la question d’un élève, la professeure fait des recherches sur Internet à ce propos. Une image de deux hommes qui s’embrassent apparaît. L’institutrice a immédiatement refermé l’image.
Plus on recherche plus on constate qu’il n’y a rien eu ou que certains en profitent pour jeter leur fiel et leurs idées obscures .
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