Mots etrangers dans le coran

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Bladinaute averti
salam

je recherche tout les mots etrangers ou proche de mot etrangers dans le coran

le savant suyutti cite de nombreux mot si une personne a la liste en question je suis preneur meme en arabe

indo europeen
Dans sa thèse de doctorat présentée devant l’Université de Paris IV le 24 novembre 1973 sur Les rapports étymologiques et sémantiques des langues classiques et de la langue arabe, M. Elatri démontre magistralement la présence de l’indo-européen dans les noms de nombre et les termes religieux arabes.

grecs
119 CHAPITRE XIII LE LEXIQUE Ali Mérad a déjà publié une longue liste de mots coraniques d’origine grecque. 1) Multiplicité des termes grecs dans le Coran Qu’il nous soit permis de reproduire ce tableau qui illustre de façon éclatante la dette de la langue du Coran à la Grèce ancienne
: https://webcache.googleusercontent....7363195f0998838b64+&cd=10&hl=fr&ct=clnk&gl=fr

c trop lon je les metterai au fure et a mesure
 

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certain mot son tiré par les cheveux

119 CHAPITRE XIII LE LEXIQUE

Burûj, pl. de burj/burg : tour, enceinte fortifiée (πύργος)
Iblis : démon (διάβολος)
Darâhim : drachmes (δραχμή)
Dînâr : dinar (δηνάριον = latin denarius).
Firdaws : paradis (παράδεισος)
Hudâ/hodé : voie de salut (oδός de oδη)
Injîl : évangile (euangellion)
Mâjûs : mages, zoroastriens (μάγος)
Maqâlîd (de iqlîd) : clefs (κλειδά)
Marjân / margân : corail (μαργαρίτης)
Qalam : calame (κάλαμος)
Qirtâs / quartâs : rouleau de parchemin (χάρτης)
Qurûn : siècles (χρόνον accusatif de χρόνος)
Raqîm : crevasse, gouffre (Pηγμα déchirure du sol)
Rûm : Byzantins (Rωμαïοι)
Samiyya : signe (σημα)
Atqana : fabriquer avec art (τέχνη)
Ustûra : histoire ancienne, légende (istoria)
Yâqût : hyacinthe (uάκηνθος)
Zanjabîl / Zangabîl : gingembre (ζιγγίβερις)
Zukhruf (Zokhrouf) : ornement (ζωγραφία : peinture, tableau).
Sapha σαφα, adverbe de saphès (σαφης) serait à l’origine de l’arabe safa
marwa viendrait de marôneïn (Μαρώνειν), nom de sites antiques en Attique et en Thrace.
« Kawthar » que les traducteurs français rendent par « affluence » ou « abondance » dériverait plutôt de catharsis (κάθαρσις) qui désigne une purification.
Abâbil : βάλλω (lancer).
An-najas : énagès (éναγής) qui signifie souillure. *
ghurnuq ou ghirnûq (grue):géranos (γέρανος).
Al’ Anfal, :« butins », signifie libations (νηφάλιος).
Harth (le labour): « arotos » (labour).
Enkuhè : « contrat de mariage »: « nikâh » .
abtar »: α-πτερον, :celui qui est privé d’ailes.
sîma : sêma: signe distinctif, marque de reconnaissance.
sounboulatoune (II, 261) qui signifie « épi » semble provenir du grec συμβολη (symbole).
âkhiroune Coran 28,77, féminin ahiratun (dernier, suprême extrême), est formé sur le grec akros qui a le même sens.
Idrîsun (Coran XIX, 56 ; XXI, 85) est issu de i (idriss : savant, instruit, habile).
Asbâtum, pluriel de sibtun (Coran II, 140) signifie « tribu » et provient du latin saepta (enceinte).
Les tribus et les centuries étaient séparées et parquées dans des enceintes lors des élections à Rome.
Ususun (Coran IX, 109) : fondements. L’étymologie est à rechercher dans le participe parfait passif de « assideo » qui fait assessus.

Aslama (Coran VI, 163) est la IVe forme de salama dont le sens exprime l’idée de se livrer entièrement à la volonté de Dieu. Ce mot est à l’origine du vocable islâmun (islam). Les stoïciens, comme les chrétiens et les musulmans, se proposaient de se soumettre entièrement à la volonté divine pour assurer leur salut. Le terme salus « le salut » se retrouve dans les salutations latines comme salutem dare, dicere (saluer), salutem reddere (répondre au salut). Le salut est aussi l’état de celui qui est sain et sauf, qui est resté intact, d’où le grec olos entier. Salus se retrouve également dans le verbe arabe salà (prier Dieu, faire des prières).
- Amsâgun (pl. amâsîju) (Coran LXXVI, 2) signifie « mélangé » : grec μίγνυμι « mêler, mélanger » ou le latin misceo de même sens.
- Âmana (Coran II, 285) signifie avoir confiance, être en sécurité dans la foi. Il est de la même famille que Amîn ou Amen. : verbe latin immunire fortifier par des murailles (moenia), le substantif immunitas : protection, tutelle, immunité.
- Ingil : Evangile, du grec euangelion Bonne nouvelle.
- Burunğun :« tours »,: « signes du zodiaque ».: πύργος « purgos », tour.
- Barzakh (pl. barāzikh) : intervalle de temps ou d’espace entre deux époques ou deux endroits. :παρασάγγης parasange, qui est une mesure de distance.
- Bâraka : parcere qui fait parce à l’impératif, épargner, protéger.
- Tâbâtun .: « arche d’alliance, coffret, cercueil ». : θάπτω
- Tafsârun :fassara : « découvrir ce qui était caché » : fissura : « fissure », « fente ».
- Tawratun : Thora,: θεόρρητος (dicté par la divinité).
- Hablun :« corde », « cable », « lien » : latin capulum devenu caplum en bas latin.
Khaymatun (pluriel : khiyâmun),:« tente ». :eek:ikêma (habitation, demeure, maison, tente).
- Dînun : divinum : divin.
- Zanjabîl : gingembre: ζιγγίβερ (zinjiber) en grec.
- Zawjun :« paire », « couple » époux, épouse: zugone : couple, paire d’animaux. -
Sigillun : sceau : sigillum en latin.
- Sakarun : boisson alcoolique: σίκερα (boisson fermentée).
. Siatun:. Secte, parti : latin secta .
Siddîqun :grec σύνδικος sundikos qui assiste en justice ».
Tûrun :Mont, montagne : grec τo oρος par suite d’une crase entre l’article et le nom.
Atîqun :« ancien »: latin antiquus.
Adnun :Eden, du grec ηδονή
 
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Arsun : latin arca (coffre, boîte, arche) ou du grec arkhos : chef, commandant, maître. -
Adimum C’est l’un des 99 attributs de Dieu : incommensurable: latin optimus : « excellent », « très bon », qui est un attribut de Jupiter, le roi des dieux.
Firdawsun : grec παράδεισος.
Qirtâs (pluriel Qaràtis).:parchemin, le papyrus: grec χάρτης qui a donné le latin carta , feuille de papyrus, écrit, ouvrage.
Qamisun :latin camisia (tunique).
- Qintârun: « Centenarium » qui désigne une quantité de 100 mesures.
- Marganun : perle : grec μαργαρίς.
qaria : ville grec kara
Médine : latin munita (sous-entendu urbs), c’est-à-dire une ville fortifiée.
Sirât : latin stratum (strate, dénivellation) qu’on retrouve dans l’anglais street serait à l’origine de ce terme mystique qui suppose une élévation, une montée sur un chemin escarpé, une ascension qui se résout en une ascèse mystique.
zakât : δέκατος (décatos, dixième).
Tayr, : grec πτέρον (ptéron : aile d’oiseau).
Tîn, tinos (argile)
istawâ, VIIIe forme de sawâ, : istêmi placer. Phonétiquement, ces deux mots arabe et grec comportent la même structure. Le radical de istêmi est en réalité στη/ στα – stê/stâ. La voyelle « i » constitue un redoublement : i-στη-μι < *σί-στη-μι, l’esprit rude est la trace du σ initial. (Cf. Bertand. J., Nouvelle grammaire grecque 2e édition revue et corrigée Coll. Ellipses .Paris 2002 p.256. Cf. aussi Maurice Gloton. Une approche du Coran par la grammaire et le lexique, Editions Albouraq Beyrouth-Liban 2002 p.468). Du reste, le redoublement en « i » ne se retrouve qu’au présent. Les autres temps se conjuguent sur le degré long στη ou le degré réduit στα . Au cours de la conjugaison, le sens du verbe iστημι varie, devenant tantôt transitif (placer) tantôt pronominal (se placer) comme le verbe arabe sawa.
Magidun : latin major, majestas (plus grand, majesté). Il signifie le Noble, l’Illustre. C’est l’un des attributs de Dieu de la même façon que les rois sont désignés par l’expression « Sa Majesté. C’est aussi l’équivalent du grec méguétos (grandeur)
Miglâd pluriel makhâlîd) :grec kleïs, kleïdos qui fait kleïda : clef.
Millatun : latin militia (milice, service militaire, service) désigne la religion, la secte.
Mûsâ : latin mittere qui fait missus (envoyé) Habituellement Musa est expliqué comme étant un mot égyptien issu de Mu (eau) et de Sha (Sauver). Moïse serait celui qui a été sauvé des eaux du Nil comme en témoignent Tabâri (II, 48) et Flavius Josèphe (Antiquités Judaïques II, IX-6) : Les Egyptiens appellent l’eau Mû. En réalité, cette étymologie fantaisiste serait une contamination de l’histoire de Romulus et Rémus sauvés des eaux du Tibre.
 

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etude sur le sujet voir reference en arabe :
https://journals.openedition.org/bcrfj/6620

Il rapporte que les emprunts coraniques sont de trois types15 :
1) des mots entièrement étrangers, par exemple : ğibt16, istabraq17,
2) des mots d’origine sémitique dont les racines peuvent exister en arabe,
qui dans le Coran ont un sens pris à une autre langue, par exemple : darasa18, bāraka19,
3) des mots purement arabes, qui sont utilisés dans le Coran avec une influence étrangère,
par exemple, nūr « lumière » qui a le sens de « religion» (9-32).



la liste suivante vient d'un site chretien polemiste

- « Tafaq'a » est un mot Roumain qui signifie « prévu de faire », comme dans le chapitre des Murailles (Sourate Al-A'raf) 22.
- « Al-toar » est un mot Syrien qui signifies « la montagne », comme dans le chapitre de la Vache (Sourate Al-Baqarah) 63.
- « Al-Raq'im » est un mot Roumain qui signifie « la tablette » comme dans le chapitre de la Caverne (Sourate Al-Kahf) 9.
- « Ta-Ha » est un mot Hébreu comme dans le chapitre de Tâ-Hâ.
- « Senin » est un mot Hébreu qui signifie « beau ».
- « As-Sijjîl » est un mot Perse qui signifie « le livre » comme dans le chapitre du Prophète (Sourate Al-Anbiya') 104.
- « Al-Istabrek » est un mot Perse qui signifie « le voilé » comme dans le chapitre de la Fumée (Sourate Ad-Dukhan) 53.
- « Al-Soundos » est un mot Indien qui signifie « le fin voile » comme dans le chapitre de la Fumée (Sourate Ad-Dukhan) 53.
- « Sariah » est un mot Grec qui signifie « une petite rivière » comme dans le chapitre de Marie (Sourate Maryam) 24.
- « Meshkat » est un mot Ethiopien qui signifie « une niche dans le mur », comme dans le chapitre de la Lumière (Sourate An-Nur).
- « Jouhan'm » est un mot Hébreu qui signifie « l’enfer » comme dans le chapitre des Prises de Guerre (Sourate Al-Anfal) 36.
- « Al-Zakât » est un mot Hébreu qui signifie « la taxe d’argent ».
- « Sajjîl » est un mot Perse qui signifie « la boue de pierre ».
- « Ad-Durie » est un mot Ethiopien qui signifie « une planète brillante ».
- « Nashet-Al lail » est un mot Ethiopien qui signifie « se réveiller la nuit » comme dans le chapitre de Celui qui s’enveloppe (Sourate Al-Muzzammil) 6.
- « Keflain » est un mot Ethiopien qui signifie « deux parts » comme dans le chapitre du Fer (Sourate Al-Hadid) 28.
- « Al-Q'swara » est un mot Ethiopien qui signifie « le lion" comme dans le chapitre du Revêtu d’un Manteau (Sourate Al-Muddathir) 51.
- « Al-Melah Al-Okhra » est un mot Copte qui signifie « la dernière religion » comme dans le chapitre de Saad (Sourate saad) 7.
- « Wara'hom » est un mot Copte qui signifie « derrière eux » comme dans le chapitre de la Caverne (Sourate Al-Kahf).
- « Bata'nha » est un mot Copte qui signifie « son apparence externe » comme dans le chapitre du Miséricordieux (Sourate Ar-Rahman) 54.
- « Uho'd » est un mot Hébreu qui signifie « un ».
- « As-Sam'd » est un mot Hébreu qui signifie « tous caractères inclus ».
- « Abareeq' » est un mot Perse qui signifie « récipients » comme dans le chapitre de l’Evénement (Sourate Al-Waqi'ah) 18.
- « Injeel » est un mot Grec qui signifie « annonciation ».
- « Tabout » est un mot Copte qui signifie « une boîte ».
- « Saradeq' » est un mot Perse qui signifie « une tente ».
- « Surah » est un mot Syrien qui signifie « un chapitre de livre ».
- « Al-Ferdous » est un mot Perse qui signifie « le jardin ».
- « At-Taghout » est un mot Ethiopien qui signifie " les opposés ».
- « Mao'un » est un mot Hébreu qui signifie « le pot ».
 
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la traduction suivante semble meilleur:
« Tafaq’a » est un mot amazigh qui veut dire « projeté ». Voir la surate Alâraf, verset 22.
· « Al toar » est un mot syriaque qui veut dire « la montagne ». Voir la surate Al baqarah, verset 63 (la vache).
· « Al raq’im » est un mot amazigh qui veut dire « la plaque ». Voir la surate Al kahf, verset 9 (la caverne).
· « Taha » est un mot hébreu. Voir la surate Taha.
· « Senin » est un mot hébreu qui veut dire « joli ».
· «Assijjîl » est un mot perse qui veut dire « le livre ». Voir la surate Al anbiya, verset 104 (les prophètes).
· « Al lstabrek » est un mot perse qui veut dire « épais ». Voir la surate Al dukhane, verset 53 (la fumée).
· « Al sundus » est un mot indien qui veut dire « le rideau transparent ». Voir la surate addukhane verset 53 (la fumée).
· « Sariah » est un mot grec qui veut dire « le ruisseau ». Voir la surate de Maryam, verset 24 (Marie).
· « Mechkat » est un mot éthiopien qui veut dire « trou dans le mur ». Voir la surate Al nnur (la lumière).
· « Juhannam » est un mot hébreu qui veut dire « l’enfer ». Voir la surate Al anfal, verset 36 (le butin).
· « Al zakat » est un mot hébreu qui veut dire « la taxe sur l’argent ».
· « Sajjîl » est un mot perse qui veut dire « la boue caillouteuse ».
· « Adduria » est un mot éthiopien qui veut dire « la planète lumineuse ».
· « Nachit Alaîl » est un mot éthiopien qui veut dire « l’insomniaque ». Voir la surate Al muzammil, verset 6 (l’emmitouflé).
· « Keflain » est un mot éthiopien qui veut dire « deux plis». Voir la surate Alhadid, verset 28 (le fer).
· « Al Q’swara » est un mot éthiopien qu veut dire « le lion ». Voir la surate Al muddattir, verset 51 (l’enveloppé).
· « Al melah al oukhra » est un mot copte qui veut dire « la première religion ». Voir la surate saad, verset 7.
· « Wara’houm » est un mot copte qui veut dire « aux trousses ». Voir la surate Al kahf (la caverne).
· « Bata’nha » est un mot copte qui veut dire « regard externe ». Voir la surate Al rahmane, verset 53 (le gracieux).
· « Uho’d » est un mot hébreu qui veut dire « un ».
· « Assamad » est un mot hébreu qui veut dire « inclus tous les caractères ».
· « Abareeq » est un mot perse qui veut dire « les récipients ». Voir la surate Al waqiah, verset 18.
· « Injil » est un mot grec qui veut dire « annonciation ».
· « Tabout » est un mot copte qui veut dire « cercueil ».
· « Saradeq » est un mot perse qui veut dire « la tente ».
· « Surah » est un mot syriaque qui veut dire « le chapitre ».
· « Al Firdouss » est un mot perse qui veut dire « le jardin ».
· « Attaghout » est un mot éthiopien qui veut dire « les opposés ».
· « Maôun » est un mot hébreu qui veut dire « la marmite ».

sur l'etude de luxemberg sur la pretendu origine de 1250 mot syriaque et arameen du coran

 
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Ce bref article est un extrait partiel tiré de la préparation d'un essai intitulé "la Torah de Muhammad", qui démontre l'influence prépondérante de la langue hébraïque sur la langue arabe du Coran.
Pour donner un exemple du contenu de cet ouvrage, voici une dizaine de mots commençant par la lettre H.

hadiyth (en arabe حديث ), de l'hébreu חדש hadash signifiant "nouveau", "nouvelle", "innovant". Cette acception hébraïque de "nouveau" est devenue dans le Talmud "nouvel exégèse de rabbin", mais dans l'islam, ce terme a bizarrement pris le sens contraire de "recueil traditionnel de récits, paroles, et actes de Muhammad et ses compagnons".
haj (en arabe حَجّ) : de l'hébreu חג hag, substantif de la racine verbale HWG qui signifie "tourner autour ", "faire un rond". Ce qui est compris en arabe comme "pèlerinage" à la Mecque, signifie en réalité circumambulation. La circumambulation se pratiquait dans nombres de sanctuaires polythéistes, mais aussi dans celui du Sanctuaire monothéiste de Yahweh à Jérusalem, et de là l'extension sémantique en hébreu de hag = fête, cérémonie, pèlerinage au Temple de Jérusalem.

haled (en arabe خلد avec un kh raclé), alors qu'en hébreu cette racine verbale existeחלדHLD, avec le même sens d'éternité et de permanence, mais avec un h guttural.
Il est aussi à noter qu'en hébreu, cette racine HLD peut aussi signifier "fossile", donc "corps fossilisé" dans l'univers. (Voir Psaumes 49, 2).

halaq (en arabe خَلَقَ ) avec un kh raclé, se trouve dans le verset 21 de la sourate 21.Dans toutes les traductions françaises, ce verbe a été traduit par créer. Or, il ne signifie pas créer mais transcrit la racine hébraïque חלק (HLQ) avec un h guttural, qui signifie : séparer, partager, diviser, lisser, poncer, façonner, mais aussi disséminer, dispenser,distribuer. Car c'est en séparant les cieux de la terre, que la création se fit, et c'est enfaçonnant la terre - adamah en hébreu, d'où Adam -, que celui-ci prit une forme humaine. Il n'y a dans le Coran aucune comparaison à la richesse sémantique de cette racine hébraïque. Et cela est dû en partie à l'ajout d'un point diacritique qui a transformé le h guttural en kh raclé.


hamsah (en arabe خمسة ) vient de l'hébreu חמש homesh qui signifie "la cinquième côte de la cage thoracique". Et de là le chiffre cinq (חמש hamesh en hébreu). Il est à noter qu'en hébreu le Pentateuque de Moise (du grec penta = cinq) se nomme en hébreu "Les cinq livres de Moïse". Mais dans le Coran, la consonne H gutturale hébraïque est devenue un Kh raclé خَ au lieu d'un ح suite à une erreur de "diacritisation" de cette consonne. Cette erreur de notation diacritique a ôté à ce chiffre toute la richesse sémantique de son origine hébraïque.

hassir (en arabe خسر ) avec un kh raclé, est communément traduit par perdant. Mais en hébreu, il existe la même racine verbale חסר HSR avec un h guttural et qui signifiemanquer, comme s'il s'agissait d'un "manquement" à l'ordre divin. Cette acception hébraïque explique les vitupérations coraniques contre ces "perdants" qui désobéissent à Allah et lui manquent de respect. A noter de nouveau le passage du H guttural hébreu au Kh raclé en arabe coranique.


hataf (en arabe خْطَفُ ) et en hébreu חטף hataf, de la racine verbale HTF, avec un hguttural et un t emphatique, qui signifie "saisir à la dérobée", "subtiliser par soudaineté",mais également "kidnapper", ou "commettre un rapt", et en particulier celui des femmes (Voir le Livre des Juges, 21, 21). Là aussi, un point diacritique intempestif sur le ح a transformé le h guttural hébreu en خ kh raclé, mot inconnu en sudarabique, et qui dans le Coran réduit la riche acception de cette racine hébraïque.
 

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les mots suivant sont interessant au sujet du mot hamoudot voir d'autre mention :

https://www.bladi.info/threads/lannonce-hamoudot.430137/


hatam (en arabe خَتَمَ), forme verbale conjuguée à la troisième personne du singulier de la racine hébraïque חתם HTM qui signifie "sceller", donc "signer", "ratifier", voire "apposer un blanc-seing". Là encore, un point diacritique sur la gutturale h (ح) a été malencontreusement ajouté par les scribes compilateurs du Coran. Et depuis, cette consonne h gutturale de la racine hébraïque htm, est prononcée kh raclé (خ) en arabe coranique, forme qui n'existe pas en sudarabique et qui appauvrit considérablement dans le Coran le champ sémantique de cette racine verbale hébraïque, et donc le sens du verset coranique qui en fait usage.2
Il est à noter que ce verbe hébreu de "sceller", "ratifier", "signer" est un motif récurent dans Le livre de Daniel sur lequel s'est inspiré le Coran. Par exemple, dans le verset :"sceller vision et prophétie" (9, 24) ou dans le verset : "scelle le livre jusqu'au temps de la fin" (12, 4). Mais malheureusement, la transcription arabe (ajoutant un point diacritique) de l'hébreu HTM, a vidé les paroles de Daniel de son sens eschatologique dans les versets du Coran.
Ce passage quasi systématique du h guttural hébreu en kh raclé arabe, donne la bizarre impression que le scribe ayant compilé le Coran avait du mal à prononcer cette consonne gutturale pourtant commune à l'hébreu et à l'arabe. D'où le doute qui s'installe : était-il vraiment un "arabe arabophone" ?
Entre parenthèses, l'occurrence du h guttural est dix fois moins nombreuse dans le vocabulaire arabe que dans le vocabulaire hébreu. Ce qui témoigne de l'antériorité de l'hébreu par rapport à l'arabe, car les consonnes gutturales ha ou le 'ayn, sont la marque indélébile des anciennes langues du Proche-Orient (paléo-hébreu ou cananéen ancien et araméen).


hamd, (en arabe حَمْدُ ) de l'hébreu חמד hemed, substantif de la racine verbale hébraïque HMD, qui signifie avoir de l'attrait, être attiré par, convoiter, désirer etc… Le sixième commandement des Tables de la Loi dans le Pentateuque ou Torah de Moïse, dit "lo tahmud eshet re'ekha" = tu ne désireras pas (ou tu ne convoiteras pas) la femme de ton prochain. De cette racine hmd est également tiré le nom muhammad = désiré. En fait, bien plus qu'un prénom, c'est un titre honorifique biblique donné au prophète Daniel : ish hammudot = l'homme d'attraits (Daniel 10, 11). C'est le Livre de Daniel où celui-ci a une vision eschatologique qui fait intervenir, pour la première fois dans la Bible, des anges non anonymes portant le nom de Gabriel (Dieu surmonta) et deMikhaël (Qui est comme Dieu).
Ce parallèle entre Daniel ish hammudot et Muhammad recevant les versets du Coran de l'Ange Gabriel, est trop flagrant pour être fortuit. Il faut également signaler que leLivre de Daniel était particulièrement prisé chez les rabbins pharisiens talmudiques qui y trouvaient une référence biblique à leur croyance au Jugement dernier et en laRésurrection des morts. Ces croyances, absentes du Pentateuque et rejetées par le courant sadducéen, sont essentielles dans le Coran : preuve indubitable de l'influence de ces rabbins hébréophones sur le rédacteur du Coran.
 

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hitat (en arabe حطَّةٌ) de l'hébreu חטא he (= péché). Ce mot du Coran n'a rien d'énigmatique. Il est cependant demeuré incompris (donc intraduisible) par les exégètes musulmans, comme s'il s'agissait d'un mystérieux hapax. Alors qu'il est simplement un substantif de la racine verbale hébraïque HTA qui signifie à la fois faire le péché et se désinfecter du péché. Ce mot apparait 2 fois dans le verset 58 de la sourate 2, mais transcrite de manière différente : la première fois avec un h ح guttural comme en hébreu, et la seconde fois خَطَيَ avec un kh (خَ), donc un h sur lequel a été malencontreusement mis un point diacritique.
Certains exégètes et traducteurs – conscients de cette bévue coranique – ont préféré ne pas la relever. D'autres, comme André Chouraqui, l'ont traduit par pardon, trahissant ainsi l'acception originelle de ce terme hébreu qu'il connaissait pourtant. D'autres encore, surtout parmi les commentateurs musulmans, ont allégué que "les Juifs ont raillé la parole divine en la prononçant habbat (une poignée de grains de blé ou d'orge) au lieu de hitat."
Cette allégation de l'exégèse musulmane trahit à quel point les commentateurs de langue arabe du Coran n'ont guère compris ce qu'ils lisaient dans "leur" Coran. En effet, blé s'écrit en hébreu חיטה (hitah) et vient d'une racine toute autre que חטא (hetâ). C'est donc une pseudo homonymie hébraïque entre blé et péché. Aucun locuteur de l'hébreu n'avait pu faire une telle bévue, d'autant plus que traduire poignée de grains de blé n'a aucune signification dans le contexte de ce verset coranique.
 

nordia

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Une question se pose en quel langue le premier coran se lisait au depart? ça démontre plusieurs théories soit que le Coran fut écrit bien avant l evenement de l'islam soit il fut recopier par les predecesseurs sans que le Prophète n'intervient
 

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Une question se pose en quel langue le premier coran se lisait au depart? ça démontre plusieurs théories soit que le Coran fut écrit bien avant l evenement de l'islam soit il fut recopier par les predecesseurs sans que le Prophète n'intervient

pour moi avec mon faible niveau d'arabe je trouve que le coran est trés coherent et stable linguistiquement d'un point de vue gramaticale et tout ce qui est article et forme des mots bien que l'on trouve des exeception (ce sujet est aussi interessant )

le fait que l'on trouve des emprunt etranger n'a rien d'etonnant aucune langue n'est impermeable ...
au contraire je trouve que cela et un point positif du coran et lui donne une profondeur en multipliant les sens exemple le mot din prouve que cela est voulu ce mot a un sens hebreu pelevi etc ...

il faut aussi faire la part entre emprunt et origine commune comme le dit l'etude ci dessu :

Il rapporte que les emprunts coraniques sont de trois types15 :
1) des mots entièrement étrangers, par exemple : ğibt16, istabraq17,
2) des mots d’origine sémitique dont les racines peuvent exister en arabe,
qui dans le Coran ont un sens pris à une autre langue, par exemple : darasa18, bāraka19,
3) des mots purement arabes, qui sont utilisés dans le Coran avec une influence étrangère,
par exemple, nūr « lumière » qui a le sens de « religion» (9-32).
 

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au sujet du mot din et kafara d'aprés benzine :

il ne parle pas d'un sens du mot din qui estcelui de: dette et retribution ...
cité par chabbi et chabbi ne parle pas du sens jugement de l'hebreux


Le mot coranique dîn a deux sens en arabe et aussi dans le Coran.
Tous les deux proviennent d'emprunts à une autre langue.
Dans la formule yawm al-dîn le mot renvoie à un emprunt à l'hébreu dân, dîn, le juge le jugement que l'on trouve dans Dan-el (Daniel), El est Juge. Le mot se trouve dans toutes les langues sémitiques y compris l'éthiopien. La formule est mekkoise.

En période médinoise les emplois renvoient à un autre emprunt qui vient lui du pehlevi (le persan pré-islamique ) à qui n'est pas une langue sémitique le mot dên représente la religion officielle de l'empire des sassanides, la religion mazdéenne (également dit zoroastrisme) on trouve l'expression dên mazdayân, la religion des mzadéens.

Le mot passe en arabe avant l'islam notamment chez les tribus arabes du royaume de Hîra au sud de l'Euphrate, le mot est alors compris comme désignant la bonne voie à suivre et la coutume éprouvée. C'est dans ce sens qu'il est utilisé dans les passages médinois du Coran.

Il s'intègre à la très riche palette des mots de piste qui désignent dans le Coran la voie qu'il faut suivre pour arriver sans encombre à destination, sachant que si on perd la route dans le désert on meurt. :

voir a ce sujet le mot kafara
https://www.bladi.info/threads/racine-kafara.475127/#post-15986845
 
Dernière édition:

nordia

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pour moi avec mon faible niveau d'arabe je trouve que le coran est trés coherent et stable linguistiquement d'un point de vue gramaticale et tout ce qui est article et forme des mots bien que l'on trouve des exeception (ce sujet est aussi interessant )

le fait que l'on trouve des emprunt etranger n'a rien d'etonnant aucune langue n'est impermeable ...
au contraire je trouve que cela et un point positif du coran et lui donne une profondeur en multipliant les sens exemple le mot din prouve que cela est voulu ce mot a un sens hebreu pelevi etc ...

il faut aussi faire la part entre emprunt et origine commune comme le dit l'etude ci dessu :

Il rapporte que les emprunts coraniques sont de trois types15 :
1) des mots entièrement étrangers, par exemple : ğibt16, istabraq17,
2) des mots d’origine sémitique dont les racines peuvent exister en arabe,
qui dans le Coran ont un sens pris à une autre langue, par exemple : darasa18, bāraka19,
3) des mots purement arabes, qui sont utilisés dans le Coran avec une influence étrangère,
par exemple, nūr « lumière » qui a le sens de « religion» (9-32).
fur à mesure il y a dû avoir évolution structuration des versets ce qui nous donne le Coran de maintenant mais à la base au départ le Coran se lisait-il en arabe uniquement?
 

typologie

aedem sed aliter
Bladinaute averti
fur à mesure il y a dû avoir évolution structuration des versets ce qui nous donne le Coran de maintenant mais à la base au départ le Coran se lisait-il en arabe uniquement?

perso pour le moment je ne voi pas de raison d'en douté de l'arabité et de la forme actuel du coran
aprés l'on peu douté de certain mot du au signe diacritique et a la forme de certaine lettre

pour savoir si il y a eue evolution du texte il faudrai etudié la structure suivant la rethorique celon la theoie de cuypier
en utilisant cette methode on verrai bien si il y a eu une evolution dans sa forme
car c pas simple d'apporté des modification a un texte qui a un rythme et qui reprend ces propres theme pour les developpé et cela sous forme symetrique ...

aprés c vrai que je n'ai pas la preuve du contraire c pour cela que je trouve domage que l'on a pas de tel etude
c au musulmans d'apporté ces etudes et au non musulmans de les refuté si cela a lieu d'etre
 
Les stoïciens, comme les chrétiens et les musulmans, se proposaient de se soumettre entièrement à la volonté divine pour assurer leur salut.

Le stoïcisme est un courant philosophique occidental ayant pour finalité le bonheur individuel et qui s'appuie essentiellement sur la tempérance et le détachement obtenus grâce à la raison.

Le bonheur dont ils parlent n'est pas l'au-delà, mais durant cette vie et selon la "nature". Rien à voir avec le fait de se soumettre entièrement à la volonté divine pour assurer leur salut.
 
ça démontre plusieurs théories soit que le Coran fut écrit bien avant l evenement de l'islam

« Ainsi l’avons-Nous fait descendre (le Coran) [sous forme] de loi en arabe. » (Coran 13 : 37)

« Nous l’avons fait descendre, un Coran en [langue] arabe, afin que vous raisonniez. » (Coran 12 : 2)

« Nous avons, dans ce Coran, cité pour les gens des exemples de toutes sortes afin qu’ils se souviennent. Un Coran [en langue] arabe, dénué de tortuosité, afin qu’ils soient pieux ! » (Coran 39 : 27-28)

« [C'est] une Révélation descendue de la part du Tout Miséricordieux, du Très Miséricordieux. Un Livre dont les versets sont détaillés (et clairement exposés), un Coran [lecture] arabe pour des gens qui savent » (Coran 41 : 2-3)

« Si Nous en avions fait un Coran en une langue autre que l'arabe, ils auraient dit : « Pourquoi ses versets n'ont-ils pas été exposés clairement ? Quoi ? Un [Coran] non-arabe et [un Messager] arabe ? » Dis : « pour ceux qui croient, il est une guidée et une guérison ». » (Coran 41 : 44)

« Et l’Esprit fidèle est descendu avec cela sur ton cœur, pour que tu sois du nombre des avertisseurs, en une langue arabe très claire ». (Coran 26 : 193-195)

« Et c’est ainsi que Nous t’avons révélé un Coran arabe, afin que tu avertisses Oum al-Qoura (la Mecque) et ses alentours » (Coran 42 : 7)

« Nous en avons fait un Coran arabe afin que vous raisonniez. » (Coran 43 : 3)

« Et ceci est [un livre] confirmateur, en langue arabe, pour avertir ceux qui font du tort et pour faire la bonne annonce aux bienfaisants. » (Coran 46 : 12)
 
fur à mesure il y a dû avoir évolution structuration des versets ce qui nous donne le Coran de maintenant mais à la base au départ le Coran se lisait-il en arabe uniquement?

C'était un arabe sans voyelles, puis pour faciliter la lecture les voyelles ont fait leur apparition, mais pour les arabes de l'époque ces voyelles étaient sous entendues. En italien par exemple les articles des verbes sont sous entendus.
 

typologie

aedem sed aliter
Bladinaute averti
C'était un arabe sans voyelles, puis pour faciliter la lecture les voyelles ont fait leur apparition, mais pour les arabes de l'époque ces voyelles étaient sous entendues. En italien par exemple les articles des verbes sont sous entendus.


le sujet du poste c'est les mots etranger dans le coran merci de ne pas faire de HS pour simplifier la lecture
pour le sujet du coran et de sa formation vous pouvez en debattre sur un de mes postes que j'avais ouvert a ce sujet :
https://www.bladi.info/threads/versions-canonique-actuel-coran.443579/
 

nordia

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aprés c vrai que je n'ai pas la preuve du contraire c pour cela que je trouve domage que l'on a pas de tel etude
c au musulmans d'apporté ces etudes et au non musulmans de les refuté si cela a lieu d'etre

Il faudrait avoir un autre exemplaire pour les réfuté mais nous avons rien sur quoi nous appuyer justement
 

typologie

aedem sed aliter
Bladinaute averti
voir : https://www.bladi.info/threads/tafasir-recits-israelite.420796/page-2#post-14485272
mot arabe tarjama et du mot rabbinique targum:


http://www.topchretien.com/topbible/dictionnaire/targum-ou-targoum/

Le mot targoum, dérivé d'un verbe sémitique qui signifie en assyrien « parler », est employé par la littérature rabbinique dans le sens de traduction, version. C'est ainsi qu'on parle d'un Targum yâvânîqui est la version grec des LXX, d'un Targum Akilas qui est la version grec d'Aquila, etc. (voir Texte de l'A.T., II, 3). Plus spécialement, on entend par targum une version de l'A. T, en langue araméenne. Dans ce sens, le mot se rencontre pour la première fois dans la Mischna (Yadaïm, IV, 5) ; mais le participe passif du verbe targem se trouve déjà dans le livre canonique d'Esdras (4:7). De là, le mot metourgemân, abrégé en tourgemân =interprète, qui est à la base des mots français : truchement, anciennement tru-cheman, et dragoman ou drogman.

voir en arabe la racine r.j.m et miraA et la partie souligné :

Ils diront: «ils étaient trois et le quatrième était leur chien».
Et ils diront en conjecturant sur leur mystère
qu'ils étaient cinq, le sixième étant leur chien
et ils diront: «sept, le huitième étant leur chien».
Dis: «Mon Seigneur connaît mieux leur nombre. Il n'en est que peu qui le savent».
Ne discute à leur sujet que d'une façon apparente et ne consulte personne en ce qui les concerne.
 
Salam typologie
J'imagine que tu as déjà regardé de ce coté là :


Des termes grecs dans le Coran.
La présence de termes grecs dans le Coran est attestée de longue date. Ali Mérad en donne une première liste et note le refus des auteurs classiques de les reconnaître pour garantir la pure arabicité du Livre. Ces emprunts touchent en effet à la substance du message révélé : tel est le cas du terme logos qui désignera la langue (lugha) en arabe, mais connote l’idée de « verbe incarné ». Youssef Seddik s’avance beaucoup plus loin dans cette démarche, mettant à jour de nombreux termes, mais surtout montrant leur portée dans la constitution du message du prophète. Faute d’aller explorer cette voie (interdite par l’exégèse) les nombreux traducteurs du Coran en sont souvent restés à des approximations. L’important est ce dont témoignent ces termes : la présence active de l’hellénisme dans l’élaboration de l’islam.
 
Salam Personne2



oui c aussi la source sur mon lien au post 1 et je pense la liste ci dessus qui est donné
https://www.bladi.info/threads/mots-etrangers-coran.476543/


J'ai lu il y a quelques années le livre de Merad et celui Youssef Seddik ...C'est loin mais c'est à connaitre ! Dommage qu'un débat contradictoire sur une base scientifique apaisé ne soit pas possible .. Seddik n' a pas raison contre tous les autres mais il a ouvert des pistes qui mériteraient sans doute d'être étudiées ...Enfin c'est ce qui reste dans mon souvenir de ces lectures.
 

typologie

aedem sed aliter
Bladinaute averti
J'ai lu il y a quelques années le livre de Merad et celui Youssef Seddik ...C'est loin mais c'est à connaitre ! Dommage qu'un débat contradictoire sur une base scientifique apaisé ne soit pas possible .. Seddik n' a pas raison contre tous les autres mais il a ouvert des pistes qui mériteraient sans doute d'être étudiées ...Enfin c'est ce qui reste dans mon souvenir de ces lectures.

c'est ce que je trouve fascinant pourquoi les musulmans sont il si frileux quand il s'agit d'etudié le coran de facon scientifique ?

mais je comprend un peu pourquoi car je suis passé par là ...
nous ne sommes pas habitué a nous posé certain type de question voir cela est mal vu

d'un autre coté l'on occupe telement les esprit des musulmans avec l'etude du dogme jurisprudence les hadith etc .. qu'il nous reste plus de temps de lire directement et reelement le coran a sa propre lumiere et pas celon ces differente discipline ...

il faut savoir aussi que les jeune precheur actuel de l'islam n'ont pas fait de reele etude universitaire ...
 
salam

je recherche tout les mots etrangers ou proche de mot etrangers dans le coran

le savant suyutti cite de nombreux mot si une personne a la liste en question je suis preneur meme en arabe

indo europeen
Dans sa thèse de doctorat présentée devant l’Université de Paris IV le 24 novembre 1973 sur Les rapports étymologiques et sémantiques des langues classiques et de la langue arabe, M. Elatri démontre magistralement la présence de l’indo-européen dans les noms de nombre et les termes religieux arabes.

grecs
119 CHAPITRE XIII LE LEXIQUE Ali Mérad a déjà publié une longue liste de mots coraniques d’origine grecque. 1) Multiplicité des termes grecs dans le Coran Qu’il nous soit permis de reproduire ce tableau qui illustre de façon éclatante la dette de la langue du Coran à la Grèce ancienne
: https://webcache.googleusercontent....7363195f0998838b64+&cd=10&hl=fr&ct=clnk&gl=fr

c trop lon je les metterai au fure et a mesure
Salut,
En faite cela n'apporte rien si tu réfléchis, ça bourre le crâne inutilement, que de temps perdu inutilement, souvent pas le même son, quand à l'orthographe c'est même pas pareil, alors que les écrits restent et les paroles s'envolent.

par contre c'est le contexte actuel qui rend les mots riche
tu as appris le français le plus souvent sans dictionnaire et c'est avec des synonymes qu'il est possible d'affiner son sens, voir des exemples vécue.

conte et texte pour le contexte il précise que c'est que pour les textes en premier lieux, c'est utile pour le Coran en français, cela permet de comprendre les associations et les associateurs qui sont les mots eux même, et ainsi tu rentres dans le monde invisible d'Allah, et peut être que tu comprendra la forme des lettres qui situent l'endroit des échanges.

si je prends le Y on peut comprendre que tout les mots qui le portent sont des hypocrites, attention seule les mots écrit dans la religion son valable pour cette façon de voir.

c'est ainsi que l'on peut prévoir les intentions.

c'est très importent de comprendre la technologie, une tête qui s'enFle, c'est comme du Fer chauFFé rouge, quand le Feu est présent, c'est pour des raisons de science.
 
Slm,

Les origines égyptienne du ramadan, tu devrais creuser un peu plus loin que l'Égypte….

Tu écris une encyclopédie pour tenter de discréditer tous ce que tu pourrais?

Je vais te faciliter la tâche va directement voir le jeune chez les animaux ( il y en a pléthore).
 
Slm,

Les origines égyptienne du ramadan, tu devrais creuser un peu plus loin que l'Égypte….

Tu écris une encyclopédie pour tenter de discréditer tous ce que tu pourrais?

Je vais te faciliter la tâche va directement voir le jeune chez les animaux ( il y en a pléthore).


comme d'habitudes des liens bidons de m;erde 😆😆😆😆
 
C’est pas du tout des "liens bidons". J’en regarde quelques-uns lorsque le sujet m’intéresse. Et c’est bien l’un des seuls qui poste des choses intéressantes sur ce forum.


si tu veut un autre lien bidon je te conseille de lire le livre de ce pseudo philosophe onfray, livre dédié à l'islam, ou il prétend avoir étudié et lu le coran, édifiant de bêtises et de *****.eries.


>>>> Et c’est bien l’un des seuls qui poste des choses intéressantes sur ce forum.

si tu aimes bien nourrir ton cerveau avec du caca fait toi copain avec lui tu vas te régaler
 

typologie

aedem sed aliter
Bladinaute averti
si tu veut un autre lien bidon je te conseille de lire le livre de ce pseudo philosophe onfray, livre dédié à l'islam, ou il prétend avoir étudié et lu le coran, édifiant de bêtises et de *.eries.


>>>> Et c’est bien l’un des seuls qui poste des choses intéressantes sur ce forum.

si tu aimes bien nourrir ton cerveau avec du caca fait toi copain avec lui tu vas te régaler

si onfray aurai eue un avis positif sur l'islam les musulmans l'aurai vanté en le gonflant
c cela tout votre probleme vous ne cherchez pas la vertié vous cherchez à vous confortez ....
c ce qui t'empeche de voir la beauté de mes postes :D
 

typologie

aedem sed aliter
Bladinaute averti
Slm,

Les origines égyptienne du ramadan, tu devrais creuser un peu plus loin que l'Égypte….

Tu écris une encyclopédie pour tenter de discréditer tous ce que tu pourrais?

Je vais te faciliter la tâche va directement voir le jeune chez les animaux ( il y en a pléthore).

tu te trompe sur mes intentions je ne cherche pas credibilisé ou discredité
c pas le jeune en lui meme qui m'interesse c de chercher à identifié les influences probable
exemple de nos jours il va de soi que l'influence occidentale rayonne au travers le monde jusque dans le coeur des musulmans
donc pourquoi en serai t'il differement de l'egypte a l'epoque de l'islam et dont sont heritage rayonne encore de nos jours
 
si onfray aurai eue un avis positif sur l'islam les musulmans l'aurai vanté en le gonflant
c cela tout votre probleme vous ne cherchez pas la vertié vous cherchez à vous confortez ....
c ce qui t'empeche de voir la beauté de mes postes :D


onfray est comme tous les autres pseudos intellectuels, il ne regarde que son compte en banque et sa notoriété, il se fiche de l'objectivité et de la vérité. tout comme toi tu te fiche de la vérité, tu as une mission.
 
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