(Première phrase en gras). Il faut être honnête, avant 1967 ce n'est pas le discours qui était en vogue dans tous les pays arabes,
(la deuxième phrase en gras). Ce que les Arabes voulaient à l'époque c'était justement la disparition d'Israël, il faut le dire.
L’escalade vers le conflit régional s'est produit en mai 1967 quand Nasser le torse bombé, impose la fermeture du détroit de Tiran, l’Egypte bloque la voie d’accès au port israélien d’Eilat. Auparavant, Nasser avait ordonné à ses hommes de réoccuper le Sinaï, zone démilitarisée depuis dix ans, et exige le départ de la force internationale qui y est déployée.
Une euphorie anti-israélienne gagne vite le monde arabe. Pour ne pas être rayée de la carte, Israël n’avait pas le choix que d'attaquer avec le soutien international et les conséquences qu'on sait jusqu'à aujourd'hui. Le Sinaï, la Cisjordanie, Jérusalem-Est, la bande de Gaza et le plateau du Golan avaient été conquis.
Cette grosse maladresse de Nasser c'est ce que payent aujourd'hui encore les Palestiniens. Il ne faut pas non plus trop faire dans le complotisme, chacun aspire à la paix mais avec ses propres exigences. Aujourd'hui en Israël il est clair qu'il n’y a pas de perspective d’une évolution significative : l’opposition politique aux différents gouvernements conduits par Netanyahou ne propose pas de réelle alternative sur ces questions.
La paix, même pour les partis de gauche, n’est plus un sujet porteur, et pour cause. Si on cède la main on réclamera le bras, voilà ce que se disent les Sionistes.
Essaie de remonter loin derrière dans cette affaire et tu verras toutes les conneries faites par les pseudos leaders arabes.
Je suis anti-sioniste et je ne veux pas te donner l'impression de défendre Israël mais nous y avons des compatriotes, cependant la triste vérité est là car l'état hébreu est considéré comme la première puissance militaire du Proche-Orient et la seule de la région à détenir l’arme nucléaire.
Autrement dit, tu te fais du bien à dire ce qui est faux.
