atypique
Ça te regarde?
J'ai trouvé ce texte pertinent daté il y a de quelque années sur un forum qui a suscité toute mon attention.
Je crois que l'auteur est un visionnaire et en l'occurrence il est bon à être partagé.
"C'est lors d'un week end passé avec mon grand frère que je n'avais pas vu depuis un certain temps qu'il me fit cette remarque: "Ma parole tu es devenu complètement raciste mon frère" et cela après que nous ayons écumé un grand nombre de sujets de discussions. Sur le moment sa remarque me fit beaucoup rire mais sur le chemin du retour dans le wagon du tgv je ne pouvais m’empêcher de me demander à quel point il avait raison. Comment me situais je par rapport à la communauté maghrébine musulmane ? Sommes nous liés ? De quelles manière ? Voulais je en faire partie et voulais je me réclamer d'elle ?
Voilà bientôt 10 ans que j'ai quitté le foyer parental et je que je n'y retourne qu'à reculons. Il se situe dans un quartier délabré cent fois réhabilité avec l'argent publique. A l'heure où je vous écris beaucoup d'anciens bâtiments ont fait place à des logements neufs qui ne présentent plus les inconvénients des grandes tours. Certains de ces logements sont à vendre ou à louer à des loyers qui n'ont rien à voir avec ce que je paye dans le privé. Reste à savoir si ces logements résisteront à la peste que représente les enfants de cette population.
Mes parents habitent eux toujours dans une tour que je suis forcé de visiter pour m’acquitter de mon devoir vis à vis de mes géniteurs: Mon père est un ancien ouvrier à la retraite qui passe sa journée devant les chaînes arabes d'information et les prédicateurs religieux et ma mère une femme au foyer sans grande surprise pour vous j'imagine. Dans cette tour il peut m'arriver d'y croiser d'anciennes connaissances, des "frères" que j'ai pu côtoyer pendant mon adolescence à la mosquée car j'étais en ce temps un fervent pratiquant. Je ne sais pas si je dois remercier le ciel ou pas de m'avoir extirper de ce circuit salafiste qui vous conduit au 8e étage d'une tour que vous occupez depuis que vous vous êtes marié jeune et dont le couloir vous sert à garer vos nombreuses poussettes. Non vraiment je ne sais pas si c'est le droit chemin mais en tout cas ça n'est pas le miens. Je ne peux m’empêcher de me demander si c'est ça le droit chemin ou l'héritage d'un modèle de société révolu où la progéniture apportait une aide physique indispensable. A quoi pensent les arabes quand ils font des enfants aujourd'hui ? Est ce par obligation religieuse ou la manifestation de l'appel de la nature ? Et surtout pourquoi le fruit de nos entrailles rongent les murs des bâtiments et les carcasses des boites aux lettres ?
Les travaux dans le quartier avancent bien et même si la tour où vivent mes parents est dégueulasse il faut bien avouer qu'ils bénéficient d'une vue splendide sur un parc lui aussi neuf aménagé avec des airs de jeux pour les enfants. De la fenêtre j'y aperçois des femmes en Jilbab qui courent derrière leurs enfants et je ne peux m’empêcher de penser (Allah me pardonne) au jeu PACMAN avec les fantômes dans le labyrinthe. Ces femmes sont vraiment méconnaissables il pourrait y avoir parmi elles ma propre sœur que je ne le saurais pas. Je remarque également qu'il n'y' aucune française aux alentours, le contraste est net avec mon époque. No comment.
Actuellement je suis heureux de payer mon loyer cher pour être loin de tout cela. Parfois je fais les courses avec mes parents chez Auchan et j'ai la nausée des poussettes et des caddies pleins. J'ai au fond de moi le plus grand dégoût pour cette population qui se multiplie de façon anarchique et qui ne peut susciter aucune admiration que ce soit. Je ne trouve rien chez elle auquel je puisse me rattacher fièrement. Rien qui me fasse rêver
Le dimanche (à Paris) je fais du vélo et je m'arrête souvent à un feu rouge dans mon parcours qui est au niveau d'un grand établissement chicha avec terrasse et qui est surpeuplé tous les dimanches. Je scrute la terrasse pendant 5 bonnes minutes essayant de jauger du degré de déficience mentale de chaque suceuse de tuyau et de la troupe de 3zara qui les accompagnent. J'essaye de me persuader qu'ils discutent de Jamal Abdel Nasser (par ex) puis le feu passe au vert"
Je crois que l'auteur est un visionnaire et en l'occurrence il est bon à être partagé.
"C'est lors d'un week end passé avec mon grand frère que je n'avais pas vu depuis un certain temps qu'il me fit cette remarque: "Ma parole tu es devenu complètement raciste mon frère" et cela après que nous ayons écumé un grand nombre de sujets de discussions. Sur le moment sa remarque me fit beaucoup rire mais sur le chemin du retour dans le wagon du tgv je ne pouvais m’empêcher de me demander à quel point il avait raison. Comment me situais je par rapport à la communauté maghrébine musulmane ? Sommes nous liés ? De quelles manière ? Voulais je en faire partie et voulais je me réclamer d'elle ?
Voilà bientôt 10 ans que j'ai quitté le foyer parental et je que je n'y retourne qu'à reculons. Il se situe dans un quartier délabré cent fois réhabilité avec l'argent publique. A l'heure où je vous écris beaucoup d'anciens bâtiments ont fait place à des logements neufs qui ne présentent plus les inconvénients des grandes tours. Certains de ces logements sont à vendre ou à louer à des loyers qui n'ont rien à voir avec ce que je paye dans le privé. Reste à savoir si ces logements résisteront à la peste que représente les enfants de cette population.
Mes parents habitent eux toujours dans une tour que je suis forcé de visiter pour m’acquitter de mon devoir vis à vis de mes géniteurs: Mon père est un ancien ouvrier à la retraite qui passe sa journée devant les chaînes arabes d'information et les prédicateurs religieux et ma mère une femme au foyer sans grande surprise pour vous j'imagine. Dans cette tour il peut m'arriver d'y croiser d'anciennes connaissances, des "frères" que j'ai pu côtoyer pendant mon adolescence à la mosquée car j'étais en ce temps un fervent pratiquant. Je ne sais pas si je dois remercier le ciel ou pas de m'avoir extirper de ce circuit salafiste qui vous conduit au 8e étage d'une tour que vous occupez depuis que vous vous êtes marié jeune et dont le couloir vous sert à garer vos nombreuses poussettes. Non vraiment je ne sais pas si c'est le droit chemin mais en tout cas ça n'est pas le miens. Je ne peux m’empêcher de me demander si c'est ça le droit chemin ou l'héritage d'un modèle de société révolu où la progéniture apportait une aide physique indispensable. A quoi pensent les arabes quand ils font des enfants aujourd'hui ? Est ce par obligation religieuse ou la manifestation de l'appel de la nature ? Et surtout pourquoi le fruit de nos entrailles rongent les murs des bâtiments et les carcasses des boites aux lettres ?
Les travaux dans le quartier avancent bien et même si la tour où vivent mes parents est dégueulasse il faut bien avouer qu'ils bénéficient d'une vue splendide sur un parc lui aussi neuf aménagé avec des airs de jeux pour les enfants. De la fenêtre j'y aperçois des femmes en Jilbab qui courent derrière leurs enfants et je ne peux m’empêcher de penser (Allah me pardonne) au jeu PACMAN avec les fantômes dans le labyrinthe. Ces femmes sont vraiment méconnaissables il pourrait y avoir parmi elles ma propre sœur que je ne le saurais pas. Je remarque également qu'il n'y' aucune française aux alentours, le contraste est net avec mon époque. No comment.
Actuellement je suis heureux de payer mon loyer cher pour être loin de tout cela. Parfois je fais les courses avec mes parents chez Auchan et j'ai la nausée des poussettes et des caddies pleins. J'ai au fond de moi le plus grand dégoût pour cette population qui se multiplie de façon anarchique et qui ne peut susciter aucune admiration que ce soit. Je ne trouve rien chez elle auquel je puisse me rattacher fièrement. Rien qui me fasse rêver
Le dimanche (à Paris) je fais du vélo et je m'arrête souvent à un feu rouge dans mon parcours qui est au niveau d'un grand établissement chicha avec terrasse et qui est surpeuplé tous les dimanches. Je scrute la terrasse pendant 5 bonnes minutes essayant de jauger du degré de déficience mentale de chaque suceuse de tuyau et de la troupe de 3zara qui les accompagnent. J'essaye de me persuader qu'ils discutent de Jamal Abdel Nasser (par ex) puis le feu passe au vert"