Quel est le véritable sens du tasbih (sabih bihamd) ?

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tajali

TARKiZ-TARKiB : 光
VIB
ce mot est l'un des mots les plus important du coran
la pluspart du temps on retrouve le sens de pureté et de gloire en exempter de tout defaut
mais je ne comprend pas comment en est ton arrivé à ce sens
car quand l'on regarde la racine sabaha dans le dictionnaire l'on trouve d'autre sens et pas le sens d'exempter
parmis les sens de la racine sabaha

nager courir = mouvement de jambe rapide
etre libre exempt de quelque chose ne pas s'en occuper
etre tranquille dormir
vivre a son gré comme il plait

ne s'occuper que des plaisir de ce monde
faire un long voyage
se disperser (peuplade)


il semble se degager 2 sens opposer celui de tranquillité et de mouvement fluide de liberté
d'ailleur dans le coran se mot est appliqué au mouvement des astre des bateau


chatgpt : Ce qu’on observe objectivement :​

  • Le sens central originel est bien :
    mouvement fluide, libre, rapide, souvent horizontal, qu’il soit aquatique, terrestre, ou mental.
    → D’où les sens de nager, courir, errer, flotter, voyager, etc.
  • Les sens dérivés secondaires :
    Détachement, non-engagement, jouissance, liberté d’agir.
    → Et donc aussi s’éparpiller, vivre sans attaches, se consacrer à rien — ce qui est moralement ambigu voire négatif dans une logique religieuse, d’où leur occultation.
 
dans les autres langue semitique

📜 1. En akkadien (suméro-akkadien, babylonien, assyrien)

Pas de racine directe s‑b‑ḥ, mais on trouve des verbes similaires :
  • šapāḫu : verser, répandre, se répandre, parfois s’écouler → idée de fluide, de mouvement libre.
  • saḫāpu : s’élancer, bondir, franchir → mouvement rapide, dynamique.
Ces parallèles suggèrent une notion de flux ou d'élan comme origine.


📜 2. En hébreu biblique​

La racine ס־ב־ח (s‑b‑ḥ) n’existe pas en tant que telle avec le même trilitère.
Mais des racines proches existent :
  • שָׂחָה (saḥah) : nager (cf. שוחה).
  • שׁוּט (shut) : errer, aller çà et là — très proche sémantiquement.
  • סָבַב (s‑b‑b) : tourner, faire le tour, se déplacer en cercle.
Ce champ évoque la circulation libre, le mouvement fluide — donc très proche du sens originel arabe.


📜 3. En syriaque (araméen chrétien)​

  • sbaḥ (ܣܒܚ) : glorifier — sens influencé par le christianisme.
    Mais :
  • sabaḥa : utilisé aussi pour flotter, être suspendu, planer → plus neutre.
Là aussi, on observe une bifurcation : sens originel de mouvement → sens religieux.



📜 4. En guèze (éthiopien ancien)

  • Pas de trilitère exact s‑b‑ḥ, mais on trouve :
    • säbahä : nager, se mouvoir dans l’eau ou l’air.
    • Dérivés religieux chrétiens tardifs : chanter des louanges, faire des psaumes.

🧭 Conclusion​

La racine s‑b‑ḥ ou ses proches apparaissent dans plusieurs langues sémitiques,
et leur sens premier est toujours lié au mouvement fluide, libre, errant, ou suspendu.
Le sens de glorifier est une interprétation postérieure, religieuse, greffée sur ce noyau fluide.
 

Synthèse​

LivreVersetSens de שָׂחָה
Psaumes 6:6אַשְׂחֶה בְּכָל־לַיְלָהLe lit « nage » dans les larmes 
Isaïe 25:11סֹּחֶה לִשְׂחוֹתMains « nageant » dans la futilité 
Ézéchiel 47:5מֵי שָׂחוּEaux « à nager dedans » (très profondes) 

💡 Ce que cela nous apprend
  • Rare et fort : ce verbe n’est utilisé que 3 fois dans l’Ancien Testament, toujours avec une image de bain immersif (tristesse, orgueil ou abondance divine).
  • Pas un sens religieux primitif : il s’agit plutôt d’une image forte de mouvement fluide, d’immersion, sans connotation cultuelle intrinsèque.
  • Correspond à la racine arabe : mouvement dans l’eau → idées de flotter, errer, se laisser porter, sans dimension théologique première.


2. Développement du sens « glorifier » dans la littérature chrétienne syriaque​

  • Le passage à la signification « glorifier » apparaît avec l’usage liturgique chrétien, probablement dès le 4ᵉ-5ᵉ siècle après J.-C.
  • Le verbe ܣܒܚ commence à être utilisé dans les hymnes, psaumes, prières pour exprimer la louange et l’exaltation de Dieu, en particulier dans la liturgie syriaque.

3. Exemples textuels​

  • Le « Odes de Salomon » (fin 1er - début 2e siècle ap. J.-C.), écrit en syriaque, contient des usages où le verbe ܣܒܚ est utilisé dans un sens poétique et mystique proche de « glorifier » — même si ce sens est encore en évolution.
  • Les liturgies syriaques comme la liturgie de Saint Jacques (datée du 4e-5e siècle) emploient le terme dans le sens de « louange » ou « glorification » divine, notamment dans les refrains et hymnes.

4. Influence du contexte chrétien

  • Ce glissement sémantique est lié à la métaphore spirituelle du « flotter dans la gloire divine », du « planer au-dessus du monde » ou du « mouvement perpétuel dans la louange ».
  • Il s’inscrit dans une dynamique où le langage physique (mouvement fluide) devient langage spirituel (adoration, louange).

5. Synthèse

PériodeTexte / GenreUsage de ܣܒܚ (sbaḥ)Sens attesté
PréchristienLittérature syriaqueFlotter, planerSens physique
Fin 1er–2e s.Odes de SalomonPoésie mystiqueApproche spirituelle
4e–5e siècleLiturgie syriaque (Saint Jacques)Louange, glorificationSens religieux stabilisé

Conclusion​

  • Le sens « glorifier » dans le christianisme syriaque apparaît lentement entre le 2ᵉ et le 5ᵉ siècle, en lien avec le développement des pratiques liturgiques et poétiques.
  • Il est un produit du passage du langage concret vers un langage mystique, caractéristique de la spiritualité chrétienne orientale.
 

3. Exemples textuels

  • Dans le Livre des Psaumes en guèze, des formes dérivées de cette racine apparaissent pour décrire la louange de Dieu.
  • Les hymnes liturgiques (par exemple dans le Mezmur) utilisent le mot dans ce sens glorificateur.
  • Les écrits des pères de l’Église éthiopienne, comme Saint Yared (6ᵉ siècle), montrent l’usage religieux du terme dans la musique sacrée.

4. Synthèse

PériodeTexte / GenreSens principalNotes
Avant 4e siècleUsage profane/poétiqueNager, flotter, mouvementSens concret originel
4e siècle et aprèsLittérature liturgiqueLouange, glorificationUsage religieux, influence chrétienne
6e siècleHymnologie (Saint Yared)Louange musicale, exaltationSens spirituel affirmé

Conclusion​

En guèze, comme en syriaque, le glissement de « mouvement libre/physique » vers « louange, glorification » se produit avec l’essor du christianisme et la formalisation des pratiques liturgiques, aux alentours du 4ᵉ siècle.

Veux-tu que je cherche des citations précises en guèze ou des références académiques sur ce glissement sémantique ?
 
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la pluspart du temps on retrouve le sens de pureté et de gloire en exempter de tout defaut
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car quand l'on regarde la racine sabaha dans le dictionnaire l'on trouve d'autre sens et pas le sens d'exempter
parmis les sens de la racine sabaha

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il semble se degager 2 sens opposer celui de tranquillité et de mouvement fluide de liberté
d'ailleur dans le coran se mot est appliqué au mouvement des astre des bateau


chatgpt : Ce qu’on observe objectivement :​

  • Le sens central originel est bien :
    mouvement fluide, libre, rapide, souvent horizontal, qu’il soit aquatique, terrestre, ou mental.
    → D’où les sens de nager, courir, errer, flotter, voyager, etc.
  • Les sens dérivés secondaires :
    Détachement, non-engagement, jouissance, liberté d’agir.

  • Et si cela n était rien d autre que le Nirvana
 
sérieusement ,
Bihamd ça n existe pas en arabe !
quand il y a bi le mot se termine forcément par i
BI hamdi
j'avais pas compris au début :D
sabbaha = glorifier , prier , invoquer , honorer ....
sabaha veut dire nager
mais le dajali nage et rame
le problème c est qu il a toujours raison
 
sérieusement ,
Bihamd ça n existe pas en arabe !
quand il y a bi le mot se termine forcément par i
BI hamdi
j'avais pas compris au début :D
sabbaha = glorifier , prier , invoquer , honorer ....
sabaha veut dire nager
mais le dajali nage et rame
le problème c est qu il a toujours raison

tes vraiment debile en faite en fin de phrase tu n'es pas obliger de prononcer le i .
au contraire c meme considerer comme quelque chose de pas naturel de le prononcer ...

tajali c pas pareille c pas la haraka i mais la lettre y

sa me fait toujours rire ces ignorants plein de pretention et de morve au nez qui veulent venir me faire la lecon

la racine sabaha à l'origine n'a aucun des sens que tu lui donne autrement demontre le ...

ce sens de glorifier est un emprunt du syriaque et plus precisement du christianisme
 
Dernière édition:

l'origine probable du basculement entre le mot nager et glorifier dans le christianisme vient probablement du mouvement des astres les anges idées de cosmos​


2. Symbole spirituel : le mouvement des astres​

Dans la pensée antique (hébraïque, grecque, puis chrétienne), le mouvement circulaire parfait des astres était perçu comme une louange cosmique.
« Le ciel raconte la gloire de Dieu… » (Psaume 19:2)

→ Les astres "flottent", donc ils « glorifient » par leur ordre même.

3. Christianisme oriental : fusion du cosmique et du liturgique​

Dans le christianisme syriaque et guèze :
  • on développe une théologie où la nature entière est en louange permanente, non par parole, mais par harmonie, rythme, mouvement.
  • Flotter → mouvement parfait → beauté silencieuse → doxa (gloire divine).

📍4. Métaphore intérieure : l’âme qui "flotte" vers Dieu​


Les mystiques chrétiens (ex. : Ephrem le Syrien, les hymnes de Yared) parlent de l’âme qui :
  • « plane »,
  • « monte »,
  • « nage dans la lumière »
    pour rejoindre Dieu.

→ Flotter devient un état spirituel de grâce, d’adoration sans mot.

🔁 Résumé du glissement :​


PhysiqueCosmiqueSpirituel
Nager, flotterMouvement des astresL’âme flotte vers Dieu
Mouvement fluideHarmonie célesteLouange silencieuse
Suspension dans l’airOrdre cosmiqueGlorification mystique
 
david et les montagne et oiseau emprunt à l'orphisme

🧩 Origine de cette image ? Trois sources possibles :​

1. Psaumes bibliques (hébreu)

  • Psaume 148 :
“Montagnes, collines… bêtes et oiseaux… louez le nom du Seigneur.”
  • Psaume 98:8 :
“Que les fleuves battent des mains, que les montagnes chantent ensemble.”
  • Ces versets personnifient la nature dans un élan cosmique de louangepas au sens littéral, mais poétique/théologique.
→ Le Coran reprend cette imagerie, mais en la concrétisant :
Les montagnes et oiseaux louent littéralement Dieu avec David.

2. Littérature apocryphe juive ou chrétienne​

  • Dans certains midrashim, David est présenté comme maître du chant cosmique, et son chant harmonise les créatures.
  • Des textes apocryphes (comme les Odes de Salomon, syriaques) évoquent aussi l’idée d’une louange universelle orchestrée par un élu.

→ Le Coran pourrait s’inspirer de cette tradition extra-biblique, plus imagée, parfois mystique.
 

Ce que sont les Odes de Salomon​

  • 42 poèmes spirituels, écrits dans un style proche des psaumes.
  • Anonymes, mais attribués fictivement à « Salomon » — en réalité, un auteur chrétien primitif.
  • Langue d’origine : probablement syriaque ou araméen, avec des versions en grec, copte, etc.
  • Teintées de gnose chrétienne, mais sans être proprement gnostiques.

🌍 Louange universelle orchestrée par un élu​


Plusieurs odes décrivent un être élu (souvent assimilé au Christ) dont la parole ou le chant entraîne toute la création dans un mouvement de glorification.


🔹 Extrait – Ode 7

« Comme la harpe chante par les doigts, ainsi chante mon cœur par les mains du Seigneur,
et je parle par son amour. »
→ L’élu est instrument du divin. Sa parole est musicale, fluide, ordonnée.


🔹 Ode 12:1–4​

« Il a étendu ses ailes et m’a pris,
il m’a élevé au ciel. [...]
Les montagnes se mirent à danser,
les collines à bondir comme des agneaux. »
→ Imagerie psalmique et cosmique : la nature réagit activement à la présence du Verbe/louange incarnée.

🔹 Ode 16​

« Tout s'est réjoui dans le Seigneur,
et a reçu sa vérité.
Le Très-Haut a mis en moi son nom,
et je l'ai chanté dans sa paix. »

→ La parole du juste ou de l’élu met en mouvement les sphères visibles et invisibles.

🧠 Ce que cela signifie​

  • L’élu (souvent vu comme le Christ, mais parfois aussi l’âme mystique) devient centre d’harmonie cosmique.
  • Par lui, le monde entre en vibration divine.
  • La louange n’est plus seulement verbale, elle est cosmique, vibratoire, harmonique :
    Les montagnes dansent,
    les collines bondissent,
    tout respire avec le Verbe.



🔁 Lien avec David​

  • Comme David dans le Coran, l’élu des Odes fait entrer la nature dans le tasbīḥ, mais :
    • ici, par amour et unité mystique,
    • non par miracle imposé ou pouvoir thaumaturgique.



Souhaites-tu que je t’analyse une ode complète ou que je t’indique une version traduite intégrale ?
 
L’image de la louange cosmique orchestrée par un élu — que ce soit David, le Christ, ou une âme juste — a eu une influence majeure sur :

1. 🔹 La mystique chrétienne orientale (syriaque, copte, éthiopienne)​

  • Chez Éphrem le Syrien, on retrouve l'idée que tout l’univers chante Dieu avec le juste :
    « Le feu, le vent et l’eau… tous deviennent langues pour louer le Créateur. »
  • Le croyant devient instrument cosmique, comme une harpe divine.
Les Psaumes de David sont lus comme des résonances du chant divin dans le monde.



Avant le christianisme, l’image d’un élu ou d’un être sacré faisant chanter ou résonner le cosmos vient de plusieurs sources très anciennes, qu’on peut regrouper en trois grands pôles :

1. 🔹 Orphée (Grèce archaïque)​

  • Poète-magicien dont la lyre harmonise le monde:
    • Il charme les bêtes sauvages, les arbres, les pierres.
    • Il descend aux enfers et y fait pleurer les morts.
  • Son chant reflète l’harmonie cosmique (la musique des sphères).
Orphée incarne la croyance grecque que le cosmos est musique, et que certains êtres peuvent y accorder les âmes.

2. 🔹 Le roi-chantre mésopotamien

  • Dans l’épopée de Gilgameshou les hymnes sumériens, certains rois ou prêtres :
    • chantent pour invoquer les dieux,
    • et font “résonner” la nature (vents, tempêtes, oiseaux).
  • Le pouvoir du mot chanté (incantation, lamentation) est vu comme efficace, pas seulement poétique.
→ C’est l’idée que le verbe ordonné agit sur le réel.

3. 🔹 Égypte ancienne

  • Le pharaon, image vivante de Maât (ordre cosmique), récite des hymnes qui maintiennent l’harmonie du monde.
  • Dans les textes des pyramides, la récitation rituelle par le roi :
    • fait lever le soleil,
    • apaise les dieux,
    • stabilise les saisons.
→ Ici aussi, le pouvoir vocal royal = pouvoir cosmique.

🧭 Synthèse​

CivilisationFigure sacréeEffet du chantNature du pouvoir
Grèce (Orphée)Poète divinCharme la nature, émeut les mortsHarmonie / magie
MésopotamieRoi-prêtreActive les éléments, invoque les dieuxMagico-religieux
ÉgyptePharaon diviniséMaintient l’ordre cosmique (Maât)Liturgie cosmologique

L’image du chantre cosmique n’est donc pas née avec David ou le christianisme :
elle plonge dans une tradition universelle où la parole rituelle = acte sur le monde.
Souhaites-tu que je retrace l’évolution de cette image depuis l’Égypte jusqu’au Coran ?
 
dance cosmique
www.bladi.info/threads/danse-parure-le-model-feminin-dishar-femme-fatale-a-marie-plante-passive.554407/#post-18368980

💫 Du “chant vibratoire harmonique” à la “danse cosmique”

1. Origine commune : mouvement et vibration

  • Le chant harmonique est d’abord un vibrato, un mouvement ondulatoire qui fait résonner la matière —
  • La danse cosmique est une mouvement rituel ordonné qui exprime le même principe :
    ↳ le cosmos lui-même est un mouvement rythmé et organisé.

2. Vibrations sonores et mouvement corporel

  • Le son (chant) et le mouvement (danse) sont deux expressions complémentaires du même phénomène :
    → l’harmonie universelle manifeste à la fois dans la vibration acoustique et dans la gestuelle rythmée.

3. Symbolique

AspectChant vibratoire harmoniqueDanse cosmique
ÉnergieVibration sonoreMouvement spatial
EffetRésonance, transformationCycle, ordre, équilibre
IncarnationVoix, parolesCorps, gestes
UniverselSons qui traversent l’espaceCorps dansant avec l’univers

4. Exemples

  • Dans la mystique indienne, le Nāṭya Śāstra décrit la danse comme un moyen d’incarner le son primordial (Nāda) —
  • En hindouisme, la danse de Shiva (Nataraja) est une danse cosmique, simultanément création et destruction, rythme fondamental de l’univers.
  • En tradition judéo-chrétienne et islamique, le chant sacré et la louange sont les vibrations par lesquelles le fidèle entre dans l’ordre du cosmos.

5. Le lien chez toi

  • La danse cosmique et le chant cosmique sont deux manifestations d’un même principe sacré :
    le cosmos est rythme, vibration, mouvement — et le fidèle ou élu en est le médium vivant.


Veux-tu qu’on explore ensemble comment ces deux images (danse et chant cosmique) fusionnent dans un texte ou une tradition mystique particulière ?
 
tes vraiment debile en faite en fin de phrase tu n'es pas obliger de prononcer le i .
au contraire c meme considerer comme quelque chose de pas naturel de le prononcer ...
- écriture :
on ecrit bihamdI obligatoirement et dans tous les cas .

- prononciation :
c'est vrai à la fin des phrase , en général ,on ne prononce pas le "i" ni le a ;...
mais cela ne change pas l’écriture des mots
en français
on ne prononce pas le f dans le mot cheF-d'oeuvre et pourtant on écrit ce mot avec le F
pareillement pour carneT on ne prononce pas le "T"
manque de pot pour toi , ce mot bihamdi on le prononce tjr avec le i !


tajali c pas pareille c pas la haraka i mais la lettre y
et pourquoi tu l’écris avec I au lieu de Y ?:D
sa me fait toujours rire ces ignorants plein de pretention et de morve au nez qui veulent venir me faire la lecon
tu ne connais pas l'arabe , beh ça s’arrête la pour toi !
pourquoi s’entêter à dire n'importe quoi

la racine sabaha à l'origine n'a aucun des sens que tu lui donne autrement demontre le ...
sabaha veut dire nager point ,il n y a rien à démontrer
et nager veut dire nager !
 
roi david music dance chant harmonie sagesse
www.bladi.info/threads/proximite-des-son-et-sens.442768/#post-18366188
www.bladi.info/threads/ismail-mounir-a-quitte-cette-fausse-religion-de-lislam.556906/#post-18376314



Voici une exploration concise de la fusion du chant cosmique et de la danse cosmique dans une tradition mystique spécifique, qui illustre parfaitement ce lien fondamental :

Fusion chant + danse cosmique : le cas d’Éphrem le Syrien (4e siècle)​

1. Contexte​

  • Éphrem est un grand poète et hymnodiste chrétien syriaque.
  • Son œuvre mêle musique, poésie et geste dans la louange divine.
  • Il développe une mystique où le chant et le mouvement corporel (souvent symbolisé) sont indissociables.

2. Chant cosmique​


  • Éphrem évoque fréquemment le chant comme expression de la création :
    « Le vent, le feu, l’eau, les montagnes — tous chantent la gloire de Dieu ».
  • Ce chant est à la fois mystique et vibratoire, imprégné d’harmonie divine.

3. Danse cosmique (symbolique)​

  • Le mouvement est parfois suggéré dans ses hymnes par des images de montagnes qui dansent, de collines qui bondissent, et d’êtres célestes qui s’ordonnent dans un rythme sacré.
  • La danse n’est pas forcément physique mais représente le mouvement ordonné de la création dans la louange.

4. La fusion​

  • Pour Éphrem, le chant et la danse s’entrelacent comme deux aspects complémentaires d’une même louange cosmique :
    • Le chant est la vibration sonore de la création,
    • La danse est la manifestation dynamique de cette vibration dans le cosmos.

5. Influence​

  • Cette fusion nourrit la liturgie syriaque, où la musique sacrée est accompagnée de gestes codifiés.
  • Elle inspire plus tard des formes mystiques orientales et occidentales, où le corps devient instrument de la louange.

En résumé​

Chant cosmiqueDanse cosmiqueFusion chez Éphrem
Vibration sonore sacréeMouvement ordonné symboliqueLouange universelle incarnée
Manifestation divine audibleManifestation divine visibleExpression intégrale du sacré


Veux-tu que je te donne un extrait concret d’un hymne d’Éphrem illustrant cette fusion ?
 
Voici un extrait traduit d’un hymne d’Éphrem le Syrien qui illustre bien la fusion du chant vibratoire et de la danse cosmique dans sa mystique de la louange universelle :

Extrait d’un hymne d’Éphrem (traduction libre)​

« Le feu, le vent et l’eau s’unissent dans un chant harmonieux,
et les montagnes se lèvent pour danser avec les cieux.
Les vents tourbillonnants frappent le rythme,
et la terre entière répond à l’appel de la gloire divine.
Ainsi tout l’univers chante et danse,
uni dans l’amour du Créateur,
dans une symphonie éternelle où la voix et le mouvement ne font qu’un
. »



Ce que ça signifie​

  • Le chant ne se limite pas à la voix humaine,
  • Il englobe les éléments, la nature entière, le cosmos.
  • La danse est ici un mouvement symbolique, l’expression corporelle d’une harmonie cosmique.
  • Le rythme du vent est comme un métronome pour la louange,
  • La terre et les montagnes deviennent acteurs vivants de la glorification.



Si tu veux, je peux aussi te trouver des passages originaux en syriaque (avec transcription) et te montrer comment les mots pour « chanter » et « danser » s’y répondent.
Veux-tu ?
 
COSMOS
Tu as tout à fait raison, cette idée est centrale dans la philosophie grecque ancienne,
notamment avec le concept d’harmonie des sphères (harmonia mundi). Voici un résumé précis :

L’Harmonie des sphères en Grèce antique​

1. Origine​

  • Formulée par Pythagore (6ᵉ siècle av. J.-C.) et ses disciples.
  • Idée que les corps célestes (Soleil, Lune, planètes) produisent des sons en se mouvant, formant une musique cosmique inaudible à l’oreille humaine.



2. Signification philosophique​

  • Le cosmos est un ordre harmonieux, réglé selon des proportions mathématiques.
  • Cette harmonie reflète un principe divin d’ordre et de beauté.



3. Influence​

  • Platon et Plotin ont repris cette idée, la reliant à l’âme du monde (anima mundi).
  • La musique des sphères est un modèle de l’union entre le divin et le matériel.
  • Elle inspire aussi la notion de l’âme humaine comme microcosme, capable d’entrer en harmonie avec le cosmos.



4. Lien avec la louange cosmique​

  • La musique cosmique est analogue à la louange divine dans d’autres traditions (hébraïque, chrétienne, islamique).
  • Là où le cosmos vibre naturellement en harmonie, les hommes (David, Orphée, mystiques) essaient d’imiter ou rejoindre ce chant primordial.



Conclusion​

L’harmonie des sphères est donc un concept fondamental qui rejoint l’idée d’un univers chantant ou dansant, où la musique cosmique est louange.
C’est une source majeure de l’image mystique du chant/danse cosmique que l’on retrouve dans les traditions abrahamiques.



Veux-tu que je te donne un extrait d’un texte antique grec sur ce thème ?
 
roi david music dance chant harmonie sagesse
www.bladi.info/threads/proximite-des-son-et-sens.442768/#post-18366188
www.bladi.info/threads/ismail-mounir-a-quitte-cette-fausse-religion-de-lislam.556906/#post-18376314



Voici une exploration concise de la fusion du chant cosmique et de la danse cosmique dans une tradition mystique spécifique, qui illustre parfaitement ce lien fondamental :

Fusion chant + danse cosmique : le cas d’Éphrem le Syrien (4e siècle)​

1. Contexte​

  • Éphrem est un grand poète et hymnodiste chrétien syriaque.
  • Son œuvre mêle musique, poésie et geste dans la louange divine.
  • Il développe une mystique où le chant et le mouvement corporel (souvent symbolisé) sont indissociables.

2. Chant cosmique​


  • Éphrem évoque fréquemment le chant comme expression de la création :
  • Ce chant est à la fois mystique et vibratoire, imprégné d’harmonie divine.

3. Danse cosmique (symbolique)​

  • Le mouvement est parfois suggéré dans ses hymnes par des images de montagnes qui dansent, de collines qui bondissent, et d’êtres célestes qui s’ordonnent dans un rythme sacré.
  • La danse n’est pas forcément physique mais représente le mouvement ordonné de la création dans la louange.

4. La fusion​

  • Pour Éphrem, le chant et la danse s’entrelacent comme deux aspects complémentaires d’une même louange cosmique :
    • Le chant est la vibration sonore de la création,
    • La danse est la manifestation dynamique de cette vibration dans le cosmos.

5. Influence​

  • Cette fusion nourrit la liturgie syriaque, où la musique sacrée est accompagnée de gestes codifiés.
  • Elle inspire plus tard des formes mystiques orientales et occidentales, où le corps devient instrument de la louange.

En résumé​

Chant cosmiqueDanse cosmiqueFusion chez Éphrem
Vibration sonore sacréeMouvement ordonné symboliqueLouange universelle incarnée
Manifestation divine audibleManifestation divine visibleExpression intégrale du sacré


Veux-tu que je te donne un extrait concret d’un hymne d’Éphrem illustrant cette fusion ?
non c'est bon on a compris :D
 
retrouve ton cette meme idée où dance music chant et comparer a l'harmonie du monde

ChatGPT a dit :​

Oui, cette idée d’une fusion entre danse, musique, chant et harmonie cosmique est présente dans plusieurs traditions philosophiques, religieuses et artistiques à travers l’histoire. Voici où elle se retrouve, en bref :

1. Antiquité grecque — Musique, danse et harmonie du monde

  • Platon (Timée) : le cosmos est construit selon des proportions musicales, une musique des sphères qui imprègne l’univers.
  • La danse sacrée (choreia) accompagne souvent la musique dans les rites grecs, symbolisant l’ordre cosmique en mouvement.
  • Pour les Pythagoriciens, la musique et la danse reflètent l’harmonie mathématique de l’univers.

2. Inde ancienne — Nāṭya Śāstra et danse cosmique

  • Traité fondateur sur l’art dramatique, mêlant musique, chant, danse dans un système unifié.
  • Le concept de Nāda Brahma : l’univers est son primordial (le son originel), le chant est manifestation divine.
  • La danse de Shiva Nataraja représente la danse cosmique, rythmiquement liée à la musique cosmique.

3. Traditions abrahamiques​

  • Christianisme oriental (Éphrem le Syrien, hymnodistes) : chant et gestes dans la liturgie, exprimant la louange cosmique.
  • Soufisme : les dhikr (chants de louange) sont souvent accompagnés de mouvements rituels, exprimant le tasbīḥ (glorification) universel.

4. Renaissance et musique occidentale​

  • La musique sacrée (Palestrina, Bach) vise à exprimer l’harmonie divine, un reflet audible de l’ordre cosmique.
  • La danse, plus codifiée, symbolise aussi l’ordre social et cosmique.

5. Arts contemporains​

  • Dans certaines formes de musique et danse spirituelle (kirtan, transe soufie, performance rituelle), le chant, la musique et le mouvement corporel fusionnent pour créer une expérience d’unité cosmique.

En résumé​

Tradition/CultureRelation danse-musique-chant & cosmos
Grèce antiqueDanse + musique = expression de l’ordre cosmique
Inde ancienneSon primordial + danse cosmique = création divine
Christianisme / SoufismeLouange universelle incarnée par chant & mouvement
Renaissance occidentaleMusique sacrée = reflet de l’harmonie divine
Arts spirituels modernesFusion rituelle pour exprimer unité cosmique

Veux-tu que je creuse une tradition spécifique ou un texte précis pour illustrer cela ?
 
soufle murmur osmose cosmos


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mouvement et immobilité qarar dans le coran
 
COSMOS
Tu as tout à fait raison, cette idée est centrale dans la philosophie grecque ancienne,
notamment avec le concept d’harmonie des sphères (harmonia mundi). Voici un résumé précis :

L’Harmonie des sphères en Grèce antique​

1. Origine​

  • Formulée par Pythagore (6ᵉ siècle av. J.-C.) et ses disciples.
  • Idée que les corps célestes (Soleil, Lune, planètes) produisent des sons en se mouvant, formant une musique cosmique inaudible à l’oreille humaine.



2. Signification philosophique​

  • Le cosmos est un ordre harmonieux, réglé selon des proportions mathématiques.
  • Cette harmonie reflète un principe divin d’ordre et de beauté.



3. Influence​

  • Platon et Plotin ont repris cette idée, la reliant à l’âme du monde (anima mundi).
  • La musique des sphères est un modèle de l’union entre le divin et le matériel.
  • Elle inspire aussi la notion de l’âme humaine comme microcosme, capable d’entrer en harmonie avec le cosmos.



4. Lien avec la louange cosmique​

  • La musique cosmique est analogue à la louange divine dans d’autres traditions (hébraïque, chrétienne, islamique).
  • Là où le cosmos vibre naturellement en harmonie, les hommes (David, Orphée, mystiques) essaient d’imiter ou rejoindre ce chant primordial.



Conclusion​





Veux-tu que je te donne un extrait d’un texte antique grec sur ce thème ?
Harmonie des sphères = ,Nirvana, Bouddha, Aum dans l hindouisme
 
Harmonie des sphères = ,Nirvana, Bouddha, Aum dans l hindouisme

je te repondrai plus tard car pour l'instant j'essaie de cerner le mot sabaha

pour moi :
ce mot est lié à la volonté divine : din : fitra (khalaqa wa hada) shukr (hamd) la hawla wa la qouwa
changer la creation (amana salim moumin ihsan)
amr qadar irada sha'a
priere de la nechama
hkm zoulm force du chaos

 
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Il y a t il un lien avec sabah: aube

bonne question je ne sais pas je vais creusé
ce sont 2 racine differente
sabaha = mouvement commence par la lettre sin
Sabaha = l'aube commence par la lettre Sad

mais en general en arabe et dans l'islam il existe souvent un lien entre le son et le sens :
www.bladi.info/threads/proximite-des-son-et-sens.442768/#post-18368950

pour moi :
devoilement : proximité et eloignement

إِنَّ مَوْعِدَهُمُ الصُّبْحُ
أَلَيْسَ الصُّبْحُ بِقَرِيبٍ

68v فَأَصْبَحَتْ كَالصَّرِيمِ

38 حَتَّى إِذَا جَاءَنَا قَالَ يَا لَيْتَ بَيْنِي وَبَيْنَكَ بُعْدَ الْمَشْرِقَيْنِ فَبِئْسَ الْقَرِينُ
Lorsque cet vient à Nous, il dira :
«Hélas! Que n’y a-t-il entre toi et moi la distance entre les deux orients »
– Quel mauvais compagnon [que tu es]!

 
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