Qu'est-ce que le khimâr ?

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion Prizma
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C'est toi qui est ridicule avec tes mensonges mais je préfère voir des gens
se rapprocher de la vérité que de les voir dans le mensonge . Le terme chrétien
est impropre tu le sais dois je te rappeler son histoire avec les Romains ?
Les disciples de Jésus Christ étaient quoi ?
On sait que les païens parmi les chrétiens ont appelé les musulmans, les mahométans par le passé, terme qu'on a refusé avec force.
Il s'est juste passé la même chose avec les chrétiens, les païens les ont nommé "chrétiens" et ils n'ont pas refusé le terme...

Nous nous appelons les musulmans et non les mahométans. Que le terme soit correcte en français, il ne s'impose pas à nous car votre paradigme (le fait de prendre vos désirs pour des réalités) ne peut s'appliquer dans ce cas, surtout quand le terme est d'une fausseté étonnante par rapport à la croyance islamique.


Le Coran rappelle à plusieurs endroits que nous devons être musulman (mouslimine), le Texte Sacré nous apprend également que c'est notre père Ibrahim(psl) qui nous a appelé ainsi, tandis que la Bible nous apprend que ce sont les païens qui vous ont appelé de la sorte.
Muhammad(saws) a entendu le terme de "mouslim" durant sa vie, Jésus(as) n'a jamais entendu le terme de "chrétien" durant la sienne. Il devient dès lors évident, que cette appellation est le fruit des païens envers la croyance des disciples du Christ.
 
Tu connais la vie d'ibn abbas ? c'est un Saint ? ont-ils étudié
la manuscrits des Saintes Ecritures pour affirmer qu'elles furent falsifiées ?

200 plus tard ? pas un seul auteur de la mecque tu trouves pas ceci bizarre ? les auteurs sont connus c'est faux . Les gens oublient vite si on ne met pas par écrit.
Tu te souviens de ce que tu as mangé il y a 7 jours ?
Les hadiths ont plusieurs avantages vos evangiles ecrit par des auteurs inconnus un siecle apres le départ *de Jesus.
Sachez que la rédaction du Hadîth est selon trois formes :
1ère forme : mise par écrit ponctuellement quelques Hadîths.
2ème forme : constitution de recueils personnels, destinés avant tout à l'utilisation personnelle.
éventuellement utilisés ensuite comme base d'enseignement.
3ème forme : constitution de recueils destinés directement à la préservation, à l'enseignement et à la transmission des Hadîths.

-
A. Pendant le vivant du Prophète : rédaction ponctuelle :

Le Prophète avait interdit qu'on écrive de lui autre chose que le Coran (rapporté par Muslim). En fait, l'objectif était alors évident : il craignait que des gens fassent la confusion entre les versets du Coran (parole de Dieu) et ses Hadîths (ses paroles àlui). Néanmoins, de façon ponctuelle, le Prophète a parallèlement permis que l'on écrive telle ou telle de ses paroles.

Abû Shâh demanda ainsi qu'on écrive les paroles que le Prophète avait prononcées à La Mecque, et le Prophète proclama explicitement : "Que l'on écrive (ces paroles) pour Abû Shâh".

Il y a également ce que le Prophète avait fait écrire à propos des quorums et des montants de l'impôt-zakâte.

De même, Alî possédait un feuillet sur lequel il avait inscrit des Hadîths et qu'il gardait dans le fourreau de son épée.

Enfin, le Prophète avait explicitement permis à Abdullâh ibn Amr ibn ul-'As d'écrire toutes ses paroles. Celui-ci se constitua peu à peu un véritable recueil, qu'il nomma As-Sahîfa as-sâdiqa, auquel il se référait parfois face à une question. Même Abû Hurayra, célèbre narrateur de Hadîths, évoquait le fait que Abdullâh ibn Amr "écrivait" alors que lui il "n'écrivait pas".

Nous retrouvons donc ici, pendant le vivant même du Prophète, les 1ère et 2ème formes de la rédaction du Hadîth.


http://www.maison-islam.com/articles/?p=236
Tu te contredis car tu utilises des citations humaines qui ont été écrites 200 ans
plus tard après 632 pour essayer de te justifier . Le chien qui se mord la queue
Tu dois trouver quelque chose de récent assez proche de 632 pour te justifier
pour prouver ce que tu dis sinon c'est trop facile . Dans ces cas là n'importe qui pourrait inventer des dires même 500 ans plus tard .Tu vois bien que ce sont des manipulations pour comtrôler les peuples . Je répète est ce que le prophète
Moïse racontait sa vie ou bien il annonçait la Parole de Dieu ? Est ce qu'on a écrit un livre sur la vie de Moïse ? comment il mangeait il dormait il se lavait etc etc ?
 
Le dictionnaire de Dom Augustin Calmet dit ceci à propos du terme "chrétien" :
Christianus, disciple de Jésus-Christ. Ce fut à Antioche que l’on commença à distinguer les Chrétiens des Juifs, et qu’on leur donna le nom de Chritianus ou disciple de Christ. {#Ac 11:26} On les nommait communément frères, fidèles, saints, croyants. Les païens leur donnèrent aussi le nom de Nazaréens et de Galiléens, parce que Jésus-Christ était de Nazareth en Galilée.

Nous voyons que c’est au milieu d’influences totalement païennes que les disciples du Christ furent nommés chrétiens, que c’est dans des cités où l’influence païenne était énorme que les premières églises se trouvaient et que c’est parmi toute cette culture païenne (déesse anatolienne Cybèle, l’Artémis, Diane d’Ephèse, ou le haut lieu du dieu Men) que Paul prêchait « avec l’assurance d’avoir sujet de se glorifier » et non pas « selon le Seigneur, mais comme par folie ».

Il semblerait donc au vu de toutes ces preuves, que ça soit finalement les païens qui aient décerné le nom de "chrétiens" pour la première fois aux disciples.
L'origine est due à certains judéens suite à des révoltes et ce nom fut donné par l'administration romaine pour les nommer .
En 47, commence la mission de Saint Paul au départ d’Antioche vers l’Asie Mineur, la Grèce, l’Italie .
Observe bien encore :
Marullus était préfet romain de la province de Judée de 38 à 41 sous l'empereur Caligula (37 à 41). Il était le septième gouverneur de cette province.

Il a été nommé par l'empereur à la suite du renvoi de Ponce Pilate par Lucius Vitellius dans une procédure exceptionnelle, La période pendant laquelle il a été préfet était un temps d'agitation très dangereux en raison de la détermination de Caligula à placer sa statue dans le Temple de Jérusalem, ce qui revenait à en faire un sanctuaire impérial, une immense provocation pour les "Juifs".

Disciples et prosélytes face au pouvoir romain
Ce long détour par trois grandes villes du monde romain a fait apparaître la description d'un messianisme juif dont les grandes lignes peuvent être discernées d'après les réactions romaines aux troubles qu'il causa, spécialement sous Caligula. En son centre il y avait une urgence eschatologique, mais celle-ci était étoffée par l'adjonction d'intérêts particuliers – liberté, exemption de taxes ; elle suscita une insurrection dans la communauté juive et aussi parmi les prosélytes et les païens bien disposés, spécialement à Antioche.

Primitivement, ce messianisme n'a aucun lien identifiable avec Jésus et ses successeurs ; plus tard, une fois que le lien fut établi dans la situation confuse créée à Antioche, le titre criminel de « chrétien » fut attaché définitivement aux disciples de Jésus.

On peut ajouter la remarque que le corps social des disciples s'est développé selon deux voies : à côté de petits groupes de croyants, il y avait des foules assez considérables pour inquiéter les autorités romaines. Le lien entre ces deux entités n'est pas encore très clair. Telle était déjà la réalité entourant Jésus dans le monde "juif".

8 Mais vous, ne vous ne soyez pas appeler Rabbi; car un seul est votre Maître, à savoir _Christ; et vous, vous êtes tous frères. (Matthieu 23)
 
On sait que les païens parmi les chrétiens ont appelé les musulmans, les mahométans par le passé, terme qu'on a refusé avec force.
Il s'est juste passé la même chose avec les chrétiens, les païens les ont nommé "chrétiens" et ils n'ont pas refusé le terme...

Nous nous appelons les musulmans et non les mahométans. Que le terme soit correcte en français, il ne s'impose pas à nous car votre paradigme (le fait de prendre vos désirs pour des réalités) ne peut s'appliquer dans ce cas, surtout quand le terme est d'une fausseté étonnante par rapport à la croyance islamique.


Le Coran rappelle à plusieurs endroits que nous devons être musulman (mouslimine), le Texte Sacré nous apprend également que c'est notre père Ibrahim(psl) qui nous a appelé ainsi, tandis que la Bible nous apprend que ce sont les païens qui vous ont appelé de la sorte.
Muhammad(saws) a entendu le terme de "mouslim" durant sa vie, Jésus(as) n'a jamais entendu le terme de "chrétien" durant la sienne. Il devient dès lors évident, que cette appellation est le fruit des païens envers la croyance des disciples du Christ.
On remarquera aussi que les textes historiques ne disent pas que ces Arabes ayant conquis la Terre sainte étaient des "Musulmans". Ce nom était alors encore parfaitement inconnu.
Vers 634-640, la "Doctrina Jacobi" donnait le nom de "Sarrasins" à ces Arabes.
En 639, le Colloque avec le patriarche Jean les appellait des "Mahgrayes" (Muhagireens = "Muhadjirs / Muhâjirûns" = "Ceux de l'Exode") et disait que leur Emir avait ordonné de traduire l'Évangile en arabe.
En 640, Thomas le Presbytre parlait des "Arabes Mhmt" ("Tayayê d-Mhmt") qui ont vaincu les Byzantins près de Gaza en 634.
En 640, les lettres de l'Evêque Isho'yahb III les appellaient "Mahgres" ou "Mahgrayes" .
En 642 les Byzantins parlaient des Magaritais.
En 684, Athanase les appellait également Mahgrayes.
En 705, Jacques d'Édesse leurs donnait le nom d' "Hagarenes" (= Descendants d’Abraham par Agar).
En 746, dans son "Traité des hérésies", Jean Damascène (676-749) les appelait ismaélites, Agarènes ou Saracènes (sarrasins) :
"Il y a aussi la religion des Ismaélites qui domine encore de nos jours, égare les peuples, et annonce la venue de l’antéchrist. Elle tire son origine d’Ismaël, le fils d’Abraham et d’Agar. Pour cette raison on les nomme Agarènes et Ismaélites ; on les appelle aussi Saracènes / Sarrasins, ce qui signifie 'dépouillé par Sara'. Agar répondit, en effet, à l’Ange : 'Sara m’a renvoyée dépouillée'. Jadis ils étaient idolâtres et adoraient l’Etoile du Matin et Aphrodite, qu’ils ont appelée précisément Chabar (Shahar, l'étoile du matin) dans leur langue, ce qui veut dire 'Grande."

Quand tu dis je suis musulman cela ne veut rien dire car ce terme désigne une perfection une complétude et non pas un parti
un mouvement . Le vrai terme qu'il faudrait utiliser est celui de frère et soeur puisque nous sommes tous issu d'Adam et Eve.
8 Mais vous, ne vous ne soyez pas appeler Rabbi; car un seul est votre Maître, à savoir _Christ; et vous, vous êtes tous frères.
(Matthieu 23)
 
Tu t'appuies sur quelles sources pour dire 200 ans plus tard?
Mouhammad al-Boukhari (en arabe : محمد البخاري), connu populairement sous le nom d'imam Boukhari ou d’Al-Boukhari (810 - 870)

Tabarî ou Mohammad bin Jarīr bin Yazīd al-Imām abū Ja`far (persan : محمد بن جریر طبری), né en 839 au Tabaristan en Iran et mort le 17 février 923 à Bagdad[1],

Muslim ou Abû al-Husayn Muslim ben al-Hajjaj al-Quchayri an-Nisaburi (né à Nichapur en Iran vers 821; décédé le 6 mai 875

Ibn Taymiyya[1] (né en 1263 à Harran, mort en 1328 à Damas), est un théologien et un juriconsulte (faqîh)

`Imâd ad-Dîn abû al-Fidâ' 'Ismâ`îl ben `Umar ben Kathîr ou Ibn Kathîr est un juriste shâfi'ite, théologien ash'arite, traditionniste arabe musulman et historien. Il est né en 1301 à Bosra au sud de la Syrie. Ibn Kathîr est mort en février 1373 à Damas.
Je ne parles pas des conflits et des querelles . Certains n'ont jamais existé .
 
On remarquera aussi que les textes historiques ne disent pas que ces Arabes ayant conquis la Terre sainte étaient des "Musulmans". Ce nom était alors encore parfaitement inconnu.
Vers 634-640, la "Doctrina Jacobi" donnait le nom de "Sarrasins" à ces Arabes.
En 639, le Colloque avec le patriarche Jean les appellait des "Mahgrayes" (Muhagireens = "Muhadjirs / Muhâjirûns" = "Ceux de l'Exode") et disait que leur Emir avait ordonné de traduire l'Évangile en arabe.
En 640, Thomas le Presbytre parlait des "Arabes Mhmt" ("Tayayê d-Mhmt") qui ont vaincu les Byzantins près de Gaza en 634.
En 640, les lettres de l'Evêque Isho'yahb III les appellaient "Mahgres" ou "Mahgrayes" .
En 642 les Byzantins parlaient des Magaritais.
En 684, Athanase les appellait également Mahgrayes.
En 705, Jacques d'Édesse leurs donnait le nom d' "Hagarenes" (= Descendants d’Abraham par Agar).
En 746, dans son "Traité des hérésies", Jean Damascène (676-749) les appelait ismaélites, Agarènes ou Saracènes (sarrasins) :
"Il y a aussi la religion des Ismaélites qui domine encore de nos jours, égare les peuples, et annonce la venue de l’antéchrist. Elle tire son origine d’Ismaël, le fils d’Abraham et d’Agar. Pour cette raison on les nomme Agarènes et Ismaélites ; on les appelle aussi Saracènes / Sarrasins, ce qui signifie 'dépouillé par Sara'. Agar répondit, en effet, à l’Ange : 'Sara m’a renvoyée dépouillée'. Jadis ils étaient idolâtres et adoraient l’Etoile du Matin et Aphrodite, qu’ils ont appelée précisément Chabar (Shahar, l'étoile du matin) dans leur langue, ce qui veut dire 'Grande."

Quand tu dis je suis musulman cela ne veut rien dire car ce terme désigne une perfection une complétude et non pas un parti
un mouvement . Le vrai terme qu'il faudrait utiliser est celui de frère et soeur puisque nous sommes tous issu d'Adam et Eve.
8 Mais vous, ne vous ne soyez pas appeler Rabbi; car un seul est votre Maître, à savoir _Christ; et vous, vous êtes tous frères.
(Matthieu 23)
Votre argumentation est la meme et vos réponses sont pleine de désespoir.
Essaye de démonter ce que je viens de citer au lieu de déblattérer
 
Essaye de démonter ce que je viens de citer au lieu de déblattérer

Je ne vais pas perdre pas mon temps a demonter du vent,deplus nous vous avons repondu a mainte reprise deja.
Les arabes ne sont pas entrés dans l'histoire du proche-orient à l'arrivée de l'Islam.
On les trouve déjà cités dans les chroniques des rois assyriens dés le VIII siècle avant l’ère commune. Les royaumes d'Arabie des Sud (Saba', Minéens, Himyar ...) vers le début du Ier millénaire avant l’ère chrétienne ont créé une civilisation de haute-culture. Les tribus arabes en s'infiltrant dans le croissant fertile, créèrent les civilisations nabatéennes et palmyriennes... Ceci pour dire que les arabes à l'instar des autres peuples de la région furent en contact et donc influencés par toute les civilisations de la région babylonienne, assyrienne, égyptienne, perse, hellénistique, juive, romaine, chrétienne , sans toutefois oublier leur propre culture (langues arabiques, panthéons et divinités locales et pan-arabes, littérature . Au vu de tout ceci, vouloir faire de l'Islam le simple rejettons d'une obscure secte chrétienne n'est à mon avis, pas tenable scientifiquement.
 
Mouhammad al-Boukhari (en arabe : محمد البخاري), connu populairement sous le nom d'imam Boukhari ou d’Al-Boukhari (810 - 870)

Tabarî ou Mohammad bin Jarīr bin Yazīd al-Imām abū Ja`far (persan : محمد بن جریر طبری), né en 839 au Tabaristan en Iran et mort le 17 février 923 à Bagdad[1],

Muslim ou Abû al-Husayn Muslim ben al-Hajjaj al-Quchayri an-Nisaburi (né à Nichapur en Iran vers 821; décédé le 6 mai 875

Ibn Taymiyya[1] (né en 1263 à Harran, mort en 1328 à Damas), est un théologien et un juriconsulte (faqîh)

`Imâd ad-Dîn abû al-Fidâ' 'Ismâ`îl ben `Umar ben Kathîr ou Ibn Kathîr est un juriste shâfi'ite, théologien ash'arite, traditionniste arabe musulman et historien. Il est né en 1301 à Bosra au sud de la Syrie. Ibn Kathîr est mort en février 1373 à Damas.
Je ne parles pas des conflits et des querelles . Certains n'ont jamais existé .

Quelle est le rapport?
 
Les langues syriaque et arabe font partie des langues sémitiques, langues ayant donc la même grammaire et se basant sur des racines en général trilitères ( prenez la racine ktb et vous pouvez en sortir une presque infinité de mots et de sens dans toutes les langues sémites connues). Aussi, est ce trop facile de prendre une phrase du Coran, de la triturer dans tous les sens pour en sortir une autre révélation dans la langue syriaque, araméenne ou en guéze.
 
Peut-on aujourd'hui affirmer que la révélation coranique est issue d'une secte chrétienne ? Au vu des connaissances et des travaux actuels, la réponse est certainement non. Ce qui ne veut pas dire qu'on ne peut pas déceler dans le Coran des influences juives ou chrétiennes (et autres).
Par ailleurs, il est très intéressant de remarquer que le travail de Luxenberg,gallez,Goldziher,De Prémare,Crone etc se situe dans une longue tradition de controverses entre musulmans et chrétiens, puisque au VIIIéme siècle déjà des savants chrétiens traitaient de l'Islam dans les traités d'hérésiologie. Comme quoi on peut utiliser les moyens scientifiques les plus modernes à notre disposition et continuer intellectuellement à faire du vieux.

L'expansion Arabe en dehors d'Arabie n'avait pas pour objectif premier la prise de Jérusalem. Cette expansion répondait à une stratégie plus ambitieuse et qui va bien au-delà de la simple prise de Jérusalem. Ainsi, avant la prise de Jérusalem, furent successivement attaqués de 629 à 634, les localités de Mu'ta (vers la mer Morte), Yubna en Palestine, Gaza et les alentours de Damas.

Le statut de ville sainte de Jérusalem (même si en fait ce concept n'existe pas en Islam. On parle plutôt de Haram où zone sacrée et c'est le dôme du Rocher avec la mosquée de Omar qui constituent le Haram) ne s'est imposée réellement qu’après la première croisade. Après la chute de Jérusalem un immense mouvement de propagande en faveur de la reconquête de Jérusalem a traversé le monde musulman sunnite. Cette propagande fut l’œuvre des ulémas sunnites pour convaincre les pouvoirs politiques (califat abbasside, sultanat seldjoukide, principautés turques...) de la nécessité de lancer le Djihad pour la reprise de Al-Quds.
 
Les langues syriaque et arabe font partie des langues sémitiques, langues ayant donc la même grammaire et se basant sur des racines en général trilitères ( prenez la racine ktb et vous pouvez en sortir une presque infinité de mots et de sens dans toutes les langues sémites connues). Aussi, est ce trop facile de prendre une phrase du Coran, de la triturer dans tous les sens pour en sortir une autre révélation dans la langue syriaque, araméenne ou en guéze.
Certes. Mais la langue syriaque, en tant que langue litturgique véhiculaire des concepts sacrés et religieux s'est entre-mêlée à l'arabe litturgique du Coran. De nombreux termes coraniques sont une adoption de termes syriaques et hébreux. De même, de nombreuses tournures littéraires du Coran sont parrallèles à des tournures des textes sacrés en syriaque et en hébreu, et souvent s'ancent même plus profondément dans des concepts encore plus anciens typiquement sémitiques. Souligner des parrallèles terminologiques et littéraires du genre grammatical ou sémantique, stylistique entre des passages obscurs du Coran, avec la littérature judéo-chrétienne syrriaque ou hébraique ne relève par conséquent pas de la fantaisie. C'est une approche linguistique, philologique et paléographique du Coran, qui se confirme lui-même être dans la continuité de la Bible. On peut ne pas partager toutes les hypothèses philologiques des spécialistes pour des raisons aussi bien théologiques que critiques, mais la méthodologie est rigoureusement académique et mérite au moins réflexion. Il n'existe pas de dictionnaire arabe contemporain à la rédaction du Coran. Mais la littérature syriaque semble permettre un essai d'approche philologique du Coran, précisément pour les passages devenus les plus obscurs. Lors de la codification et de la canonification des variantes, la langue pure de qoraiche a été imposée dans le triage. Or, souvent le Prophète utilisait des termes que ses propres compagnons ignoraient et dont ils demandaient le sens. Car la maitrise théologique et litturgique de Muhammad faisait qu'il avait un vocabulaire religieux très étoffé, et utilisait des mots syriaques et hébreu.
 
Certes. Mais la langue syriaque, en tant que langue litturgique véhiculaire des concepts sacrés et religieux s'est entre-mêlée à l'arabe litturgique du Coran. De nombreux termes coraniques sont une adoption de termes syriaques et hébreux. De même, de nombreuses tournures littéraires du Coran sont parrallèles à des tournures des textes sacrés en syriaque et en hébreu, et souvent s'ancent même plus profondément dans des concepts encore plus anciens typiquement sémitiques. Souligner des parrallèles terminologiques et littéraires du genre grammatical ou sémantique, stylistique entre des passages obscurs du Coran, avec la littérature judéo-chrétienne syrriaque ou hébraique ne relève par conséquent pas de la fantaisie. C'est une approche linguistique, philologique et paléographique du Coran, qui se confirme lui-même être dans la continuité de la Bible. On peut ne pas partager toutes les hypothèses philologiques des spécialistes pour des raisons aussi bien théologiques que critiques, mais la méthodologie est rigoureusement académique et mérite au moins réflexion. Il n'existe pas de dictionnaire arabe contemporain à la rédaction du Coran. Mais la littérature syriaque semble permettre un essai d'approche philologique du Coran, précisément pour les passages devenus les plus obscurs. Lors de la codification et de la canonification des variantes, la langue pure de qoraiche a été imposée dans le triage. Or, souvent le Prophète utilisait des termes que ses propres compagnons ignoraient et dont ils demandaient le sens. Car la maitrise théologique et litturgique de Muhammad faisait qu'il avait un vocabulaire religieux très étoffé, et utilisait des mots syriaques et hébreu.

Salam Prizma,il y'a juste lieu de préciser que les "emprunts" en question en sont pas nouveauté coranique mais fait de la langue de son époque, que de tels empruns (de mots) est chose naturelle dans toutes les langues, et encore plus dans la sphère sémitique qui a toujours été trés souple vet interperméable et que, enfin, ce n'est pas à cela que fait appel la conception arabe de la "langue pure".

Tout un chacun sait que le terme arabe (et coranique) Injîl vient du grec Evangéliôn et que le mot arabe Tawrât vient de l'hébreu Torâh,je serait bien étonné de voire ce que donnerait un texte de Victor Hugo sans voyelles, je pourrai eventuellement en tirer pas mal de choses.

Il faut savoir de quoi on parle car Luxennberg a dit énormement de betises.
 
Les arabes ne sont pas entrés dans l'histoire du proche-orient à l'arrivée de l'Islam.
On les trouve déjà cités dans les chroniques des rois assyriens dés le VIII siècle avant l’ère commune. Les royaumes d'Arabie des Sud (Saba', Minéens, Himyar ...) vers le début du Ier millénaire avant l’ère chrétienne ont créé une civilisation de haute-culture. Les tribus arabes en s'infiltrant dans le croissant fertile, créèrent les civilisations nabatéennes et palmyriennes... Ceci pour dire que les arabes à l'instar des autres peuples de la région furent en contact et donc influencés par toute les civilisations de la région babylonienne, assyrienne, égyptienne, perse, hellénistique, juive, romaine, chrétienne , sans toutefois oublier leur propre culture (langues arabiques, panthéons et divinités locales et pan-arabes, littérature
Des réponses valables comme celle-ci sont rares mais elle vient pas
de toi .
Au vu de tout ceci, vouloir faire de l'Islam le simple rejettons d'une obscure secte chrétienne n'est à mon avis, pas tenable scientifiquement.
L'auteur que tu cites n'ose pas aller trop loin . De plus il faut distinguer TROIS PERIODES celle correspond à l'idolâtrie pré-coranique cité plus haut avec celle d'après judéo-nazaréenne qui durera peu de temps (fin des Omeyades) et la dernière avec la mecque et l'arabisation du coran et ses hadiths .
 
@Remake

Comparons les similitudes entre les croyances antiques plus particulièrement mésopotamiennes et celles contenues dans l'Islam.

En dehors de similitudes avérées,nous avons egalement constaté que l'Akkadien était on ne peut plus proche de la langue arabe. Je parle bien de langue et non d'écriture je tiens à le préciser.

Permettez-moi donc de vous livrer un premier comparatif étonnant car il me semble que bien qu'étant toutes les deux des langues sémitiques. L'Akkadien est considéré comme la plus ancienne des lagues sémétiques.Sumériens Akkadiens.

Liste des analogies de vocabulaire :

En ce qui concerne les saisons (chaude et froide selon la classification données par Jean Bottéro dans «La plus vieille religion en mésopotamie») les analogies sont plus que frappantes. Jugez-en vous-mêmes !

Saison chaude

Nisan (mars-avril enAkkadien)--> nissan aw nissan (mois d'avril en Arabe)
Ayyar (avril-mai en Akkadien))--> ayyar (mois de mai en Arabe)
Siman (mai-juin en Akkadien)--> ?
Dumuzi (juin-juillet en Akkadien))--> tammuz ( mois de juillet en Arabe)
Ab (juillet-août en Akkadien--> ab (mois d'août en Arabe)
Elul/Ulul (août-septembre en Akkadien)--> ayloul (mois de septembre en Arabe)

-->hazziran-->mois de juin en Arabe
-->adhar--> mois de mars en Arabe
-->kanun thani-->mois de janvier en Arabe

Saison froide

Tesrit (septembre-octobre en Akkadien)
Warahsamma(octobre-novembre en Akkadien)
Kislim (décembre-janvier en Akkadien)
Tebet (décembre-janvier en Akkadien)
Sabat (janvier-février en Akkadien)--> shoubt (mois de février en Arabe)

Addar (février-mars en Akkadien)

-->kanoun al awal(mois de décembre en Arabe)
-->kanoun al thani(mois de janvier en Arabe)
-->tishrin al awal(mois d'octobre en Arabe)
-->tishrin thani(mois de novembre en Arabe)

Autres analogies .

Samas en Akkadien divinité du soleil, Shamss en Arabe pour désigner le soleil
Nawir en Akkadien étincelant, dérivé de Nour en Arabe qui signifi Lumière
Samê en Akkadien pour Ciel, Sama en Arabe
Ilû en Akkadien pour dieu, Ilah en Arabe
Ilî en Akkadien pour dieux, Ilahi en Arabe
Mêni en Akkadien pour de moi, Menni en Arabe
Abi en Akkadien pour père, Abi en Arabe
Ummi en Akkadien pour père, Oummi en Arabe
Malku en Akkadien pour roi, Malik en Arabe
Ki en Akkadien pour comme, Ki en Arabe
Il rêsi en Akkadien dieu de la Tête, Raass signifie tête en Arabe
Marâsum en Akkadien pour malade, Marrid en Arabe
Misaru en Akkadien pour justice, Saha en Arabe
Bîtu Akkadien pour maison, Bayt en Arabe

Les exemples sont encore nombreux mais il me paraît de plus en plus évident que l'Arabe a gardé une bonne partie de ses origines akkadiennes.
 
Les langues syriaque et arabe font partie des langues sémitiques, langues ayant donc la même grammaire et se basant sur des racines en général trilitères ( prenez la racine ktb et vous pouvez en sortir une presque infinité de mots et de sens dans toutes les langues sémites connues). Aussi, est ce trop facile de prendre une phrase du Coran, de la triturer dans tous les sens pour en sortir une autre révélation dans la langue syriaque, araméenne ou en guéze.
Il ne s'agit pas de prendre une phrase pour la triturer dans n'importe quel sens mais
de l'analyser de regarder de la décortiquer et d'en tirer des conclusions sur tous
les aspects . Il existe une discipline qui s'appelle " religion comparée" mais je doute que cette matière soit enseignée chez vous . Ou sont les dictionnaires étymologiques afin de faire des recherches ? Encore une fois la langue et l'écriture arabe n'existaient pas au 3 ième siècle après Jésus Christ .
Seul l'Araméen et le Syriaque un dialecte Araméen était de vigueur surtout dans la région d'Antioche et en Syrie . Les Nabatéens parlaient une langue très
proche de l'Araméen et c'est logique vu le commerce qu'ils entretenaient avec leurs voisins .
 
Mouhammad al-Boukhari (en arabe : محمد البخاري), connu populairement sous le nom d'imam Boukhari ou d’Al-Boukhari (810 - 870)

Tabarî ou Mohammad bin Jarīr bin Yazīd al-Imām abū Ja`far (persan : محمد بن جریر طبری), né en 839 au Tabaristan en Iran et mort le 17 février 923 à Bagdad[1],

Muslim ou Abû al-Husayn Muslim ben al-Hajjaj al-Quchayri an-Nisaburi (né à Nichapur en Iran vers 821; décédé le 6 mai 875

Ibn Taymiyya[1] (né en 1263 à Harran, mort en 1328 à Damas), est un théologien et un juriconsulte (faqîh)

`Imâd ad-Dîn abû al-Fidâ' 'Ismâ`îl ben `Umar ben Kathîr ou Ibn Kathîr est un juriste shâfi'ite, théologien ash'arite, traditionniste arabe musulman et historien. Il est né en 1301 à Bosra au sud de la Syrie. Ibn Kathîr est mort en février 1373 à Damas.
Je ne parles pas des conflits et des querelles . Certains n'ont jamais existé .

C'est bien ce que je pensais,tu confonds datation des recueils de hadiths authentique et hadith qui date de la période du Prophète(paix et bénédiction sur lui)!

Cette histoire de 250 ans plus tard est archi connue sur le net,qui est fausse bien sur,on surfe juste sur le fait que l'imam Al-Bukhari a choisi de compiler des hadiths avec une chaine de transmission sur pour donner l'oeuvre que l'on connait aujourd'hui,ignorant que les hadiths eux ne commencent pas avec le compilation du sahih d'AL-Bukhari mais sont antérieurs!

C'est soit de l'ignorance,soit un mensonge de ta part...;)
 
Des réponses valables comme celle-ci sont rares mais elle vient pas
de toi .

L'auteur que tu cites n'ose pas aller trop loin . De plus il faut distinguer TROIS PERIODES celle correspond à l'idolâtrie pré-coranique cité plus haut avec celle d'après judéo-nazaréenne qui durera peu de temps (fin des Omeyades) et la dernière avec la mecque et l'arabisation du coran et ses hadiths .


Quelle argumentation catastrophique,des affirmations gratuites sans fondements historique,sache que toute les hypothese de vos maitre a penser ont etaient refutés,ne vous en deplaise.
 
Certes. Mais la langue syriaque, en tant que langue litturgique véhiculaire des concepts sacrés et religieux s'est entre-mêlée à l'arabe litturgique du Coran. De nombreux termes coraniques sont une adoption de termes syriaques et hébreux. De même, de nombreuses tournures littéraires du Coran sont parrallèles à des tournures des textes sacrés en syriaque et en hébreu, et souvent s'ancent même plus profondément dans des concepts encore plus anciens typiquement sémitiques. Souligner des parrallèles terminologiques et littéraires du genre grammatical ou sémantique, stylistique entre des passages obscurs du Coran, avec la littérature judéo-chrétienne syrriaque ou hébraique ne relève par conséquent pas de la fantaisie. C'est une approche linguistique, philologique et paléographique du Coran, qui se confirme lui-même être dans la continuité de la Bible. On peut ne pas partager toutes les hypothèses philologiques des spécialistes pour des raisons aussi bien théologiques que critiques, mais la méthodologie est rigoureusement académique et mérite au moins réflexion. Il n'existe pas de dictionnaire arabe contemporain à la rédaction du Coran. Mais la littérature syriaque semble permettre un essai d'approche philologique du Coran, précisément pour les passages devenus les plus obscurs. Lors de la codification et de la canonification des variantes, la langue pure de qoraiche a été imposée dans le triage. Or, souvent le Prophète utilisait des termes que ses propres compagnons ignoraient et dont ils demandaient le sens. Car la maitrise théologique et litturgique de Muhammad faisait qu'il avait un vocabulaire religieux très étoffé, et utilisait des mots syriaques et hébreu.
Enfin tu commences à admettre que nos réponses ne sont pas dépourvues de sens .
 
Salam Prizma,il y'a juste lieu de préciser que les "emprunts" en question en sont pas nouveauté coranique mais fait de la langue de son époque, que de tels empruns (de mots) est chose naturelle dans toutes les langues, et encore plus dans la sphère sémitique qui a toujours été trés souple vet interperméable et que, enfin, ce n'est pas à cela que fait appel la conception arabe de la "langue pure".

Tout un chacun sait que le terme arabe (et coranique) Injîl vient du grec Evangéliôn et que le mot arabe Tawrât vient de l'hébreu Torâh,je serait bien étonné de voire ce que donnerait un texte de Victor Hugo sans voyelles, je pourrai eventuellement en tirer pas mal de choses.

Il faut savoir de quoi on parle car Luxennberg a dit énormement de betises.
Ces emprunts sont très nombreux et ont été déformés dans leur sens originel
d'ou la confusion sur beaucoup de termes comme " islam,imam,balad,din," etc
la liste est longue . Les arabes du sud n'avaient pas une connaissance biblique
profonde et pour eux ces termes étaient nouveaux contrairement aux arabes du nord (Arabie Pétrée) qui eux connaissaient les histoires de la Bible comme les
arabes Ghassanides et les Lakhmides .
 
Ces umprunts sont très nombreux et ont été déformés dans leur sens originel
d'ou la confusion sur beaucoup de termes comme " islam,imam,balad,din," etc
la liste est longue . Les arabes du sud n'avaient pas une connaissance biblique
profonde et pour eux ces termes étaient nouveaux contrairement aux arabes du nord (Arabie Pétrée) qui eux connaissaient les histoires de la Bible comme les
arabes Ghassanides et les Lakhmides .

Faut vraiment etre patient avec vous,oui il faut vraiment etre pedagogue.

En fait les recherches de Jeffery aspirent à montrer que les paroles qu'il a identifié comme étant d'origine étrangère ont effectivement été naturalisées et sont devenus des mots arabes ordinaires avant qu'ils ne viennent à être utilisé dans le Coran. Il énumère quelques 275 autres mots tels que les noms propres. "D'environ, les trois quarts des mots de cette liste", comme le souligne Watt, "il peut être démontré qu'ils ont été utilisés en arabe avant l'époque de Muhammad, ... Sur les 70 autres, s'il n'y a pas de preuves écrites de leur usage antérieu, il peut-être vrai qu'ils étaient déjà employés dans le discours ... " (fn. Watt, bell's Introduction etc., op. cit., p. 85).. Et compte tenu du fait que l'arabe, le syriaque, l'éthiopien, l'hébreu ou l'araméen juif sont des langues sémitiques apparentés ayant une origine commune dans l'original langue arabe-araméenne mentionné ci-dessus, ils ont beaucoup de mots en commun et aussi des formes similaires. Il est donc souvent difficile de dire lequel de ces mots apparentés est dérivé à un autre de ces langues. [6]



Ainsi, les mots arabes d'origines étrangères du Coran n'infirment pas la pureté du style coranique qui est clair, mais sont des mots incorporés au fil du temps dans cette langue tout comme ont été incorporés dans la langue de Molière, par exemple : "verdict" (d'origine anglaise), "leitmotiv" (d'origine allemande), "sacoche" (d'origine italienne), "savane" (d'origine espagnole), "abricot" ou "chiffre" (d'origines arabe).


SOURCE : http://islampaix.blog4ever.com/blog/lirarticle-145578-574663.html
 
@Remake

Comparons les similitudes entre les croyances antiques plus particulièrement mésopotamiennes et celles contenues dans l'Islam.

En dehors de similitudes avérées,nous avons egalement constaté que l'Akkadien était on ne peut plus proche de la langue arabe. Je parle bien de langue et non d'écriture je tiens à le préciser.

Permettez-moi donc de vous livrer un premier comparatif étonnant car il me semble que bien qu'étant toutes les deux des langues sémitiques. L'Akkadien est considéré comme la plus ancienne des lagues sémétiques.Sumériens Akkadiens.

Liste des analogies de vocabulaire :

En ce qui concerne les saisons (chaude et froide selon la classification données par Jean Bottéro dans «La plus vieille religion en mésopotamie») les analogies sont plus que frappantes. Jugez-en vous-mêmes !

Saison chaude

Nisan (mars-avril enAkkadien)--> nissan aw nissan (mois d'avril en Arabe)
Ayyar (avril-mai en Akkadien))--> ayyar (mois de mai en Arabe)
Siman (mai-juin en Akkadien)--> ?
Dumuzi (juin-juillet en Akkadien))--> tammuz ( mois de juillet en Arabe)
Ab (juillet-août en Akkadien--> ab (mois d'août en Arabe)
Elul/Ulul (août-septembre en Akkadien)--> ayloul (mois de septembre en Arabe)

-->hazziran-->mois de juin en Arabe
-->adhar--> mois de mars en Arabe
-->kanun thani-->mois de janvier en Arabe

Saison froide

Tesrit (septembre-octobre en Akkadien)
Warahsamma(octobre-novembre en Akkadien)
Kislim (décembre-janvier en Akkadien)
Tebet (décembre-janvier en Akkadien)
Sabat (janvier-février en Akkadien)--> shoubt (mois de février en Arabe)

Addar (février-mars en Akkadien)

-->kanoun al awal(mois de décembre en Arabe)
-->kanoun al thani(mois de janvier en Arabe)
-->tishrin al awal(mois d'octobre en Arabe)
-->tishrin thani(mois de novembre en Arabe)

Autres analogies .

Samas en Akkadien divinité du soleil, Shamss en Arabe pour désigner le soleil
Nawir en Akkadien étincelant, dérivé de Nour en Arabe qui signifi Lumière
Samê en Akkadien pour Ciel, Sama en Arabe
Ilû en Akkadien pour dieu, Ilah en Arabe
Ilî en Akkadien pour dieux, Ilahi en Arabe
Mêni en Akkadien pour de moi, Menni en Arabe

Les exemples sont encore nombreux mais il me paraît de plus en plus évident que l'Arabe a gardé une bonne partie de ses origines akkadiennes.
Ne mets pas la charrue avant les boeufs STP en citant la langue "akkadienne" .
en négligeant les Cananéens . En plus il ne faut pas généraliser quand tu parles
des arabes car les tribus furent nombreuses et installées surtout autour de l'Arabie avec des langues plus ou moins différentes . Que les tribus arabes aient
conservés dans leur langue ancienne des mots d'origines "akkadienne" n'est pas
un mystère car il faut regarder qui commandait à cette dans cette région ?
Du temps du Roi David il existait un empire Assyrien avec des vassaux arabes
et l'Araméen commençait à prendre de l'ampleur au niveau linguistique pour
des raisons pratiques et non commerciales et il sera adopté par les Assyriens
et puis par d'autres peuples . Regarde les lettres de Tell Amarna et compare
avec de l'ancien Araméen .
Et Babel .
 
PS: Attention car certains peuples ont adopté un alphabet mais on des langues
différenctes . Exemple les français et les suédois utilisent les lettre latines et
pourtant ils ne se comprennent pas . Autre exemple les KAZARS d'asie centrale
ont adopté les caractères hébreux MAIS CELA NE VEUT PAS DIRE QU'ILS PARLAIENT HEBREU car les caractères ne furent que des supports pour mettre
par écrit leur langue propre pas celle des VRAIS HEBREUX tu comprends la
nuance ? beaucoup ne le savent pas sans me vanter . Aujourd'hui les gens pensent que la langue parlée dans l'ancienne Palestine est de l'hébreu ce qui est
faux ! ils baragouinent une forme d'hébreu qui n'a aucune rapport avec les anciens .Par contre l'arabe d'aujourd'hui est capable de comprendre un texte du 10 ième siècle au moins car les variations ont été faibles au cours du temps . Seul l'hébreu biblique est valable grâce à la conservation d'anciens manuscrits dont on sait comment les mots se prononçaient . Les arabes ont quelque sorte aidé les quelques rescapés judéens et prosélytes à garder une forme d'hébreu qui était encore correcte mais il était pauvre en vocabulaire car la destruction du temple en 70 et l'exil et les morts sont passés par là . Mais Adelmalik en imposant l'arabe vers l'an 700 va réduire l'influence des autres langues comme
l'araméen .
 
C'est bien ce que je pensais,tu confonds datation des recueils de hadiths authentique et hadith qui date de la période du Prophète(paix et bénédiction sur lui)!

Cette histoire de 250 ans plus tard est archi connue sur le net,qui est fausse bien sur,on surfe juste sur le fait que l'imam Al-Bukhari a choisi de compiler des hadiths avec une chaine de transmission sur pour donner l'oeuvre que l'on connait aujourd'hui,ignorant que les hadiths eux ne commencent pas avec le compilation du sahih d'AL-Bukhari mais sont antérieurs!

C'est soit de l'ignorance,soit un mensonge de ta part...;)
Si je suis un menteur amène des récits qui datent du 7 ième et 8 ième siècle.
Ne me dis pas que le papier et l'encre n'existaient pas ç leur époque et qu'is
n'avaient le pouvoir . Tu te souviens de ce que tu as mangé il y a 7 jours ?
Aujourd'hui il y a les clefs USB les cartes mémoires les disques durs .
Est ce que le prophète Moïse racontait sa vie ou annonçait la Parole de Dieu
à l'Assemblée ? est ce qu'on a écrit une biographie sur la vie de Moïse ?
 
On remarquera aussi que les textes historiques ne disent pas que ces Arabes ayant conquis la Terre sainte étaient des "Musulmans". Ce nom était alors encore parfaitement inconnu.
Vers 634-640, la "Doctrina Jacobi" donnait le nom de "Sarrasins" à ces Arabes.
En 639, le Colloque avec le patriarche Jean les appellait des "Mahgrayes" (Muhagireens = "Muhadjirs / Muhâjirûns" = "Ceux de l'Exode") et disait que leur Emir avait ordonné de traduire l'Évangile en arabe.
En 640, Thomas le Presbytre parlait des "Arabes Mhmt" ("Tayayê d-Mhmt") qui ont vaincu les Byzantins près de Gaza en 634.
En 640, les lettres de l'Evêque Isho'yahb III les appellaient "Mahgres" ou "Mahgrayes" .
En 642 les Byzantins parlaient des Magaritais.
En 684, Athanase les appellait également Mahgrayes.
En 705, Jacques d'Édesse leurs donnait le nom d' "Hagarenes" (= Descendants d’Abraham par Agar).
En 746, dans son "Traité des hérésies", Jean Damascène (676-749) les appelait ismaélites, Agarènes ou Saracènes (sarrasins) :
"Il y a aussi la religion des Ismaélites qui domine encore de nos jours, égare les peuples, et annonce la venue de l’antéchrist. Elle tire son origine d’Ismaël, le fils d’Abraham et d’Agar. Pour cette raison on les nomme Agarènes et Ismaélites ; on les appelle aussi Saracènes / Sarrasins, ce qui signifie 'dépouillé par Sara'. Agar répondit, en effet, à l’Ange : 'Sara m’a renvoyée dépouillée'. Jadis ils étaient idolâtres et adoraient l’Etoile du Matin et Aphrodite, qu’ils ont appelée précisément Chabar (Shahar, l'étoile du matin) dans leur langue, ce qui veut dire 'Grande."

Quand tu dis je suis musulman cela ne veut rien dire car ce terme désigne une perfection une complétude et non pas un parti
un mouvement . Le vrai terme qu'il faudrait utiliser est celui de frère et soeur puisque nous sommes tous issu d'Adam et Eve.
8 Mais vous, ne vous ne soyez pas appeler Rabbi; car un seul est votre Maître, à savoir _Christ; et vous, vous êtes tous frères.
(Matthieu 23)
Quelle argumentation catastrophique,des affirmations gratuites sans fondements historique,sache que toute les hypothese de vos maitre a penser ont etaient refutés,ne vous en deplaise.
Essaye de réfuter celui la pour voir .
 
Salam Prizma,il y'a juste lieu de préciser que les "emprunts" en question en sont pas nouveauté coranique mais fait de la langue de son époque, que de tels empruns (de mots) est chose naturelle dans toutes les langues, et encore plus dans la sphère sémitique qui a toujours été trés souple vet interperméable et que, enfin, ce n'est pas à cela que fait appel la conception arabe de la "langue pure".

Tout un chacun sait que le terme arabe (et coranique) Injîl vient du grec Evangéliôn et que le mot arabe Tawrât vient de l'hébreu Torâh,je serait bien étonné de voire ce que donnerait un texte de Victor Hugo sans voyelles, je pourrai eventuellement en tirer pas mal de choses.

Il faut savoir de quoi on parle car Luxennberg a dit énormement de betises.
Il ne s'agit pas de modifier des voyelles pour bricoller. La question est plus poussée et soutenue que cela. Il y a des tas de passages du Coran qui sont des jumeaux de la bible hébraique et syriaque. Même les termes clément et miséricordieux, ou jour du jugement sont des formules typiques de la Bible. Il existe des parrallèles que tu ne nies pas entre le Coran, le Talmud, les évangiles et la Torah. Il ne faut pas s'étonner que le Coran soit si proche des anciennes écritures, c'est prèsque l'inverse qui serait suspicieux. Des passages du Coran sont très proches sémantiquement, styistiquement et terminologiquement avec les écrits syriaques et hébreux. Il ne faut pas voire dans le parrallèle entre les khimar et le jayb qui revient comme un leitmotif en langue syriaque pour la ceinture à ceindre sur les hanches, en rapport avec le fait de ne pas trotter pour séduire (la tadribna bi arjulihinna)... Le contexte est exactement le même, les tournures sont les mêmes, et les racines sont les mêmes. De même quand on lit que Dieu guide des ténèbres à la lumière, ou quand on lit que les femmes sont impures à éviter lors de leurs règles. L'origine est identique, les parrallèles s'ancrent très loin dans le passé. Il existe des tas de parrallèles entre des sagesses coraniques et prophétiques et le Talmud. Quand on sait cela, ces parrallèles paraissent beaucoup moins farfelues. Les critiques à l'encontre de Luxenberg sont dûes historiqueent au fait qu'il avait initialement soutenu que le Coran serait une arabisation de textes judéo-chrétiens sur deux siècles pour devenir le Coran. La découverte des manuscritsde San'a datés de la première moitié du premiersiècle a définitivement infirmé cette hypothèse. Mais les parrallèles du Coran avec les écrits judéo-chrétiens est un fait acquis.
 
Comment voulez vous etre pris au serieux?Quellle langue parlé Jesus?
Comment Jesus disait il Dieu en Arméen?
ALAAHAA

Quand je dis langue arabe il ne s'agit de la langue arabe et écrite qui fut
structurée vers l'an 660 . Les tribus arabes du nord parlaient une forme de
langue proche de l'araméen le Nabatéen . Tu comprends la différence ?
Est ce que la langue fançaise existait au 10 ième siècle ?
 
Faut vraiment etre patient avec vous,oui il faut vraiment etre pedagogue.

En fait les recherches de Jeffery aspirent à montrer que les paroles qu'il a identifié comme étant d'origine étrangère ont effectivement été naturalisées et sont devenus des mots arabes ordinaires avant qu'ils ne viennent à être utilisé dans le Coran. Il énumère quelques 275 autres mots tels que les noms propres. "D'environ, les trois quarts des mots de cette liste", comme le souligne Watt, "il peut être démontré qu'ils ont été utilisés en arabe avant l'époque de Muhammad, ... Sur les 70 autres, s'il n'y a pas de preuves écrites de leur usage antérieu, il peut-être vrai qu'ils étaient déjà employés dans le discours ... " (fn. Watt, bell's Introduction etc., op. cit., p. 85).. Et compte tenu du fait que l'arabe, le syriaque, l'éthiopien, l'hébreu ou l'araméen juif sont des langues sémitiques apparentés ayant une origine commune dans l'original langue arabe-araméenne mentionné ci-dessus, ils ont beaucoup de mots en commun et aussi des formes similaires. Il est donc souvent difficile de dire lequel de ces mots apparentés est dérivé à un autre de ces langues. [6]



Ainsi, les mots arabes d'origines étrangères du Coran n'infirment pas la pureté du style coranique qui est clair, mais sont des mots incorporés au fil du temps dans cette langue tout comme ont été incorporés dans la langue de Molière, par exemple : "verdict" (d'origine anglaise), "leitmotiv" (d'origine allemande), "sacoche" (d'origine italienne), "savane" (d'origine espagnole), "abricot" ou "chiffre" (d'origines arabe).


SOURCE : http://islampaix.blog4ever.com/blog/lirarticle-145578-574663.html
Ton jeffrey et watt est ce qu'ils ont des connaissances bibliques approfondies ?
Connaissent ils l'araméen et l'hébreu ancien ?
 
Les critiques à l'encontre de Luxenberg sont dûes historiqueent au fait qu'il avait initialement soutenu que le Coran serait une arabisation de textes judéo-chrétiens sur deux siècles pour devenir le Coran. La découverte des manuscritsde San'a datés de la première moitié du premiersiècle a définitivement infirmé cette hypothèse. Mais les parrallèles du Coran avec les écrits judéo-chrétiens est un fait acquis.
Plus de 15 000 feuilles des corans yéménites ont été dépliées, nettoyées, traitées, triées et rassemblées. Elles attendent un examen plus approfondi dans la Chambre des manuscrits du Yémen. Pourtant, c'est quelque chose que les autorités islamiques semblent peu disposées à autoriser. Puin suggère qu'« ils veulent rester discrets sur cette affaire, nous aussi mais pour des raisons différentes. »

Puin et son collègue Hans-Caspar Graf von Bothmer, un historien islamologue, ont publié de courts essais sur ce qu'ils ont découvert. Ils se disaient que, si les autorités yéménites se rendaient compte des implications de cette découverte, ils refuseraient désormais l'accès - prémonition qui devait se réaliser bientôt. En 1997, cependant, Von Bothmer a réussi à réaliser 35.000 images microfilmées des fragments, et à les apporter en Allemagne. Les textes seront bientôt étudiés et les résultats publiés en toute liberté. Puin a écrit : « Nombre de musulmans sont persuadés que du début à la fin du Coran tout est la parole inaltérée d'Allah. Ils se réfèrent volontiers au travail sur le texte de la Bible qui montre qu'elle a une histoire et n'est pas tombée directement sortie du ciel, mais jusqu'à présent, le Coran a échappé à ce genre de discussion. La seule façon de briser un tel mur est de prouver que le Coran lui aussi a une histoire. Les fragments de Sana'a nous aideront à y parvenir. »
 
Dans un article d'Atlantic Monthly en 1999, on donne cette citation de Gerd-Rüdiger Puin : « Mon idée est que le Coran est une sorte de cocktail de textes qui n'étaient déjà pas entièrement compris même à l'époque de Mahomet. Beaucoup d'entre eux peuvent même être plus vieux que l'Islam lui-même d'une centaine d'années. Même dans les traditions islamiques, il existe une énorme quantité d'informations contradictoires, y compris un important substrat chrétien ; on peut, si l'on veut, en tirer toute une histoire alternative de l'islam. Le Coran lui-même proclame qu'il est « mubeen », c'est-à-dire clair, mais si vous le regardez de près, vous remarquerez qu'une phrase sur cinq ou à peu près n'a tout simplement pas de sens. Beaucoup de musulmans vous diront le contraire, bien sûr, mais c'est un fait qu'un cinquième du texte coranique est absolument incompréhensible. C'est ce qui est à l'origine de la gêne traditionnelle concernant la traduction. Si le Coran n'est pas compréhensible, si même en arabe on ne peut pas le comprendre, alors il n'est traduisible dans aucune langue. Voilà pourquoi les musulmans ont peur. Puisque le Coran répète à plusieurs reprises qu'il est clair alors qu'il ne l'est pas, il y a là une contradiction évidente et très grave. Il faut passer à autre chose. »

Cependant, Michel Cuypers affirme qu'un ordre caché existerait en arrière-plan des sourates. Ce spécialiste en rhétorique sémitique et coranique voit une symétrie cachée dans le style coranique, sourate par sourate, qu'il dit étonnante. Selon lui, l'aspect décousu du Coran ne serait qu'impression trompeuse, due au fait que la rhétorique "cachée" dedans aurait été perdue depuis l'époque de sa rédaction
 
En 2000, The Guardian a interrogé un certain nombre d'érudits sur leur opinion au sujet des affirmations de Puin, parmi eux le Dr Tarif Khalidi, maître de conférences en études islamiques à l'Université de Cambridge, et le professeur Allen Jones, maître de conférences en études coraniques à l'université d'Oxford. En ce qui concerne l'affirmation de Puin selon laquelle certains mots et certaines prononciations dans le Coran n'ont pas été normalisés jusqu'au neuvième siècle, l'article note : « Jones reconnaît que des changements « insignifiants » ont été apportées à la recension othmanienne. Khalidi affirme que la compréhension musulmane traditionnelle du développement du Coran est toujours vraie en gros et il affirme « Je n'ai pas encore rien vu qui fût susceptible de changer radicalement mon point de vue »
Selon [Jones] le Coran de Sana'a pourrait n'être qu'une mauvaise copie qu'utilisaient des personnes auxquelles le texte othmanien n'était pas encore parvenu. « Il n'est pas exclu qu'après la promulgation du texte othmanien, il lui ait fallu beaucoup de temps pour se propager. » Toutefois, l'article note une réaction musulmane positive vis-à-vis de la recherche de Puin. Salim Abdullah, directeur des Archives islamiques allemandes, affilié à la Ligue islamique mondiale, a déclaré quand on l'a prévenu de la controverse que les travaux de Puin pourraient déclencher : « J'ai grande envie qu'une discussion de cette sorte ait lieu sur ce sujet.
 
Il ne s'agit pas de modifier des voyelles pour bricoller. La question est plus poussée et soutenue que cela. Il y a des tas de passages du Coran qui sont des jumeaux de la bible hébraique et syriaque. Même les termes clément et miséricordieux, ou jour du jugement sont des formules typiques de la Bible. Il existe des parrallèles que tu ne nies pas entre le Coran, le Talmud, les évangiles et la Torah. Il ne faut pas s'étonner que le Coran soit si proche des anciennes écritures, c'est prèsque l'inverse qui serait suspicieux. Des passages du Coran sont très proches sémantiquement, styistiquement et terminologiquement avec les écrits syriaques et hébreux. Il ne faut pas voire dans le parrallèle entre les khimar et le jayb qui revient comme un leitmotif en langue syriaque pour la ceinture à ceindre sur les hanches, en rapport avec le fait de ne pas trotter pour séduire (la tadribna bi arjulihinna)... Le contexte est exactement le même, les tournures sont les mêmes, et les racines sont les mêmes. De même quand on lit que Dieu guide des ténèbres à la lumière, ou quand on lit que les femmes sont impures à éviter lors de leurs règles. L'origine est identique, les parrallèles s'ancrent très loin dans le passé. Il existe des tas de parrallèles entre des sagesses coraniques et prophétiques et le Talmud. Quand on sait cela, ces parrallèles paraissent beaucoup moins farfelues. Les critiques à l'encontre de Luxenberg sont dûes historiqueent au fait qu'il avait initialement soutenu que le Coran serait une arabisation de textes judéo-chrétiens sur deux siècles pour devenir le Coran. La découverte des manuscritsde San'a datés de la première moitié du premiersiècle a définitivement infirmé cette hypothèse. Mais les parrallèles du Coran avec les écrits judéo-chrétiens est un fait acquis.

Salam,

Peux-tu nous citer ce passage dans la bible qui correspond exactement au passage coranique ( la tadribna bi arjulihinna ) ?

Le coran parle et rectifie des sujets déjà traités dans les autres livres , l’origine de ces livres sains est le même mais pourquoi conclure que le Coran serait une arabisation de textes judéo-chrétiens ?! pas forcément.
 
1erement )Suffit de remplacer la racine du mot " Islam" partout dans le coran , partout sans exception et surtout aussi prendre la racine de SLM, , comme par exemple " une vache musalamatune" ( racine de slm) = une vache n'est pas soumise ( elle est pas croyante , c'est une vache!) la définition de islam se trouve dans le verset Al-Baqara 2.71. alhartha musallamatun la shiyata feeha ...

Donc ( Musalamatun) qui est donc " musulmane", n'a pas de shiyata fiha, c'est a dire " indemne d'infirmité, sans aucun defaut, parfaite, " le sens de Islam c'est ca :....donc quand tu veux prendre le sens et etre honnetes, faut pas oublier ce verset non plus !!....ca c'est une chose :

deuxiemement) faire une etude comparatif et linguistique, d'un mot a une epoque T et epoque T - moins avant......ce qu'a fait Remake des pages avant

Abraham est dis etre " Parfait" (musulman) , dieu lui dis " soit parfait"... l'explication de Remake suffit elle seul a la démonstration ( moi pas envie de tout reprendre) voir des pages avant

Ok on prends ce verset et on essaye de remplacer islam ( ou verbe aslama) par la perfection ( ou soit parfait) :

أَفَغَيۡرَ دِينِ ٱللَّهِ يَبۡغُونَ وَلَهُ ۥۤ أَسۡلَمَ مَن فِى ٱلسَّمَـٰوَٲتِ وَٱلۡأَرۡضِ طَوۡعً۬ا وَڪَرۡهً۬ا وَإِلَيۡهِ يُرۡجَعُونَ (٨٣) قُلۡ ءَامَنَّا بِٱللَّهِ وَمَآ أُنزِلَ عَلَيۡنَا وَمَآ أُنزِلَ عَلَىٰٓ إِبۡرَٲهِيمَ وَإِسۡمَـٰعِيلَ وَإِسۡحَـٰقَ وَيَعۡقُوبَ وَٱلۡأَسۡبَاطِ وَمَآ أُوتِىَ مُوسَىٰ وَعِيسَىٰ وَٱلنَّبِيُّونَ مِن رَّبِّهِمۡ لَا نُفَرِّقُ بَيۡنَ أَحَدٍ۬ مِّنۡهُمۡ وَنَحۡنُ لَهُ ۥ مُسۡلِمُونَ (٨٤) وَمَن يَبۡتَغِ غَيۡرَ ٱلۡإِسۡلَـٰمِ دِينً۬ا فَلَن يُقۡبَلَ مِنۡهُ وَهُوَ فِى ٱلۡأَخِرَةِ مِنَ ٱلۡخَـٰسِرِينَ (٨٥)

Désirent-ils une autre religion que celle d’Allah, alors que se soumet à Lui, bon gré, mal gré, tout ce qui existe dans les cieux et sur la terre, et que c’est vers Lui qu’ils seront ramenés? (83) Dis: «Nous croyons en Allah, à ce qu’on a fait descendre(1) sur nous, à ce qu’on a fait descendre sur Abraham, Ismaël, Isaac, Jacob et les Tribus, et à ce qui a été apporté à Moïse, à Jésus et aux prophètes, de la part de leur Seigneur: nous ne faisons aucune différence entre eux; et c’est à Lui que nous sommes Soumis». (84) Et quiconque désire une religion autre que l’Islam, ne sera point agréé, et il sera, dans l’au-delà, parmi les perdants. (85)


Si tu veux écarter le verse se soumettre et le remplacer par se perfectionner , quel sens donnerait ce verset alors ?

Tu dis " à lui ils se sont perfectionné , bon gré , mal gré, tout ce qui existe dans les cieux et la terre ?? ça veut dire quoi ? Tout ce qui existe dans cet univers est parfait comme la vache dans sourate al bakara ?! ça n'a pas de sens .

En plus la vache est " moussalamatoun la chiyata fiha " ça veut pas dire musulmane ( mouslima en arabe) , ne confonds pas tout .

Encore une fois, la racine SLM ne donne pas la signification de " se perfectionner " partout ,dans tous les contextes !

Regardes juste ces 4 exemples :

Salam = paix

Soullam = échelle

Sallim nafssak = isstasslim = soumets toi

salim = sain et sauf = parfait

Donc tu ne peux pas dire que SLM a toujours un rapport avec la perfection partout. voilà c'est seulement logique !
 
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