Non c'est claire lol.
Dans le cas que je donne l'homme ne subie pas la modestie dans le sens ou cela lui convient de pouvoir répondre à ses besoins primaire, disons qu'il n'a pas idée d'avoir plus.
Toi serait tu femme à accepte de vivre avec lui ?
Voilà qui est rassurant.
Si l'homme ne subit pas la modestie, c'est qu'il est satisfait de ce qu'il détient et qu'il parvient à se détacher de tout ce qui pourrait l'amener au superflu. Mais encore une fois, cela est propre à chacun et cela est à géométrie variable d'un individu à l'autre.
Notre histoire, notre éducation, nos épreuves conditionnent le qualitifcatif et l'orientation que l'on souhaite donner à notre vie.
Satisfaire les besoins primaires relèvent déjà de quelques exploits. Beaucoup ni parviennent pas de façon continue : l'incertitude et les aléas de la vie conditionnent encore cet objectif.
La vie pouvant de façon spectaculaire oter au tournant ce que l'on cherit le plus : on a beau avoir, encore et encore, il y a un moment donné où l'individu à tout interet à se détacher de tout ce que ce que fait miroiter cette vie.
Si les modesties sont compatibles, il y a de l'espoir.
je suis absolument d'accord
je me souviens au lycée avec mes copines à midi on allée au supermarché du coin on acheter des baguettes du thon ma copine faisait les sandwich on mangeait sur un banc et on était contente lool j'en garde de très bons souvenirs
pareil pour les repas en famille quand on était plusieurs on faisait un couscous on se réunissait et on rigolait toute la soirée en se racontant des histoires de famille
et puis parfois avec mon cheri on se ballade au bord de l'eau on discute on profite du paysage sans rien dépenser et on est heureux comme ça
on est aussi bien heureux sans dépenser énormément
mais il ne faut pas qu'une petite dépense au restaurant nous rendent malade ou un petit soin dans un institut se faire plaisir et faire plaisir c'est bien aussi
J'adore ce que tu racontes : cela me rapelle des souvenirs

... Ces petites choses vécues nous enseignent toujours le présent. Pas besoin de dépenser plus, pour vivre bien : et il y a tant de choses qui ne s'acheteront jamais.
Pendant Ramadan, au maroc, dans une batisse loin de tout, je me souviens encore des lanternes à essence que ma grand mère allumait : elle sortait de la cuisine avec des oeufs durs, une théière et du pain. A l'époque; je me disais : je vais pas tenir ... :s Quand j'y pense, j'en ai honte

mais jai appris beaucoup el hamdoulilah.