Allah nous pousses t-il a la réflexion

compassion

il y a, un 3aflite dans chaque bougie
VIB
6.76Quand la nuit l´enveloppa, il observa une étoile, et dit: "Voilà mon Seigneur!" Puis, lorsqu´elle disparut, il dit: "Je n´aime pas les choses qui disparaissent".
6.77Lorsqu´ensuite il observa la lune se levant, il dit: "Voilà mon Seigneur!" Puis, lorsqu´elle disparut, il dit: "Si mon Seigneur ne me guide pas, je serai certes du nombre des gens égarés".
6.78Lorsqu´ensuite il observa le soleil levant, il dit: "Voilà mon Seigneur! Celui-ci est plus grand" Puis lorsque le soleil disparut, il dit: "ô mon peuple, je désavoue tout ce que vous associez à Allah.
 
Salam

6.76Quand la nuit l´enveloppa, il observa une étoile, et dit: "Voilà mon Seigneur!" Puis, lorsqu´elle disparut, il dit: "Je n´aime pas les choses qui disparaissent".
6.77Lorsqu´ensuite il observa la lune se levant, il dit: "Voilà mon Seigneur!" Puis, lorsqu´elle disparut, il dit: "Si mon Seigneur ne me guide pas, je serai certes du nombre des gens égarés".
6.78Lorsqu´ensuite il observa le soleil levant, il dit: "Voilà mon Seigneur! Celui-ci est plus grand" Puis lorsque le soleil disparut, il dit: "ô mon peuple, je désavoue tout ce que vous associez à Allah.

On est si loin de Ibrahim 'alayhi salam :(

Salam.
 
6.76Quand la nuit l´enveloppa, il observa une étoile, et dit: "Voilà mon Seigneur!" Puis, lorsqu´elle disparut, il dit: "Je n´aime pas les choses qui disparaissent".
6.77Lorsqu´ensuite il observa la lune se levant, il dit: "Voilà mon Seigneur!" Puis, lorsqu´elle disparut, il dit: "Si mon Seigneur ne me guide pas, je serai certes du nombre des gens égarés".
6.78Lorsqu´ensuite il observa le soleil levant, il dit: "Voilà mon Seigneur! Celui-ci est plus grand" Puis lorsque le soleil disparut, il dit: "ô mon peuple, je désavoue tout ce que vous associez à Allah.


J'aime trop ce passage
 
@insouciants, @madalena,
À partir de ce jour, je devins un des familiers des cercles d’enseignement du Messager de Dieu . Je ne le quittai plus.Cependant, n’étant pas encore affranchi de l’esclavage, je ne pus assister aux batailles de Badr et de Uhud. Plus tard, l’Envoyé de Dieu et ses compagnons m’aidèrent à m’affranchir de mon maître en me donnant l'argent nécessaire pour cela. »
Médine où Salmân venait de trouver son maître spirituel. II ne quittait plus l’entourage du Messager de Dieu, maintenant qu’il avait trouvé ce qu’il cherchait depuis longtemps, depuis qu’il avait tout abandonné dans ce bas monde pour écouter les appels de la vérité et suivre la quête de son âme.

À Médine, il sera le compagnon inséparable d’Abû Ad-Dardâ, un autre disciple du Prophète. Il habitera chez lui et partagera avec lui sa vie sobre et ascétique. Les deux hommes étaient célèbres pour leur détachement des plaisirs de ce monde et leur piété. Un jour, Salmân reprocha à Abû Ad-Dardâ son excès de mortification, celui-ci priait la nuit et jeûnait le jour. Il essaya de lui faire rompre son jeûne, mais en vain. Abû Ad-Dardâ s’en défendit en ces termes :

« Voudrais-tu m’interdire de jeûner et d’adorer mon Seigneur ? » Salmân lui répondit par une parole du Prophète : « Tes yeux ont un droit sur toi de même que ton épouse. Jeûne et mange. Prie la nuit et dors. »

Apprenant cela, le Messager de Dieu dira : « Salmân a fait preuve de plus de perspicacité. » Salmân Al-Fârisî était très aimé et estimé de l’Envoyé de Dieu qui le considérait comme un membre à part entière de sa propre famille. Un jour, en effet, alors que les Ansârs et les Muhâjirîn revendiquaient les uns et les autres l’appartenance de Salmân à leur communauté, le Messager de Dieu s’adressa à eux en ces termes :

« Salmân fait partie de notre famille. »
 

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VIB
6.79Je tourne mon visage exclusivement vers Celui qui a créé les cieux et la terre; et je ne suis point de ceux qui Lui donnent des associés."
Sais vraie on poura pas être comme lui !
 
@insouciants, @madalena,
Salmân Al-Fârisî était devenu un des compagnons les plus proches du Messager de Dieu. Son statut d’étranger et de pauvre l’avait amené à se rapprocher de plus en plus du Prophète qu’il quittait rarement. C’est ainsi qu’il faisait partie des gens de la Sufa (ahl as-suffa), ces pauvres parmi les musulmans qui habitaient une aile de la mosquée et passaient leur temps dans l’adoration du Seigneur. Le Messager de Dieu pourvoyait aux besoins de ces hommes parmi lesquels se trouvait notre illustre Salmân Al-Fârisî.

Mais celui-ci n’était pas qu’un adorateur tourné vers la méditation, c’était aussi un homme d’action doué de surcroît d'une très grande intelligence en matière de stratégie militaire. Lors de la fameuse bataille des tranchées, il donnera un magistral aperçu de son génie et de sa tactique inconnue jusque-là chez les Arabes.

Ce jour-là, plus de 20.000 infidèles issus des tribus de Quraysh et de Ghatafân, et dirigés par Abû Sufyân et `Uyayna Ibn Hisn, marchèrent sur Médine qu’ils voulurent prendre d’assaut avec la complicité des juifs des Banû Qurayda. Jamais les musulmans ne furent confrontés à un danger d’une si grande ampleur. Ils en furent tellement surpris qu’une grande frayeur s’empara d’eux et ils en arrivèrent à succomber au désespoir. Le Coran nous a dépeint cette scène en ces termes :

{ Quand ils vous vinrent d’en haut et d’en bas (de toutes parts), et que les regards étaient troublés et les cœurs remontaient aux gorges, et vous faisiez sur Dieu toutes sortes de suppositions.
Les croyants furent alors éprouvés et secoués d’une dure secousse. }
[ Sourate 33 - Versets 10-11 ]
 
@madalena, @insouciants,
Cette expédition des « coalisés » comme l’appela le Coran, visait la neutralisation définitive du sanctuaire médinois avant que celui-ci ne se fortifie et ne propage l’islam dans la péninsule arabique. Pour arriver à ce but, les tribus arabes ameutèrent tous ceux qui étaient en mesure de combattre et qui avaient un compte à régler avec cette religion qui venait menacer leurs croyances et leurs intérêts. Les juifs des Banû Qurayda établis à Médine participèrent à ce complot en prenant sur eux la tâche perfide d’attaquer les musulmans de l’intérieur. Le Messager de Dieu rassembla alors ses compagnons et se concerta avec eux sur l’attitude à adopter en ces circonstances exceptionnelles. La décision fut prise à l’unanimité de résister aux coalisés et de soutenir leur siège. Mais comment ? Et avec quels moyens ? La question taraudait l’esprit du Messager de Dieu et de ses compagnons. Il est vrai que c’était la première fois que les musulmans se trouvaient confrontés à un siège.

D’habitude, les batailles se déroulaient en plein air avec l’avantage qu’avaient les deux adversaires de se déployer et de se mouvoir comme bon leur semblait :

Là, un seul adversaire pouvait se permettre ce luxe. Quant à l’autre, il n’avait d’autre choix que de se trouver acculé à se défendre. Alors que le Messager de Dieuréfléchissait aux moyens à entreprendre pour défendre la ville, un homme à la taille longue et aux cheveux touffus se présenta à lui et lui dit :

« Ô Messager de Dieu ! La ville est bien protégée sauf certains endroits par où l’ennemi peut s’infiltrer et nous surprendre.

Je crois qu’il serait plus prudent que nous creusions des tranchées en ces endroits afin d'empêcher les assaillants d’arriver jusqu’à nous. C’est ainsi qu’on faisait chez nous en Perse. »
 
@madalena, @insouciants,
Le Messager de Dieu approuva cette idée très lumineuse et donna l’ordre de la mettre en oeuvre. Aussitôt, les musulmans se mirent à creuser avec un enthousiasme et une volonté extraordinaires. L’homme en question n’était autre que notre compagnon Salmân Al-Fârisî. L’idée qu’il proposa au Prophète était inconnue jusque là chez les Arabes. Elle allait surprendre les coalisés et les désarçonner en les obligeant à abandonner leur funeste projet.

Les compagnons se mirent donc à creuser des tranchées afin de dissuader les ennemis d’attaquer leur ville. Le Messager de Dieului-même se mit à la tâche. Au cours des travaux, certains compagnons découvrirent une roche épaisse et dure qui les empêchait de creuser davantage. Ils tentèrent de la casser mais sans succès. Celle-ci semblait très solide. Salmân s’en alla voir le Prophètepour lui demander l’autorisation de contourner cet obstacle un peu plus loin.

L’Envoyé de Dieu retourna avec son compagnon vers l’endroit indiqué et jeta un coup d’œil sur là roche. Il se fit apporter ensuite une pioche et demanda à ses compagnons de s’éloigner des éventuels éclats qui pouvaient s’en dégager.

Il saisit alors la pioche de ses deux mains bénies, prononça le nom de Dieu et donna un grand coup sur la roche qui se fissura et dégagea des étincelles, ainsi qu’une vive lumière qui se propagea à l’horizon.Salmân témoignera qu’il a vu cette lumière éclairer les extrémités de Médine et le Messager de Dieu de s’écrier :
 
Salam

@madalena, @insouciants,
Le Messager de Dieu approuva cette idée très lumineuse et donna l’ordre de la mettre en oeuvre. Aussitôt, les musulmans se mirent à creuser avec un enthousiasme et une volonté extraordinaires. L’homme en question n’était autre que notre compagnon Salmân Al-Fârisî. L’idée qu’il proposa au Prophète était inconnue jusque là chez les Arabes. Elle allait surprendre les coalisés et les désarçonner en les obligeant à abandonner leur funeste projet.

Les compagnons se mirent donc à creuser des tranchées afin de dissuader les ennemis d’attaquer leur ville. Le Messager de Dieului-même se mit à la tâche. Au cours des travaux, certains compagnons découvrirent une roche épaisse et dure qui les empêchait de creuser davantage. Ils tentèrent de la casser mais sans succès. Celle-ci semblait très solide. Salmân s’en alla voir le Prophètepour lui demander l’autorisation de contourner cet obstacle un peu plus loin.

L’Envoyé de Dieu retourna avec son compagnon vers l’endroit indiqué et jeta un coup d’œil sur là roche. Il se fit apporter ensuite une pioche et demanda à ses compagnons de s’éloigner des éventuels éclats qui pouvaient s’en dégager.

Il saisit alors la pioche de ses deux mains bénies, prononça le nom de Dieu et donna un grand coup sur la roche qui se fissura et dégagea des étincelles, ainsi qu’une vive lumière qui se propagea à l’horizon.Salmân témoignera qu’il a vu cette lumière éclairer les extrémités de Médine et le Messager de Dieu de s’écrier :

Bataille du Fossé?

Salam.
 
@madalena, @insouciants,
« Dieu est grand ! On m’a donné Les clefs de la Perse. Je viens de voir les palais de Hirâ et les villes
de Chosroês éclairés et ma communauté conquérante. »

Il donna un autre coup de pioche et la roche se fissura davantage. Une autre lumière s’en dégagea et se propagea à l'horizon. Le Messager de Dieu s’écria de nouveau :

« Dieu est grand ! On m’a donné les clefs de l’empire byzantin.
Je viens de voir les palais muges éclairés et ma communauté conquérante. »

Au troisième coup, la roche s’effrita et une lumière très vive s’en dégagea, suscitant les cris de louange et de bénédictions des musulmans. Le Prophèteles informa qu’il venait de voir les palais de Damas, de Sanaa et de l'Abyssinie éclairés et sa communauté conquérante. Les musulmans, ajoutera Salmân , crièrent avec une grande ferveur :

« Voilà ce que nous a promis Dieu ainsi que Son Messager. Dieu et Son Messager tiennent parole. »



Notre compagnon Salmân vivra longtemps. Il verra l’islam conquérir l’empire perse, les possessions byzantines en Égypte et en Syrie et porter l’étendard du tawhîd (l’unicité divine) dans toutes les contrées du monde. Mieux encore, il sera lui-même le gouverneur d’Al-Madyan, une ville de l’empire perse.

Médine où les musulmans venaient de terminer de creuser les tranchées. En arrivant devant la ville qu’ils voulaient prendre d’assaut, les coalisés restèrent figés en voyant ce moyen de défense inconnu jusque-là parmi les Arabes.
Ils avaient beau essayé de trouver une faille dans le système de défense de la ville, mais en vain, d’autant plus que les juifs des Banû Qurayda, sur lesquels ils comptaient pour les aider de l’intérieur, avaient fini par se désister.

Alors, en désespoir de cause, après un mois de siège, et une nuit de violente tempête qui souleva leurs tentes et dispersa leurs hommes et leurs montures, Abû Sufyân et `Uyayna Ibn Hisn, les deux chefs de l’expédition, décidèrent de lever le siège et de retourner à la Mecque, le profil bas et l’arrogance écorchée.
 
@insouciants, @madalena,
Après la mort de l’Envoyé de Dieu , Salmân fut l’objet du respect et de la considération de tous les califes. Sous le califat de `Umar, on lui confia le poste de gouverneur d’Al-Madyan dans la province de Perse qu’il connaissait si bien, puisqu’il en était originaire. Mais cette fonction officielle n’était pas pour plaire à Salmân à qui le Messager de Dieu avait appris à mépriser ce bas monde et à ne pas se laisser tenter par ses ornements. Il refusa donc le poste.

Mais `Umar avait aussi ses raisons. Il ne voulait confier le poste de gouverneur qu’à ceux en qui il avait confiance, c'est-à-dire ceux qui étaient dignes. Il insista donc pour que Salmân accepte ce poste.

Hishâm Ibn Hassan rapporte que le salaire de Salmân était de cinq mille dirhams, mais celui-ci n’en prenait rien et préférait manger les fruits de son labeur. Mieux encore, il ajouta qu’on le voyait s’adresser à 30.000 personnes, assis sur la moitié d’un drap et portant l’autre comme habit. »

Notre compagnon parlait de lui-même en disant :

« J’achète pour un dirham des joncs, je les tresse, en fais des paniers puis les vends à trois dirhams. Je garde un seul dirham des ventes pour en acheter d’autres joncs, j’en donne un en aumône et je dépense le troisième pour subvenir aux besoins de ma famille. J’aurais toujours agi ainsi, si `Umar ne me l’avait pas interdit. »

Ainsi était Salmân et ainsi l’avait formé l’école du Prophète .
 

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VIB
Oui j'étais entrains d'écrit le pose au moment ou tu le poster, désoler,

Juste une question c'est dans cette trancher, au moment de son œuvre, qu'un homme proposa au prophète de venir et manger une chèvre cute dans une marmite, ? Je sais pas si tu connais cette histoire ou non ....
 
@madalena, @insouciants,

Un jour, alors qu’il était toujours gouverneur, il rencontra un voyageur venant de Damas qui portait des sacs contenant des figues et des dattes. Voyant l’aspect très modeste de Salmân, l’homme crut avoir affaire à un portefaix ou à un pauvre soucieux de gagner quelques pièces en portant des charges.

II appela donc Salmân et lui dit : « Porte-moi ceci.» Salmân s’exécuta sans rien dire. En cours de route, ils rencontrèrent des gens que Salmân connaissait. Il les salua et ceux-ci lui rendirent son salut en ces termes : « Que la paix soit sur toi ô émir. » Le voyageur crut à une plaisanterie, à une méprise ou à toute autre chose, sauf à ce que son porteur soit émir.

Mais au fur et à mesure que les gens saluaient Salmân en l’appelant émir, il sentit une certaine gène l’envahir et il devint tout confus. Il comprit alors qu’il avait affaire au gouverneur d’Al-Madyan en personne. Ne sachant comment s'excuser, il pria Salmân de le laisser reprendre sa charge mais celui-ci refusa et insista pour la porter à destination. La piété et l’ascétisme de cet homme étaient tels qu’il était difficile de le dissocier du plus modeste de ses administrés.



C’était un sage parmi les sages, car seuls ceux qui possèdent la sagesse peuvent résister à l’arrogance et à la condescendance qu’induit l’ivresse du pouvoir. `Umar qui avait une bonne connaissance de la nature humaine ne s’y trompa pas en lui confiant la responsabilité de la province d’Al-Madyan. Sous son gouvernement, cette ville nouvellement conquise prospéra et l’islam s’y propagea à une vitesse extraordinaire. Sa sagesse, sa justice et sa piété y étaient pour beaucoup dans la propagation de l’islam en Perse.

Et les jours passèrent, notre pieux compagnon, devenu un vénérable vieillard aux cheveux et à la barbe blanchis par le temps, s’apprêtait à rejoindre le bien-aimé Muhammad et ses compagnons dont l’absence lui pesait. Et pourtant, le voilà qu’il pleurait sur son lit de mort. À Sa`d qui lui demandait les raisons de son chagrin, alors que le Messager de Dieuest mort satisfait à son égard, il répondit :

« Par Dieu, je ne pleure pas parce que je crains la mort ou parce que j’aime la vie. Mais je me suis souvenu de ce que le Messagernous a dit : "Que chacun de vous prenne de la vie ce que prend un voyageur comme provisions." Or, me voilà entouré de toutes ces richesses. »
Sa`d dira : « Je regardai autour de moi et je ne vis qu’une grande écuelle et un récipient pour les ablutions. » Le jour de sa mort, il appela son épouse et lui dit : « Apporte-moi le dépôt que je t’ai confié. » Il s’agissait d’un sac contenant du musc qu’il gardait précieusement depuis de nombreuses années avec l’intention d’en être lavé le jour de sa mort. Elle le lui apporta ainsi qu’un verre d’eau selon ses dernières volontés. Il prit le musc le versa dans le verre d’eau et le mélangea avec son doigt. Ensuite, il tendit le verre à son épouse en lui disant : « Répands le musc autour de moi car je vais recevoir des créatures de Dieu qui ne mangent pas de nourriture mais aiment le parfum. » À la fin, il la pria de fermer la porte et de le laisser seul. À son retour, il était déjà mort. La quête passionnée de cette âme venait de trouver son aboutissement final après un long parcours fait de privations et de sacrifices en ce bas monde.

{ Ô toi, âme apaisée, retourne vers ton Seigneur, satisfaite et agréée.
Entre donc parmi Mes serviteurs, et entre dans mon paradis. }
[ Sourate 90 - Versets 27 à 30 ]
 
Oui j'étais entrains d'écrit le pose au moment ou tu le poster, désoler,

Juste une question c'est dans cette trancher, au moment de son œuvre, qu'un homme proposa au prophète de venir et manger une chèvre cute dans une marmite, ? Je sais pas si tu connais cette histoire ou non ....
Ces l'histoire quand il on essayer empoisonner le prophète ?
 

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il y a, un 3aflite dans chaque bougie
VIB
@madalena, @insouciants,

Un jour, alors qu’il était toujours gouverneur, il rencontra un voyageur venant de Damas qui portait des sacs contenant des figues et des dattes. Voyant l’aspect très modeste de Salmân, l’homme crut avoir affaire à un portefaix ou à un pauvre soucieux de gagner quelques pièces en portant des charges.

II appela donc Salmân et lui dit : « Porte-moi ceci.» Salmân s’exécuta sans rien dire. En cours de route, ils rencontrèrent des gens que Salmân connaissait. Il les salua et ceux-ci lui rendirent son salut en ces termes : « Que la paix soit sur toi ô émir. » Le voyageur crut à une plaisanterie, à une méprise ou à toute autre chose, sauf à ce que son porteur soit émir.

Mais au fur et à mesure que les gens saluaient Salmân en l’appelant émir, il sentit une certaine gène l’envahir et il devint tout confus. Il comprit alors qu’il avait affaire au gouverneur d’Al-Madyan en personne. Ne sachant comment s'excuser, il pria Salmân de le laisser reprendre sa charge mais celui-ci refusa et insista pour la porter à destination. La piété et l’ascétisme de cet homme étaient tels qu’il était difficile de le dissocier du plus modeste de ses administrés.



C’était un sage parmi les sages, car seuls ceux qui possèdent la sagesse peuvent résister à l’arrogance et à la condescendance qu’induit l’ivresse du pouvoir. `Umar qui avait une bonne connaissance de la nature humaine ne s’y trompa pas en lui confiant la responsabilité de

{ Ô toi, âme apaisée, retourne vers ton Seigneur, satisfaite et agréée.
Entre donc parmi Mes serviteurs, et entre dans mon paradis. }
[ Sourate 90 - Versets 27 à 30 ]
Et dire que de nos jours on a des homme qui on besoin de garde corps, est cela même sans être émir ;)
 
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