Jiimmy
Vergissmeinnicht
C'est un vrai problème. J'ai l'impression que le sexe féminin a disparu et qu'il se confond de plus en plus avec le sexe masculin (qui s'est lui aussi rapproché du sexe féminin) dans une sorte d'indifférenciation des sexes avec l'avènement d'un tiers sexe "neutre".
Les femmes que j'ai du fréquenter (professionnellement ou à travers les services que sont ceux d'une caissière, d'une secrétaire, d'une femme au guichet etc.....) se comportent majoritairement comme des hommes, s'énervent facilement, ont une absence criante d'empathie, s'habillent soit comme des hommes soit comme des ** (vous aurez compris), en fait se situent toujours dans un registre purement masculin qui annihile complètement leur féminité (pour moi, cette dernière ne consiste pas à se répandre un pot de maquillage sur la figure ainsi qu'à se parer d'une ribambelle de bijoux sur le corps).
J'ai l'impression que les femmes tentent de mimer les hommes dans tous les aspects de leur personnalité et de leur hexis corporelle du fait d'un complexe d'infériorité qu'elles éprouvent (j'ai remarqué que les profs femmes étaient bien plus sévères avec les garçons que les profs hommes) à l'égard des hommes et dont elles entendent se débarrasser en singeant à l'extrême ceux à qui elles aimeraient ressembler et qu'elles admirent sans l'avouer.
Les féministes symbolisent cette entreprise poussée à son paroxysme et d'ailleurs les critères qu'elles prennent en compte dans la comparaison qu'elles effectuent entre les femmes et les hommes se trouvent être des critères systématiquement masculins.
Les femmes semblent se déposséder de leurs atouts naturels, qu'elles considèrent dégradants, pas assez valorisants et tentent d'accéder aux seuls sommets qui comptent dans notre société (le pouvoir, la notoriété et la richesse) accaparés jusqu'alors par les hommes en mimant le masculin.
Du coup, se développe, entre autres, une sorte d'agressivité excessive qui semble espérer (là où je travaillais, la majorité des tensions étaient créées lors des appels ou des rendez-vous entre des techniciennes et les allocataires) combler les déficiences dont elles s'imaginent dotées.
J'ai donc l'impression de ne plus croiser de femmes, que c'est une espèce en voie de disparition (de même que l'homme) et j'en récolte un profond ressentiment, que je ne maitrise pas, à l'égard des femmes qui m'énervent au plus haut point lorsque je suis amené à être confronté à celles-ci.
Pour couronner le tout, je me suis fait licencié à cause d'une femme (soutenue par d'autres femmes, parmi mes collègues, dans une sorte de solidarité féministe aberrante lors même qu'elle se trouve être une des plus grandes manipulatrices et menteuses que je connaisse). En fait, j'ai du mal à supporter l'autorité des femmes que je ne vois pas du tout comme naturelle dans la manière dont elles l'exercent (la recherche de la confrontation, du rapport de force, de la soumission de l'autre surtout s'il s'agit d'un homme) et en conséquence, cela ne m'impressionne guère, quel que soit son rang.
Je pense qu'il faut m'aider à trouver une thérapie pour me guérir.
Les femmes que j'ai du fréquenter (professionnellement ou à travers les services que sont ceux d'une caissière, d'une secrétaire, d'une femme au guichet etc.....) se comportent majoritairement comme des hommes, s'énervent facilement, ont une absence criante d'empathie, s'habillent soit comme des hommes soit comme des ** (vous aurez compris), en fait se situent toujours dans un registre purement masculin qui annihile complètement leur féminité (pour moi, cette dernière ne consiste pas à se répandre un pot de maquillage sur la figure ainsi qu'à se parer d'une ribambelle de bijoux sur le corps).
J'ai l'impression que les femmes tentent de mimer les hommes dans tous les aspects de leur personnalité et de leur hexis corporelle du fait d'un complexe d'infériorité qu'elles éprouvent (j'ai remarqué que les profs femmes étaient bien plus sévères avec les garçons que les profs hommes) à l'égard des hommes et dont elles entendent se débarrasser en singeant à l'extrême ceux à qui elles aimeraient ressembler et qu'elles admirent sans l'avouer.
Les féministes symbolisent cette entreprise poussée à son paroxysme et d'ailleurs les critères qu'elles prennent en compte dans la comparaison qu'elles effectuent entre les femmes et les hommes se trouvent être des critères systématiquement masculins.
Les femmes semblent se déposséder de leurs atouts naturels, qu'elles considèrent dégradants, pas assez valorisants et tentent d'accéder aux seuls sommets qui comptent dans notre société (le pouvoir, la notoriété et la richesse) accaparés jusqu'alors par les hommes en mimant le masculin.
Du coup, se développe, entre autres, une sorte d'agressivité excessive qui semble espérer (là où je travaillais, la majorité des tensions étaient créées lors des appels ou des rendez-vous entre des techniciennes et les allocataires) combler les déficiences dont elles s'imaginent dotées.
J'ai donc l'impression de ne plus croiser de femmes, que c'est une espèce en voie de disparition (de même que l'homme) et j'en récolte un profond ressentiment, que je ne maitrise pas, à l'égard des femmes qui m'énervent au plus haut point lorsque je suis amené à être confronté à celles-ci.
Pour couronner le tout, je me suis fait licencié à cause d'une femme (soutenue par d'autres femmes, parmi mes collègues, dans une sorte de solidarité féministe aberrante lors même qu'elle se trouve être une des plus grandes manipulatrices et menteuses que je connaisse). En fait, j'ai du mal à supporter l'autorité des femmes que je ne vois pas du tout comme naturelle dans la manière dont elles l'exercent (la recherche de la confrontation, du rapport de force, de la soumission de l'autre surtout s'il s'agit d'un homme) et en conséquence, cela ne m'impressionne guère, quel que soit son rang.
Je pense qu'il faut m'aider à trouver une thérapie pour me guérir.