8 conseils pour avoir un beau jardin sans pesticides

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Une chose que je ne comprends. J’ai semé des pois nains précoces, début Août, un peu tardivement, ils ont quand‑même germé et poussé. Mais ce qui est bizarre, c’est qu’ils ont commencé à fleurir presqu’aussitôt sortis de terre, alors qu’ils avaient à peine 4 à 5 cm de hauteur, ils ont fait quelque cosses qui contiennent bien des pois mais il y a peu de cosses, puis ils ont séché. Les pois dans les cosses sont eux aussi entièrement secs. C’est comme s’ils avaient tout fait en accéléré sans prendre le temps de grandir avant.

J’en ai resemé dernièrement en me disant que je ne perd rien de re‑essayer, je verrai si ça refait la même chose.
 
La Blondy pourrait‑elle faire une alternative à la Bintje ? Comme cette dernière, la Blondy est farineuse et a un bon rendement, avec l’avantage d’être moins sensible aux maladies.
 
Un dicton dit, « à la sainte Catherine, tout bois prend racine » ; ce dicton fait référence au bouturage (pas à la plantation) des arbres et arbustes, et la sainte Catherine, c’est le 25 Novembre.

Mais pour qu’une bouture puisse se faire, il doit bien y avoir un minimum de circulation de la sève, non ? Et en Novembre, quasiment tous les arbres ont déjà perdu beaucoup de feuilles …

Je me demande si des gens ont déjà essayé d’appliquer ce dicton et ce qu’ils peuvent en dire. En tous cas, je vais le tester, je pensais faire des boutures maintenant, mais je vais attendre. Je dirai si ça semble marcher, mais ça ne pourra pas être avant plusieurs mois.
 
Une chose m’échappe. Le panais est normalement bisannuel, en tous cas le panais sauvage l’est, et j’ai deux panais qui commencent à faire une inflorescence.

Le panais cultivé et si différent du panais sauvage ?

Sinon en marge, je ne vais pas récolter beaucoup, les deux tiers des plants ont été vandalisés ; même pas volés, mais clairement vandalisés. Il y a des jours où j’en marre de vivre au milieux d’animaux plus bêtes que les animaux. Aucun animal n’est normalement censés détruire une source de nourriture et que ça lui apporte une satisfaction. C’est un sommet de la dégénérescence.

Ce n’est pas le premier acte de vandalisme, mais là il est de plus grande ampleur que d’habitude.
 
saison pas terrible pour mes courges, hormis le Slaoui "lagenaria longissima" auquel j'y ai ajouté du Polyter mélangé à la terre et au compost... Ca m'as donné des courges Slaoui bodybuildés :D Je posterais des photos tout à l'heure.

Mes tomates se portent plutôt bien, là aussi, elles ont été sauvés par le Polyter, vu l'énorme sécheresse qu'on as eut en Juin/Juillet avec quasiment pas d'eau. A tel point que j'arrosais avec l'eau du robinet. Mes autres courges dont j'avais récolté les semences ont été malheureusement hybridé la saison passé :joueur: Je me suis néanmoins retrouvé avec des potirons rouge vif d'Estampes énormes car hybridée avec des potiron Giant Atlantic.

Sinon pour le reste, aubergines, navets, tournesols, piments, arbres fruitiers etc, tout à bien poussé sauf les melons qui ont souffert de la sécheresse et de mon pied de raisin de table qui s'est encore une fois mangé l'oïdium... Je vais devoir le tailler sévère cette fois-ci.
 
[…] Mes autres courges dont j'avais récolté les semences ont été malheureusement hybridé la saison passé :joueur: Je me suis néanmoins retrouvé avec des potirons rouge vif d'Estampes énormes car hybridée avec des potiron Giant Atlantic.
Fais attention avec les hybrides de cucurbitacées, ils deviennent facilement immangeables ou même toxiques.

[…] et de mon pied de raisin de table qui s'est encore une fois mangé l'oïdium... Je vais devoir le tailler sévère cette fois-ci.
Le raisin sauvage, il ne souffre de rien, lui. Ses grains sont petits, mais délicieux, surtout à partir de Septembre. Je m’en suis gavé plusieurs fois quand j’avais soif, pour économiser l’eau que je prend quand je part loin ou longtemps.
 
Fais attention avec les hybrides de cucurbitacées, ils deviennent facilement immangeables ou même toxiques.


Le raisin sauvage, il ne souffre de rien, lui. Ses grains sont petits, mais délicieux, surtout à partir de Septembre. Je m’en suis gavé plusieurs fois quand j’avais soif, pour économiser l’eau que je prend quand je part loin ou longtemps.

C'est vrai, je connais quelqu'un qui as du raisin sauvage dans son jardin, aucunes maladies ne le touche.

Pour les courges j'avais lu qu'il fallait goûter un petit morceau, si c'est amère faut le jeter car toxique.
 
J’avais mis des carottes abîmées sur le tas de compost en pensant que la souris viendrait les manger, mais elle n’y a pas touché (je ne sais pas où elle est passée depuis un temps) et les carottes sont devenues rouge carmin. C’est drôle, les carottes que j’ai mis en réserve sont restées oranges.
 
Il reste encore environ 2 Kg de pomme de terre en réserve, quand je les aurai ramené, ce sera fini, il n’y en aura plus. À ce moment là je saurai le total.

Pas assez de pommes de terre, pas assez de carottes, trop de betteraves, les panais qui n’ont pas beaucoup donné, et je ne sais pas encore pour les céleris.

Les panais sont quand‑même fragiles, je trouve (mais ils ont aussi été vandalisés), et ce n’est pas un problème de variété, parce que les panais sauvages souffrent aussi de cette attaque fongique qui ressemble à de la pruine sur les feuilles.
 
Ça fait longtemps que je n’ai pas vu la petite souris rousse et noire, ça m’inquiète un peu.

Les dernières carottes que je lui avais laissé sur le composte, sont restées, il n’y a que quelques insectes qui les ont un peu grignoté. Je ne l’ai pas du tout vu non‑plus depuis au moins huit semaines, alors ce n’est que parce qu’elle n’a pas touché aux carottes.
 
moi j ai grand jardin .. enfin grand . pour la ville .. 200Mcube ..
je fais rien pousser c est en friche . y a de tout .. des chat crevé des bouteille de sky
deux trois slip .. des poubelle des sacs ... et chui sur que le fond y a un punk qui squatt ... crois que je le vois pas avec sa crête violette .. ptitkon !!
 
Il y a quelques jours, j’ai ramené le reste des pommes de terre, et le total récolté aura été finalement d’un peu plus de 35 Kg, sur environ 18 m² effectif, soit 1 Kg 940 au mètre carré, ce qui n’est pas beaucoup je pense, mais il y a eu le mildiou et les pommes de terre ont poussé au milieu de rhizomes de roseaux qui restaient dans le sol.

Ce soir j’ai ramené les dernières carottes, et le total récolté aura été de 30 Kg 400, pas loin de autant que les pommes de terre, sur une surface deux fois plus petite, soit sur 9 m², soit 3 Kg 350 au m² environ.

L’année prochaine, je ferai une plus grande surface de carottes.
 
Dernière édition:
Hier en fin d’après‑midi, j’avais la visite d’un faisan dans le jardin. J’ai eu la surprise de l’apercevoir tout près quand j’arrivais pourtant en vélo, il n’a même pas eu peur. J’ai fait une pause pour attendre et ne pas le déranger, puis quand j’ai voulu aller au jardin, il était toujours là, il m’observait, toujours pas peur. Puis quand je suis quand‑même allé débiter un tronc tombé cet été, il était encore là, mais après je ne l’ai plus vu, je crois qu’il n’a pas aimé le bruit de la scie à bûche.

Pour faire la différence entre un tétra et un faisan : les faisans ont une longue queue, celle des tétras est plus courte, les faisans ont une allure effilée, les tétras ont une allure plus ronde, ils ressemblent assez à des énormes poules ou à des énormes coqs.

J’avais vu un tétra il y a quelques semaines, ailleurs, mais il a fuit tout de suite.
 
J’ai récupéré trois petites tomates d’un pied de tomate spontané ; j’ai envie de tenter de les semer l’année prochaine, comme ce pied semble adapté à la région, vu qu’l s’est débrouillé tout seul.

Mais je me demande si je peux récupérer les graines en ouvrant les tomates ou si je dois attendre qu’elles pourrissent.
 
Hier en fin d’après‑midi, j’avais la visite d’un faisan dans le jardin. […]
Et aujourd’hui alors que j’étais sous des bosquets juste à côté, un épervier. J’ai entendu des bruits inhabituels derrière moi, je me suis retourné et j’ai eu la surprise de voir un épervier à moins de dix mètres. Je n’imaginais pas qu’ils peuvent voler dans ces conditions. Ça n’a pas duré longtemps, mais ma présence ne le dérangeait apparemment pas.
 
J’ai récupéré trois petites tomates d’un pied de tomate spontané ; j’ai envie de tenter de les semer l’année prochaine, comme ce pied semble adapté à la région, vu qu’l s’est débrouillé tout seul.

Mais je me demande si je peux récupérer les graines en ouvrant les tomates ou si je dois attendre qu’elles pourrissent.

 
Les trois tomates sont justement en train de « pourrir » et fermenter dans un pot en verre :p . Je l’ai juste mise en dans un pot parce que dans la sorte de soucoupe sur laquelle que les avait laissé à fermenter, il y avait trop de moisissures à mon avis.

Dès que ça a fermenté tu peut nettoyer les graines et les mettre à sécher. ;)
 
Quelqu’un peut confirmer ou infirmer que les châtaignes qu’on trouve en vrac en grande surface n’ont pas subit de traitement en particulier ? J’en ai pris hier pour en faire germer une bonne partie, comme je n’ai trouvé de châtaigniers nul‑part.
 
La marque Revex, pour les outils de jardin, me semble de bonne facture, un bon rapport qualité prix. J’avais acheté il y a quelques semaines une serfouette à deux dents, de cette marque, à un peu moins de 19 €, et rien à redire, c’est du bon matériel pour ce prix.

Même si ce n’est pas le même instrument, elle me fait penser à la fourche‑bêche que j’avais acheté à Cora et qui est de la marque Cora, un bon rapport qualité prix aussi, même si j’ai cassé un manche en début d’année, parce que j’avais un peu abusé.

J’en viens à me demander si Cora ne vend pas en fait du Revex en marque blanche, pour ce genre de matériel.

En tous cas, si vous voyez du Revex quelque part, que le prix vous semble abordable mais que vous‑vous interrogez sur la qualité : pas d’inquiétude, c’est du bon … sous réserve d’une utilisation normale, par exemple ne pas faire levier sur un manche de serfouette, ce sont des manches fins, et penser à vérifier l’emmanchement, retaper un peu si nécessaire quand c’est neuf.
 
Victoire des Lobbies :fou: :pleurs:

Le 2 octobre 2018 dernier, la loi Egalim avait été adoptée par l’Assemblée nationale, après plus de 9 mois de débats parlementaires intensifs. Cette loi Agriculture et Alimentation offrait d’encourageantes perspectives pour obtenir une agriculture plus verte et respectueuse de l’environnement. Pourtant, 23 des 98 articles viennent d’êtres censurés par le Conseil Constitutionnel, mettant un coup d’arrêt aux défenseurs de la biodiversité, enthousiasmés par le projet initial. Explications.



Une censure conséquente sur un sujet déjà adopté par l’Assemblée nationale
La Loi Egalim était initialement conçue pour venir au secours d’agriculteurs de plus en plus en souffrance, tout en construisant une agriculture française innovante et diversifiée. Pour la structurer, ONG, représentants des producteurs, consommateurs et élus ont travaillé main dans la main afin de fournir un projet de loi abouti et équilibré. Amélioration de l’équilibre des relations commerciales dans les secteurs agricole et alimentaire, et développement d’une agriculture saine et durable, voici ce qui constitue l’essence de cette loi. Le Daily Geek Show avait d’ailleurs rédigé un article à l’annonce de l’adoption de cette loi.

Plus d’un mois après son adoption, c’est donc plus d’un quart de son contenu qui a été supprimé, le tout sous l’égide d’une seule instance. Pourtant initialement validée par l’Assemblée Nationale, représentative du peuple français, le Conseil Constitutionnel en a donc décidé autrement. Cette véritable censure éclaire d’un contenu résultant de plusieurs mois de débat pose de véritables questions quant au fonctionnement de notre démocratie.


C’est donc un total de 23 articles qui ont été abrogés. Parmi ceux-ci, des mesures pourtant attendues par les divers organismes verts, dont voici trois exemples :

L’article 78 sur « la cession à titre onéreux de variés de semences relevant du domaine public » : article majeur, il permettait à quiconque de donner, d’échanger mais également de vendre des semences de variétés non inscrites au catalogue officiel des utilisateurs non-professionnels. Cela s’étendait donc du petit jardinier amateur jusqu’aux collectivités publiques.

L’article 86 sur « l’intégration de la biodiversité et de la préservation des sols à l’enseignement agricole » : Mieux instruire pour mieux préserver la nature et nos sols demain, c’était pourtant un objectif noble qui aurait permis une meilleure compréhension des besoins et des nécessités de notre terre, pour une agriculture plus saine et durable, et sur du long terme.

L’article 43 sur : « l’étiquetage des miels composés de mélanges » : si l’origine du miel ne vaut fondamentalement pas un gage de qualité, cette mesure avait pour but de rassurer le consommateur quant à la qualité du produit. L’étiquetage automatique aurait également pu construire un moyen dissuasif envers les importations, parfois douteuses, qui sont proposées dans nos supermarchés discounts.

Si cette procédure de censure est légalement valable, son motif dérange. En effet, la cause officielle est que le Conseil Constitutionnel a considéré que ces articles aujourd’hui supprimés étaient des « cavaliers législatifs », c’est-à-dire qu’ils ne présentaient pas de lien, même indirect, avec le projet initial. Cette explication très surprenante agace notamment les responsables de l’élaboration de cette loi.

Cette révision intervient néanmoins car plus de soixante sénateurs avaient saisi le Conseil Constitutionnel car pour eux, la loi Egalim « méconnaissaient plusieurs principes constitutionnels »



.../...
 
suite et fin

De même, nous pouvons nous questionner sur le message envoyé au reste de la population française : ce projet était un exemple d’initiative démocratique, regroupant d’abord des états généraux, puis tout un tas d’acteurs, détaillés plus tôt, autour de la table. L’ensemble de ces divers points de vue émergeant de plusieurs horizons permettaient de construire un projet, riche et acceptable par toutes les parties prenantes. Pour les instances comme l’Assemblée Nationale, c’est une perte de souveraineté. Elues par le peuple, ces chambres qui avaient voté l’adoption de la loi Egalim se voient censurées, sans pouvoir y répondre, par une instance supérieure.




Une influence des lobbies soupçonnée
La majorité des personnes et organismes ayant réagi à cette censure expresse s’interrogent sur l’influence des lobbies, planant depuis des années sur les plus hautes instances étatiques.

Pour information, le Conseil Constitutionnel est constitué d’un effectif réduit de 9 personnes. Ses membres sont nommés, et donc non élus, par le Président de la République, le président du Sénat et par le président de l’Assemblée nationale. Ainsi, leur légitimité n’est pas populaire. Depuis 2016, c’est notamment Laurent Fabius qui le préside. Parmi les membres, nous retrouvons des noms connus du paysage politique français tels que Lionel Jospin ou Valéry Giscard d’Estaing (membre de droit car ancien Président de la République) mais également des noms plus discrets comme Michel Charasse ou Nicole Maestracci.

Leur décision de retoquer la loi agace et met en question leur impartialité. Une ONG pro-environnementale est au même titre un lobby qu’un syndicat industriel. Cependant, ce n’est un secret pour personne, l’argent injecté octroie une plus grande force de persuasion. Ainsi, leur égalité théorique n’est pas valable dans la pratique. Les activités de lobbying auprès des parlementaires sont courantes, avec comme justification officielle le fait que le point de vue des entreprises doivent être apporté au débat pour qu’ils soient efficaces. Cependant, certains souhaitent une totale séparation des organismes pour éviter cette situation flirtant pour certains avec la corruption.

Sur le papier donc, les parlementaires peuvent écouter les arguments des lobbies, leurs recommandations et conseils, mais ils doivent prendre une décision finale de manière libre. Ici, la décision de censure du Conseil Constitutionnel signifie que les articles supprimés étaient tout bonnement hors sujet à leurs yeux. Pourtant, c’est le fruit de plusieurs mois de travail rigoureux de divers auteurs.

L’article 78 est un exemple efficace qui pourrait vous éclairer sur l’influence des lobbies : La loi prévoyait l’autorisation de la vente de semences anciennes à tous. Jusque-là réservé aux grands groupes tels que Monsanto, DuPont ou encore Dow Chemical, ces géants des semences allaient perdre leur hégémonie sur ce gigantesque marché très lucratif. En effet, des associations comme Réseau Semences Paysannes auraient très bien pu en vendre, et on peut estimer que les consommateurs français, de plus en plus friands des produits locaux et biologiques, se seraient tournés vers ce nouveau marché…. au détriment de Monsanto.

Quoi qu’il en soit, l’association « Les amis de la Terre » a décidé de déposer un recours auprès du Conseil Constitutionnel afin de protester contre cette décision de censure..





Source : lareleveetlapeste


Par Benjamin Cabiron, le 29 novembre 2018


mam
 
[…]

L’article 78 sur « la cession à titre onéreux de variés de semences relevant du domaine public » : article majeur, il permettait à quiconque de donner, d’échanger mais également de vendre des semences de variétés non inscrites au catalogue officiel des utilisateurs non-professionnels. Cela s’étendait donc du petit jardinier amateur jusqu’aux collectivités publiques.
Je m’étonne que les verts, qui sont anti‑commerce, se plaignent que cette loi n’ait pas été retenue. Actuellement ces graines peuvent être obtenues, mais elles ne peuvent pas être vendues. Il est possible d’en obtenir dans le cadre d’échanges graines contre graines, par exemple.

À part ça, oui, interdire la vente limite l’investissement dans la production de ces graines. Mais ce serait bien si les écologistes comprenaient que le même problème se pose avec tout, pas seulement avec les graines.

L’article 86 sur « l’intégration de la biodiversité et de la préservation des sols à l’enseignement agricole » : Mieux instruire pour mieux préserver la nature et nos sols demain, c’était pourtant un objectif noble qui aurait permis une meilleure compréhension des besoins et des nécessités de notre terre, pour une agriculture plus saine et durable, et sur du long terme.
Il faut voir qui aurait établi les contenus. Il y avait peut‑être des craintes à ce sujet. Voir par exemple la récente affaire Pierre Rabhi et ses liens avec les pseudos‑sciences.

À part ça, oui, dans le principe, ce serait une bonne chose, mais il faut voir en pratique.

L’article 43 sur : « l’étiquetage des miels composés de mélanges » : si l’origine du miel ne vaut fondamentalement pas un gage de qualité, cette mesure avait pour but de rassurer le consommateur quant à la qualité du produit. L’étiquetage automatique aurait également pu construire un moyen dissuasif envers les importations, parfois douteuses, qui sont proposées dans nos supermarchés discounts.

[…]
Le problème n’est pas temps dans les miels composés que dans les miels qui contiennent autre chose que du miel.
 
Dernière édition:
Et aujourd’hui alors que j’étais sous des bosquets juste à côté, un épervier. J’ai entendu des bruits inhabituels derrière moi, je me suis retourné et j’ai eu la surprise de voir un épervier à moins de dix mètres. Je n’imaginais pas qu’ils peuvent voler dans ces conditions. Ça n’a pas duré longtemps, mais ma présence ne le dérangeait apparemment pas.
J’ai vu l’épervier chahuté par des corbeaux qui me semblaient essayer de le chasser. Ils le harcelaient et le poursuivaient en vol.
 
Le panais a un gout intéressant en purée (frit, je le trouve sans intérêt), mais il est un peu laxatif. En plus, une bonne partie de la racine, incluant le pointe, est ligneuse au cœur. Je crois qu’il ne faut pas en faire beaucoup.
 
Une chose m’échappe. Le panais est normalement bisannuel, en tous cas le panais sauvage l’est, et j’ai deux panais qui commencent à faire une inflorescence.

Le panais cultivé et si différent du panais sauvage ?

[…]
C’est peut‑être le signe que je les avais semé trop tôt, quand il faisait encore trop froid. Une vernalisation volontaire ou involontaire, peut faire fleurir des bisannuelles dès la première année.

Je les avais semé le 26 Avril, peut‑être que j’aurais dut attendre la première quinzaine de Mai.
 
L’avoine se sème dès le mois de Février, il ne faut pas trainer.

Mais je ne sais toujours pas si l’avoine vendue pour faire pousser de l’avoine comme engrais vert, est bonne aussi pour le grain ; c’est de récolter le grain qui m’intéresse aussi.

Des gens en savent quelque chose ?
 
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