Quitte à terrasser, à asservir, et tuer, ou châtié il le fera pour sa gloire. Plus rien ne compte à par lui. Il se regarde en nous. Il s'aime en nous. Gloire gloire gloire.... Rien ne compte...
Il créa notre âme, nos penchants... Puis il établit des règles en contradiction. Ça veut dire que le salut devient alors difficile à atteindre.
C'est comme nous mettre des bâtons dans les roues puis de dire que nous sommes libres et coupable. Alors qu'il nous créa faible et enclin au mal !
Là on entre dans ton problème, ta perception même de la divinité, on ne parle pas d'une personne, Dieu n'est pas une personne, le personnifier par ce que tu trouves détestable ne va pas te donner la vision correspondante à la réalité décrite...
Bref, pour cette partie là, il faudra que tu sois plus clair(e) : Il chatie quand Il le décide, et de tous les exemples, ce n'est jamais, jamais sans raison. De même qu'Il donne quand son ou sa serviteur lui demande
On est créée avec le libre arbitre, si on avait pas ce libre arbitre, on ne serait pas différent de créatures sans conscience précise. Notre faiblesse on en a connaissance, ne nous est pas demandé de devenir perfection, mais de faire ce que l'on peut avec notre coeur tout simplement. Il n'y a contradiction que lorsqu'on la recherche par rapport à ses propres critères non?
Un tueur de sang froid, rien ne l'oblige à tuer une personne, c'est son choix de tuer ou non, peu importe la raison qui pousse au meurtre, s'il y en a une, au final c'est un choix entre le fais-je ou ne le fais-je pas.
Comment peut-on crée des êtres puis les châtié ? Il vaut mieux ne pas les créer du tout. Il manque cruellement d'empathie.
Comment aimer ce Dieu ?
Il me répugne.
Donc des parents ne doivent jamais faire d'enfants? Alors oui, cet exemple n'est pas le plus pertinent au vue du sujet, mais il pointe le problème de ta phrase je crois
Je suis heureux d'exister personnellement... L'empathie est dans la reconnaissance même de notre existence, enfin à mes yeux, elle est dans l'amour qui nous est porté, elle est dans la vie de maintenant comme la vie prochaine.
On en vient au fond du problème, pour des raisons qui me sont inconnues, je ne te connais pas, je ne t'ai probablement jamais vu(e) de ma vie, mais ici, tu le dis clairement tu es répugnée. Donc forcément tout ce que tu ressens et toute ta réflexion ira dans le sens: je trouve tout repoussant et détestable.
Et nous sommes alors qu une expérience à ses yeux ? Que de vulgaires créatures méprisantes? Des jouets qu'on teste et envoie en enfer si toutefois ils nous plaisent pas ?
je me peine à aimer la représentation du Dieu de l'islam et des religions monothéistes. J'ai tout fait pour m'en sortir pourtant...
Il veut le beurre, l'argent du beurre, et les commissions, c'est trop!
Il est arbitraire, jaloux, narcissique égocentrique et manipulateur...
Il ne représente pas le Dieu parfait que je désire aimer. Il me dégoute, il semble si cruelle et sadique. Je n'oublie pas qu'il est capable du bien !
Une expérience? Je ne crois pas, là encore on en vient à ta personnification de la divinité. Il n'a pas besoin de nous, notre sort et le Sien ne sont pas interconnectés, seul le notre est lié à lui. On a les clés et les choix, si on choisit de dire qu'Il n'existe pas, qu'Il est mauvais et injuste, qu'Il est immonde, et j'en passe, il n'y a que nous qui prenons ce choix et il n'a aucun effet sur Lui.
Tu lui attribues des sentiments et des traits humains alors que ce qu'Il est n'est pas du tout humain. Tu affirmes des choses en étant certain(e)s que tu es dans le vrai, pourtant tu n'essaies pas de prouver ton propos. C'est ton coeur qui parle, mais ta raison a-t-elle vérifier ton jet du coeur?
Si tu veux un conseil simple, tu devrais essayer de lire les livres dans leur langue d'origine, ou ce qui s'en rapproche le plus. (Pour le Qur'an par exemple, j'ai lu ici que tu parlais d'un verset disant qu'on avait été acheté à Dieu, il n'existe pas en Arabe, et je le sais sans être arabophone.)
Tu me parais jeune et perdu(e).
Qu'Allah te facilite.