Aéroports dangereux. Afrique noire. Personnel mal formé ; moyens radio en panne ; communiqués météo souvent fantaisistes ; ordres des contrôleurs imprécis : Kano, Lagos, Port Harcourt (Nigeria).
Ajaccio (Corse). Piste trop courte (2 400 m).
Alger (Algérie). Indications radio décalant les trajectoires de 5 à 10 km par rapport aux cartes.
Amérique du Sud. Buenos Aires (Argentine), Leiticia-Vasquez Cobo et San Andres-Sesquicentenario (Colombie), Maiquetia-Simon Bolivar (Venezuela).
Fidji (Suva-Nausori).
Grenoble (France). « Sportif » par vent d'ouest. Turbulences.
Kaboul (Afghanistan).
La Paz (Bolivie). A 3 000 m d'alt. ; il faut dépressuriser rapidement lors de l'atterrissage.
Lorient (France). Piste en béton armé ; le ferraillage modifiant le champ magnétique, on ne peut recaler les instruments (régler le cap par rapport à celui de la piste) avant le décollage.
Mexico (Mexique). Alt. 2 300 m, l'appareil atterrit à 300 km/h au lieu de 250. Décollage : chaleur et pollution diminuent le rendement des moteurs.
Milan-Linate (Italie). Terrain en pente ; piste trop éloignée des parkings.
Moscou (Russie). Pistes mauvaises et mal entretenues ; contrôleurs parlant mal l'anglais.
New York (USA). Virage immédiat dès que les avions atteignent 30 m de hauteur, poussée forte et continue des réacteurs pour gagner rapidement de l'altitude.
Nice (France). Projet : les avions déborderont par la mer ; en cas de danger ou de dépassement urgent, 2e virage à négocier.
Nicosie (Chypre). Contrôle partagé entre Grecs, Turcs, Chypriotes et militaires.
Nouvelle-Zélande (Wellington).
Pékin (Chine). Pannes, contrôleurs parlant mal l'anglais.
Quito (Équateur). Au fond d'une cuvette.
Tallinn (Estonie). Radar dépassé et système radio saturé.
Tenerife (Canaries). Brouillard fréquent.
Toronto (Canada). Ravin (20 m) à moins de 350 m du bout de la piste.
Tripoli (Libye). Contrôle insuffisant.
Ajaccio (Corse). Piste trop courte (2 400 m).
Alger (Algérie). Indications radio décalant les trajectoires de 5 à 10 km par rapport aux cartes.
Amérique du Sud. Buenos Aires (Argentine), Leiticia-Vasquez Cobo et San Andres-Sesquicentenario (Colombie), Maiquetia-Simon Bolivar (Venezuela).
Fidji (Suva-Nausori).
Grenoble (France). « Sportif » par vent d'ouest. Turbulences.
Kaboul (Afghanistan).
La Paz (Bolivie). A 3 000 m d'alt. ; il faut dépressuriser rapidement lors de l'atterrissage.
Lorient (France). Piste en béton armé ; le ferraillage modifiant le champ magnétique, on ne peut recaler les instruments (régler le cap par rapport à celui de la piste) avant le décollage.
Mexico (Mexique). Alt. 2 300 m, l'appareil atterrit à 300 km/h au lieu de 250. Décollage : chaleur et pollution diminuent le rendement des moteurs.
Milan-Linate (Italie). Terrain en pente ; piste trop éloignée des parkings.
Moscou (Russie). Pistes mauvaises et mal entretenues ; contrôleurs parlant mal l'anglais.
New York (USA). Virage immédiat dès que les avions atteignent 30 m de hauteur, poussée forte et continue des réacteurs pour gagner rapidement de l'altitude.
Nice (France). Projet : les avions déborderont par la mer ; en cas de danger ou de dépassement urgent, 2e virage à négocier.
Nicosie (Chypre). Contrôle partagé entre Grecs, Turcs, Chypriotes et militaires.
Nouvelle-Zélande (Wellington).
Pékin (Chine). Pannes, contrôleurs parlant mal l'anglais.
Quito (Équateur). Au fond d'une cuvette.
Tallinn (Estonie). Radar dépassé et système radio saturé.
Tenerife (Canaries). Brouillard fréquent.
Toronto (Canada). Ravin (20 m) à moins de 350 m du bout de la piste.
Tripoli (Libye). Contrôle insuffisant.