djitymik
Bladinaute averti
- Sisi, c'est valides pour moi aussi, c'est un principe universel révélé par Jésus qui sera fidèlement appliqué au jour du jugement.Toi non?
cdt.
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- Sisi, c'est valides pour moi aussi, c'est un principe universel révélé par Jésus qui sera fidèlement appliqué au jour du jugement.Toi non?
- Sisi, c'est valides pour moi aussi, c'est un principe universel révélé par Jésus qui sera fidèlement appliqué au jour du jugement.
cdt.
Révélé par Dieu... Jésus sera jugé aussi...
- Révélé par Dieu où ?
- Tu inventes des révélations ?
- Moi j'ai rien inventé hein...
cdt.
Toujours disponible en tout cas quand tu aura envie d'entendre un discours différent de celui dont on te berce depuis le berceauJ'en ai fini avec toi...
Bonne continuation dans ta ridicule croisade aveugle...
Encore une affirmation complètement foireuse, comme si tu me connaissais...Toujours disponible en tout cas quand tu aura envie d'entendre un discours différent de celui dont on te berce depuis le berceau
cdt.
Au contraire, pour nous Dieu mérite mieux que d'être perçu comme une figure autoritaire dont il faut avoir peur et à qui il faut se soumettre. Comme on dit : Corruptio optimi pessima, la pire corruption est celle du meilleur.Dieu mérite plus de respect.
Quelle définition donnes-tu à "respect"?Dieu mérite plus de respect.
Même question qu'à TIGELLIUS:Au contraire, pour nous Dieu mérite mieux que d'être perçu comme une figure autoritaire dont il faut avoir peur et à qui il faut se soumettre. Comme on dit : Corruptio optimi pessima, la pire corruption est celle du meilleur.
Je n'ai pas parlé de respect.Même question qu'à TIGELLIUS:
Quelle définition penses-tu à respect?![]()
Peut-être que j'ai mal saisi. Tu répondais à TIGELLIUS qui disait que dieu méritait plus de respect. J'en ai donc conclu (à tort) que ta réponse tournait autour de ce respect.Je n'ai pas parlé de respect.J'ai dit que Dieu méritait mieux qu'une conception faussée de sa nature.
Ce que tu dis contredit la bible AT car dans celle-ci Dieu est autoritaire. Craindre Dieu c'est un signe de respect.Au contraire, pour nous Dieu mérite mieux que d'être perçu comme une figure autoritaire dont il faut avoir peur et à qui il faut se soumettre. Comme on dit : Corruptio optimi pessima, la pire corruption est celle du meilleur.
Je crois que c'est vous qui n'estimez pas Dieu à Sa juste valeur. 3 volontés, 3 consciences, 3 personnes, fils par ci père par là, du vrai charabia.Je n'ai pas parlé de respect.J'ai dit que Dieu méritait mieux qu'une conception faussée de sa nature.
Mais non, c'est du charabia parce que vous voulez que ça soit du charabia. Mais vous savez très bien maintenant que les dogmes chrétiens ont un sens précis et une cohérence inhérente.Je crois que c'est vous qui n'estimez pas Dieu à Sa juste valeur. 3 volontés, 3 consciences, 3 personnes, fils par ci père par là, du vrai charabia.
Mais non, c'est du charabia parce que vous voulez que ça soit du charabia. Mais vous savez très bien maintenant que les dogmes chrétiens ont un sens précis et une cohérence inhérente.
Au contraire, pour nous Dieu mérite mieux que d'être perçu comme une figure autoritaire dont il faut avoir peur et à qui il faut se soumettre. Comme on dit : Corruptio optimi pessima, la pire corruption est celle du meilleur.
“La prière du chrétien entre en relation avec un Dieu au visage tendre”, estime le pape François lors de l’audience générale
Lors de l’audience générale du 13 mai 2020, diffusée depuis la bibliothèque du palais apostolique, le pape François a poursuivi son cycle de catéchèses sur la prière, cycle entamé la semaine précédente. « La prière appartient à tous : aux hommes de toutes religions, mais aussi sans doute à ceux...doc-catho.la-croix.com
Les chrétiens voient Dieu comme un compagnon, qui se fait proche d'eux et fait alliance avec eux pour leur salut.
Je ne parle pas ici de vérité mais de cohérence.C'est pas parce qu'un système d'idées est cohérent qu'il est vrai...
Non, un péché mortel ne peut être commis que volontairement. On ne risque donc pas de glisser constamment dans un tel état.Surtout que dans la perspective catholique, on risque constamment de glisser en état de « péché mortel ».
C'est une erreur de concevoir le titre de Seigneur ou Roi de manière très anthropomorphique. La Seigneurie du Christ (son autorité) n'a absolument rien à voir avec l'autorité de rois ou d'empereurs humains. Nous sommes d'accord que l'autorité du Christ est réelle, mais elle ne se base pas sur une hiérarchie, une vassalisation de l'homme vis-à-vis de Dieu comme on le voit chez les musulmans. La preuve ? L'Incarnation.Cette idée est à nuancer. Dans la Bible, Dieu (et Jésus, Dieu incarné) portent des titres comme « seigneur », « roi », pas exactement un rôle de « compagnon » comme les humains le conçoivent (encore moins à l'époque actuelle, allergique aux hiérarchies). D'autant plus qu'à l'époque biblique, les rois et empereurs étaient très au-dessus du petit peuple.
Dieu est aussi appelé « père » et « époux », mais justement, à l'époque biblique les relations entre enfants et parents et entre épouse et époux étaient nettement plus autoritaires et rigides, même quand l'homme était « bienveillant ».
Je pense que l'on a plus à avoir peur de nous-mêmes et de nos mauvais penchants que de Dieu, qui est Amour.Dans le Nouveau Testament, il y a des passages où sont décrits les tortures éternelles. C'est un peu normal d'en avoir peur, du moment qu'on les prend au sérieux.
Non, un péché mortel ne peut être commis que volontairement. On ne risque donc pas de glisser constamment dans un tel état.
Je pense que l'on a plus à avoir peur de nous-mêmes et de nos mauvais penchants que de Dieu, qui est Amour.
Je ne suis pas trop d'accord avec l'idée que Dieu épie et juge nos pensées. Je crois plutôt que Jésus nous engage à cultiver de bonnes intentions pour qu'il en sorte de bonnes actions, comme il le dit en Matthieu 15 : 10-20. C'est en effet exigeant pour l'homme, mais probablement plus efficace que de croire que le rituel lavera nos mauvaises pensées et nos penchants détestables.C'est vrai, il y a ça, mais la volonté peut aussi avoir des faiblesses. D'autant plus que ce Dieu épie constamment nos pensées et juge nos pensées « négatives ».
Il y a certes qu'un acte accompli par faiblesse, sans le plein consentement de la volonté, comptera peut-être pas comme péché mortel.
Il est vrai que la perception de l'enfer évolue au fil des siècles et de la mentalité de chaque époque. Nous sommes bien moins à l'aise avec l'enfer qu'autrefois. Mais je crois aussi qu'il faut être cohérent dans nos croyances : vous ne pouvez pas croire en un Dieu de bonté et d'amour et adhérer à l'idée qu'il envoie lui-même des gens en enfer pour des motifs parfois dérisoires. Il suffit de réfléchir un peu pour comprendre que le Christ crucifié par amour pour l'homme ne colle pas du tout avec un Dieu père fouettard, menaçant et presque "heureux" de jeter les damnés dans les flammes. Je suppose aussi que ces visions "infernales" de l'enfer posaient moins question à des populations essentiellement analphabètes, qui n'avaient pour culture biblique que les scènes sur les vitraux et les sermons des prêtres, et qui n'avaient pas cette habitude assez moderne en somme de tout remettre en question.Je sais que dans la théologie contemporaine, l'enfer est beaucoup présenté comme un choix librement assumé, que les damnés veulent réellement aller en enfer, qu'ils « supporteraient pas » de vivre en présence de l'amour de Dieu, qu'ils « choisissent » de vivre à leur manière, tout seuls, pour l'éternité.
Mais ça me paraît peu cohérent avec les représentations dans la Bible, où l'enfer est beaucoup plus présenté comme une punition douloureuse, qui a évidemment pas été voulue, et qui fait suite à un jugement divin (voir par exemple la parabole du riche et de Lazare).
Pendant plus de 1800 ans, les représentations de l'enfer dans la tradition chrétienne en sont restées là (parfois, elles sont même devenues plus psychopathiques). C'est seulement récemment, quand l'enfer est devenu de plus en plus inacceptable pour les nouvelles mentalités, que les chrétiens se sont mis à réinterpréter l'enfer. Certains, comme les TJ ou les adventistes, ont même nié son existence.
Il est vrai que la perception de l'enfer évolue au fil des siècles et de la mentalité de chaque époque. Nous sommes bien moins à l'aise avec l'enfer qu'autrefois. Mais je crois aussi qu'il faut être cohérent dans nos croyances : vous ne pouvez pas croire en un Dieu de bonté et d'amour et adhérer à l'idée qu'il envoie lui-même des gens en enfer pour des motifs parfois dérisoires. Il suffit de réfléchir un peu pour comprendre que le Christ crucifié par amour pour l'homme ne colle pas du tout avec un Dieu père fouettard, menaçant et presque "heureux" de jeter les damnés dans les flammes. Je suppose aussi que ces visions "infernales" de l'enfer posaient moins question à des populations essentiellement analphabètes, qui n'avaient pour culture biblique que les scènes sur les vitraux et les sermons des prêtres, et qui n'avaient pas cette habitude assez moderne en somme de tout remettre en question.
Arrogant, je ne crois pas. Je crois surtout que la démocratisation du savoir, l'amélioration de la médecine, des conditions de vie et des droits humains, combinés ces 70 dernières années à une paix relative mais durable, ont des répercussions sur notre manière de voir la vie, Dieu, l'autorité, la religion. Pendant 1900 ans, les conditions de vie des êtres humains ont relativement peu changé, l'existence était rude, les guerres innombrables. Il fallait une foi vive, presque fanatique pour supporter ces conditions de vie. Périodiquement, la foi devenait eschatologique, les gens étaient persuadés qu'ils vivaient les derniers temps et que l'heure du jugement était proche. Dans ce contexte, évidemment que l'on se faisait une représentation de l'enfer particulièrement horrible, tout comme on se représentait le paradis sans doute bien mieux qu'aujourd'hui. Les gens étaient obsédés par l'au-delà. Il en était de même à l'époque de Jésus, d'où ses rappels des châtiments de l'enfer. Les paroles de Jésus se comprennent aussi par leur contexte, comme tout dans la Bible d'ailleurs. Mais songez au bond inouï qu'a fait l'humanité depuis ces 150 dernières années. Notre monde a plus changé en 100 ans qu'en 1000 ans. Et notre vision de Dieu aussi. Je suis le fruit de mon époque, nous sommes tous le fruit de notre époque. Et nous percevons sans doute bien mieux l'incohérence à prêcher un Christ en Croix et dans le même temps un enfer pour la majorité du monde que nous vivons une vie plus douce et plus facile (jusqu'à présent du moins).Cependant, est-ce que c'est pas un peu « arrogant » (d'une certaine manière) de croire que nous, au 21e siècle, on a compris ce que l'amour de Dieu signifie, mais que pendant 1900 ans au moins, les chrétiens ont dit et enseigné que Dieu était amour sans trop comprendre ce que cela signifiait? Même dans le Nouveau Testament, celui qui parle le plus des tortures et des tourments de l'enfer est Jésus, qui prêchait « l'amour du prochain » et le « Dieu papa (abba) ».
Je veux dire, pendant tout ce temps, il y a eu des tas de théologiens, de religieux, d'artistes chrétiens, lecteurs assidus de la Bible, qui voyaient aucune incohérence entre le « Dieu est amour » et les représentations parfois psychopathiques de l'enfer qui avaient cour.
Peu à peu, depuis quelques décennies, Dieu s'est ramolli presque en bisounours, alors que pendant des siècles, il était vu comme un juge sévère et implacable, qui allait probablement damner la majorité de l'humanité.![]()
Arrogant, je ne crois pas. Je crois surtout que la démocratisation du savoir, l'amélioration de la médecine, des conditions de vie et des droits humains, combinés ces 70 dernières années à une paix relative mais durable, ont des répercussions sur notre manière de voir la vie, Dieu, l'autorité, la religion. Pendant 1900 ans, les conditions de vie des êtres humains ont relativement peu changé, l'existence était rude, les guerres innombrables. Il fallait une foi vive, presque fanatique pour supporter ces conditions de vie. Périodiquement, la foi devenait eschatologique, les gens étaient persuadés qu'ils vivaient les derniers temps et que l'heure du jugement était proche. Dans ce contexte, évidemment que l'on se faisait une représentation de l'enfer particulièrement horrible, tout comme on se représentait le paradis sans doute bien mieux qu'aujourd'hui. Les gens étaient obsédés par l'au-delà. Il en était de même à l'époque de Jésus, d'où ses rappels des châtiments de l'enfer. Les paroles de Jésus se comprennent aussi par leur contexte, comme tout dans la Bible d'ailleurs. Mais songez au bond inouï qu'a fait l'humanité depuis ces 150 dernières années. Notre monde a plus changé en 100 ans qu'en 1000 ans. Et notre vision de Dieu aussi. Je suis le fruit de mon époque, nous sommes tous le fruit de notre époque. Et nous percevons sans doute bien mieux l'incohérence à prêcher un Christ en Croix et dans le même temps un enfer pour la majorité du monde que nous vivons une vie plus douce et plus facile (jusqu'à présent du moins).
Comment ça, "monstrueuse" ?Mais on voit bien que cette stratégie a fini par se retourner contre les chrétiens, et que maintenant ces représentations monstrueuses sont plutôt une source d'embarras.
Le sens à partir de fausses interprétations de la part d'hommes.Mais non, c'est du charabia parce que vous voulez que ça soit du charabia. Mais vous savez très bien maintenant que les dogmes chrétiens ont un sens précis et une cohérence inhérente.
Salam Il paraît selon leur délire que c'est Jésus qui nous a créés et que ce même Jésus viendra pour juger les vivants et les morts. Comme pour eux Jésus a pris plus d'importance par rapport au Créateur, au lieu de remercier Dieu pour tous les bienfaits il faudra remercier Jésus pour la subsistance et l'existence. On est pas à un délire près. Pourtant ce Jésus qui ont couronné Dieu et qui ne sait pas et qui dit au Créateur que soit faite Sa Volonté, bref un dieu ignare a bien été (selon les chrétiens) tué sur la croix. Peut on adorer un dieu qui se fait tuer ?Révélé par Dieu... Jésus sera jugé aussi..
D'ailleurs c'est une critique de l'église et de sa représentation de l'enfer et du paradisComment ça, "monstrueuse" ?
J'adore Jérome Bosch et ses oeuvres saisissantes et je ne me lasse pas des deuxième et troisième cercles de l'Enfer selon Dante.
Le problème c'est que tes discours sont des délires insensés. Un sacrifice humain censé sauver l'humanité du péché original qui plus est un dieu qui se fait tuer, un fake news de l'époque avant l'invention des Médias. La grande majorité des chrétiens ont été bercés dans ce délire avec le catéchisme. Vous reprochez aux musulmans d'apprendre par cœur le Coran sans comprendre alors que les enfants de 8 ans apprennent le catéchisme sans rien comprendre.Toujours disponible en tout cas quand tu aura envie d'entendre un discours différent de celui dont on te berce depuis le berceau
cdt.
Pour moi le respect est une grande considération et une forme d'amour.Même question qu'à TIGELLIUS:
Quelle définition donnes-tu à respect?![]()
Pourquoi jai limpression que tu es envoûté au point de ne jamais comprendre?Il paraît selon le
Salam Il paraît selon leur délire que c'est Jésus qui nous a créés et que ce même Jésus viendra pour juger les vivants et les morts. Comme pour eux Jésus a pris plus d'importance par rapport au Créateur, au lieu de remercier Dieu pour tous les bienfaits il faudra remercier Jésus pour la subsistance et l'existence. On est pas à un délire près. Pourtant ce Jésus qui ont couronné Dieu et qui ne sait pas et qui dit au Créateur que soit faite Sa Volonté, bref un dieu ignare a bien été (selon les chrétiens) tué sur la croix. Peut on adorer un dieu qui se fait tuer ?