[Coin Cinéma: pour tous les cinéphiles]

salam

j'ai vu : "Mongol" aujourd hui.. j'ai bien aimé le film.. mais c'est dommage,ils auraient du faire un peu plus long que 1h50.. ils auraient pu développer la conquête du monde et la prise de pouvoir de Gengis khan.. enfin bref,j'aimais bien le film mais... :(
 
je viens de mater "PS i love you"

agreable a voir, sans plus :rolleyes:

ils sont beaux ces acteurs, ils sont trop beaux :fou:

fine kanou lamgharba mine kane rabbi yfara9 zine ????????????? :D
 
un film qui passe actuellement sur nos ecrans

"Islam ya salam" de saad charibi

j'en ai jamais entendu parler, c'est bizare ça :eek:
il vaut quoi si quelqun l'a vu....

histoire d'une famille americaine (pere marocain, mere americaine) qui suite aux 11 sept se voit obligée de rentrer au bled, et la le choc des cultures fait le reste...
 
un film qui passe actuellement sur nos ecrans

"Islam ya salam" de saad charibi

j'en ai jamais entendu parler, c'est bizare ça :eek:
il vaut quoi si quelqun l'a vu....

histoire d'une famille americaine (pere marocain, mere americaine) qui suite aux 11 sept se voit obligée de rentrer au bled, et la le choc des cultures fait le reste...

Salut zaza

intéressant le titre

ou ?? et quand???
 
"Voyage au Centre de la Terre", ca sort demain
le premier film avec la nouvelle technolgie 3D
le film a l'ai nul en tant que tel, mais la 3D (vision stereoscopique) nouvelle generation, est presente comme le nouveau grand pas en avant du 7eme art, de grand nom sont derriere cet avance, dont James Cameron, George Lucas, Spielberg..et d'autres...

je suis tres curieux de voir si tout ce tapage mediatique est justifie

mais c'est sur que la 3D est le futur.
 
le samedi non???

je vais voir dans menara.ma, peut être je vais trouver la date limitée

merci;)

il nya pas de date limite, (ou date de peremption :D) tant que le film marche il passe, et samedi il passe biensur sauf que je crois que la seance de 19h sautte, car il ya projection de la programmation du CCF a 18h30
 
un film qui passe actuellement sur nos ecrans

"Islam ya salam" de saad charibi

j'en ai jamais entendu parler, c'est bizare ça :eek:
il vaut quoi si quelqun l'a vu....

histoire d'une famille americaine (pere marocain, mere americaine) qui suite aux 11 sept se voit obligée de rentrer au bled, et la le choc des cultures fait le reste...

j'avais deja lu un critique la dessus. Il ne semblait pas convincu et disait que le film efleurait seulement quelques sujets sans vraiment les traiter en profondeur, que c'est bien beau de repeter "l'islam c'est pas ca", mais que le film n'apporte justement rien de plus que cette reflexion, donc rien de nouveau selon lui.

:rolleyes:
 
j'avais deja lu un critique la dessus. Il ne semblait pas convincu et disait que le film efleurait seulement quelques sujets sans vraiment les traiter en profondeur, que c'est bien beau de repeter "l'islam c'est pas ca", mais que le film n'apporte justement rien de plus que cette reflexion, donc rien de nouveau selon lui.
:rolleyes:

lui c'est qui ???? :D

saad????
 
j'avais deja lu un critique la dessus. Il ne semblait pas convincu et disait que le film efleurait seulement quelques sujets sans vraiment les traiter en profondeur, que c'est bien beau de repeter "l'islam c'est pas ca", mais que le film n'apporte justement rien de plus que cette reflexion, donc rien de nouveau selon lui.

:rolleyes:

Il faut mettre les choses dans leurs contexte....C'est un film marocain, donc sans profondeur, car un marocain par définition ne va jamais jusqu'au bout des choses :D

Franchement, à part Mohamed Osfour, aucun cinéaste marocain n'a réussi à faire un film avec un début et une fin....:rolleyes:
 
Il faut mettre les choses dans leurs contexte....C'est un film marocain, donc sans profondeur, car un marocain par définition ne va jamais jusqu'au bout des choses :-D

Franchement, à part Mohamed Osfour, aucun cinéaste marocain n'a réussi à faire un film avec un début et une fin....:rolleyes:
mdr :D
il y'a le film "la symphonie marocaine", que j'ai trouve tres original, assez bien construit, lent par moment mais la musique fait oublier ca :rouge:

http://youtube.com/watch?v=F6g03MnSjVg
 
il nya pas de date limite, (ou date de peremption ) tant que le film marche il passe, et samedi il passe biensur sauf que je crois que la seance de 19h sautte, car il ya projection de la programmation du CCF a 18h30
je ne sais pas, même si je pense que je ne vais pas rater une grande chose:langue:
j'avais deja lu un critique la dessus. Il ne semblait pas convincu et disait que le film efleurait seulement quelques sujets sans vraiment les traiter en profondeur, que c'est bien beau de repeter "l'islam c'est pas ca", mais que le film n'apporte justement rien de plus que cette reflexion, donc rien de nouveau selon lui.

:rolleyes:

khti les marocains n'aiment pas se casser la tête pour aller jusqu'au bout avec l'histoire du film

voyant , ils n'arrivent même pas de trouver une fin:D
 
ça me rapelle je ne sais plus quel film, j'etais ado, on est entré avec nos lunettes 3D, c'etait horrible comme sensation :rolleyes:


justement, la nouvelle technologie, differentes de l'ancienne, ne donne pas la nausee ou de maux de tete comme avant.
on l'appele Real3D
malheureusment les lunettes seront toujours indispensables!!
 
lui c'est qui ???? :D

saad????

je n'ai pas trouve, celui la par contre en fait une critique positive ;)

Abbas et la chambre des secrets
Islam ya salam, de Saâd Chraïbi (Maroc)

Abbas est un Marocain d'Amérique; il rentre chez lui, désabusé et aigri; le 11 septembre est passé par là. Abbas, c'est le nom du personnage principal du nouveau film de Saâd Chraïbi, magnifiquement incarné par Hakim Noury. Après des études en France, il a fini par s'installer aux "States", le rêve américain recrute au-delà des frontières. Il épouse une Américaine; ils font deux enfants. Pourquoi a-t-il des problèmes avec les services de secrets américains ? Le scénario ne nous le dit pas explicitement. Dans tous les cas c'est un homme en colère contre l'Occident qui nous revient. Cela ne marche pas fort dans son couple non plus.

Dans la séquence d'ouverture, trois scènes courtes nous apprennent que quelque chose est brisée dans ce microcosme d'une certaine modernité. Le premier plan nous fait découvrir un plombier qui vient faire des réparations dans l'appartement de Abbas. Celui-ci est dans une bibliothèque pour acquérir des ouvrages que nous devinons facilement de nature théologique. Sa femme américaine, Betty, est chez elle, connectée à la toile, au monde extérieur… deux univers de référence se mettent en place; ils vont finir par se téléscoper. L'image du plombier fonctionne comme métaphore de cette panne qui s'annonce. Quelque chose est "bouchée" dans la communication interne. "Ce n'est pas une simple réparation qu'il faut, c'est un grand changement" rouspète le plombier dessinant en filigrane le programme narratif du film.

Confirmation de ce hiatus avec le retour du mari. La question des réparations à effectuer déclenche une grande dispute, révélatrice du malaise profond, de la crise. Nous allons alors assister à son développement jusqu'à l'impasse finale. Sur le plan de sa dramaturgie le film est construit comme un huis clos. Un huis clos civilisationnel. Malgré les palliatifs, le couple de culture mixte, musulman-chrétienne; marocco-américaine va finir par rencontrer un mur…

Le film cependant n'émet pas (heureusement) une sentence culturelle. Les causes de l'échec, car c'est un vrai échec pour Abbas, est à chercher dans le parcours individuel des uns et des autres. D'autant plus que le scénario propose un équilibrage dramatique avec un autre couple mixte qui débarque ; celui de la sœur de Abbas, Ouafae (très bonne prestation de Souad Amidou) et son compagnon, Marc, journaliste photographe. C'est le contre modèle, ou le contre champ. Face à sa femme, à sa sœur, à ses enfants… Abbas va finir par révéler sa véritable nature. Finir par se découvrir lui-même. Et c'est en quelque sorte le message du film, avant de régler ses rapports à l'autre, il faut d'abord commencer par régler les rapports à soi; à son passé. Et en la matière, Abbas a un passé lourd. Lui, le donneur de leçons va en recevoir une magistrale. La maison familiale, enjeu d'un litige d'une autre nature avec sa sœur comporte une chambre des secrets. Les secrets d'une véritable désertion. Le film se laisse lire à ce niveau comme un constat accablant du comportement d'une certaine élite qui redécouvre les éblouissements de l'appartenance identitaire au prix d'une certaine hypocrisie.

Mohammed Bakrim
 
je n'ai pas trouve, celui la par contre en fait une critique positive ;)

Abbas et la chambre des secrets
Islam ya salam, de Saâd Chraïbi (Maroc)

Abbas est un Marocain d'Amérique; il rentre chez lui, désabusé et aigri; le 11 septembre est passé par là. Abbas, c'est le nom du personnage principal du nouveau film de Saâd Chraïbi, magnifiquement incarné par Hakim Noury. Après des études en France, il a fini par s'installer aux "States", le rêve américain recrute au-delà des frontières. Il épouse une Américaine; ils font deux enfants. Pourquoi a-t-il des problèmes avec les services de secrets américains ? Le scénario ne nous le dit pas explicitement. Dans tous les cas c'est un homme en colère contre l'Occident qui nous revient. Cela ne marche pas fort dans son couple non plus.

Dans la séquence d'ouverture, trois scènes courtes nous apprennent que quelque chose est brisée dans ce microcosme d'une certaine modernité. Le premier plan nous fait découvrir un plombier qui vient faire des réparations dans l'appartement de Abbas. Celui-ci est dans une bibliothèque pour acquérir des ouvrages que nous devinons facilement de nature théologique. Sa femme américaine, Betty, est chez elle, connectée à la toile, au monde extérieur… deux univers de référence se mettent en place; ils vont finir par se téléscoper. L'image du plombier fonctionne comme métaphore de cette panne qui s'annonce. Quelque chose est "bouchée" dans la communication interne. "Ce n'est pas une simple réparation qu'il faut, c'est un grand changement" rouspète le plombier dessinant en filigrane le programme narratif du film.

Confirmation de ce hiatus avec le retour du mari. La question des réparations à effectuer déclenche une grande dispute, révélatrice du malaise profond, de la crise. Nous allons alors assister à son développement jusqu'à l'impasse finale. Sur le plan de sa dramaturgie le film est construit comme un huis clos. Un huis clos civilisationnel. Malgré les palliatifs, le couple de culture mixte, musulman-chrétienne; marocco-américaine va finir par rencontrer un mur…

Le film cependant n'émet pas (heureusement) une sentence culturelle. Les causes de l'échec, car c'est un vrai échec pour Abbas, est à chercher dans le parcours individuel des uns et des autres. D'autant plus que le scénario propose un équilibrage dramatique avec un autre couple mixte qui débarque ; celui de la sœur de Abbas, Ouafae (très bonne prestation de Souad Amidou) et son compagnon, Marc, journaliste photographe. C'est le contre modèle, ou le contre champ. Face à sa femme, à sa sœur, à ses enfants… Abbas va finir par révéler sa véritable nature. Finir par se découvrir lui-même. Et c'est en quelque sorte le message du film, avant de régler ses rapports à l'autre, il faut d'abord commencer par régler les rapports à soi; à son passé. Et en la matière, Abbas a un passé lourd. Lui, le donneur de leçons va en recevoir une magistrale. La maison familiale, enjeu d'un litige d'une autre nature avec sa sœur comporte une chambre des secrets. Les secrets d'une véritable désertion. Le film se laisse lire à ce niveau comme un constat accablant du comportement d'une certaine élite qui redécouvre les éblouissements de l'appartenance identitaire au prix d'une certaine hypocrisie.

Mohammed Bakrim


je vais payer 15dh pour une histoire de plomberie ???? :D

non serieux il me parait regardable, la derniere phrase est d'une profondeur...!!
 
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