[Coin Cinéma: pour tous les cinéphiles]

Voilà , ce coin est dédié à tout ceux qui aiment le ciné..Qui s'interessent aux derniéres sorties..Critiques..Différences entre les réalisateurs..etc.

Exprimez vous..



ces derniers temps, j'ai vu Vicky cristina barcelona de woody allen et entre les murs..c'était bien pr les deux..

le woody allen n'est pas du Grand woody allen mais c'est une bluette charmante et parfois grinçante, c'est frais et un peu piquant mais sans âpreté enfin du moins c'est ainsi que moi je l'ai compris..car les amis avec qui je suis allée le voir n'avaient pas la même façon de voir les choses que moi...

J'ai trouvé que dans ce film, le narrateur (la voix off trés réussie d'ailleurs) avait une double fonction, celle de placer d'emblée l'intrigue dans un genre...je ne saurai dire pourquoi mais pour moi, je me suis installée dans une sorte de parodie des petits contes licencieux du 18 ème siècle, façon crébillon révisité...la voix off, les ellipses et les personnages "animés" aux scènes clés..bref, c'était déjà un procédé qui me plaisait, c'était "mignon" et puis ensuite, je me suis dit non c'est pas possible, elles sont crassement trop "connes" ces deux américaines, trop lisses même dans leur révolte, trop artistes, trop "belles" pour être premier degré et je me suis dit que ce n'était qu'une parodie de comment les américains vivaient les choses, une parodie de la bohème..il y a une ironie toute fine et en filigrane tout au long du film,à cet égard l'ulcère de la belle scarlett est un indice trés significatif...j'ai d'ailleurs adoré cette scène...et puis cette dimension parodique est perceptible dans tout le film, le couple mythique d'artistes, la ballade dans une ville européenne, la guitare qui nous fait pleurer devant un verre de vin (que de vin dans ce film! cela me donnait limite envie ces immenses verres de nectaur..lol), waaw tous ces clichés signaient l'ironie...et puis, il ya le baiser "raté" entre cruz et scarlett, baiser repris d'une autre scène mythique mais détourné car ayant perdu tout son attrait, il est vraiment raté car il est parodique : l'américaine rejouant la même scène que dans un film américain...lol

bref, film sympa...qui détend...et qui nous rend philosophe en tant que femmes : quand tu vois les lèvres gonflées et rose mordu de scarlett, sa peau parfaite et tendue, la rondeur de sa poitrine et de sa taille, la finesse (pourtant!) de ses jambes, tu te rends à cette évidence-là, aprés 25 ans, tu n'es plus exactement la même...lol..ou alors tu es penelope cruz, tu dépasses la trentaine en faisant exploser la cervelle des mecs, elle est sublime cette femme dans ce film, c'est la vieille europe contre ces américaines "baby doll"...j'avais envie d'être javier bardem quand elle peint dans sa barboteuse marron là...waaaaw....mais quel canon!et scarlett aussi...j'étais même pas jalouse, comment le pourrai-je? j'ai rendu grâce à dieu d'avoir fait des femmes aussi magnifiques qui flattent les yeux, même d'une autre femme...:D

j'ai plus le courage de parler d'entre les murs...la prochaine fois..mais en tout cas, c'est le premier film qui a pr thème l'éducation que je ne trouve pas trop ridicule lol..
 
J'ai longtemps hésité...à gaspiller mon précieux temps pour parler du "Ze" film of "Ze" moment...
Nommant le trop bruyant "Vicky Cristina Barcelona"...
Les 10 premières minutes...De douces effluves espagnoles...Je me love dans ce doux fauteuil de cinéma. Je m'apprête à vivre un moment doux, suave, odorant et vif...J'ai le coeur en émoi. C'est toujours ainsi que je me trouve entraînée par les histoires d'Almodovar...
.
.
Pause...
.
.
Qu'est-ce qu'elles ont ces actrices, es clignotantes occulaires, à bégayer, à se morfondre dans de longues diatribes pseudo-psychanalytiques?...
Ah!
C'est un Woody Allen. Ben, tiens, voyons!.
Je me repositionne dans mon fauteuil...En honorable admiratrice de ce curieux personnage névrosé. "Match point" révélait la nature humaine, ambitieuse et profondément opportuniste, ne froissant en rien ma conception de la vie...et donc je l'aimais bien le Woody Allen...
Retour au film...
Trois filles, un garçon...Moults possibilités exploitées à l'écoeurement par d'autres réalisateurs. On ne se trouve même pas émue par la tournure torturée inhérente à ce type de scénario. Le déroulement des événements est d'une prévisibilité digne des piètres feuilletons égyptiens. On se laisse glisser dans le fauteuil, on cale sa tête, las et déçu...
On est à peine tiré de sa torpeur par le déboulement de Penelop Cruz...et on retombe dans une léthargie défensive juste après. "Ménage à trois"...c'est d'un classique. Il a osé tomber aussi bas qu'afficher deux femelles en train de se becquotter...
Faute d'être remuée, chamboulée, transportée, je me suis contentée d'apprécier l'esthétique du film. Javier Bardem a le subjuguant charme des hommes à la barbe de trois jours. Son regard crie "J'ai faim d'amour" et on a envie de l'étancher à la réplétion. Penelope Cruz, beaux cheveux...des élongations?. Scarlette, bof...on a bien retenu qu'elle a une bouche sensuelle. On a eu droit à la même réplique dans "Match point", exactement la même. Elle y ingurgite son vin de la même façon, en vous calant au fond de l'oreille un "gloop!" très peu glamour...
.
.
Bref, j'ai pas aimé...
 
Khamsa de Karim dridi sur l'érrance d'un jeune garçon (11 ans), qui vit dans un camp de gitans à Marseille.
J'ai eu la chance de pouvoir débattre en présence du réalisateur et de l'acteur principal.
Beau film, très dur (la fin surtout), le petit marco (khamsa) est formidable, il joue très bien, une belle révélation.
 
Khamsa de Karim dridi sur l'érrance d'un jeune garçon (11 ans), qui vit dans un camp de gitans à Marseille.
J'ai eu la chance de pouvoir débattre en présence du réalisateur et de l'acteur principal.
Beau film, très dur (la fin surtout), le petit marco (khamsa) est formidable, il joue très bien, une belle révélation.

il est sorti au ciné dernièrement?
 
J'ai longtemps hésité...à gaspiller mon précieux temps pour parler du "Ze" film of "Ze" moment...
Nommant le trop bruyant "Vicky Cristina Barcelona"...
Les 10 premières minutes...De douces effluves espagnoles...Je me love dans ce doux fauteuil de cinéma. Je m'apprête à vivre un moment doux, suave, odorant et vif...J'ai le coeur en émoi. C'est toujours ainsi que je me trouve entraînée par les histoires d'Almodovar...
.
.
Pause...
.
.
Qu'est-ce qu'elles ont ces actrices, es clignotantes occulaires, à bégayer, à se morfondre dans de longues diatribes pseudo-psychanalytiques?...
Ah!
C'est un Woody Allen. Ben, tiens, voyons!.
Je me repositionne dans mon fauteuil...En honorable admiratrice de ce curieux personnage névrosé. "Match point" révélait la nature humaine, ambitieuse et profondément opportuniste, ne froissant en rien ma conception de la vie...et donc je l'aimais bien le Woody Allen...
Retour au film...
Trois filles, un garçon...Moults possibilités exploitées à l'écoeurement par d'autres réalisateurs. On ne se trouve même pas émue par la tournure torturée inhérente à ce type de scénario. Le déroulement des événements est d'une prévisibilité digne des piètres feuilletons égyptiens. On se laisse glisser dans le fauteuil, on cale sa tête, las et déçu...
On est à peine tiré de sa torpeur par le déboulement de Penelop Cruz...et on retombe dans une léthargie défensive juste après. "Ménage à trois"...c'est d'un classique. Il a osé tomber aussi bas qu'afficher deux femelles en train de se becquotter...
Faute d'être remuée, chamboulée, transportée, je me suis contentée d'apprécier l'esthétique du film. Javier Bardem a le subjuguant charme des hommes à la barbe de trois jours. Son regard crie "J'ai faim d'amour" et on a envie de l'étancher à la réplétion. Penelope Cruz, beaux cheveux...des élongations?. Scarlette, bof...on a bien retenu qu'elle a une bouche sensuelle. On a eu droit à la même réplique dans "Match point", exactement la même. Elle y ingurgite son vin de la même façon, en vous calant au fond de l'oreille un "gloop!" très peu glamour...
.
.
Bref, j'ai pas aimé...

tout ça pour nous dire bref j'ai pas aimé ?? bza3ta :D

par contre tu as donné un detail de taille et rien que pour ça je me deplacerai , la barbe de 3 jours hummm :rouge:

(ps: hatta nti bakhbiztek quand la logorrhée t'atteint....)
 
J'ai longtemps hésité...à gaspiller mon précieux temps pour parler du "Ze" film of "Ze" moment...
Nommant le trop bruyant "Vicky Cristina Barcelona"...
Les 10 premières minutes...De douces effluves espagnoles...Je me love dans ce doux fauteuil de cinéma. Je m'apprête à vivre un moment doux, suave, odorant et vif...J'ai le coeur en émoi. C'est toujours ainsi que je me trouve entraînée par les histoires d'Almodovar...
.
.
Pause...
.
.
Qu'est-ce qu'elles ont ces actrices, es clignotantes occulaires, à bégayer, à se morfondre dans de longues diatribes pseudo-psychanalytiques?...
Ah!
C'est un Woody Allen. Ben, tiens, voyons!.
Je me repositionne dans mon fauteuil...En honorable admiratrice de ce curieux personnage névrosé. "Match point" révélait la nature humaine, ambitieuse et profondément opportuniste, ne froissant en rien ma conception de la vie...et donc je l'aimais bien le Woody Allen...
Retour au film...
Trois filles, un garçon...Moults possibilités exploitées à l'écoeurement par d'autres réalisateurs. On ne se trouve même pas émue par la tournure torturée inhérente à ce type de scénario. Le déroulement des événements est d'une prévisibilité digne des piètres feuilletons égyptiens. On se laisse glisser dans le fauteuil, on cale sa tête, las et déçu...
On est à peine tiré de sa torpeur par le déboulement de Penelop Cruz...et on retombe dans une léthargie défensive juste après. "Ménage à trois"...c'est d'un classique. Il a osé tomber aussi bas qu'afficher deux femelles en train de se becquotter...
Faute d'être remuée, chamboulée, transportée, je me suis contentée d'apprécier l'esthétique du film. Javier Bardem a le subjuguant charme des hommes à la barbe de trois jours. Son regard crie "J'ai faim d'amour" et on a envie de l'étancher à la réplétion. Penelope Cruz, beaux cheveux...des élongations?. Scarlette, bof...on a bien retenu qu'elle a une bouche sensuelle. On a eu droit à la même réplique dans "Match point", exactement la même. Elle y ingurgite son vin de la même façon, en vous calant au fond de l'oreille un "gloop!" très peu glamour...
.
.
Bref, j'ai pas aimé...


je l'ai pas vu, mais les 3 derniers films de woody allen ne m'ont pas du tout plu, (ennuyant ça traîne en longueur, le scénario quasi inexistant, par rapport à ses premiers films que j'aimais beaucoup, là il sort un film par an, on dirait des productions d'usines presque, faites un peu à la chaîne) mais là la présence de Javier bardem ça vaut la peine de se déplacer.
Pour ceux qui (comme moi) aime bien Javier bardem (perso suis en totale admiration devant lui) je conseille : "l'amour au temps du choléra" (d'après l'oeuvre de Garcia marquez) mais là il est rasé de près.
 
c avec ben affleck aussi non ?

Non pas de Ben Affleck!

Khamsa de Karim dridi sur l'érrance d'un jeune garçon (11 ans), qui vit dans un camp de gitans à Marseille.
J'ai eu la chance de pouvoir débattre en présence du réalisateur et de l'acteur principal.
Beau film, très dur (la fin surtout), le petit marco (khamsa) est formidable, il joue très bien, une belle révélation.

J'ai vu ce film aussi! Sachant que les petits ne sont que des amateurs, c t bien! Sans plus mais bien! ;)
 
Non pas de Ben Affleck!



J'ai vu ce film aussi! Sachant que les petits ne sont que des amateurs, c t bien! Sans plus mais bien! ;)


à part Simon abkarian, tout le reste n'était que des amateurs (j'ai beaucoup aimé rachitique = rachid) et bien sûr marco.
Et c'est super de pouvoir débattre avec Karim après le film.
Mais bon c'est sûr que j'ai préférais los olvidados de bunuel (dont s'est inspiré Dridi)
 
hier, j'ai vu "Monster" avec Charlize Theron et Christina Ricci , réalisé en 2004 par Patty Jenkins


un film excellentissime qui retrace l'histoire vraie d'Aileen Wuornos, supposée être la première femme serial Killer de l'histoire des Etats-Unis pour avoir tué 7 hommes .

c'est un film profondément dérangeant , de ceux qui marquent à jamais les esprits ...avec des scènes qui passent de la violence extrême à une profonde tristesse et presque à de la compassion envers cette femme qui n'a connu de la vie que sa partie sombre et misérable et ce très tôt , pour finir en tueuse en série , en passant par la prostitution, l'alcool, et tout ce que peut affecter une âme jusqu'à la plonger dans une déchéance abyssale.

un road movie très sombre sur fond de romance lesbienne, où Charlize Theron s'est tout simplement surpassée , troquant sa beauté légendaire contre un maquillage qui l'a complétement transfigurée et l'a rendue méconnaissable pour pouvoir ressembler à la criminelle en série...et mimant les moindres de ses gestes , jusqu'à la carrure, la démarche, la façon de parler... elle était plus qu'excellente et plus que fascinante dans ce rôle qui lui a d'ailleurs valu un golden globe et un oscar en 2004.

bref je le conseille vivement à ceux qui ne l'ont pas encore vu.

et pour les curieux comme moi, qui veulent en savoir plus sur l'histoire vraie d'Aileen Wuornos, il y a ce documentaire en 6 parties ( en anglais )sur dailymotion

http://www.dailymotion.com/relevance/search/Aileen+Wuornos
 
Derniers films:

- The love Guru avec Mike myers, justin timberlake, jessica alba...

j'ai été un peu déçu, je m'attendais à mieux.

- The clone wars (star wars en dessin animé)

je suis aller le voir avec mon neveu et on a bien aimer. (j'ai surtout aimer les dialogues des petits robot débiles^^)
 
Je te reconnais bien là;).

Je partage tout ton point de vue... à une différence: j'ai bien aimé.
De façon très légère, j'ai aimé. Découvrir Barcelone partiellement, adorer J. Bardem, mâle, brut, charmeur et charmant (J'adore ces qql hommes qui se savent charmants et qui se veulent charmeurs), j'ai adoré la crinière de Pénélope Cruz, son accent, ses éclats de voix (pas assez hauts à mon goût ceci dit), et j'ai surtout aimé ce qu'il y a autour, ce qui ne me renvoie pas à W. Allen, j'ai adoré cette chanson entrainante entonnant "Cristinaaaaaa-Barcelonaaaa" avec les "r" roulés.

J'ai adoré ce qui m'a renvoyé à Almodovar sans jamais en être.

Du reste, j'ai trouvé ce film bien moins accrocheur que tt ce qui s'en dit, j'ai jugé le bref baiser entre Pénélope et Scarlett
trop furtif et pas audacieux pour un sou.

J'avais été déçue par Match Point et ce nouveau W. Allen n'a rien d'extraordinaire, mais j'ai adoré ce petit rythme au début du film tt guilleret qui nous transporte à Barcelone, j'ai largement apprécié une réplique avec Scarlett quand elle dit être elle, sans étiquette aucune, et cela me suffit pour amortir ma séance de ciné et partir le revoir à l'occasion, histoire de me rincer un peu l'oeil (Javier Javier Javier...:rouge:).

Du reste, rien de bien fameux, je le concède.

NB: Et puis j'arrête de me coiffer maintenant... je fais ma brune incendiaire:-D.

J'ai longtemps hésité...à gaspiller mon précieux temps pour parler du "Ze" film of "Ze" moment...
Nommant le trop bruyant "Vicky Cristina Barcelona"...
Les 10 premières minutes...De douces effluves espagnoles...Je me love dans ce doux fauteuil de cinéma. Je m'apprête à vivre un moment doux, suave, odorant et vif...J'ai le coeur en émoi. C'est toujours ainsi que je me trouve entraînée par les histoires d'Almodovar...
.
.
Pause...
.
.
Qu'est-ce qu'elles ont ces actrices, es clignotantes occulaires, à bégayer, à se morfondre dans de longues diatribes pseudo-psychanalytiques?...
Ah!
C'est un Woody Allen. Ben, tiens, voyons!.
Je me repositionne dans mon fauteuil...En honorable admiratrice de ce curieux personnage névrosé. "Match point" révélait la nature humaine, ambitieuse et profondément opportuniste, ne froissant en rien ma conception de la vie...et donc je l'aimais bien le Woody Allen...
Retour au film...
Trois filles, un garçon...Moults possibilités exploitées à l'écoeurement par d'autres réalisateurs. On ne se trouve même pas émue par la tournure torturée inhérente à ce type de scénario. Le déroulement des événements est d'une prévisibilité digne des piètres feuilletons égyptiens. On se laisse glisser dans le fauteuil, on cale sa tête, las et déçu...
On est à peine tiré de sa torpeur par le déboulement de Penelop Cruz...et on retombe dans une léthargie défensive juste après. "Ménage à trois"...c'est d'un classique. Il a osé tomber aussi bas qu'afficher deux femelles en train de se becquotter...
Faute d'être remuée, chamboulée, transportée, je me suis contentée d'apprécier l'esthétique du film. Javier Bardem a le subjuguant charme des hommes à la barbe de trois jours. Son regard crie "J'ai faim d'amour" et on a envie de l'étancher à la réplétion. Penelope Cruz, beaux cheveux...des élongations?. Scarlette, bof...on a bien retenu qu'elle a une bouche sensuelle. On a eu droit à la même réplique dans "Match point", exactement la même. Elle y ingurgite son vin de la même façon, en vous calant au fond de l'oreille un "gloop!" très peu glamour...
.
.
Bref, j'ai pas aimé...
 
J'irais bien voir le film retraçant la vie de MESRINE.
J'ai vu qqs extraits et le reportage consacré à ce "voyou" à la TV et ça à l'air plutot pas mal... un film à regarder.

Et en plus j'aime bien Vincent Cassel :D
 
Hier, J,ai vu le nouveau film de Samuel Jackson : Harcelés

Film tres moyen...harcèlement d'un voisin policier...sans suspens ni action.
J,ai perdu mon temps.
 
Salo ou les 120 journées de Sodome, l’œuvre la plus dérangeante, crue et cruelle du réalisateur italien Pasolini, assassiné peu de temps après ce film. Ce film s’inspire du sulfureux roman du marquis de Sade, les 120 journées de Sodome, car il reprend la même trame et les faits, mais en modifiant les personnages et l’époque : comme dans le roman de Sade, 4 hommes puissants appartenant à l’aristocratie française, enlèvent des garçons et des filles, y compris leurs propres femmes et filles, et les soumettent à des perversions sexuelles différentes.

Dans le film de Pasolini, ces quatre hommes, sont des fascistes, qui enferment également des jeunes dans un château, et recourent à leur égard à des pratiques pour le moins révoltantes, suivant des cercles déterminés : un cercle destiné au viol, un second à des pratiques scatologiques (le plus insoutenable, avec des scénes qui soulevent le coeur), et le dernier, celui du sang, est résérvé à la torture.

L’objet de ce film, est éminemment politique, est qui se résume dans cette phrase prononcée dans le film « le pouvoir c’est l’anarchie », c'est-à-dire qu’une personne détentrice du pouvoir, devient elle-même dans certaines conditions la négation de l’existence du pouvoir et une preuve de son absence, puisqu’il n’y a personne pour lé délimiter et le contrecarrer. Le détenteur d’un pouvoir sans limites est un anarchiste, car il ne reconnait plus d’autres pouvoirs que le sien. Un film très difficile à regarder et à supporter, mais c’est un film nécessaire, car il pousse à réfléchir sur des questions comme la liberté, la nature des dictatures et leurs rapports avec les individus qu’elles déshumanisent complètement…à voir
 
Salo ou les 120 journées de Sodome, l’œuvre la plus dérangeante, crue et cruelle du réalisateur italien Pasolini, assassiné peu de temps après ce film. Ce film s’inspire du sulfureux roman du marquis de Sade, les 120 journées de Sodome, car il reprend la même trame et les faits, mais en modifiant les personnages et l’époque : comme dans le roman de Sade, 4 hommes puissants appartenant à l’aristocratie française, enlèvent des garçons et des filles, y compris leurs propres femmes et filles, et les soumettent à des perversions sexuelles différentes.

Dans le film de Pasolini, ces quatre hommes, sont des fascistes, qui enferment également des jeunes dans un château, et recourent à leur égard à des pratiques pour le moins révoltantes, suivant des cercles déterminés : un cercle destiné au viol, un second à des pratiques scatologiques (le plus insoutenable, avec des scénes qui soulevent le coeur), et le dernier, celui du sang, est résérvé à la torture.

L’objet de ce film, est éminemment politique, est qui se résume dans cette phrase prononcée dans le film « le pouvoir c’est l’anarchie », c'est-à-dire qu’une personne détentrice du pouvoir, devient elle-même dans certaines conditions la négation de l’existence du pouvoir et une preuve de son absence, puisqu’il n’y a personne pour lé délimiter et le contrecarrer. Le détenteur d’un pouvoir sans limites est un anarchiste, car il ne reconnait plus d’autres pouvoirs que le sien. Un film très difficile à regarder et à supporter, mais c’est un film nécessaire, car il pousse à réfléchir sur des questions comme la liberté, la nature des dictatures et leurs rapports avec les individus qu’elles déshumanisent complètement…à voir


Beau tableau de l'anarchie post-guerrière, chronique de la déshumanisation et de la supériorité terrifiante que donne l'absence de morale. C'est pas demain que j'aurai assez de courage pour revoir ce film...:eek:
 
Salo ou les 120 journées de Sodome, l’œuvre la plus dérangeante, crue et cruelle du réalisateur italien Pasolini, assassiné peu de temps après ce film. Ce film s’inspire du sulfureux roman du marquis de Sade, les 120 journées de Sodome, car il reprend la même trame et les faits, mais en modifiant les personnages et l’époque : comme dans le roman de Sade, 4 hommes puissants appartenant à l’aristocratie française, enlèvent des garçons et des filles, y compris leurs propres femmes et filles, et les soumettent à des perversions sexuelles différentes.

Dans le film de Pasolini, ces quatre hommes, sont des fascistes, qui enferment également des jeunes dans un château, et recourent à leur égard à des pratiques pour le moins révoltantes, suivant des cercles déterminés : un cercle destiné au viol, un second à des pratiques scatologiques (le plus insoutenable, avec des scénes qui soulevent le coeur), et le dernier, celui du sang, est résérvé à la torture.

L’objet de ce film, est éminemment politique, est qui se résume dans cette phrase prononcée dans le film « le pouvoir c’est l’anarchie », c'est-à-dire qu’une personne détentrice du pouvoir, devient elle-même dans certaines conditions la négation de l’existence du pouvoir et une preuve de son absence, puisqu’il n’y a personne pour lé délimiter et le contrecarrer. Le détenteur d’un pouvoir sans limites est un anarchiste, car il ne reconnait plus d’autres pouvoirs que le sien. Un film très difficile à regarder et à supporter, mais c’est un film nécessaire, car il pousse à réfléchir sur des questions comme la liberté, la nature des dictatures et leurs rapports avec les individus qu’elles déshumanisent complètement…à voir


Je n'ai même pas pu supporter l'imagination pure et simple des scènes décrites dans le livre de marquis de Sade. Je n'ai pas pu le terminer malgré mes efforts. Alors voir des scènes filmées :eek:... Je crois que je me contenterai de croire ta conclusion sur parole :D
 
Dans le film de Pasolini, ces quatre hommes, sont des fascistes, qui enferment également des jeunes dans un château, et recourent à leur égard à des pratiques pour le moins révoltantes, suivant des cercles déterminés : un cercle destiné au viol, un second à des pratiques scatologiques (le plus insoutenable, avec des scénes qui soulevent le coeur), et le dernier, celui du sang, est résérvé à la torture.

…à voir

rassure moi nancy, tu as quand meme gardé ton humanité :eek:?. khla3tini avec ta conclusion :eek:
 
Beau tableau de l'anarchie post-guerrière, chronique de la déshumanisation et de la supériorité terrifiante que donne l'absence de morale. C'est pas demain que j'aurai assez de courage pour revoir ce film...: eek:

De toute façon, tu ne pourras pas y accéder, car il est interdit à – 16….:D mais il faut avoir le cœur bien accroché pour pouvoir le regarder, car la cruauté, la folie, la démesure du roman du marquais de Sade sont démultipliées dans le film de Pasolini…mais tu connais mes rapports avec ce genre de litérature et de cinéma....:D
 
Retour
Haut