Harcelés avec Samuel L Jakson!
J'ai bien aimé!
C'est quoi? action?
j'aime bien cet acteur...
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Harcelés avec Samuel L Jakson!
J'ai bien aimé!
c'est du harcelement!Avec beaucoup de suspens
De l'action! Oui mais peu.....
c'est du harcelement!Avec beaucoup de suspens
De l'action! Oui mais peu.....
Voilà , ce coin est dédié à tout ceux qui aiment le ciné..Qui s'interessent aux derniéres sorties..Critiques..Différences entre les réalisateurs..etc.
Exprimez vous..
Khamsa de Karim dridi sur l'érrance d'un jeune garçon (11 ans), qui vit dans un camp de gitans à Marseille.
J'ai eu la chance de pouvoir débattre en présence du réalisateur et de l'acteur principal.
Beau film, très dur (la fin surtout), le petit marco (khamsa) est formidable, il joue très bien, une belle révélation.
Hancock
Effets speciaux époustouflants
Mais c nul![]()
il est sorti au ciné dernièrement?
J'ai longtemps hésité...à gaspiller mon précieux temps pour parler du "Ze" film of "Ze" moment...
Nommant le trop bruyant "Vicky Cristina Barcelona"...
Les 10 premières minutes...De douces effluves espagnoles...Je me love dans ce doux fauteuil de cinéma. Je m'apprête à vivre un moment doux, suave, odorant et vif...J'ai le coeur en émoi. C'est toujours ainsi que je me trouve entraînée par les histoires d'Almodovar...
.
.
Pause...
.
.
Qu'est-ce qu'elles ont ces actrices, es clignotantes occulaires, à bégayer, à se morfondre dans de longues diatribes pseudo-psychanalytiques?...
Ah!
C'est un Woody Allen. Ben, tiens, voyons!.
Je me repositionne dans mon fauteuil...En honorable admiratrice de ce curieux personnage névrosé. "Match point" révélait la nature humaine, ambitieuse et profondément opportuniste, ne froissant en rien ma conception de la vie...et donc je l'aimais bien le Woody Allen...
Retour au film...
Trois filles, un garçon...Moults possibilités exploitées à l'écoeurement par d'autres réalisateurs. On ne se trouve même pas émue par la tournure torturée inhérente à ce type de scénario. Le déroulement des événements est d'une prévisibilité digne des piètres feuilletons égyptiens. On se laisse glisser dans le fauteuil, on cale sa tête, las et déçu...
On est à peine tiré de sa torpeur par le déboulement de Penelop Cruz...et on retombe dans une léthargie défensive juste après. "Ménage à trois"...c'est d'un classique. Il a osé tomber aussi bas qu'afficher deux femelles en train de se becquotter...
Faute d'être remuée, chamboulée, transportée, je me suis contentée d'apprécier l'esthétique du film. Javier Bardem a le subjuguant charme des hommes à la barbe de trois jours. Son regard crie "J'ai faim d'amour" et on a envie de l'étancher à la réplétion. Penelope Cruz, beaux cheveux...des élongations?. Scarlette, bof...on a bien retenu qu'elle a une bouche sensuelle. On a eu droit à la même réplique dans "Match point", exactement la même. Elle y ingurgite son vin de la même façon, en vous calant au fond de l'oreille un "gloop!" très peu glamour...
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Bref, j'ai pas aimé...
il est sorti au ciné dernièrement?
J'ai longtemps hésité...à gaspiller mon précieux temps pour parler du "Ze" film of "Ze" moment...
Nommant le trop bruyant "Vicky Cristina Barcelona"...
Les 10 premières minutes...De douces effluves espagnoles...Je me love dans ce doux fauteuil de cinéma. Je m'apprête à vivre un moment doux, suave, odorant et vif...J'ai le coeur en émoi. C'est toujours ainsi que je me trouve entraînée par les histoires d'Almodovar...
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Pause...
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Qu'est-ce qu'elles ont ces actrices, es clignotantes occulaires, à bégayer, à se morfondre dans de longues diatribes pseudo-psychanalytiques?...
Ah!
C'est un Woody Allen. Ben, tiens, voyons!.
Je me repositionne dans mon fauteuil...En honorable admiratrice de ce curieux personnage névrosé. "Match point" révélait la nature humaine, ambitieuse et profondément opportuniste, ne froissant en rien ma conception de la vie...et donc je l'aimais bien le Woody Allen...
Retour au film...
Trois filles, un garçon...Moults possibilités exploitées à l'écoeurement par d'autres réalisateurs. On ne se trouve même pas émue par la tournure torturée inhérente à ce type de scénario. Le déroulement des événements est d'une prévisibilité digne des piètres feuilletons égyptiens. On se laisse glisser dans le fauteuil, on cale sa tête, las et déçu...
On est à peine tiré de sa torpeur par le déboulement de Penelop Cruz...et on retombe dans une léthargie défensive juste après. "Ménage à trois"...c'est d'un classique. Il a osé tomber aussi bas qu'afficher deux femelles en train de se becquotter...
Faute d'être remuée, chamboulée, transportée, je me suis contentée d'apprécier l'esthétique du film. Javier Bardem a le subjuguant charme des hommes à la barbe de trois jours. Son regard crie "J'ai faim d'amour" et on a envie de l'étancher à la réplétion. Penelope Cruz, beaux cheveux...des élongations?. Scarlette, bof...on a bien retenu qu'elle a une bouche sensuelle. On a eu droit à la même réplique dans "Match point", exactement la même. Elle y ingurgite son vin de la même façon, en vous calant au fond de l'oreille un "gloop!" très peu glamour...
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Bref, j'ai pas aimé...
c avec ben affleck aussi non ?
Khamsa de Karim dridi sur l'érrance d'un jeune garçon (11 ans), qui vit dans un camp de gitans à Marseille.
J'ai eu la chance de pouvoir débattre en présence du réalisateur et de l'acteur principal.
Beau film, très dur (la fin surtout), le petit marco (khamsa) est formidable, il joue très bien, une belle révélation.
Non pas de Ben Affleck!
J'ai vu ce film aussi! Sachant que les petits ne sont que des amateurs, c t bien! Sans plus mais bien!![]()
Jai bien aimé le début!!
Mais après ça devient bidon comme histoire!!!
ILs ont merdé dans l'histoire!!
sorti la semaine dernière (j'y suis allée car je pensais que c'était un film sur les gitans) mais en fait non c'est un film sur un garçon (moitié gitan-moitié arabe = mélange un peu explosif).
J'ai longtemps hésité...à gaspiller mon précieux temps pour parler du "Ze" film of "Ze" moment...
Nommant le trop bruyant "Vicky Cristina Barcelona"...
Les 10 premières minutes...De douces effluves espagnoles...Je me love dans ce doux fauteuil de cinéma. Je m'apprête à vivre un moment doux, suave, odorant et vif...J'ai le coeur en émoi. C'est toujours ainsi que je me trouve entraînée par les histoires d'Almodovar...
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Pause...
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Qu'est-ce qu'elles ont ces actrices, es clignotantes occulaires, à bégayer, à se morfondre dans de longues diatribes pseudo-psychanalytiques?...
Ah!
C'est un Woody Allen. Ben, tiens, voyons!.
Je me repositionne dans mon fauteuil...En honorable admiratrice de ce curieux personnage névrosé. "Match point" révélait la nature humaine, ambitieuse et profondément opportuniste, ne froissant en rien ma conception de la vie...et donc je l'aimais bien le Woody Allen...
Retour au film...
Trois filles, un garçon...Moults possibilités exploitées à l'écoeurement par d'autres réalisateurs. On ne se trouve même pas émue par la tournure torturée inhérente à ce type de scénario. Le déroulement des événements est d'une prévisibilité digne des piètres feuilletons égyptiens. On se laisse glisser dans le fauteuil, on cale sa tête, las et déçu...
On est à peine tiré de sa torpeur par le déboulement de Penelop Cruz...et on retombe dans une léthargie défensive juste après. "Ménage à trois"...c'est d'un classique. Il a osé tomber aussi bas qu'afficher deux femelles en train de se becquotter...
Faute d'être remuée, chamboulée, transportée, je me suis contentée d'apprécier l'esthétique du film. Javier Bardem a le subjuguant charme des hommes à la barbe de trois jours. Son regard crie "J'ai faim d'amour" et on a envie de l'étancher à la réplétion. Penelope Cruz, beaux cheveux...des élongations?. Scarlette, bof...on a bien retenu qu'elle a une bouche sensuelle. On a eu droit à la même réplique dans "Match point", exactement la même. Elle y ingurgite son vin de la même façon, en vous calant au fond de l'oreille un "gloop!" très peu glamour...
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Bref, j'ai pas aimé...
prémonitions, une belle leçon de vie
il été super ce film, la fin surtout![]()
Salo ou les 120 journées de Sodome, l’œuvre la plus dérangeante, crue et cruelle du réalisateur italien Pasolini, assassiné peu de temps après ce film. Ce film s’inspire du sulfureux roman du marquis de Sade, les 120 journées de Sodome, car il reprend la même trame et les faits, mais en modifiant les personnages et l’époque : comme dans le roman de Sade, 4 hommes puissants appartenant à l’aristocratie française, enlèvent des garçons et des filles, y compris leurs propres femmes et filles, et les soumettent à des perversions sexuelles différentes.
Dans le film de Pasolini, ces quatre hommes, sont des fascistes, qui enferment également des jeunes dans un château, et recourent à leur égard à des pratiques pour le moins révoltantes, suivant des cercles déterminés : un cercle destiné au viol, un second à des pratiques scatologiques (le plus insoutenable, avec des scénes qui soulevent le coeur), et le dernier, celui du sang, est résérvé à la torture.
L’objet de ce film, est éminemment politique, est qui se résume dans cette phrase prononcée dans le film « le pouvoir c’est l’anarchie », c'est-à-dire qu’une personne détentrice du pouvoir, devient elle-même dans certaines conditions la négation de l’existence du pouvoir et une preuve de son absence, puisqu’il n’y a personne pour lé délimiter et le contrecarrer. Le détenteur d’un pouvoir sans limites est un anarchiste, car il ne reconnait plus d’autres pouvoirs que le sien. Un film très difficile à regarder et à supporter, mais c’est un film nécessaire, car il pousse à réfléchir sur des questions comme la liberté, la nature des dictatures et leurs rapports avec les individus qu’elles déshumanisent complètement…à voir
Hier, J,ai vu le nouveau film de Samuel Jackson : Harcelés
Film tres moyen...harcèlement d'un voisin policier...sans suspens ni action.
J,ai perdu mon temps.
Salo ou les 120 journées de Sodome, luvre la plus dérangeante, crue et cruelle du réalisateur italien Pasolini, assassiné peu de temps après ce film. Ce film sinspire du sulfureux roman du marquis de Sade, les 120 journées de Sodome, car il reprend la même trame et les faits, mais en modifiant les personnages et lépoque : comme dans le roman de Sade, 4 hommes puissants appartenant à laristocratie française, enlèvent des garçons et des filles, y compris leurs propres femmes et filles, et les soumettent à des perversions sexuelles différentes.
Dans le film de Pasolini, ces quatre hommes, sont des fascistes, qui enferment également des jeunes dans un château, et recourent à leur égard à des pratiques pour le moins révoltantes, suivant des cercles déterminés : un cercle destiné au viol, un second à des pratiques scatologiques (le plus insoutenable, avec des scénes qui soulevent le coeur), et le dernier, celui du sang, est résérvé à la torture.
Lobjet de ce film, est éminemment politique, est qui se résume dans cette phrase prononcée dans le film « le pouvoir cest lanarchie », c'est-à-dire quune personne détentrice du pouvoir, devient elle-même dans certaines conditions la négation de lexistence du pouvoir et une preuve de son absence, puisquil ny a personne pour lé délimiter et le contrecarrer. Le détenteur dun pouvoir sans limites est un anarchiste, car il ne reconnait plus dautres pouvoirs que le sien. Un film très difficile à regarder et à supporter, mais cest un film nécessaire, car il pousse à réfléchir sur des questions comme la liberté, la nature des dictatures et leurs rapports avec les individus quelles déshumanisent complètement à voir
Dans le film de Pasolini, ces quatre hommes, sont des fascistes, qui enferment également des jeunes dans un château, et recourent à leur égard à des pratiques pour le moins révoltantes, suivant des cercles déterminés : un cercle destiné au viol, un second à des pratiques scatologiques (le plus insoutenable, avec des scénes qui soulevent le coeur), et le dernier, celui du sang, est résérvé à la torture.
à voir
Beau tableau de l'anarchie post-guerrière, chronique de la déshumanisation et de la supériorité terrifiante que donne l'absence de morale. C'est pas demain que j'aurai assez de courage pour revoir ce film...: eek: