[Coin Cinéma: pour tous les cinéphiles]

Je n'ai même pas pu supporter l'imagination pure et simple des scènes décrites dans le livre de marquis de Sade. Je n'ai pas pu le terminer malgré mes efforts. Alors voir des scènes filmées : eek:... Je crois que je me contenterai de croire ta conclusion sur parole : D

Pasolini dépasse Sade dans la description de la cruauté, notamment dans les scènes scato….il ne faut pas aller voir ce film, après avoir mangé rfissa wela loubia…:D

rassure moi nancy, tu as quand meme gardé ton humanité : eek:?. khla3tini avec ta conclusion

approche, ari wednik, matkhafich, je vais te dire quelque chose....smiley-d'oeil-et-dents-qui-brillent:D
 
De toute façon, tu ne pourras pas y accéder, car il est interdit à – 16….: D mais il faut avoir le cœur bien accroché pour pouvoir le regarder, car la cruauté, la folie, la démesure du roman du marquais de Sade sont démultipliées dans le film de Pasolini…mais tu connais mes rapports avec ce genre de litérature et de cinéma....: D


Ne m'en parle pas, ça réveille des démons. ce film doit être interdit aux moins de 30 ans :eek: je l'ai vu à 19 ans et le traumatisme fut de taille. Car c'est une chose de lire toutes les atrocités nées d'une cervelle aussi bien ancrée dans un siècle libertin que celle du marquis de Sade, et de voir, voir tous ce festivales de yeux arrachés et de membres tronçonnés. Nari t'as du jubiler pendant les 15 dernières minutes du film :D
 
Pasolini dépasse Sade dans la description de la cruauté, notamment dans les scènes scato….il ne faut pas aller voir ce film, après avoir mangé rfissa wela loubia…: D



approche, ari wednik, matkhafich, je vais te dire quelque chose....smiley-d'oeil-et-dents-qui-brillent:D

nari wouliti khale3ni depuis que tu vas voir des films chelous :D
la salle était pleine oula tu étais seul à manger lgueliya? mdrrrrr
 
dommage pour toi. Moi j'ai bien aimé. Pour une fois que ce ne sont pas les "blancs" qui sont les méchants rascistes.

ouais comme ça maintenant on sait qu'en plus d'être des tueurs... des chefs de gang
des dealers...
des violeurs..
les noirs peuvent aussi être des racistes détraqués... ils sont égaux même dans les tares :rolleyes:
 
Après le stade de France, il y a le stade anal 7achak-us. D'autres, en d'autres contrées, parlent de stade uc-al ou fional :D

nari nari ach 8ad moussiba a sidi nancy ?
 
Après le stade de France, il y a le stade anal 7achak-us. D'autres, en d'autres contrées, parlent de stade uc-al ou fional :D

nari nari ach 8ad moussiba a sidi nancy ?

hanta katchouf...:D Sérieusement, c’est un film qui met physiquement la personne qui le regarde mal à l’aise, car il lea mets devant toutes sortes de perversités morales imaginables, et c’est également un condensé des perversions possibles ( dans le roman de Sade, on énumère plus de 600 perversions!!)…mais à la fin, est ce que les images d’Auschwitz, d’Abou ghraib, les témoignages des victimes des années de plomb au Maroc…etc, ne sont que l’illustration de ce que essaye de démontrer ce film, en l’occurrence, l’anarchie du pouvoir et la déshumanisation totale des victimes ???

http://www.youtube.com/watch?v=0o2ul-UwOvU
 
hanta katchouf...Sérieusement, c’est un film qui met physiquement la personne qui le regarde mal à l’aise, car il le mets devant toutes sortes de perversités morales imaginables, et c’est également un condensé des perversions possibles ( dans le roman de Sade, on énumère plus de 600 perversions!!)…mais à la fin, est ce que les images d’Auschwitz, d’Abou ghraib, les témoignages des victimes des années de plomb au Maroc…etc, ne sont que l’illustration de ce que essaye de démontrer ce film, en l’occurrence, l’anarchie du pouvoir et la déshumanisation totale des victimes ???

http://w-w.y-outube.com/watch?v=0o2ul-UwOvU

La bande originale ne laisse même pas augurer de tant de perversions pourtant. Sauf peut être pour les amateurs de l'oeuvre controversée du Marquis de Sade.

A quand un film sur le peuple de Lot ... et Garonne :D

Je serais intrigué de voir le genre de téléspec(ulum)tateurs dans les salles obs-cu-res où il est diffusé. Ca doit finir en pugilat 7achakal à mon avis avec, très certainement malgré tout, une majorité d'hommes et pour qui est dans le stade anal, ça peut le faire.

Je finirais par une onomatopée de notre riche darijja yekhhhhhhhhhhhh tfouuuuuuuuuuu :langue:
 
Salo ou les 120 journées de Sodome, l’œuvre la plus dérangeante, crue et cruelle du réalisateur italien Pasolini, assassiné peu de temps après ce film. Ce film s’inspire du sulfureux roman du marquis de Sade, les 120 journées de Sodome, car il reprend la même trame et les faits, mais en modifiant les personnages et l’époque : comme dans le roman de Sade, 4 hommes puissants appartenant à l’aristocratie française, enlèvent des garçons et des filles, y compris leurs propres femmes et filles, et les soumettent à des perversions sexuelles différentes.

Dans le film de Pasolini, ces quatre hommes, sont des fascistes, qui enferment également des jeunes dans un château, et recourent à leur égard à des pratiques pour le moins révoltantes, suivant des cercles déterminés : un cercle destiné au viol, un second à des pratiques scatologiques (le plus insoutenable, avec des scénes qui soulevent le coeur), et le dernier, celui du sang, est résérvé à la torture.

L’objet de ce film, est éminemment politique, est qui se résume dans cette phrase prononcée dans le film « le pouvoir c’est l’anarchie », c'est-à-dire qu’une personne détentrice du pouvoir, devient elle-même dans certaines conditions la négation de l’existence du pouvoir et une preuve de son absence, puisqu’il n’y a personne pour lé délimiter et le contrecarrer. Le détenteur d’un pouvoir sans limites est un anarchiste, car il ne reconnait plus d’autres pouvoirs que le sien. Un film très difficile à regarder et à supporter, mais c’est un film nécessaire, car il pousse à réfléchir sur des questions comme la liberté, la nature des dictatures et leurs rapports avec les individus qu’elles déshumanisent complètement…à voir

non merci... ça ira comme ça, déjà avec ce que tu viens de dépeindre cela me suffit amplement pour réfléchir sans avoir besoin de voir le film ! :eek:

Après le stade de France, il y a le stade anal 7achak-us. D'autres, en d'autres contrées, parlent de stade uc-al ou fional :-D

nari nari ach 8ad moussiba a sidi nancy ?

mddrr meskhote ! :D

euh... no comment ! lol
 
ouais comme ça maintenant on sait qu'en plus d'être des tueurs... des chefs de gang
des dealers...
des violeurs..
les noirs peuvent aussi être des racistes détraqués... ils sont égaux même dans les tares :rolleyes:

Voilà.

Je ne parle pas du fond de l'hisoire ni le cote raciste ou obsession mais bien du Suspens, provocations, la performance des acteurs (Excepte Jackson)...c Nul...

la dessus je pense que ça allait au contraire. sinon il aurait fallu augmenter la durée du film, et ça en serait devenu barbant.
 
Ne m'en parle pas, ça réveille des démons. ce film doit être interdit aux moins de 30 ans :eek : je l'ai vu à 19 ans et le traumatisme fut de taille. Car c'est une chose de lire toutes les atrocités nées d'une cervelle aussi bien ancrée dans un siècle libertin que celle du marquis de Sade, et de voir, voir tous ce festivales de yeux arrachés et de membres tronçonnés. Nari t'as du jubiler pendant les 15 dernières minutes du film : D

Bon, quelques impressions après une soirée ciné mémorable! Suite à une très grâcieuse invitation j'ai enfin pu revoir ce film qui a traumatisé le post-adolescent que j'étais. Et bien ici l'impression fût tout autre. Le film, une fois évacué le côté provocateur et malsain, est en effet un bijou esthétique doublé d'un riche fonds artistique : Mariage réussi entre le réalisme italien et la délicieuse et légère perversion typique du 18ème siècle, description d'un anarchisme bourgeois dans un Etat fantoche destiné à disparaître dans les mois qui viennent (ce qui, de facto, fait sauter toute l'assise juridique sur laquelle une véritable morale sociale doit s'appuyer pour vivre), portrait très aiguisé de "surhommes" complètement désinhibés et affranchis une fois pour toutes des codes moraux les plus élémentaires (je n'en dis pas plus pour ne pas choquer loool), reflexion autour des relations victimes-bourreaux, souffrance-volupté, intimement liées et souvent confondues durant le film....

Bref, le film, au délà de son caractère choquant, offre une plongée inédite au coeur des perversions humaines, occultées en temps de paix et resurgissant, comme autant de démons mal endormis, en temps de guerre, le tout doublé d'un pari artistique et esthétique réussi. Et un grand salut à mes compagnons d'infortune (ou de fortune) qui m'ont aidé à tenir mon siège et mon rang jusqu'à la fin du film :D
 
Bon, quelques impressions après une soirée ciné mémorable! Suite à une très grâcieuse invitation j'ai enfin pu revoir ce film qui a traumatisé le post-adolescent que j'étais. Et bien ici l'impression fût tout autre. Le film, une fois évacué le côté provocateur et malsain, est en effet un bijou esthétique doublé d'un riche fonds artistique : Mariage réussi entre le réalisme italien et la délicieuse et légère perversion typique du 18ème siècle, description d'un anarchisme bourgeois dans un Etat fantoche destiné à disparaître dans les mois qui viennent (ce qui, de facto, fait sauter toute l'assise juridique sur laquelle une véritable morale sociale doit s'appuyer pour vivre), portrait très aiguisé de "surhommes" complètement désinhibés et affranchis une fois pour toutes des codes moraux les plus élémentaires (je n'en dis pas plus pour ne pas choquer loool), reflexion autour des relations victimes-bourreaux, souffrance-volupté, intimement liées et souvent confondues durant le film....

Bref, le film, au délà de son caractère choquant, offre une plongée inédite au coeur des perversions humaines, occultées en temps de paix et resurgissant, comme autant de démons mal endormis, en temps de guerre, le tout doublé d'un pari artistique et esthétique réussi. Et un grand salut à mes compagnons d'infortune (ou de fortune) qui m'ont aidé à tenir mon siège et mon rang jusqu'à la fin du film : D


Même si tu t'allongeais les cheveux, que tu portais une chemise violette ouverte sur ton torse, et que tu me chantais les louanges de ce film accompagné d'une guitare, je n'irai pas voir ce film. Non c'est Non :fou::D
 
Bon, quelques impressions après une soirée ciné mémorable! Suite à une très grâcieuse invitation j'ai enfin pu revoir ce film qui a traumatisé le post-adolescent que j'étais. Et bien ici l'impression fût tout autre. Le film, une fois évacué le côté provocateur et malsain, est en effet un bijou esthétique doublé d'un riche fonds artistique : Mariage réussi entre le réalisme italien et la délicieuse et légère perversion typique du 18ème siècle, description d'un anarchisme bourgeois dans un Etat fantoche destiné à disparaître dans les mois qui viennent (ce qui, de facto, fait sauter toute l'assise juridique sur laquelle une véritable morale sociale doit s'appuyer pour vivre), portrait très aiguisé de "surhommes" complètement désinhibés et affranchis une fois pour toutes des codes moraux les plus élémentaires (je n'en dis pas plus pour ne pas choquer loool), reflexion autour des relations victimes-bourreaux, souffrance-volupté, intimement liées et souvent confondues durant le film....

Bref, le film, au délà de son caractère choquant, offre une plongée inédite au coeur des perversions humaines, occultées en temps de paix et resurgissant, comme autant de démons mal endormis, en temps de guerre, le tout doublé d'un pari artistique et esthétique réussi. Et un grand salut à mes compagnons d'infortune (ou de fortune) qui m'ont aidé à tenir mon siège et mon rang jusqu'à la fin du film :D

c'est ou cette torture ??? t'as l'air d'avoir kiffé :D
 
et 6 mois plutard zaza alla enfin voir les citronniers :D
(faut comprendre, c'est le decalage horaire france maroc)

comme a chaque fois que je vois ce genre de films, j'en sors le coeur tres lourd et les yeux rouges, je deteste ce sentiment d'oppression !!

le film est magnifique et les acteurs, surtout les deux femmes, tres emouvants! elle a pas un air de jenifer aniston la femme du ministre?? et hiam abbass quelle classe, meme avec sa 3baya de paysanne et ses cheuveux vulgairement attachés et cachés elle reste tres belle!

au fait je n'ai pas vraiment compris c'etait quoi exactement l'idée principale du realisateur?? montrer ce duel entre une paysanne palestinnienne contre un ministre de la defense, un combat perdu d'avance mais elle va aller qd meme jusqua la cour supreme, pour montrer que le peuple palestinien espere un jour une justice??
ou bien montrer que la FEMME orientale est encore une proie d'une société machiste! l'idile de salma avec le jeune avocat, tres mal vu!!!!!!! et la femme du ministre, qui n'a pas le droit de "penser"...
l'amitié muette entre les deux femmes est tres revelatrice, j'ai adoré ces regards, qui en disent longs,..

tfou 3la les guerres et tfou 3la l'oppression des peuples

et vive la palestine libre et independante , avec des voisins juifs gentils comme la femme du ministre :D
 
Bref, le film, au délà de son caractère choquant, offre une plongée inédite au coeur des perversions humaines, occultées en temps de paix et resurgissant, comme autant de démons mal endormis, en temps de guerre, le tout doublé d'un pari artistique et esthétique réussi. Et un grand salut à mes compagnons d'infortune (ou de fortune) qui m'ont aidé à tenir mon siège et mon rang jusqu'à la fin du film :D

ce que j'adore dans ce film, c'est la densité et la richesse des références sollicitées ( le seul film à ma connaissance qui contient une bibliographie, qui apparaît dans le générique). Le tour de force de Pasolini est d'avoir su faire une adaptation condensée de l'oeuvre du marquis de Sade, contenant une bonne partie des perversions énumérées dans l'oeuvre écrite ( zoophilie, pédophilie, scatologie...etc), en insérant ça dans une construction proche de la comédie divine de Dante, avec les trois cercles qui structurent le film ( les cercles des passions, de la *****, et du sang), le tout dans un brûlot politique contre le fascisme et l'anarchie du pouvoir...dire que c'est un film unique dans l'histoire du cinéma est un pléonasme...
 
et 6 mois plutard zaza alla enfin voir les citronniers :D
(faut comprendre, c'est le decalage horaire france maroc)

comme a chaque fois que je vois ce genre de films, j'en sors le coeur tres lourd et les yeux rouges, je deteste ce sentiment d'oppression !!

le film est magnifique et les acteurs, surtout les deux femmes, tres emouvants! elle a pas un air de jenifer aniston la femme du ministre?? et hiam abbass quelle classe, meme avec sa 3baya de paysanne et ses cheuveux vulgairement attachés et cachés elle reste tres belle!

au fait je n'ai pas vraiment compris c'etait quoi exactement l'idée principale du realisateur?? montrer ce duel entre une paysanne palestinnienne contre un ministre de la defense, un combat perdu d'avance mais elle va aller qd meme jusqua la cour supreme, pour montrer que le peuple palestinien espere un jour une justice??
ou bien montrer que la FEMME orientale est encore une proie d'une société machiste! l'idile de salma avec le jeune avocat, tres mal vu!!!!!!! et la femme du ministre, qui n'a pas le droit de "penser"...
l'amitié muette entre les deux femmes est tres revelatrice, j'ai adoré ces regards, qui en disent longs,..

tfou 3la les guerres et tfou 3la l'oppression des peuples

et vive la palestine libre et independante , avec des voisins juifs gentils comme la femme du ministre : D

il est vraiment bien ce film....

on passe des films israéliens maintenant à Rabat? mais que fait le PJD???:D
 
ce que j'adore dans ce film, c'est la densité et la richesse des références sollicitées ( le seul film à ma connaissance qui contient une bibliographie, qui apparaît dans le générique). Le tour de force de Pasolini est d'avoir su faire une adaptation condensée de l'oeuvre du marquis de Sade, contenant une bonne partie des perversions énumérées dans l'oeuvre écrite ( zoophilie, pédophilie, scatologie...etc), en insérant ça dans une construction proche de la comédie divine de Dante, avec les trois cercles qui structurent le film ( les cercles des passions, de la *****, et du sang), le tout dans un brûlot politique contre le fascisme et l'anarchie du pouvoir...dire que c'est un film unique dans l'histoire du cinéma est un pléonasme...
Bon, quelques impressions après une soirée ciné mémorable! Suite à une très grâcieuse invitation j'ai enfin pu revoir ce film qui a traumatisé le post-adolescent que j'étais. Et bien ici l'impression fût tout autre. Le film, une fois évacué le côté provocateur et malsain, est en effet un bijou esthétique doublé d'un riche fonds artistique : Mariage réussi entre le réalisme italien et la délicieuse et légère perversion typique du 18ème siècle, description d'un anarchisme bourgeois dans un Etat fantoche destiné à disparaître dans les mois qui viennent (ce qui, de facto, fait sauter toute l'assise juridique sur laquelle une véritable morale sociale doit s'appuyer pour vivre), portrait très aiguisé de "surhommes" complètement désinhibés et affranchis une fois pour toutes des codes moraux les plus élémentaires (je n'en dis pas plus pour ne pas choquer loool), reflexion autour des relations victimes-bourreaux, souffrance-volupté, intimement liées et souvent confondues durant le film....

Bref, le film, au délà de son caractère choquant, offre une plongée inédite au coeur des perversions humaines, occultées en temps de paix et resurgissant, comme autant de démons mal endormis, en temps de guerre, le tout doublé d'un pari artistique et esthétique réussi. Et un grand salut à mes compagnons d'infortune (ou de fortune) qui m'ont aidé à tenir mon siège et mon rang jusqu'à la fin du film :D



Serieux je confirme.. vous êtes à enfermer tous les deux.. :langue:
 
quel film ?????

celui là zaza alors accroche toi avant de lire le resumé :D=>




Salo ou les 120 journées de Sodome, l’œuvre la plus dérangeante, crue et cruelle du réalisateur italien Pasolini, assassiné peu de temps après ce film. Ce film s’inspire du sulfureux roman du marquis de Sade, les 120 journées de Sodome, car il reprend la même trame et les faits, mais en modifiant les personnages et l’époque : comme dans le roman de Sade, 4 hommes puissants appartenant à l’aristocratie française, enlèvent des garçons et des filles, y compris leurs propres femmes et filles, et les soumettent à des perversions sexuelles différentes.

Dans le film de Pasolini, ces quatre hommes, sont des fascistes, qui enferment également des jeunes dans un château, et recourent à leur égard à des pratiques pour le moins révoltantes, suivant des cercles déterminés : un cercle destiné au viol, un second à des pratiques scatologiques (le plus insoutenable, avec des scénes qui soulevent le coeur), et le dernier, celui du sang, est résérvé à la torture.

L’objet de ce film, est éminemment politique, est qui se résume dans cette phrase prononcée dans le film « le pouvoir c’est l’anarchie », c'est-à-dire qu’une personne détentrice du pouvoir, devient elle-même dans certaines conditions la négation de l’existence du pouvoir et une preuve de son absence, puisqu’il n’y a personne pour lé délimiter et le contrecarrer. Le détenteur d’un pouvoir sans limites est un anarchiste, car il ne reconnait plus d’autres pouvoirs que le sien. Un film très difficile à regarder et à supporter, mais c’est un film nécessaire, car il pousse à réfléchir sur des questions comme la liberté, la nature des dictatures et leurs rapports avec les individus qu’elles déshumanisent complètement…à voir
 
The Visitor beau film sur les profondeurs de la nature humaine et l'importance de la sociabilité et de l'importance de l'autre qui peut faire défaut dans certaines situations, pour certaines personnes dans ces sociétés sclérosées du XXIème sle.
 
"Pinjar". Tres bon film sur la tragedie de la partition en Inde. Urmila Matondkar est epoustouflante dans ce role. Pour le reste, le scenario souffre d'une ambition didactique.
Mais j'ai malgre tout passe un bon moment a le regarder.
 
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