En al-Andalus, l'homosexualité est courante et prestigieuse intellectuellement, chez les Musulmans comme chez les Juifs de l'aristocratie. Les oeuvres d'auteurs comme Ibn Sahl de Séville se répandent à travers tout le monde islamique comme exemple de poésie amoureuse. Chez les Omeyyades, l'homosexualité est présentée comme un véritable raffinement culturel. La littérature érotique s’épanouit au sein de la culture islamique à cette époque. Comme chez les Grecs de l'Antiquité, certains aimaient être "accompagnés" de jeunes hommes, des ephèbes ( qui se trouvent aussi au paradis, pour... les hommes ). On peut citer l'Emir Abbad III de Séville, ou Yussuf III de Grenade, qui avaient un faible pour les jeunes esclaves chrétiens. Certains entretenaient des harems masculins.
Ces relations étaient proches de celles entretenues par les Grecs.
Les Almohades, tribu Nord Africaine qui offrait énormément de liberté aux femmes, a vu naître nombre de poétesses allant dans le sens de l'homosexualité féminine.
Chez les Ottomans également...
"Il n'est pas réprouvé par la foi ni interdit par la sainte Loi, par tous les cœurs se trouvent dans les mains de Dieu honoré et puissant, et bonne preuve de ceci en est que, entre les amants, se comptent califes et imams justes et droits." - IbnAzhm " Le Collier de la Colombe" - an 1023
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