Incendie en cours à l'usine Lubrizol de Rouen

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion Touring
  • Date de début Date de début
Usine Lubrizol de Rouen: 8000 m2 de toiture en amiante sont partis en fumée

Si les autorités assurent que les dernières mesures de pollution de l'air écartent tout risque pour la santé, certains élus de Normandie réclament des analyses plus poussées.
Près de trois jours après l'incendie qui a dévasté l'usine Lubrizol à Rouen, le site France Bleu rapporte qu'une toiture en fibrociment de 8000 m2, qui contient de l'amiante, est partie en fumée. De quoi aggraver l'inquiétude des riverains.
"On connaît les dégâts sur l'organisme que cela occasionne. On souhaite que des études précises de la qualité de l'air soit réalisées. Il y a 8000 mètres carrés de matière amiantée dans l'atmosphère. C'est énorme", a alerté Jean-Michel Bérégovoy, adjoint EELV au maire de la ville de Rouen, cité par le site d'information.
La préfecture de Seine-Maritime se montre optimiste et assure que les dernières mesures de pollution de l'air écartent tout risque pour la santé.
"Comme dans de nombreux sites industriels, il y a de l'amiante. Dans l'air, il n'y a pas d'inquiétude à avoir, c'est tout à fait clair. Par contre, il y en a sur le site de l'usine et il va y avoir un travail de restauration très poussé à mener", a indiqué Pierre-André Durand, le préfet du département.
"Je ne peux pas dire qu'il n'y a pas de danger"

Vendredi, en déplacement à Rouen, la ministre de la Transition écologique et solidaire Elisabeth Borne a confirmé que "sur la qualité de l'air, même s'il y a une odeur désagréable, aucun polluant n'a été détecté par ces analyses". Agnès Buzyn a toutefois reconnu que la ville de Rouen était "clairement polluée" par les suies issues des fumées.
"Je ne peux pas dire qu'il n'y a pas de danger, il y a forcément des traces d'hydrocarbures", a ajouté la ministre de la Santé, expliquant attendre des analyses plus fines à venir dans le courant de la semaine prochaine.....................
https://www.bfmtv.com/societe/usine...wGEN1X0D4nANAPOVPjiBk#page/contribution/index
 
Lubrizol à Rouen : la gestion de crise par les pouvoirs publics est-elle à la hauteur?

La gestion de la crise de Lubrizol à Rouen par les pouvoirs publics, chargés de la sécurité des habitants, est-elle à la hauteur des événements ? Alors que les Français (et particulièrement leurs hauts fonctionnaires) ricanent régulièrement de la gestion de ce type d’événements à l’étranger, notamment en Russie avec ses « explosions » suspectes rarement expliquées au public, pouvons-nous dire que l’État, en France, fait vraiment mieux ? Manifestement, les habitants de Rouen ont un avis tranché sur le sujet : au lieu de prendre la mesure de la gravité de la situation, l’État la minimise et cherche à infantiliser les citoyens par un discours lénifiant. Il est assez sidérant que les élus n’aient pas pris conscience des attentes démocratiques et y répondent de façon aussi désinvolte.

http://www.lecourrierdesstrateges.f...UTPntMx6CPv-LnZRsHxZ4MYdU3WtuJ9BWFvsbpQ83F-uw
 
Agnès Buzyn à Rouen: "La ville est clairement polluée"

Agnès Buzyn et Elisabeth Borne se sont rendues à Rouen ce vendredi soir. Les deux ministres se sont déplacées suite à l'impressionnant incendie qui a ravagé une usine de produits chimiques classée Seveso. Un épais nuage de fumée a recouvert la ville de Rouen pendant plusieurs heures.


Rouen: un barrage installé sur la Seine pour repousser les nappes de pollution

Un impressionnant incendie a ravagé une usine de produits chimiques classée Seveso ce jeudi. Un épais nuage de fumée a recouvert la ville de Rouen pendant plusieurs heures.


Lubrizol: le préfet de Seine-Maritime confirme "une présence d'amiante dans la toiture des bâtiments"

Un impressionnant incendie qui a ravagé une usine de produits chimiques classée Seveso ce jeudi. Un épais nuage de fumée a recouvert la ville de Rouen pendant plusieurs heures.

"Les productions végétales non récoltées ne devront pas l'être." Le préfet de Seine-Maritime acte un "gel des productions et récoltes" suite à l'incendie à Rouen

Un incendie, s'est déclenché jeudi matin, à Rouen (Seine-Maritime) sur un site industriel "Seveso seuil haut".
 
@Drianke : tu espérais que Macron en parle pendant son allocution. J'ai pas osé te répondre un "rêve" avant son discours (faut pas insulter l'avenir...), que j'ai pas écouté en entier parce que faisait suer. Ce que j'ai entendu en tous cas n'en parlait pas.
Dormez, Mme la Marquise, tout va très bien...
 
Lait, oeufs et miel « gelés » dans 112 communes de Seine-Maritime après le passage du nuage Lubrizol

Ce sont 112 communes de la Seine-Maritime qui ont pu être « potentiellement » affectées par le panache de fumée et de suie provoqué par l’incendie qui a ravagé l’usine chimique Lubrizol de Rouen, jeudi 26 septembre 2019. Ces fumées et ces suies ont eu un impact sur la production agricole du département.

Lors de sa dernière conférence de presse fleuve du samedi 28 septembre 2019 qui s’est tenue en fin d’après-midi, en préfecture à Rouen, Pierre-André Durand a forcément mis l’accent sur la qualité de l’air dans l’agglomération de Rouen. Il a d’abord voulu tenter de rassurer la population rouennaise et seino-marine en dévoilant les derniers résultats des analyses complémentaires avant d’aborder la question des éventuelles conséquences sur les productions agricoles.

Le préfet de Seine-Maritime/Normandie a donc évoqué les conséquences de cet incendie « hors normes » qui s’est déclenché le jeudi 26 septembre sur le site de l’usine chimique Lubrizol, situé sur la rive gauche de Rouen, sur les productions agricoles dans un quatrième temps.

Gel conservatoire du lait et des œufs

« Potentiellement », selon le préfet, le panache de fumée et de suie qui s’est formé à la suite de l’incendie qui a mobilisé jusqu’à 240 sapeurs-pompiers, a pu toucher 112 communes du département. « Les productions végétales non récoltées ne devront pas l’être », a annoncé Pierre-André Durand.

Le lait, les oeufs, le miel collectés depuis le 26 septembre sont consignés. « Ces produits font l’objet d’un gel conservatoire dans l’attente des résultats d’analyses en cours. »

Des indemnisations au cas où...

C’est Laurent Bresson, le directeur de la Direction départementale des territoires et de la mer (DDTM) de Seine-Maritime qui a évoqué les deux scénarios possibles. « Hypothèse 1, les résultats sont négatifs et c’est la levée de ces mesures conservatoires. Hypothèse 2, ces produits sont considérés comme impropres à la consommation. La question de la prise en charge du préjudice des agriculteurs se posera. À ce stade, le dispositif n’est pas construit. »

Et s’il doit y avoir indemnisation, c’est vers l’exploitant industriel, Lubrizol France, que se retourneront les services de l’État. Comme la loi le prévoit. En charge de la politique agricole en Normandie, le président de la Région, Hervé Morin, se rendra le dimanche 29 septembre en début d’après-midi sur l’exploitation de Stéphane Donckele à Catenay.

Pour les particuliers qui possèdent un potager, le préfet indique qu’il est « recommandé de ne pas consommer les produits touchés. Les autres produits peuvent être consommés après avoir été lavés et/ou épluchés. »

Nul doute que beaucoup de jardiniers amateurs jetteront dans les heures à venir les pommes, salades et autres citrouilles ou potimarons qui sont actuellement prêts à être récoltés.

paris normandie
 
Lubrizol : le préfet a donné son feu vert à des augmentations de capacités sans évaluation environnementale
Profitant d'assouplissements de la réglementation mis en œuvre par le gouvernement, le préfet a autorisé en début d'année une augmentation de capacité des produits dangereux dans l'usine de Rouen à l'origine de l'accident industriel.

La réglementation des installations classées a fait l'objet de nombreux assouplissements ces dernières années qui pourraient ne pas être étrangers à l'accident survenu dans l'usine de Lubrizol de Rouen le 26 septembre.

En juin 2018, le gouvernement a publié un décret qui réduit le périmètre des projets soumis à évaluation environnementale. Parmi les installations concernées figurent les installations Seveso, qui constituent les installations les plus dangereuses au sein de l'Union européenne, du fait de la quantité de produits dangereux qu'elles mettent en œuvre. Malgré cela, l'exécutif a décidé de soustraire les modifications de ces établissements à une évaluation environnementale systématique pour les soumettre à une procédure d'examen au cas par cas.

Jusqu'à la loi Essoc d'août 2018, cet examen relevait dans tous les cas d'une autorité environnementale indépendante. Mais cette loi de simplification a donné cette compétence au préfet lorsque le projet consiste en une modification des installations, et non une création. Une compétence que le gouvernement aimerait étendre, via la loi énergie-climat en attente de promulgation, à l'ensemble des examens au cas par cas.

Deux demandes successives d'augmentation

L'établissement Lubrizol de Rouen a bénéficié de ces assouplissements. L'exploitant a présenté deux demandes successives d'augmentation des quantités de substances dangereuses le 15 janvier et le 19 juin 2019. Conformément à la loi Essoc, c'est donc le préfet qui s'est prononcé sur les demandes et non l'autorité environnementale indépendante. Dans les deux cas, il a considéré qu'il n'y avait pas lieu à évaluation environnementale.
Comme le rappelle le CGDD dans son tout récent guide de lecture de la nomenclature des études d'impact, "si la modification est soumise à évaluation environnementale (…), elle nécessitera en conséquence une nouvelle autorisation". A contrario, les modifications non soumises à évaluation n'en nécessitent pas. Or, l'absence de nouvelle autorisation signifie aussi l'absence d'étude de dangers systématique, même si le préfet est toujours en mesure d'en exiger une. Contactée par Actu-Environnement, la préfecture n'est pas en mesure d'indiquer si une telle étude, destinée à prendre en compte les nouveaux risques liés à ces augmentations de capacité, avait été ou non réalisée par l'exploitant.

Utilisation de bacs en multi-produits pour l'atelier mélange............................

https://www.actu-environnement.com/...LGXEbgH8YTHn9sC-MKXIXhrabZdO9LoL8SAqtQMxULCwo
 
Communes ou il est interdit de collecter le lait les oeufs , produit en plein air et poissons
71511927_10211872911497758_2706141181040918528_n.jpg
 
Oui la colonne de fumée qui faisait 22 kms de long environ et 6 kms de large est partie vers le Nord avec les vents....nos nuages ont une drôle de couleur on dirait qu'ils sont plein de suie....on nous dit pas tout....préfet, ministres, maires bref foutage de g.ueule....on respire de la mer.de...maux de têtes, nausées, maux de ventre tout va bien madame la marquise....


Paraît que les Bleges et les Hollandais ont eu des traces aussi .
 
Incendie à l'usine Lubrizol à Rouen : des enseignants font jouer leur droit de retrait

Alors que tous les établissements scolaires fermés depuis l'incendie de l'usine Lubrizol à Rouen ont rouvert ce lundi matin, des enseignants ont décidé de faire jouer leur droit de retrait. Ils estiment que la situation actuelle présente "un danger grave et imminent pour eux et les élèves".


Tous les collèges, lycées, et écoles fermés depuis l'incendie de l'usine Lubrizol à Rouen ont rouvert ce lundi matin à l'issue des opérations de contrôle ou de nettoyage. Mais des enseignants ont décidé de faire jouer leur droit de retrait et de ne pas donner cours. C'est le cas au collège Bracque sur les hauts-de-Rouen, situé seulement à 700 mètres à vol d'oiseau du site classé Seveso.

Les professeurs justifient leur décision dans une lettre : « Suite aux odeurs liés à l'incendie de l'uzine Lubrizol, encore très présentes et indisposantes (maux de tête, nausées, vertige...), nous faisons jouer notre droit de retrait car nous estimons que la situation actuelle présente un danger grave et imminent pour eux et les élèves ».

Ils ajoutent que « cette décision s'appuie sur des éléments factuels : les filtres des ventilations n'ont pas été changés, contrairement aux demandes, des traces noires dans certaines salles de cours, pas de personnel de santé présent à l'ouverture ». La lettre a été signée par 26 enseignants de l'établissement scolaire.

Les cours sont suspendus jusqu'à nouvel ordre. Les élèves ont été renvoyés chez eux.

« Y'a pas de raison d'être rassuré »
Au collège Fernand Léger au Petit-Quevilly, les professeurs ont également fait jouer leur droit de retrait ce lundi matin. Clément Lefebvre, professeur de sciences dans l'établissement et délégué Snes-Fsu estime qu'il subsiste un doute après les résultats des premières analyses.

« Les hydrocarbures mal consumés n'ont pas été recherchés dans les analyses de la préfecture. Tout ce qui touche l'amiante va être contrôlé à proximité du site de Lubrizol alors que l'amiante est volatile et peut s'étendre plus loin. Pour nous, y'a pas de raison d'être rassuré, même si l'administration se veut rassurante », explique-t-il au micro de France Bleu Normandie............

 
Boréalis une usine seveso seuil haut mise à l'arrêt ce matin problème électrique...elle est à 3 kms environ de lubrizol...

Les pompiers sont sur place...
 
Incendie de Rouen. Un collectif Lubrizol atteint les 13 000 membres sur Facebook

Un groupe Facebook lancé le jour de l’incendie a atteint 13 000 membres ce lundi 30 septembre 2019.

Greg Simonklein était énervé, jeudi soir. Son fils de 12 ans, asthmatique, a mal à la tête, il tousse, a la nausée. « Je me suis dit que ces fumées allaient faire crever nos gamins », raconte le chef d’entreprise. En colère, et pour se sentir moins seul, ce patron d’une agence de développement informatique lance un groupe Facebook, « Collectif Lubrizol », et y invite une centaine de ses amis. « Je voulais fédérer, partager nos peurs. Je me disais qu’il y aurait un combat juridique à mener. Vingt-quatre heures plus tard, nous étions 2 000 », s’étonne-t-il encore.

Ce n’est pourtant pas le seul groupe du genre. « Mais mon groupe a pris de l’importance encore dans le week-end, alors dimanche, on a décidé de se regrouper avec trois autres groupes. »

« Ils veulent des actions rapides »

Résultat, il y a ce lundi soir 13 000 personnes dans le groupe « Collectif Lubrizol ». « Les gens ont besoin d’être rassurés, explique Greg Simonklein. On s’est senti seuls. Et la conférence de presse du préfet, samedi soir, c’était pire encore : les gens ont compris qu’on ne leur disait pas tout… Ils veulent de la transparence, et des actions rapides. Ils sont prêts à porter plainte individuellement, à engager des poursuites. »

Toujours dans le questionnement

La vie du groupe est mouvementée : « On est cinq administrateurs aujourd’hui, plus quatre modérateurs. On fait comme on peut, et les utilisateurs signalent les messages litigieux. Je rappelle régulièrement l’éthique du groupe, on vérifie les infos, on enlève les fake news. Mais à 13 000, ça devient compliqué. J’ai lancé le groupe, mais je ne sais pas jusqu’à quand je pourrai le maintenir. »


Ce qui l’a le plus marqué ? « La crainte des parents pour leurs enfants. Cela les touche profondément. Et l’on est toujours dans le questionnement. »

ouest france
 
Incendie à Rouen : l'association de l'ex-ministre de l'Environnement Corinne Lepage saisit la justice pour "obtenir des informations"

L'association passe aussi un appel à tous les citoyens inquiets de la pollution sur leurs sols.


avatar

franceinfoFrance Télévisions

"J'ai jeté 14 000 litres de lait" : après l'incendie de Lubrizol à Rouen, les exploitants laitiers se sentent abandonnés



"Je ne dis pas que les informations du préfet sont partiales, mais elles nous semblent partielles", juge l'avocate et ancienne ministre de l'environnement Corinne Lepage, à propos de la pollution issue de l'incendie qui a ravagé l'usine Lubrizol à Rouen, dans la nuit du 25 au 26 septembre. Par le biais de son association Respire et d'une centaine de citoyens, elle a décidé de saisir la justice et de déposer un "référé constat" devant le tribunal administratif de Rouen. Il s'agit d'une procédure d'urgence "qui permet d'avoir des informations dans un délai très court", explique Corinne Lepage au Parisien, qui a divulgué l'information.

L'association Respire lance également un appel citoyen à tous les riverains, les agriculteurs qui s'inquiètent de la pollution sur les sols. Olivier Blond, le président de l'association, a assuré qu'ils enverraient des huissiers procéder à des constats "pour les faire ensuite analyser par des experts indépendants". Des dioxines, des furanes, ou de l'amiante, des substances potentiellement cancérigènes, pourraient être détectées, estime-t-il après ce type d'incendie chimique.
 
j'ai des amis à Rouen et il parait que l'air est très pollué...

J'espère que les pouvoirs ne vont pas nous faire le coup du nuage de Tchernobyl qui était soit disant inoffensif...
 
DIRECT. Incendie de l'usine Lubrizol : "Le préfet rendra publique cet après-midi la liste des produits stockés dans les bâtiments qui ont brûlé", annonce le Premier ministre

L'association Respire a par ailleurs déposé lundi soir un référé auprès du tribunal administratif de Rouen "afin de nommer un expert" dans ce dossier.

Cinq jours après le sinistre, les interrogations sur les conséquences sanitaires de l'incendie de l'usine Lubrizol de Rouen (Seine-Maritime) pourraient bientôt être levées. "Cet après-midi, le préfet rendra publique la liste des produits stockés dans les bâtiments qui ont brûlé", a déclaré, à l'Assemblée nationale, mardi 1er octobre, le Premier ministre. Le préfet, qui va donner une conférence de presse en fin d'après-midi, "rendra publique" également "la quantité des produits qui ont brûlé", a précisé Edouard Philippe.

Les résultats d'analyses sur les suies et pollutions bientôt publiés. Ils seront communiqués "demain ou après-demain". C'est ce qu'a indiqué le ministre de l'Agriculture, Didier Guillaume, en assurant que les premières indemnisations d'agriculteurs devraient intervenir sous dix jours.

Une association dépose un référé. L'association Respire a déposé lundi soir un référé auprès du tribunal administratif de Rouen "afin de nommer un expert" dans ce dossier. L'association de lutte pour la prévention et l'amélioration de la qualité de l'air précise qu'elle va "organiser avec la population une campagne de prélèvements citoyens, qui seront faits en présence d'huissiers, afin de fournir des analyses complémentaires à partir des suies, galettes et autres résidus identifiés par les habitants".

Une usine Seveso seuil haut mise à l'arrêt près de Rouen. Une usine chimique, classée Seveso seuil haut à Grand-Quevilly, près de Rouen, a été "mise à l'arrêt" depuis 7h45, a annoncé la préfecture de Seine-Maritime, précisant qu'il n'y avait pas d'incendie.

Une manifestation prévue à Rouen. Un rassemblement est prévu à 18 heures à l'appel de syndicats et d'écologistes devant le palais de justice de Rouen. Une autre manifestation est annoncée à Lille à 18h30, à l'appel d'Europe Ecologie-Les Verts et de La France insoumise.



Retrouvez ici l'intégralité de notre live #ROUEN
 
Incendie de Lubrizol: plus de 200 communes concernées par un arrêté sanitaire
INFOGRAPHIE - Des centaines de communes en Seine-Maritime et dans les Hauts-de-France ont été touchées par les retombées du panache de fumée de l’incendie de l’usine chimique Lubrizol......

 
Non la métropole dit pas de souci avec l'eau mais j'en bois pas...

ouh là, le gouv est inconscient, les analyses ne sont même pas encore publiées !

achète de l'eau en bouteille pour toi et tes enfants, n'ouvre pas les fenêtres, restez calfeutrés, courage :)
 
La loi des séries, incendie au Luxembourg, incendie hier à Toulouse, borealis chez nous bref tout va bien madame la duchesse!!!!
 
On est obligé de limiter les déplacements, mais faut aller bosser aussi....ce soir le préfet voulait pas recevoir tous les délégués mais que 5 personnes, on a squatté devant la préf' et négocié il a reçu 10 personnes, syndicalistes, un médecin, écologiste, lrm, ps, ump on verra demain la suite....
ouh là, le gouv est inconscient, les analyses ne sont même pas encore publiées !

achète de l'eau en bouteille pour toi et tes enfants, n'ouvre pas les fenêtres, restez calfeutrés, courage :)
 
"Pollution majeure de la Sûre" après l'explosion sur le site d'Euro-Composites

Une explosion s'est fait entendre ce mardi à 12h30 sur le site d'Euro-Composites, dans la zone industrielle à Echternach.

Un feu "virulent" s’est déclaré dans un hall de stockage sur le site d’Euro-Composites à Echternach mardi midi. L’incendie qui a été déclaré comme "contenu" à 19h a engendré "une pollution majeure de la Sûre" a-t-on appris mardi soir.

"Les eaux d’extinction, la mousse d’extinction à base des substances polyfluorées, ainsi que des solvants et de la résine phénolique se sont écoulées vers la Sûre" explique le ministère de l’Environnement dans un communiqué.

Les autorités luxembourgeoises et allemandes travaillent main dans la main "afin d’endiguer au mieux l’écoulement". Des barrages flottants sont actuellement en cours d’installation à Steinheim pour "retenir les mousses et les solvants surnageants et de les évacuer".

Après avoir travaillé tout l’après-midi pour éviter une propagation du brasier aux bâtiments voisins, les secours doivent donc maintenant se concentrer sur une nouvelle urgence.

Depuis le début de la journée, une centaine de pompiers ont été mobilisés sur le site de la société qui produit des matériaux composites.
D’après nos informations, il n’y aurait pas de blessé à déplorer en ce début de soirée. Le CGDIS a indiqué à 19h que l’alerte à la population de fermer portes et fenêtres avait été levée.

Grand feu le site d'Euro-Composites à Echternach (1.10.19)
1/14
ffb11e0fad51ba5efff03d8eccdfe17e.jpg

© Jil Eiffes
d7246c56d412f97601d9b82dd09d9bbc.jpg

© Jil Eiffes
67203be24c25d93449be77fd84a6183c.jpg
 
Retour
Haut