Incendie en cours à l'usine Lubrizol de Rouen

Drianke

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Tout va bien à Rouen qu'elle a dit l'autre tordu de ministre de la santé...bah oui Rouen 7 du mat tu sens les hydrocarbures tu commences ta journée avec les nausées et les maux de tête....17 h 30 tu as quitté le boulot tu te manges des grandes bouffées d'hydrocarbure après tu vas gerber chez toi parce que ça devient insupportable depuis l'explosion de cette merd.e de SEVESO ....tu dis mais ils te prennent pour des k.ons ou des teubés quand tu dis que c'est toxique, que ça pue, que ça rend malade, qu'on est plus que pollué et que nous exigons la vérité sur tous les produits qui ont flambé pas dans une usine mais dans 2 usines mitoyennes ...Heureusement que nous allons avoir des experts indépendants pour contrer les mandatés d'Etat et d'ailleurs notre histoire relève du parquet de Paris o_Omaintenant et plus de celui de Rouen comme par hasard même procédure que pour Tarik Ramadan, la plaignante était de chez nous et le parquet de Rouen a été déchargé par celui de Paris ....:sournois: bouh la vieille complotiste mais je vous emm.de l'Etat....:D

Bah aujourd'hui on apprend que l'air de Rouen contient 4 fois plus de dioxines que la normale non mais tout va bien Madame la Marquise hein....

Incendie à l'usine Lubrizol à Rouen : des taux "relativement élevés" de dioxines dans l'air à Préaux

Des taux de dioxines dans l'air presque quatre fois plus élevés que la normale à Préaux
Les analyses menées sur le benzène n'ont également pas fait état d'un taux élevé dans l'air. En revanche, les analyses menées sur les dioxines et furanes sont moins nettes. Les analyses d'Atmo font état d'un taux "relativement élevé" sur le capteur installé à Préaux : 12,66 picogrammes par mètres cubes d'air, pour une valeur repère régionale médiane de 3,40 : "Ces résultats veulent dire qu'il faut faire des examens complémentaires, mais ils ne permettent pas d'être rassurants, détaille Jean-Grançois Gehanno, professeur au CHU de Rouen, qui a analysé les résultats. Il y a un certain nombre de composés cancérogènes qui ont brûlé, si ça se stocke et que les populations continuent à être exposées, il y a un potentiel risque à long terme."



https://www.francebleu.fr/infos/env...es-de-dioxines-dans-l-air-a-preaux-1570547193


Heu vous voulez investir sur Rouen? il va y avoir des maisons à vendre pour 3 fois rien je pense....
 

Drianke

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Proposition de l’octroi Agrément Label écolo++ pour Lubrizol : « Si t’es pas Seveso, t’es pas écolo »

En effet, nous savons désormais que la combustion de 10.000 tonnes de produits hautement toxiques n’a aucune incidence sur la santé des hommes ni sur l’environnement et que l’écosystème est sauvegardé. Nous savons maintenant et ce dés les premières heures de l’incendie, que les rouennais ne couraient aucun danger. Puisqu’on nous le dit…

On peut respirer, on peut bosser, on peut sortir, on peut avoir des bébés et aucun danger pour ceux en cours d’installation, on peut courir, on peut vivre tout simplement… A se demander pourquoi Lubrizol et autres sites sont classés Seveso… Y’a pas plus sympa, pas plus inoffensif, pas plus cool que ces usines là….

Chers rouennais, Les annonces gouvernementales et administratives sont tout à fait rassurantes et il ne saurait être question d’en douter. Du 1erministre au préfet en passant par tous ceux qui ne se sont pas déplacés à Rouen mais qui savent tout sur tout et qui assurent que s’ils y habitaient, ils y resteraient… sans céder à la psychose ni au catastrophisme comme vous, comme nous, comme moi…

DONC, je propose que Lubrizol et toutes les usines de Rouen gauche soient reconnues saines et hautement bénéfiques à la santé, qu’elles reçoivent le label Ecolo avec le soutien de l’Ordre des pneumologues, cancérologues et allergologues. En plus, ça rime avec Lubrizol.
Alors, aux esprits chagrins, cartésiens, St Thomasiens et autres crétins, je dis qu’il ne faut pas s’inquiéter puisqu’on vous dit que tout va bien !
Vous toussez ? vous éructez ? vous avez des maux de tête, vos yeux piquent, la langue gonfle, le nez saigne, les gencives sont douloureuses, vos nuits sans sommeil et vos jours irrespirables le plus souvent et selon le vent à J + 11 ? Bah, c’est pas grave, vous somatisez ! vous écoutez trop les infos (quoique maintenant plus personne ne s’en soucie) vous psychotez !

Vous avez le blues, vous avez peur plus pour vos enfants que pour vous, vous consultez un médecin, vous voulez porter plainte ? mais que vous êtes pleutre ! et procédurier en plus !

Puisqu’on vous dit que les 10.000 tonnes de saloperies volatiles qui continuent à nous accompagner quotidiennement ne sont que des retombées normales et que notre bonne pluie normande va nous nettoyer tout ça et envoyer les déchets dans nos rivières et campagnes… que les agriculteurs qui se plaignent toujours c’est bien connu, vont être indemnisés, que les écoles sont propres maintenant, que les avocats sont là, ( le contraire, ça marche aussi) que ça aurait pu être bien pire en pleine canicule et sans vent, vous imaginez notre chance ?????

Alors, s’il vous reste un brin de bon sens et de dignité, remettez vos chaussures de running, reprenez vos vélos, envahissez à nouveau les terrasses, allez profiter de la Fête du ventre (quelle horreur cette appellation !) profitez du Jardin des plantes, de tous les jardins rouennais, enlevez vos masques de carême et vos masques tout court ( qui ne servent à rien entre nous) souriez car vous n’êtes pas filmés puisque tout le monde s’en fout, riez mais ne pleurez pas, de grâce, ce n’est pas esthétique et cela procède d’un ROUEN bashing intolérable pour notre image… C’est ce que j’ai entendu hier entre autres interventions de bon sens au Conseil municipal de Rouen…

Surtout, faire revenir les touristes à Rouen….Euh… Il faudra d’abord y faire rester les rouennais…
 

Drianke

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DIOXINES ROUEN....Les analyses d'Atmo font état d'un taux "relativement élevé" sur le capteur installé à Préaux : 12,66 picogrammes par mètres cubes d'air, pour une valeur repère régionale médiane de 3,40 : "Ces résultats veulent dire qu'il faut faire des examens complémentaires, mais ils ne permettent pas d'être rassurants, détaille Jean-Grançois Gehanno, professeur au CHU de Rouen, qui a analysé les résultats. Il y a un certain nombre de composés cancérogènes qui ont brûlé, si ça se stocke et que les populations continuent à être exposées, il y a un potentiel risque à long terme."
 

Drianke

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LA NORMANDIE SOUILLÉE, INQUIÈTE ET MÉPRISÉE DEPUIS PRESQUE QUINZE JOURS: ÇA SUFFIT!

es chiffres faisaient la une de la matinale sur l'antenne de France Info: ATMO NORMANDIE l'association en charge normalement des mesures de la qualité de l'air dans notre région, notamment au-dessus de la métropole de Rouen et dont les publications avaient été suspendues le lendemain de la catastrophe industrielle par une préfecture de région qui craint, visiblement, les réactions de l'opinion publique, a révélé les valeurs qui ont été mesurées lors du passage du panache de fumée au dessus de la métropole normande:

Des taux de dioxines diverses quatre fois supérieurs aux taux normalement constatés ont été relevés à partir du 26 septembre 2019. Interrogé par France Info, un médecin spécialisé du CHU de Rouen Charles Nicolle s'inquiète sur les conséquences à long terme pour l'état sanitaire de la population rouennaise si elle devait régulièrement consommer les produits des jardins et du maraîchage issus de terres contaminées par les dépôts de dioxines de l'incendie Lubrizol. Déclaration du professeur Jean-François Guéhanno: "Il y a un certain nombre de composés cancérogènes qui ont brûlé. Si ça se stocke et que les populations continuent à être exposées, il y a un potentiel risque à long terme".

La ministre de la santé, Agnès Buzyn, interrogée sur l'antenne de France Info, peu après a osé déclarer que ces valeurs de dioxines quatre fois supérieures le jour de l'incendie dans l'air rouennais restaient dans les limites admises pour la toxicité: les Rouennais apprécieront! Tout comme ils apprécieront l'installation à la préfecture de région d'ici vendredi 11 octobre, d'un comité de suivi de toutes les mesures et de toutes les informations relatives à cette catastrophe industrielle majeure dans le but de mettre en oeuvre la promesse de transparence totale d'un Premier ministre qui a oublié qu'il était né à Rouen: un débarquement de trois ministres venus de l'amont parisien est donc à prévoir... Quant à savoir si Monsieur M. (M pour... mépris) sera aussi présent (Incognito? En catimini? De nuit pour ne pas troubler le sommeil de braves gens en colère?), c'est un risque que nous refusons de prendre: on constatera, avec amertume, que ce président qui craint la dioxine de la colère civique et normande, n'est pas le président de tous les Français.

Transparence, disions-nous?


Toujours sur l'antenne de France Info, ce matin du 9 octobre 2019, 14 jours après la catastrophe, Agnès Buzyn confiait après une question impertinente du journaliste, avoir découvert en lisant Le Monde de la veille que Lubrizol avait fait stocker chez son voisin Logistique Normandie... 5000 tonnes de produits dangereux supplémentaires et qui ont brûlé, eux aussi, dans l'incendie.

Une enquête administrative a été ouverte pour savoir pourquoi les autorités de la préfecture régionale de Normandie ont été si laxistes avec le client Lubrizol:
ici même, nous avons rappelé la responsabilité d'une ancienne préfète de région, Fabienne Buccio, dans cette affaire. Nous avons aussi rappelé que l'usine Lubrizol avec mille emplois directs et indirects est un poids-lourd dans le paysage économique et industriel rouennais et que cette entreprise possédée par le fond de pension lui-même possédé par Warren Buffett, le troisième homme le plus riche du monde, était aussi l'un des principaux mécènes de l'Armada... Ceci pouvant expliquer cela.

Le risque est grand que les deux entreprises ne se fassent une guérilla judiciaire pour définir qui, de l'une ou de l'autre, est responsable de la catastrophe. En conséquence, le risque est encore plus grand que les victimes de cette catastrophe ne puissent voir le premier centime d'indemnisation avant longtemps:

Il y aura plusieurs procès qui s'annoncent longs et complexes et ce gouvernement qui continue de refuser de reconnaître l'état de catastrophe industrielle permettant de simplifier juridiquement le processus d'indemnisation auprès des compagnies d'assurances, ne fait qu'aggraver l'inquiétude, l'anxiété et la colère des populations concernées.

Comme personne du côté du gouvernement, si ce n'est les élus locaux ou le président de région, ne semble vouloir porter politiquement cette affaire, le désarroi des Rouennais est grand et, la nature ayant peur du vide, à défaut d'avoir la visite d'un président de la République, certains de nos concitoyens ont eu celle d'escrocs demandant à être rétribués pour effectuer de soi-disant mesures de toxicité...
 

Drianke

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Des aigrefins fondent sur notre métropole normande comme la vermine sur une plaie qui n'a pas été correctement soignée.

Cette colère rouennaise normande doit avoir des conséquences politiques:
des urnes se présentent au printemps prochain pour peupler un conseil municipal et métropolitain. Seront-elles suffisantes pour recueillir cette colère civique pour éviter qu'une pollution politique ne s'ajoute à la pollution industrielle et chimique?

Enfin, cette détresse rouennaise soit interpeller et susciter une solidarité politique normande: les grands élus normands devraient faire front commun face au gouvernement, face à Lubrizol qui ne manquera pas d'exploiter toutes les arguties juridiques possibles pour se défausser de ses responsabilités.

Quinze jours ou presque après la plus grave catastrophe industrielle ayant affectée notre région depuis la Seconde guerre mondiale, que font-ils?

RIEN! Ou presque...


Hervé Morin, le président de la Normandie s'est mobilisé dès le lendemain de la catastrophe et la région va financer dans l'urgence les avances sur recettes aux agriculteurs et artisans qui ont été impactés par la catastrophe et par l'arrêté préfectoral gelant les productions.

Mais il faudra aller plus loin!

La plainte de la ville et de la métropole de Rouen devrait être accompagnée d'une plainte, en bonne et due forme, du conseil départemental de la Seine-maritime et de la région Normandie: la terre normande et son image ont été souillées. Une partie notable de la population normande (la métropole de Rouen comporte un peu moins de 500000 habitants) craint pour sa santé à court et moyen terme. Cela demande réparation devant la justice.

Hervé Morin pourrait même demander à Warren Buffett de faire un geste car de l'autre côté de l'Atlantique, la Normandie est, paraît-il, un nom qui suscite la sympathie, voire le respect ou l'admiration. Il faudrait que cela se sache là-bas:
 
A

AncienMembre

Non connecté
j'ai l'impression que c'est le silence presque total des autorités

aucune info en première page sur Rouen... on parle de l'impeachment de Trump, de l'Equateur, du Jocker contre Batman en première page du site internet du Monde !
 

Drianke

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Incendie de Rouen : début de l'enquête sur le terrain

Les investigations devraient s'étendre sur plusieurs jours. Elles visent à « rechercher la zone de départ de l'incendie et à en expliquer le déclenchement ».

Près de deux semaines après l'incendie de Rouen, le parquet de Paris a fait savoir ce mardi 8 octobre que les investigations sur le site de l'usine Lubrizol vont commencer. Elles sont particulièrement attendues et pourraient éclairer sur l'origine de l'incendie, qui fait toujours débat. Dans son communiqué, le procureur de Paris précise que « la persistance de points chauds sur les sites concernés ne permettait pas jusqu'à présent de procéder aux constatations sur le terrain ». Pour l'heure, l'enquête n'a toujours pas permis de « déterminer les causes de l'incendie ni de localiser avec certitude l'origine du sinistre » survenu le 26 septembre. Comme l'avait indiqué le secrétaire d'État à l'Intérieur Laurent Nuñez jeudi dernier sur les ondes d'Europe 1, jusqu'ici, aucune piste, qu'elle soit criminelle ou accidentelle, ne peut être écartée.


La société Lubrizol, qui se base sur « la vidéosurveillance et des témoins oculaires », a elle affirmé la semaine dernière que l'incendie avait vraisemblablement commencé à l'extérieur du site. Les constatations de terrain qui commencent mardi « dureront plusieurs jours et visent à rechercher la zone de départ de l'incendie et à en expliquer le déclenchement », poursuit le communiqué du procureur de Paris, dont le pôle Santé publique a repris les investigations depuis une semaine, en raison notamment de la « complexité » des investigations et de l'ampleur du sinistre. Les constatations « seront réalisées par 13 enquêteurs de la gendarmerie nationale (dont 6 experts incendie) », notamment issus de l'Institut de recherche criminelle de la gendarmerie.

Près de 130 plaintes déjà déposées

Environ 130 plaintes ont été déposées à ce jour, « principalement du chef de mise en danger de la vie d'autrui », a précisé le procureur. Dans le cadre de l'enquête, la police judiciaire locale a « d'ores et déjà réalisé 39 auditions et saisi plusieurs dizaines de vidéos, extraites des systèmes de vidéosurveillance, qui sont en cours d'analyse ». Les policiers de l'Oclaesp (Office central de lutte contre les atteintes à l'environnement et à la santé publique) ont pour leur part « délivré des réquisitions, procédé à des auditions de sachants (experts, NDLR) et collecté de nombreux documents aux fins d'exploitation », a ajouté le procureur. Outre l'origine de l'incendie, de nombreuses questions demeurent sur les conséquences sanitaires et environnementales de la catastrophe. Lubrizol produisant des lubrifiants pour automobile, les substances chimiques qui se sont dissipées dans l'air et sur les cultures de la région entraient dans la composition d'huiles moteur. La population continue à ce jour d'être incommodée par des odeurs marquées, tandis que les récoltes ont été interdites dans une centaine de communes.

LE POINT
 

Drianke

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Incendie à Rouen : "C'est pas de la toxicité aiguë, mais "il ne faut pas dire aux gens qu'il n'y a pas de risque", selon le colonel des pompiers

l ne faut "pas rester sous le vent des fumées" de l'incendie, prévient le colonel Jean-Yves Lagalle, qui commande les 200 pompiers mobilisés depuis jeudi matin pour éteindre le violent incendie dans l'usine Lubrizol de Rouen (Seine-Maritime). Si aucune toxicité aiguë n'a été détectée lors des premières analyses menées par ses hommes, le pompier rappelle que "toutes les fumées d'incendie sont toxiques".

"Ce sont des fumées toxiques, comme toute pollution"

"La toxicité aiguë, c'est 'vous rentrez dans un nuage d'ampleur, vous respirez, vous mourrez immédiatement'. On n'en est pas là, affirme Jean-Yves Lagalle. Ce qu'il faut, c'est rapidement éteindre pour éviter de tomber sur la toxicité chronique, c'est-à-dire l'accumulation. Il ne faut pas rester sous le vent des fumées".

"C'est pas de la toxicité aiguë, poursuit-il, néanmoins ces fumées sont des fumées toxiques, comme toute pollution. Il ne faut pas dire aux gens qu'il n'y a pas de risque".

Le risque il est là, mais il y a une dilution dans l'atmosphère, et on le contrôle.
Jean-Yves Lagalle

....................

https://www.francetvinfo.fr/faits-d...p0kGPn_-Hn61VLm10xWw#xtor=CS2-765-[facebook]-
 

Drianke

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Dioxine: pour la directrice générale de Lubrizol France, "il faudra prouver que la pollution est liée à l’incendie"

Dans un entretien accordé à BFMTV, la directrice générale de Lubrizol, Isabelle Striga, a assuré que l'entreprise avait "fait beaucoup d'efforts pour nettoyer" le périmètre touché par l'incendie. Elle assure que la qualité de l'air est aujourd'hui "bien meilleure" que le jour du sinistre. [/B]

Près de deux semaines après l'incendie qui a ravagé l'usine Lubrizol à Rouen, la ministre des Solidarités et de la Santé Agnès Buzyn a annoncé que des taux de dioxine "plus importants que la normale" mais "en dessous des seuils de toxicité" ont été relevés à 15 km de Rouen le jour du sinistre.
Interrogée par BFMTV, la directrice générale de Lubrizol, Isabelle Striga, se montre toutefois perplexe sur l'origine de cette pollution à la dioxine: "il va falloir prouver que c'est une pollution liée à l'incendie parce qu'il n'y a pas de produit chloré dans ce qui a brûlé chez Lubrizol. C'est un point singulier", indique-t-elle..........................

https://www.bfmtv.com/economie/diox...ij4zMVyiKj7BW5hyKehOehz4fQEHY5UVpBbyS77y9O7iU
 

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Incendie de Lubrizol : des dizaines de policiers de Rouen déposent plainte contre X

À l'issue d'un CHSCT extraordinaire, une trentaine de policiers de Rouen ont déposé plainte contre X après être intervenus sur l'incendie de Lubrizol.

Détails.


 

Drianke

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Lubrizol : des agriculteurs déver
sent des dizaines de litres de lait devant la préfecture à Rouen


Une trentaine de laitiers réclamaient vendredi soir la fin de l'arrêté préfectoral. Depuis le 28 septembre, les exploitants de 112 communes ne peuvent plus vendre ce qu'ils collectent par mesure de précaution.

Une trentaine d'exploitants se sont rassemblés vendredi soir devant la préfecture de Seine-Maritime à Rouen. Ils ont réclamé la fin de l'arrêté préfectoral, en place depuis le 28 septembre. Les producteurs de 112 communes ne peuvent plus vendre ce qu'ils collectent par mesure de précaution. Ce rassemblement intervient après la visite de Didier Guillaume dans la matinée de vendredi. Le ministre de l'Agriculture avait laissé entendre que l'arrêté serait levé dans la journée au vu des dernières analyses, rassurantes. Ce qui n'a pas été le cas.
Des pertes énormes
Les agriculteurs présents sont venus avec des brocs et ont déversé une centaine de litres de lait au pied de la préfecture. Un geste surtout symbolique qui n'a rien à voir avec les 500 000 tonnes jetées chaque jour dans la zone concernée. "J'ai jeté 20 000 litres de lait depuis le début de l'arrêté. Si l'on attend deux jours, ce sera quasiment 4 500 litres de laits de plus pour moi. Je pense atteindre les 10 000 euros de pertes. Je ne peux pas attendre lundi", insiste Bruno Ledru, un agriculteur installé depuis vingt ans à Bosc-Guérard-Saint-Adrien, à 15 kilomètres au nord de Rouen...........................

https://www.francebleu.fr/infos/agr...4wdyimSl7IuNLatd6qomvBTk0g#Echobox=1570835031
 

Drianke

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A Rouen, la préfecture freine la prise en charge des victimes de l'incendie

Faute de mise en place d'un guichet unique d'accueil, communes et associations se retrouvent en première ligne, et les démarchages frauduleux se multiplient.

L’Etat s’est-il donné tous les moyens pour prendre en charge correctement les victimes de l’incendie de l’usine Lubrizol ? En façade, la préfecture de Seine-Maritime multiplie depuis des jours la publication de données rassurantes et les points presse, et trois ministres ont annoncé ce vendredi la création d’un «comité pour la transparence et le dialogue». Mais selon nos informations, en coulisses, le représentant de l’Etat dans le département s’oppose à la création d’une cellule de prise en charge des victimes, pourtant prévue par les textes en cas d’accident collectif. Depuis deux semaines, le préfet Pierre-André Durand laisse les communes et les associations en première ligne face aux inquiétudes des habitants et des potentielles victimes. Une situation qui renforce le risque d’arnaques en tout genre et la propagation de fausses rumeurs.

Guichet unique

La marche à suivre en pareil cas existe pourtant noir sur blanc. Elle a été adoptée par la déléguée interministérielle à l’aide aux victimes (Diav), Elisabeth Pelsez, dans un «guide méthodologique» actualisé en novembre 2017. Pour faire face à un accident collectif, l’Etat doit organiser un centre d’accueil des victimes, qui peut regrouper les différents acteurs : santé, assureurs, Sécurité sociale, barreau des avocats… Pour organiser cette cellule, la préfecture peut s’appuyer sur France Victimes, fédération financée par plusieurs ministères et regroupant 130 associations. «Nous nous sommes signalés dès les premiers jours pour mettre en place un tel guichet», regrette Jérôme Bertin, directeur général de France Victimes. Depuis, la préfecture n’a pas donné suite et s'est contentée seulement de mettre en place un soutien psychologique. «Nous attirons l’attention des autorités sur la nécessité de mettre en place un dispositif à la hauteur de l’événement», s’alarme aujourd’hui Bertin. En attendant mieux, la fédération a ouvert sa propre ligne d’information sur l’événement......................

https://www.liberation.fr/france/20...-en-charge-des-victimes-de-l-incendie_1756945
 

Drianke

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Incendie de Lubrizol, amiante : ces gens du voyage dénoncent leur traitement, près de Rouen

Depuis l'incendie de Lubrizol, des gens du voyage dénoncent la façon dont ils sont traités par la Métropole de Rouen. De l'amiante a été retrouvé sur leur aire d'accueil..........


 

Drianke

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Des analyses biologiques anormales pour des pompiers intervenus sur l’incendie de Lubrizol

Selon les informations du « Monde », au moins une dizaine de pompiers présentent des bilans hépatiques perturbés. Certains envisagent de porter plainte.

Trois semaines après l’incendie qui a ravagé l’usine chimique Lubrizol et les entrepôts de Normandie Logistique, l’inquiétude ne retombe pas chez les Rouennais. Elle est même montée d’un cran parmi les pompiers intervenus sur le site Seveso jeudi 26 septembre et les jours suivants. Selon les informations du Monde, certains viennent de recevoir les analyses biologiques réalisées après l’intervention. Et les résultats ne sont pas bons. Pour au moins une dizaine d’entre eux, dont une majorité appartient au service départemental d’incendie et de secours de Seine-Maritime (SDIS 76), les bilans sanguins font apparaître des résultats anormaux pour le foie, avec des niveaux de transaminases trois fois supérieurs à la normale ainsi que des perturbations au niveau de la fonction rénale.

Deux sources internes ont confirmé, sous couvert d’anonymat, des « résultats anormaux » pour « cinq à sept agents » du SDIS de Seine-Maritime à qui les bilans ont été remis sous pli pour raison de confidentialité. Contacté par Le Monde, le commandant Chris Chislard, porte-parole du SDIS 76, indique que « ces résultats d’analyses, faites avant le 21e jour après l’incendie, sont considérés comme T zéro. Il faudra attendre le deuxième prélévement à J+31 pour pouvoir les interpréter et confirmer s’ils sont liés ou non à l’événement ».

Lire aussi Incendie de Lubrizol : plus de 9 500 tonnes de produits chimiques sont parties en fumée
A l’issue d’un comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail (CHSCT) extraordinaire organisé le 1er octobre, des analyses sanguines ont été prescrites à tous les pompiers engagés sur le feu. Environ 800 agents, pas seulement de Rouen et de Normandie, sont intervenus sur le site sinistré jeudi 26 septembre et le lendemain. Les ordonnances prévoient de nouvelles analyses un mois et trois mois après les premiers prélèvements. Les pompiers concernés pas des résultats anormaux doivent, eux, faire des bilans tous les quinze jours pendant six mois.

https://www.lemonde.fr/planete/arti...tu2lbZLeLzXzBZoxe7DCu7hH-r9HCnvMi-4ONBmKzbvIg
 

Drianke

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Lubrizol Rouen : des produits d’une grande toxicité

La Préfecture de Seine-Maritime a minimisé les conséquences de l'incendie des entrepôts de Lubrizol Rouen sur la santé des populations.
Dans la liste des produits ayant brulé dans les entrepôts de Lubrizol fournie par la Préfecture de Seine-Maritime, vous trouverez toutes sortes de produits chimiques comprenant des degrés de dangerosité variable. Il aura fallu attendre près de 6 jours pour disposer de cette liste. J'attire votre attention sur le fait que certains de ces produits chimiques sont répertoriés selon la nomenclature européenne dans les termes suivants :

  • H302 : Nocif en cas d’ingestion ou de contact cutané
  • H304 : Peut être mortel en cas d'ingestion et de pénétration dans les voies respiratoires
  • H314 Provoque des brûlures de la peau et des lésions oculaires graves
  • H315 Provoque une irritation cutanée
  • H318 : Provoque des lésions oculaires graves
  • H317 : Peut provoquer une allergie cutanée
  • H360F : Peut nuire à la fertilité
  • H361FD : Susceptible de nuire à la fertilité. Susceptible de nuire au fœtus
  • H400 : Très toxique pour les organismes aquatiques
  • H410 : Très toxique pour les organismes aquatiques, entraîne des effets à long terme
  • H413 : Peut entraîner des effets néfastes à long terme pour les organismes aquatiques
Concernant les classifications H400, H410, H413, rappelons que la Seine se jette dans la mer et que nous consommons de très nombreux produits dits de la baie de Seine ! Il faudra être extrêmement prudent sur la consommation des poissons, des mollusques et des crustacés issus de cette zone de pêche dans les prochaines semaines, dans les prochains mois, dans les prochaines années.

Quelles protections ont eu les pompiers et les policiers stationnés autour des dépôts en feu de Lubrizol Rouen au cours de la journée du jeudi 26 septembre ? Pourquoi une information n'a pas été mise en place auprès des femmes enceintes dès les 1ères heures de l'incendie, au nom du principe de précaution ?
 

Drianke

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Après Lubrizol, les analyses révèlent des métaux et hydrocarbures à Buchy et à Forges-les-Eaux

L'Ineris a publié ses résultats d'analyses sur les hydrocarbures aromatiques polycycliques et les métaux. Des teneurs élevées ont été relevées à Buchy et Forges-les-Eaux.

L’Institut national de l’environnement industriel et des risques
(Ineris) a transmis aux services de la préfecture de Seine-Maritime mercredi 16 octobre 2019, ses résultats d’analyses sur les métaux et les hydrocarbures aromatiques polycycliques (HAP), réalisés à Forges-les-Eaux, Neufchâtel-en-Bray, Saint-Saëns, Bosc-le-Hard, Sainte-Croix-sur-Buchy et Buchy, deux jours après l’incendie des usines Lubrizol et Normandie Logistique à Rouen.


Des teneurs en métaux ou en HAP ont été relevées à Buchy (Seine-Maritime) ou encore à Forges-les-Eaux (Seine-Maritime). Ces analyses sont issues des échantillons – 11 lingettes – prélevés par les sapeurs-pompiers entre 12h30 et 17 heures le 28 septembre 2019. Les lingettes ont été analysées par le laboratoire de l’Ineris le 30 septembre 2019.

Une valeur 4 à 6 fois supérieure à Buchy

À Buchy, sur la place de la mairie, « une valeur de dépôt [des hydrocarbures aromatiques polycycliques, NDLR] 4 à 6 fois supérieure aux autres points » a été identifiée, soit 33,6 µg par m², contre 6,7 µg par m² à Bosc-Le-Hard, à titre de comparaison.

À Forges-les-Eaux, les résultats d’analyses ont révélé la présence de métaux. C’est le seul qui a été relevé parmi les 11 échantillons. Sur cette unique lingette dont le prélèvement a été effectué à l’école Eugène-Anne, la valeur en plomb est de 43 µg par m2. Pour un logement, le « seuil de vigilance » est fixé à 25 µg par m2.


Pour les autorités, pas d’inquiétude, « ces résultats devront être mis en perspective avec les observations de terrain et l’ensemble des résultats acquis et en cours d’acquisition », indique la préfecture.

Résultats d’analyse des métaux, du bore, du phosphore et du soufre sur les lingettes en µg par m².
Résultats d’analyse des métaux, du bore, du phosphore et du soufre sur les lingettes en µg par m². (©Ineris)
Lire aussi : Lubrizol. L’interdiction de collecter le lait en Seine-Maritime levée par la préfecture

« Approfondir ces données »
Lors d’une conférence de presse, jeudi, Patrick Berg, directeur de la Direction régionale de l’environnement, de l’aménagement et du logement (Dreal) s’est voulu rassurant : « Sur les points de prélèvements à Forges-les-Eaux, on a des niveaux en métaux qui ne sont pas inexistants. La question est d’approfondir ces données qui ne sont pas inquiétantes à ce stade. Forges-les-Eaux est un endroit où il y a eu des forges, donc il faut bien faire la distinction entre le niveau qu’on trouve et surtout, l’imputabilité de ces niveaux par rapport à l’incendie et à des dimensions industrielles historiques. »


Des prélèvements complémentaires vont être réalisés, notamment au sol, pour « interpréter ces résultats préliminaires ».
 

pititecurieuse

Anti bullshit
VIB
D'ici quelques mois, quelques années, les conséquences de ce drame auront des répercutions desastreuses sur l'humain et l'environnement qui sont liés..... la chaine alimentaire,,,, agriculture, pêche, animaux,,,, tout les produits de consommation risquent d'être un réel danger pour la population,,,
Problèmes respiratoires, fertilité qui sera en chute libre, problèmes cutanées cancer,,,,,
Chaque jour qui passe, Rouen et sa région "respire" l'air empoisonné à petite dose,

Et nous ressort encore et encore,,, pas de danger, pas à s'inquièter,,,, tout va bien,,,,, on gère,,,, ben voyons !!!,,,,,,,,,,,
 

Drianke

اللهم إفتح لنا أبواب الخير وأرزقنا من حيت لا نحتسب
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Lubrizol. Début de l’enlèvement de fûts à risque mardi 22 octobre

L’enlèvement de 160 fûts endommagés contenant un produit potentiellement dangereux sur le site de Lubrizol à Rouen va démarrer mardi, a indiqué ce mercredi le préfet de Normandie Pierre-André Durand.


Il va falloir retirer du site de Lubrizol, à Rouen, 160 fûts endommagés contenant un produit qui peut être dangereux. Ce long travail va commencer mardi 22 octobre et durera plusieurs semaines, a indiqué mercredi le préfet de Normandie Pierre-André Durand.

Ces 160 fûts endommagés dans l’incendie qui a ravagé le site Seveso seuil haut le 26 septembre contiennent une substance qui, si elle est chauffée, peut donner lieu à des émanations de sulfure d’hydrogène (H2S), un gaz « extrêmement dangereux », et de Mercaptan, un gaz « très incommodant », selon l’État.


« Équipement provisoire de confinement »
Pour cette opération, un « équipement provisoire de confinement » a été construit au-dessus de ces fûts, a rappelé le directeur régional de l’Environnement Patrick Berg lors d’une conférence de presse. « Le raccordement de cet équipement provisoire de confinement à l’unité de traitement des éventuelles émanations de mercaptan et de H2S est installé vendredi. Le robot qui va manipuler chaque fût un par un arrive lundi. L’opération de manipulation par des robots sous surveillance humaine démarre mardi », a détaillé Patrick Berg.

« Une fois neutralisés, les fûts quitteront le site par un transport habilité pour aller dans une entreprise qui va les éliminer, un prestataire de Lubrizol, une entreprise agréée qui a pignon sur rue », a ajouté Patrick Berg sans vouloir préciser le nom et la localisation de ce prestataire.

L’enlèvement de ces fûts constituera « la dernière séquence de la remise en état du site », a ajouté le préfet.

Ouest France
 

Drianke

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Trois semaines après la catastrophe Lubrizol, les Rouennais partagent leurs angoisses

Collectifs, syndicats et habitants de l'agglo de Rouen (Seine-Maritime), se sont réunis à la Halle aux toiles, pour une réunion publique, jeudi 17 octobre 2019. Compte-rendu.

La réunion publique avait commencé depuis plus de deux heures déjà, quand des organisateurs ont proposé à l’assistance de marquer une pause dans le déroulement du programme. Celle-ci a décliné la proposition, préférant continuer les prises de parole.

Jeudi 17 octobre 2019, trois semaines après l’incendie de l’usine chimique Lubrizol, les habitants de Rouen (Seine-Maritime), réunis à la Halle aux toiles à l’invitation de collectifs et de syndicats, ont manifesté un besoin aigu de s’exprimer. Et un nouveau rendez-vous a d’ores et déjà été pris : une troisième manifestation, samedi 26 octobre, à 15 heures au départ du Palais de justice.................................

 

Drianke

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Lubrizol. Avec 23 usines Seveso, comment Le Havre est-il préparé à une catastrophe ?

L’incendie de Lubrizol pose la question de la sécurité des 23 sites Seveso de la zone portuaire du Havre. Un plan préfectoral veut anticiper la catastrophe industrielle.

L’incendie de l’usine Lubrizol de Rouen (Seine-Maritime), le 26 septembre 2019, a ouvert une brèche de réflexion au Havre et proches alentours. Et pour cause : avec 23 sites Seveso (sur les 75 de la Seine-Maritime) dans la zone industrialo-portuaire (Zip), dont 17 de niveau seuil haut, la cité Océane appartient à la catégorie des plus grosses villes industrielles du pays. Et la question de la réponse collective à la catastrophe industrielle inévitable – désormais anticipée par le plan de prévention des risques technologiques (PPRT) – n’a jamais cessé de se poser.


32 000 salariés au quotidien sur la Zip

Parmi les activités retrouvées, de la pétrochimie (Total, Shmpp), de la chimie (Lubrizol, Chevron Oronite, Yara, Alkion, Total Fluides, Omnova), mais aussi du stockage à risque (CIM, Sepp, Care) ou encore de la métallurgie (Eramet). La liste n’est pas exhaustive, sans compter sa proximité avec la zone de Port-Jérôme. Quid du cocktail de risques ? Ils sont les mêmes qu’ailleurs : toxiques, thermiques et de surpression.....................

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Drianke

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Incendie de l’usine Lubrizol à Rouen : L’enlèvement des fûts à risque reporté « en principe » à mercredi

NETTOYAGE

Vendredi, le préfet avait pourtant indiqué que les opérations de traitement par robot puis d’enlèvement des fûts « pourra(it) démarrer mardi »

Alors qu’il devait débuter ce mardi, le traitement des fûts endommagés, contenant potentiellement un produit dangereux, lors de l’incendie de l’usine Lubrizol à Rouen commencera « en principe » mercredi, a annoncé le préfet de Normandie, ce mercredi.
« Quelques tests sont en train d’être opérés et en principe demain, le travail de traitement des fûts, fût par fût, commencera par l’intervention du robot, le tout dans un contexte extrêmement sécurisé », a déclaré Pierre-André Durand, le préfet de Seine-Maritime lors d’une conférence de presse à Rouen.

Selon la préfecture, 160 fûts sont « prioritaires »

Vendredi le préfet avait indiqué que les opérations de traitement par robot puis d’enlèvement des fûts « pourra(it) démarrer mardi ». Il s’agit en tout d’un ensemble de 1.300 fûts selon Lubrizol. Parmi eux, 160 fûts de 200 kg chacun, selon l’Etat, sont « prioritaires » car « ils contiennent un agent susceptible d’avoir, à cause de l’échauffement généré dans le fût, un peu de mercaptan », un gaz « très incommodant », « voire un peu éventuellement d’hydrogène sulfuré », un gaz « extrêmement dangereux », selon le directeur régional de l’environnement Patrick Berg.
« Cet agent, nous le connaissons bien puisqu’il y a déjà eu un incident en 2013 dans la cuve de fabrication de ce produit. Un agitateur était resté en marche et avait échauffé ce produit » et des émanations de mercaptan s’étaient produites, a précisé Patrick Berg. Les fûts ont été endommagés dans l’incendie qui a ravagé le site Seveso seuil haut le 26 septembre. Ils n’étaient pas dans l’incendie, ils en étaient « proches », a précisé Patrick Berg.

« Ça durera le temps qu’il faut »

Le robot « va saisir chaque fût, va le percer. S’il reste un peu de liquide dans le fût, ça va être récolté dans une benne avec un produit neutralisant, à base de soude. Si, à l’occasion du percement il y a un léger dégagement gazeux, un équipement provisoire de confinement raccordé à l’unité en permanence présente chez Lubrizol qui élimine les odeurs » est prévu, a poursuivi Patrick Berg. « Ça durera le temps qu’il faut », a-t-il ajouté.

Le 18 octobre, la préfecture avait évoqué un délai de deux mois environ. Une fois traités par Lubrizol, les fûts seront peu à peu évacués pour être incinérés à 80 km, dans le centre de traitement des déchets dangereux de Sandouville, un des plus gros d’Europe, selon Sedibex, la filiale de Veolia qui accueillera les substances.
https://www.20minutes.fr/planete/26...enche-exterieur-installations-selon-direction
 

Drianke

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Quatre communes de la Seine-Maritime font l’objet d’une restriction d’eau depuis mardi 22 octobre 2019, a annoncé la communauté d’agglomération Caux Seine agglo. La mesure a pris effet le même jour, à 18h. Triquerville, Norville, Saint-Maurice d’Etelan et Notre-Dame-de-Gravenchon sont les quatre concernées.


 

Drianke

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Lubrizol : les producteurs laitiers indemnisés, Philippe «extrêmement vigilant» pour la suite

La société de pétrochimie a signé les conventions qui permettent d’indemniser les professionnels pénalisés par l’incendie du 26 septembre.


Un mois après l' incendie de l'usine Lubrizol, dont la cause reste inconnue en dépit des accusations réitérées de son PDG à l'égard de l'entreprise voisine, la société a signé les conventions permettant d'indemniser les agriculteurs qui ont dû sacrifier leur production.

Dans la foulée de l'incendie qui s'est déclenché sur le site du Petit-Quevilly (Seine-Maritime) dans la nuit du 25 au 26 septembre, et qui a brûlé 9 505 t de produits, en majorité chimiques, la commercialisation de l'ensemble des productions agricoles situées dans une large zone couvrant 5 départements et 216 communes avait été interdite jusqu'au 14 octobre pour les produits laitiers, et jusqu'au 18 octobre pour le reste des productions. Un peu plus de 3 000 agriculteurs ont été potentiellement touchés par les suies, dont 425 éleveurs laitiers.


« Un mois après l'incendie, les éleveurs laitiers ont pu être payés de leur lait sur l'ensemble de la période sous restriction grâce aux avances du CNIEL », le Centre national interprofessionnel de l'économie laitière », affirme le ministère de l'Agriculture dans un communiqué, précisant que « l'interprofession se fera directement rembourser par Lubrizol ».

Pour les autres productions, « un premier pool d'agriculteurs pourra commencer à saisir ses demandes d'indemnisation, avant un déploiement complet de l'interface la semaine du 4 novembre », ajoute le ministère, qui réunira un comité de suivi début décembre.

Le PDG du groupe, Eric Schnur, a signé en milieu de matinée à la préfecture deux conventions d'indemnisation avec les agriculteurs, les commerçants, les entreprises et les collectivités, en présence d'Édouard Philippe. « Lubrizol s'est engagé vis-à-vis des agriculteurs, c'est le premier protocole, vis-à-vis des commerçants et des entreprises, c'est le deuxième protocole, à indemniser au fur et à mesure que le préjudice établi pourrait être démontré et même invoqué par l'ensemble des acteurs », a déclaré le Premier ministre lors d'un point presse.

leparisien
 

Drianke

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Un mois après l'incendie de Lubrizol, l'inquiétude demeure chez les habitants

Malgré les annonces se voulant rassurante de la préfecture et de la ministre de la santé, les locaux craignent toujours les effets des retombées du nuage.
C'était il y a un mois. Le 26 septembre, les flammes envahissaient l'usine Lubrizol à Rouen, dévastant le site classé Seveso seuil haut, et libérant un épais nuage de suie noire de 22 km de long. Des émanations qui ont créé une vague d'inquiétude chez les Rouennais et les habitants des communes situées autour de cette usine où étaient produits des additifs pour lubrifiants.

Depuis l'accident, les locaux ne cessent de manifester leur colère contre les autorités qu'ils accusent de ne pas avoir suffisamment réagi face aux risques encourus par ceux exposés aux fumées. Ce samedi, un rassemblement était prévu à 15 heures. Comme lors des précédents, les manifestants doivent défiler pour réclamer plus de transparence, notamment sur les dioxines potentiellement dangereuses pour la santé qui ont pu contaminer les zones autour de l'usine après l'incendie. Un mois après, L'Express fait le point sur le ressenti de la population.

Des analyses rassurantes selon les autorités

Des résultats "très rassurants". C'est ce qu'assurait Agnès Buzyn début octobre après de premières analyses sur une éventuelle contamination des produits alimentaires par des dioxines. "Nous avons les premiers résultats qui sont très rassurants sur la dioxine sur les fourrages, les légumes, les fruits et dans le lait", avait déclaré la ministre sur LCI, précisant toutefois attendre des prélèvements complémentaires pour vérifier".

Sur son site, la préfecture de Seine-Maritime déclare, elle, que "les dernières analyses des paramètres de la qualité de l'air [...] sont comparables aux valeurs habituellement mesurées sur l'agglomération". Elle précise que des "mesures sur les composés présentant des risques d'intoxication à court terme dès la nuit de l'incendie, comme le monoxyde de carbone, le dioxyde de soufre et l'hydrogène sulfuré" ont également été menées et n'ont "pas mis en évidence de risque pour la population"..........................................................

https://www.lexpress.fr/actualite/s...etude-demeure-chez-les-habitants_2105038.html
 

Drianke

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Un mois après l'incendie de l'usine Lubrizol, à Rouen, de nombreuses interrogations demeurent sur les conditions exactes de l'accident. On ne sait toujours pas véritablement ce qu'il s'est passé et quels sont ces produits qui ont brûlés.

 

Drianke

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Un salarié de Normandie Logistique, entreprise voisine de Lubrizol à Rouen se suicide

Un homme de 59 ans qui travaillait au sein de Normandie Logistique à Rouen (Seine-Maritime) s'est suicidé vendredi 25 octobre 2019. Le directeur général de l'entreprise a réagi.......

 

Sanid

Je ne suis pas là !
VIB
Une vidéo intéressante sur le traitement médiatique et politique de l’information après l’incendie et en general a propos des catastrophes.

 
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