Donc, lorsque tu crois voir une contradiction entre le Coran et un hadith, calme-toi et interroge/questionne, au lieu d'agresser et surtout surtout surtout d'affirmer qu'ils sont forcément sont faux et mensongers...... CQFD.
D'accord, Tu as raison, vérifions s'il y a une contradiction avec la LOI divine :
« Ô les croyants! Le vin, le jeu de hasard, les pierres dressées, les flèches de divination ne sont qu'une abomination, œuvre du Diable. Ecartez-vous en, afin que vous réussissiez. » (Coran, 5 : 90).
La " Sourate An-Nisa Verset 43 " : 43. Ô les croyants! N'approchez pas de la Salat alors que vous êtes ivres, jusqu'à ce que vous compreniez ce que vous dites".
Abu Dawud (38:4467) Le Prophète a dit : "Si ils boivent du vin, flagellez-les. Encore s’ils le boivent, flagellez-les. Encore si ils le boivent
tuez-les." Mais dans (38:4469) ils ont reçu trois flagellations en garantie avant d'être tué sur la quatrième occasion.
Commentaire : Le Coran est la Législation divine et seul Allah est l’unique Législateur. Dans le Coran qui est la Loi divine, Allah a fixé les peines
et on ne trouve aucune peine contre les buveurs de vin et d’alcool. Par conséquent la peine de 40 ou 80 coups de fouets ne vient pas des textes, et d’autre part celui qui boit et s’enivre, il ne sait pas ce qu’il dit même s’il divague. Concernant le hadith qui après deux ou trois infractions condamne à mort, il ne peut pas être considéré comme étant authentique, car les peines se trouvent exclusivement dans le Coran qui est la LOI
Passons au voleurs :
« Le voleur et la voleuse, à tous deux
coupez la main, en punition de ce qu’ils se sont acquis, et comme châtiment de la part d’Allah. Allah est Puissant et Sage. » (Coran, 5 : 38).
Le Prophète (saws) a dit : « l’on coupe la main pour le vol d’un quart de dinar ou plus » (rapporté par al-Boukhari, chapitre : al-houdoud, 6291).
Abu Dawud (38:4396) Un voleur a été apporté au Prophète Muhammad quatre fois et ses punitions étaient les amputations de la
bonne main, le pied gauche, la main gauche et alors le bon pied. Sur la cinquième occasion le Prophète
l'avait tué. "Nous l'avons trainé alors et l'avons lancé dans un puits et a jeté des cailloux sur lui."
NOTA : Si le premier hadith est correct, puisque c’est une extension du principe coranique qui condamne le voleur à l’amputation de la main, dont la condition apparaît dans le hadith, le second est inacceptable à cause de l’impossibilité de la part du voleur tout amputé, de pouvoir continuer à voler. Une autre remarque est celle qui indique que seul les mains doivent être amputées et pas les autres membres, de même qu’aucune mise à mort a été légiférée dans le Coran.