Ah mais bien sûr .....on peut difficilement imaginer une mère abuser de son enfant , mais ça existe malheureusement.....t as des mères qui tuent aussi a coups de couteau leurs enfants ......tout est possible ds l horreur ....
@DuneDuRif
Des indices anatomiques du viol absents
Cet embarras se retrouve dans les statistiques officielles qui tendent à chiffrer la proportion de femmes poursuivies devant les tribunaux pour agression sexuelle sur mineurs : 3,18% en 1999, par exemple, selon le service national d'accueil téléphonique pour l'enfance en danger. En 2012, le ministère de la Justice dénombre 5 femmes jugées pour viol sur mineur par ascendant, contre 114 condamnés côté masculin.
Chacun s'accorde à penser que cette incidence est sous-estimée, notamment lorsque les victimes sont des garçons, puisque les indices anatomiques du viol vont être absents. Les auteurs américains
Kaplan et Green, en 1995, en témoignent en publiant une fourchette d'implication féminine des délits sexuels sur mineurs s'étendant entre 4% et 24 % au cours de leurs travaux successifs.
Les femmes, exemptes des tendances perverses ?
La perplexité des chercheurs à observer la suspension d'un privilège d'impunité concernant la sexualité féminine est finalement illusoire : les puissants courants d'opinion qui prônent l'égalité hommes-femmes dans tous les domaines de la vie, professionnelle ou domestique, inspirent désormais une vision plus réaliste.
Tout l'arsenal d'émotions et de pulsions qui campent le profil type masculin est donc
a prioriprésent chez les femmes. Il n'y a donc aucune raison de penser qu'elles soient exemptes des mêmes besoins, des mêmes défaillances, des mêmes traits psychiques pathogènes, des mêmes tendances perverses que les hommes.