A
AncienMembre
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Si vous étiez à vos places, nous n'aurions pas eu besoin de les prendre.
La meute enragée des anti tariq ramadan revie!
- Initiateur de la discussion morjani
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- Statut
Si vous étiez à vos places, nous n'aurions pas eu besoin de les prendre.
Evitez le tutoiement avec moi ..." je ne dis tu qu'à ceux que j'aime même si je ne les ai vu qu'une fois " comme dirait le poète !
Vous expliquer le ressenti d'une femme est une perte de temps....
Bien à vous.
Le témoignage de la jeune femme qui a osé parler la première de ce violeur de Weinstein est glaçant.
mioulo
VIB
vu toutes les histoires de coucheries vous n'avez rien pris vous avez donné
jouer les victimes ça marche à la télé mais nous savons ce que certaines femmes valent en vrai
A
AncienMembre
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Je n'ai rien compris à ce que tu racontes. Tu mélanges tout.
mioulo
VIB
arrête de te donner un genre, typique des femmes qui assument pas ce qu'elles sont...
ah parce que les femmes qui couchent pour un poste ou assouvir un fantasme ressentent quelque chose ?
mdr toujours à vouloir nous embobinner avec de grands mot, gualtlek "ressentis"
Sincèrement, je n'ai pas suivi l'affaire !
Mais je ne suis pas étonnée qui y ai une omerta dans le monde du cinéma, politique et religieux.
Les femmes se font harceler au plus bas de l'échelle et depuis des lustres....tout comme les enfants, les homosexuels, les noirs....mais c'est l'éducation qui est à revoir et surtout la gestion du pouvoir !
arrête de te donner un genre, typique des femmes qui assument pas ce qu'elles sont...
ah parce que les femmes qui couchent pour un poste ou assouvir un fantasme ressentent quelque chose ?
mdr toujours à vouloir nous embobinner avec de grands mot, gualtlek "ressentis"
Oui, et ont mouille en plus !
Cela vous dérange ?
A
AncienMembre
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arrête de te donner un genre, typique des femmes qui assument pas ce qu'elles sont...
ah parce que les femmes qui couchent pour un poste ou assouvir un fantasme ressentent quelque chose ?
mdr toujours à vouloir nous embobinner avec de grands mot, gualtlek "ressentis"
T'as craqué ton slip toi !
Tu es hors sujet, vas baver ta haine de la Femme ailleurs.
mioulo
VIB
pour faire clair
toutes ces femmes sorties du placard qui nous racontent qu'elles ont été violées sont des menteuses
voilà
mioulo
VIB
ah bon ?
et les témoins aussi sont des menteurs ?
ceux qui savaient du comportement malsain mais qui n'ont rien dit
mioulo
VIB
j'en suis même sur que vous mouillez, un poste bien payé ou la promesse de célibrité aucune femme ne peux résister
mioulo
VIB
pourquoi ils étaient plusieurs dans les chambres ?
voir une gonzesse sortir d'une chambre et pleurnicher c'est pas un témoignage, même un étudiant de 1ère année en droit peut torpiller ce genre de témoignage
j'en suis même sur que vous mouillez, un poste bien payé ou la promesse de célibrité aucune femme ne peux résister
Vous avez tout compris c'est très bien ! on va en rester là.
A
AncienMembre
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Tu fais référence aux plaignantes de Tariq Ramadan ?
mioulo
VIB
tarik ramadan et les producteurs et acteurs américains + les politiciens comme jean lasalle
peut être dans le lot il doit y avoir réellement 1 ou 2 harcèlement mais le reste c'est le milieu et un tarik ramadan n'a pas besoin de violer, des folles qui veulent coucher avec lui y'en a pleins pourquoi irait il vers un mocheté en plus, il a du gout
mioulo
VIB
A
AncienMembre
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Lol @mioulo t es remonté !!!!
Dire que toutes les femmes qui dénoncent des viols sont des menteuses ..... c est grave ....
bien sur il y en a qui mentent ou qui arrangent a leur façon , mais je suis certaine que ce n est pas la majorité
j ai raconté sur un autre post ma propre experience , si j avais pas eu de caractere face a mon vieux patron vicelard , j y passais , et j avais 18 ans ou 19 ans ....
bien sur que le harcelement , les menaces , les viols ça existe , on parle pas de promotion canapé là , c est différent ...
Dire que toutes les femmes qui dénoncent des viols sont des menteuses ..... c est grave ....
bien sur il y en a qui mentent ou qui arrangent a leur façon , mais je suis certaine que ce n est pas la majorité
j ai raconté sur un autre post ma propre experience , si j avais pas eu de caractere face a mon vieux patron vicelard , j y passais , et j avais 18 ans ou 19 ans ....
bien sur que le harcelement , les menaces , les viols ça existe , on parle pas de promotion canapé là , c est différent ...
A
AncienMembre
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A vomir ,
A
AncienMembre
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Biensur biensur , aucune femme ne peux resister, on peut donc conclure , que si tu as un taf de mrde cest que tu n'as pas eu de propositions ?j'en suis même sur que vous mouillez, un poste bien payé ou la promesse de célibrité aucune femme ne peux résister
A
AncienMembre
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Les violeurs sont donc tous des hommes qui n'arrivent pas a coucher ?
arrête de te donner un genre, typique des femmes qui assument pas ce qu'elles sont...
ah parce que les femmes qui couchent pour un poste ou assouvir un fantasme ressentent quelque chose ?
mdr toujours à vouloir nous embobinner avec de grands mot, gualtlek "ressentis"
Ce que tu dis sur le milieu du cinéma ou le fait que pour avoir un bon poste faut coucher tout le monde le sait et c'est justement ce qui est dénoncé.
C'est limite la norme dans certains milieux.
Donc tant mieux que ce soit dénoncé. Ça fera bouger les choses peut être.
J'assimile ça à de l'abus de faiblesse. Alors oui biensur la femme peut dire non (on parle pas des cas de viols). Mais elle est dans une situation vulnérable bien souvent face à un homme qui lui fait du chantage:
pas de sexe =pas de carrière.
Tu reproches en fait aux femmes la situation dans laquelle des hommes les mettent...
J'espère que les choses changeront. Faut limite aller au travail avec du matériel d'espion pour enregistrer et filmer dès qu'un supérieur franchit les limites.
Bah ui c'est bien connu...
A
AncienMembre
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ans notre imaginaire, le violeur est un malade mental
Le violeur n’est pas pourtant pas particulièrement pauvre, ni illettré et encore moins déficient mental.« La pauvreté créerait de la délinquance. Mais dans le cadre de mon travail de suivi des agresseurs sexuels condamnés, j’en ai vu de toutes les couleurs et de toutes les classes sociales », assure Roland Coutanceau, psychiatre précurseur dans la prise en charge des agresseurs sexuels. Il n’y a pas de profil type d’agresseur. Ce sont des hommes « normaux », intégrés à la société, souvent mariés et pères de famille. Une étude du collectif féministe contre le viol, basée sur 300 agresseurs, montre qu’ils sont particulièrement présents dans les professions suivantes : médicales et para-médicales (23 %), enseignement et animation (17 %), responsabilités d’encadrement (13 %), métiers de la loi et de l’ordre (10 %).
Cette réalité suscite l’incrédulité. On préférerait pouvoir attribuer cette barbarie à quelqu’un qui ne nous ressemble pas. Le débat autour de l’affaire DSK a fait surgir au grand jour ce stéréotype du violeur pensé comme un monstre. Un homme comme Dominique Strauss-Kahn ne saurait commettre un viol. Trop riche, trop intelligent, trop comme il faut. Dans notre imaginaire, le violeur est un malade mental. D’après les expertises de médecins et psychologues établies pour les tribunaux, 90 % d’entre eux ne souffrent pas de pathologie psychiatrique. Ce qui signifie, éclaire le psychologue et criminologue Loïck Villerbu, « qu’ils ne sont pas psychotiques, qu’ils ne présentent pas de débilité profonde, qu’ils ne font pas l’objet d’un traitement médicamenteux leur ayant fait perdre leur vigilance ».
Les violeurs ont une stratégie : « La clé de l’agression sexuelle est dans la tête de celui qui exerce la violence », précise Roland Coutanceau. Le violeur ne commet pas ce crime par hasard ou parce qu’il n’a pas pu s’en empêcher. « Les victimes sont la cible d’un agresseur qui a raisonné. De façon limitée, certes , ajoute le psychiatre et expert Gérard Lopez. Elles se retrouvent, malgré elles, exposées à un agresseur qui a calculé ses risques et ses profits. Et qui a choisi d’agresser. Elles ne l’ont jamais cherché. Elles ne l’ont jamais mérité. »
Le viol, une prise de pouvoir
Les violeurs n’ont pas de pulsions sexuelles irrépressibles. Le sexe est une composante du viol, mais il ne s’y résume pas. Il est un moyen pour agresser, mais pas le but. Pour les personnes qui le subissent, le viol est vécu comme un acte violent, une humiliation. « Le viol est d’abord une agression, détaille Loïck Villerbu. Et l’agresseur élit le champ sexuel. C’est trop facile d’imaginer que c’est un orgasme comme un autre. Il est beaucoup plus difficile d’imaginer que l’orgasme est obtenu au prix de la soumission de l’autre. L’agresseur veut d’abord transgresser la résistance de l’autre. Il recherche la toute-puissance et la domination. Être considéré comme un objet est d’ailleurs ce qui traumatise le plus les victimes. »
Les viols en temps de guerre sont clairement identifiés comme des outils de domination et d’humiliation. Pourquoi, en temps de paix, seraient-ils réduits à un problème de pulsion sexuelle ? Les contextes sont différents, mais la dynamique de prise de pouvoir et la volonté de domination semblent être en jeu dans chaque agression. Elles se déclinent différemment selon la personnalité, la trajectoire, la situation de l’agresseur et en fonction du type de viol qu’il commet : viol familial, conjugal, de proximité, d’inconnue ou viol collectif.
Donner du sens à un crime qui nous semble fou est une tâche ardue. Les études menées auprès de ceux qui sont interpellés, et de ceux qui sont aussi condamnés, permettent de mieux connaître les agresseurs, d’améliorer la qualité de leur prise en charge et d’avoir des outils pour faire de la prévention. Malheureusement, ces analyses établies au cours des procédures judiciaires, présentent un biais non négligeable : l’absence de représentativité. Puisqu’on estime que 90 % des victimes ne portent pas plainte. Leurs agresseurs sont en liberté. Les passages à l’acte de ces violeurs ne sont donc jamais décryptés.
Audrey Guiller et Nolwenn Weiler
© Éditions du Cherche Midi
Le violeur n’est pas pourtant pas particulièrement pauvre, ni illettré et encore moins déficient mental.« La pauvreté créerait de la délinquance. Mais dans le cadre de mon travail de suivi des agresseurs sexuels condamnés, j’en ai vu de toutes les couleurs et de toutes les classes sociales », assure Roland Coutanceau, psychiatre précurseur dans la prise en charge des agresseurs sexuels. Il n’y a pas de profil type d’agresseur. Ce sont des hommes « normaux », intégrés à la société, souvent mariés et pères de famille. Une étude du collectif féministe contre le viol, basée sur 300 agresseurs, montre qu’ils sont particulièrement présents dans les professions suivantes : médicales et para-médicales (23 %), enseignement et animation (17 %), responsabilités d’encadrement (13 %), métiers de la loi et de l’ordre (10 %).
Cette réalité suscite l’incrédulité. On préférerait pouvoir attribuer cette barbarie à quelqu’un qui ne nous ressemble pas. Le débat autour de l’affaire DSK a fait surgir au grand jour ce stéréotype du violeur pensé comme un monstre. Un homme comme Dominique Strauss-Kahn ne saurait commettre un viol. Trop riche, trop intelligent, trop comme il faut. Dans notre imaginaire, le violeur est un malade mental. D’après les expertises de médecins et psychologues établies pour les tribunaux, 90 % d’entre eux ne souffrent pas de pathologie psychiatrique. Ce qui signifie, éclaire le psychologue et criminologue Loïck Villerbu, « qu’ils ne sont pas psychotiques, qu’ils ne présentent pas de débilité profonde, qu’ils ne font pas l’objet d’un traitement médicamenteux leur ayant fait perdre leur vigilance ».
Les violeurs ont une stratégie : « La clé de l’agression sexuelle est dans la tête de celui qui exerce la violence », précise Roland Coutanceau. Le violeur ne commet pas ce crime par hasard ou parce qu’il n’a pas pu s’en empêcher. « Les victimes sont la cible d’un agresseur qui a raisonné. De façon limitée, certes , ajoute le psychiatre et expert Gérard Lopez. Elles se retrouvent, malgré elles, exposées à un agresseur qui a calculé ses risques et ses profits. Et qui a choisi d’agresser. Elles ne l’ont jamais cherché. Elles ne l’ont jamais mérité. »
Le viol, une prise de pouvoir
Les violeurs n’ont pas de pulsions sexuelles irrépressibles. Le sexe est une composante du viol, mais il ne s’y résume pas. Il est un moyen pour agresser, mais pas le but. Pour les personnes qui le subissent, le viol est vécu comme un acte violent, une humiliation. « Le viol est d’abord une agression, détaille Loïck Villerbu. Et l’agresseur élit le champ sexuel. C’est trop facile d’imaginer que c’est un orgasme comme un autre. Il est beaucoup plus difficile d’imaginer que l’orgasme est obtenu au prix de la soumission de l’autre. L’agresseur veut d’abord transgresser la résistance de l’autre. Il recherche la toute-puissance et la domination. Être considéré comme un objet est d’ailleurs ce qui traumatise le plus les victimes. »
Les viols en temps de guerre sont clairement identifiés comme des outils de domination et d’humiliation. Pourquoi, en temps de paix, seraient-ils réduits à un problème de pulsion sexuelle ? Les contextes sont différents, mais la dynamique de prise de pouvoir et la volonté de domination semblent être en jeu dans chaque agression. Elles se déclinent différemment selon la personnalité, la trajectoire, la situation de l’agresseur et en fonction du type de viol qu’il commet : viol familial, conjugal, de proximité, d’inconnue ou viol collectif.
Donner du sens à un crime qui nous semble fou est une tâche ardue. Les études menées auprès de ceux qui sont interpellés, et de ceux qui sont aussi condamnés, permettent de mieux connaître les agresseurs, d’améliorer la qualité de leur prise en charge et d’avoir des outils pour faire de la prévention. Malheureusement, ces analyses établies au cours des procédures judiciaires, présentent un biais non négligeable : l’absence de représentativité. Puisqu’on estime que 90 % des victimes ne portent pas plainte. Leurs agresseurs sont en liberté. Les passages à l’acte de ces violeurs ne sont donc jamais décryptés.
Audrey Guiller et Nolwenn Weiler
© Éditions du Cherche Midi
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AncienMembre
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L’agresseurveut d’abord transgresser la résistance de l’autre. Il recherche latoute-puissance et la domination.Être considéré comme un objet estd’ailleurs ce qui traumatise le plus lesvictimes. »
Meme un homme comme lui qui soit disant peut avoir n'importe quelle femme , ne pourra pas transgresser la resistance de l'autre si cet autre est une groupie consentante ...
Ce quil cherche cest la resistance
Meme un homme comme lui qui soit disant peut avoir n'importe quelle femme , ne pourra pas transgresser la resistance de l'autre si cet autre est une groupie consentante ...
Ce quil cherche cest la resistance
Dernière modification par un modérateur:
Mdr d'ici la fin de cette affaire tu vas nous faire une thèse sur les violeurs toi
A
AncienMembre
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Non mais du coup j'apprends des choses que je ne savais pas , et remarque que la loi est bien ambigue
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AncienMembre
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Il ya plusieurs cas de violeurs.
Le but et la raison son parfois completement differents
Le but et la raison son parfois completement differents
A
AncienMembre
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Le violeur ne viole pas Pour assouvir une pulsion sexuelle ou avoir un rapport sexuel. C'est juste un moyen pas un but. Le but est de se sentir tout puissant, humilier....
Ce n’est pas pour défendre les mauvais climats, mais ça n’est pas le pire, les gens qui ont du recul ne manquent pas, et en Suisse ou aux Pays Bas, c’est autre chose. En Suisse, il y a eu une pétition contre les prétendus minarets. Aux Pays Bas ça me semble autant tendu qu’en Suisse. En Inde, il y a eu des massacres de Musulmans (quoique là bas tout le monde s’en prend à tout le monde j’ai l’impression). Pour revenir en Europe, les pays de l’est me semblent facilement islamophobes (si des gens connaissent les pays de l’est, ils corrigeront s’il faut). Ce n’est pas idéal en france, mais c’est encore vivable.
C’est malheureusement un classique qui a bien été exploité, et c’est pour ça que le féminisme n’a pas toléré que des Musulmanes revendiquent le droit au foulard en soulignant que c’est leur volonté (elles sont d’ailleurs exclues des quotas). Mais il y a aussi eu un amalgames avec la culture de certains quartiers, un amalgame facile quand on le voit de loin, et des revendications limites de la part de gens qui mettent en avant la religion quand ça les arrange et plutôt pour du gore.
Mais je crois aussi que ça remonte à plus loin encore et aussi que c’est universel. Des deux côtés les femmes sont utilisées comme alibis pour dénigrer ceux d’en face.
Peut‑être, mais comme c’est quand‑même violent, ça peut autant produire d’autres réactions, comme une crispation par défense, ou une forme de déprime, …
Ça a commencé quand ? Tu en as une idée ?
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