La theorie de genre enseignée dès la maternelle

@sempro :

Je veux bien que tu m'accuses de mauvaise foi, pourquoi pas. Mais faut détailler du coup. Qu'est ce qui est de mauvaise foi ? Et pourquoi ?

Parce que tout ce que je raconte là fait ou a fait partie de mon quotidien. Y a aucune exagération.

Et tu sais le pire ? Je m'en plains même pas.

Je m'hérisse juste quand on me dit que je bosse par appat du gain en étant prof. Si l'appat du gain était ma priorité, j'avais d'autres choix possibles.
 
@Jimmyy :

Et tu as des chiffres pour appuyer cela ? Parce qu'avant que la question de l'avortement ne passe par l'état, cela existait déjà. Sauf que cela se faisait dans des conditions ignobles. Et qu'on a pas de chiffre, justement, puisque c'était fait en cachette.

Pareil pour les obsédés, des chiffres concrets ? Pour les frustrés ?

Ou alors c'est juste une constatation personnelle ?
Il serait fort heureux que tous deux puissions constater qu'ici nous sommes dans le royaume de la subjectivité. Nous ne pouvons que constater l'évolution des rôles, fonction des sexes, historiquement parlant (encore que l'histoire est une science profondément interprétative) et par la suite effectuer des choix idéologiques fonction de nos perceptions.

Ta perception n'est pas plus éclairée que celle de n'importe qui (pas plus que la mienne ne l'est). L'on dit qu'on voit le monde à travers le prisme de nos émotions. Ici nos schèmes de perception nous font trancher sur le sujet mais de façon bien entendu subjective dans la combinaison de plusieurs formes de rationalité (cognitive, axiologique et instrumentale).

Lorsque tu exprimes ton avis, il ne s'agit que d'une vision, d'une interprétation de la réalité. Cette dernière est d'ailleurs indépendante du statut social. Un enseignant, un scientifique n'est pas plus enclin à dire la vérité qu'une personne lambda. N'importe qui peut aller à contre-courant de toute une palette d'universitaires tout en se situant malgré tout dans la vérité. Il ne faut pas tomber dans des sophismes et se complaire à s'imaginer porteur d'une parole universelle vérifiée et validée.

Il n'y a rien de validé dans ce domaine. Lorsque nous faisons des affirmations sur l'état de notre société ou sur les rôles des hommes et des femmes, l'on ne fait qu'exprimer un idéal-type que l'on perçoit.

J'espère ainsi répondre à ta dernière question. Et c'est d'ailleurs ce que j'aimerais voir intégré dans les consciences des gens. A savoir qu'il s'agit là de choix idéologiques et non scientifiques (dans l'acceptation que l'on peut spontanément accolée à ce terme, à savoir "une vérité incontestable").

Tous deux faisons donc des constatations personnelles et affirmons en conséquence. La seule différence se situant dans le fait que je ne souhaite propager mes visions qu'auprès de mes enfants et pas auprès de ceux des autres (comme l'entend l'état et les gens qui défendent ces mesures). Ceci relève du domaine parental et personne n'a le droit d'imposer aux enfants des autres ses propres choix idéologiques dans ce domaine.
 
@Jimmyy :

Et donc, transmettre des savoirs scientifiques, c'est transmettre un savoir subjectif ? Parce que c'est bien uniquement de cela qu'il s'agit lorsqu'on parle d'éducation sexuelle. De transmettre un savoir scientifique.

Et comme je l'ai répété plusieurs fois, si l'enseignant transmet une quelconque valeur durant ce cours, il sera viré suite à une plainte déposé par n'importe qui (et après enquête évidemment).

Le rapport de l'OMS est très clair sur ce sujet. Tout ce qui y est abordé est et reste du domaine scientifique. Et ne déborde jamais.

Ou alors, on a pas lu le même rapport. Ou je l'ai mal lu. Et du coup, comme je l'ai proposé à d'autres, je te demande de me montrer ce que j'ai mal lu. Les parties du rapport qui spécifient qu'on transmettra bien une façon de voir la sexualité et non d'expliquer ce qu'est la sexualité, parce que personnellement, je n'en ai vu aucune.
 
@sempro :

Et tu connais beaucoup de salariés dont le boulot consiste, pour la moitié de celui-ci, à ne pas être payé ?

Tu connais beaucoup de salariés qui doivent investir une partie de leur salaire pour le bénéfice des autres sur leur lieu de travail, hors impot ?
 
@vilCarmin :

La théorie du genre, c'est un essai philosophique. Les études du genre, ce sont des études scientifiques.

Y a une sacrée différence entre les deux.

Je ne qualifierais pas Kant, Nietzche, Platon, d'Aquin de scientifiques. Y a bien quelques philosophes grecs qui ont découvert des principes scientifiques. Mais puisqu'à l'époque, les deux étaient mélangés dans un domaine commun, c'est tout à fait normal.

Aujourd'hui, les sciences se sont séparées des courants philosophiques et religieux. Quand tu mélanges le tout, ca ne donne souvent pas grand chose de bon (l'eugénisme par exemple, qui était annoncé comme scientifique par certains).

Un cours d'éducation sexuelle, c'est la transmission d'un savoir scientifique. Il n'est pas question de transmettre une valeur, philosophique ou religieuse, lors de ces cours. Ca, c'est l'élève qui le fera tout seul ou accompagné de ses parents / d'un représentant de la religion qu'il a choisi de suivre.
T'aurais pas fait un capes en noyage de poisson toi?

La théorie du genre est un terme communément utilisé pour décrire la théorie selon laquelle le genre serait en grande partie socialement construit. Les scientifiques n'ont pas le monopole des théories.
 
Un cours d'éducation sexuelle, c'est la transmission d'un savoir scientifique. Il n'est pas question de transmettre une valeur, philosophique ou religieuse, lors de ces cours. Ca, c'est l'élève qui le fera tout seul ou accompagné de ses parents / d'un représentant de la religion qu'il a choisi de suivre.
Et pourtant il est illusoire de tenter de séparer l'objectivité du philosophe à celle du scientifique qui étudie sur ce sujet car au final à la base de leurs théories l'on trouvera le même type de prémisse, à savoir des propositions issues de visions et nullement des faits avérés et incontestables.

Enseigner ces théories scientifiques c'est enseigner l'avis de certaines personnes. Je parle bien d'avis car il faut désacraliser ces savoirs scientifiques en cessant de les prendre pour des injonctions Divines irréfutables. Ce que te dit un scientifique, sur ce sujet, un autre pourra te dire autre chose (notamment fonction de la culture de celui-ci, l'on pourra trouver des avis complètement différents).

Le manque de regard critique sur la nature de la science que l'on entend transmettre est nécessairement néfaste pour les conséquences que cette transmission aura. Il faut toujours prendre avec des pincettes ce qui vient de l'humain.

C'est difficile de supporter ces discours scientifiques qui tentent, à chaque fois, de clore le débat en mettant en avant leur statut (et la fameuse théorie) pour te dire que tu es dans l'erreur et eux la vérité (tout débat devient clos avec ce genre de sophismes).
 
A

AncienBladinaute

Non connecté
@sempro :

Et tu connais beaucoup de salariés dont le boulot consiste, pour la moitié de celui-ci, à ne pas être payé ?

Tu connais beaucoup de salariés qui doivent investir une partie de leur salaire pour le bénéfice des autres sur leur lieu de travail, hors impot ?
oui .
 

Drianke

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vous n'avez pas compris je crois nous ne voulons pas que des adultes étrangers viennent donner des cours d'éducation sexuelle à nos touts petits justement afin de les préserver des rapaces...nous sommes là depuis toujours car les enfants ne naissent pas dans des choux depuis des millions d'années et même qu'ils avaient une sexualité et qu'ils faisaient des enfants!

ps : quel est le pourcentage de criminels sexuels chez vous avant ces cours et après ces cours? vous avez dis 10 ans que vous enseignez ces cours? sur des enfants de 3 ans qui ont aujourd'hui 13 ans ont ils été touchés ou approchés par des pédos? avez vous des stats' à nous communiquer pour voir les bienfaits de votre éducation sexuelle à l'école maternelle et primaire...parce que si les pédophiles sont pas éliminés, les enfants pas mieux protégés pas la peine de leur parler de mastur' à 3 ans qui peut être un problème médical et pas sexuel vous semblez l'oublier, qu'à 6 ans un enfant n'a pas à entendre parler d'érection ou alors par son père qui est le modèle à suivre fusse t'il un hétéro pur et dur!

amenez nous vos chiffres que votre éducation sexuelle a apporté quelque chose de meilleure à la société belge et dans toutes les communautés ethnico-religieuses car l'identité est multiple et plurielle aussi en belgique! y'a pas de standardisation de l'identité à part une carte de vote...



Un cours d'éducation sexuelle, c'est la transmission d'un savoir scientifique. Il n'est pas question de transmettre une valeur, philosophique ou religieuse, lors de ces cours. Ca, c'est l'élève qui le fera tout seul ou accompagné de ses parents / d'un représentant de la religion qu'il a choisi de suivre.
 
@vilCarmin :

J'ai décrit ce qu'était une théorie scientifique plus haut. Le mot est identique. La signification est totalement différente.

Une théorie philosophique et une théorie scientifique ne sont absolument pas équivalente. C'est comme parler de pomme et d'orange et de dire que c'est le même fruit. C'est pas une question de noyer le poisson, c'est une question de réalité tout simplement.

Si tu veux, demain, j'écris une théorie philosophique sur le fait que la possession d'un poisson rouge chez soi est un indicateur d'un esprit fort et raisonné. Et je peux l'appeler théorie du poisson rouge.

Et dans le cadre d'un cours d'éducation sexuelle, on ne se préoccupe QUE du domaine scientifique. La philosophie, la religion, les valeurs, etc... sont mises de coté.
 
@Jimmyy :

Euh, non, on ne trouve pas les mêmes bases, je suis désolé. Plus depuis l'apparition de la méthode scientifique.
C'était vrai pour un Newton. Ca ne l'est plus du tout aujourd'hui. Ca ne fonctionne absolument plus comme cela.

On est loin du modèle d'un scientifique qui tout d'un coup a une idée et la vérifie. Très loin. Ca, c'est une vieille image qui a du mal à disparaitre visiblement. Le modèle scientifique actuel part d'une question et tente d'y répondre. Et plus par approximations. Plus par "tiens, on va essayer de suivre cette piste au hasard, on verra bien si ca nous mène quelque part". C'est un monde froid où est éliminé tout ce qui est opinion, bon sens et opinion.

Il ne s'agit pas de sacraliser la science d'une quelconque manière. Il s'agit simplement de dire ce sur quoi travail la science : le concret. Des faits. Et absolument rien d'autre.
 

Drianke

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Non vous transmettez VOTRE savoir qui n'est pas LE savoir justement...en matière de sexualité on parle pas QUE de science, c'est pas une potion magique, c'est pas une formule de laboratoire car chaque petit être qui nait est déjà unique et le sensoriel est différent pour chaque individu...le rapport de l'OMS a tenu compte de la culture? de la religion? de l'origine ethnico-culturelle? de l'identité de l'enfant par rapport à l'identité de ses parents? savoir d'ou l'on vient pour savoir ou l'on va, je suis un enfant qui a 2 culture l'une est africaine l'autre est européene, mes codes socios-culturels et sexuels sont différents on fait comment....je ne me comporte pas en afrique comme je me comporterais au collège à 14 ans...j'ai les warnings culturels de chaque côté...pourquoi parle t'on ne normes européennes sans tenir compte de la diversité des européens?



@Jimmyy :

Et donc, transmettre des savoirs scientifiques, c'est transmettre un savoir subjectif ? Parce que c'est bien uniquement de cela qu'il s'agit lorsqu'on parle d'éducation sexuelle. De transmettre un savoir scientifique.


Le rapport de l'OMS est très clair sur ce sujet. Tout ce qui y est abordé est et reste du domaine scientifique. Et ne déborde jamais.
 
@sempro :

Lesquels donc ? Et comment ?

Y a rien qui me pousse à te croire, donc venir me dire que je suis de mauvaise foi alors que tu te contente d'un mot comme réponse... C'est trop difficile que d'étayer un peu ?
 
@Drianke :

Et je suppose que tu as une preuve qu'on transmet "notre" savoir et non "le" savoir. Des morceaux du rapport de l'OMS qui l'indique, par exemple.

Aux dernières nouvelles, la science concerne le monde entier. Dans son ensemble. La gravité, c'est effectif qu'on soit en australie ou en France.

Tu veux savoir combien de gamins se sont exprimés suite à "mes" cours ? 14.

C'est vrai que ca semble peu par rapport au nombre d'élèves. Mais la pédophilie ne concerne qu'une toute petite partie des enfants, ca correspond +/- au pourcentage d'enfants abusés dans le pays.
 
@sempro :

Et bien je te laisse jouer au troll tout seul du coup. Si tu n'as pas envie de discuter clairement de cela avec moi, pourquoi venir m'en parler ? Juste pour la provoc' ? C'est un poil puéril quand même.
 

Drianke

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wa salam

toutafè celà et ça fait un moment que ça dure....en détruisant la cellule familiale, les codes-socios culturels et en voulant uniformiser...très pervers comme procédé....

Salam,

ils tentent d'imprimer ces théories dans le cœur de nos enfants et dans le même temps ils travaillent afin de limiter l'influence des parents sur leurs enfants.

http://www.senat.fr/leg/ppl13-245.html
 
@breakbeat :

Donc, comme dis plus haut, ce n'est pas une théorie scientifique. Ca n'a donc aucune valeur scientifique. Et du point de vue de la science, il n'existe pas de théorie du genre. Il existe par contre, du point de vue de la science, des études du genre. Ce qui est complétement différent d'un essai philosophique.

Cet essai n'est passé devant aucun comité de lecture. Y a pas eu de contre études. Pas de bibliographie. Etc... C'est juste une personne qui a décidé de philosopher un peu dans son coin sur un sujet. Je sais pas si ca vaut Platon, Kant ou Nietzche. Mais en tant que scientifique, ca n'a aucune valeur et ne devrait pas porter le nom de théorie. Ca n'en est pas une. Dans le rapport de l'OMS il est bien fait mention des études du genre, pas de la théorie du genre. Ptet bien parce qu'ils savent de quoi ils parlent.

Apposer un terme scientifique sur un essai philosophique ne lui donne aucune légitimité. C'est pas parce que t'appelle ton chihuahua "Goliath" ou "Destructor" que ca va en faire d'un coup le caïd des chiens du quartier. Ca demande un peu plus que ça quand même. Si c'était le cas, l'homéopathie serait une science. Ben c'est pas le cas, malgré tout le charabia pseudo scientifique qu'on y utilise.

Etude du genre = qui a trait à cette théorie.

Faut arrêter de prendre les gens pour des neuneu au bout d'un moment...

Et voui, savoir ce qu'est un acte sexuel permettra à l'enfant d'identifier une situation de danger. Quand tu sais pas ce qui se passe, t'es pas capable d'identifier le danger. En quoi est-ce illogique ?

En leur disant à quoi sert un contraceptif et pourquoi le pénis rentre en érection ?

Et je le répète, sous prétexte que j'enseigne le savoir, je suis plus apte à transmettre des savoirs. Point. J'ai rien dit de plus que cela. Dans un cours d'éducation sexuelle, on transmets des savoirs. la syphilise, c'est ça. Le VIH, c'est ça. C'est tout ce qu'on y fait. Qu'est-ce que tu crois qu'on y fait d'autre ? Qu'est-ce qu'on peut y faire et qui te choque ? Précisement. Donne moi un exemple de ce que tu penses être enseigné et qui n'est pas correct selon toi.

Et on ne parle pas de contraception à des momes de 4 ans. Dans quel film as-tu vu jouer cela ? C'est pas le sujet. Et dans ce rapport de l'OMS, nul part il n'est mention d'enseigner la contraception à des enfants de cet age. Ou alors file moi le passage où c'est dit, je l'ai raté.

Je ne prétends pas m'occuper de la vie sexuelle des enfants. Dans une classe pubère, à aucun moment j'ai demandé qui était actif ou non sexuellement. C'est de la folie ce que tu supposes qu'on fait dans ces cours. Là, oui, je comprends que ca vous fasse peur. Mais c'est pas ce qui s'y passe hein. Je m'occupe pas de leur vie sexuelle, je leur demande pas de m'en parler. Je leur demande pas de me donner des exemples de ce qu'ils font ou ont fait. Ca me regarde pas. Et aucun prof ou intervenants dans un cours d'éduc sexuel ne fait ça.

Tu crois sérieusement que c'est ce qu'on y fait ?

Et non, désolé, c'est pas de la documentation. De la documentation, ca suppose d'avoir lu des études de genre avant d'en parler. Tu l'as fait ?

De la documentation, ça suppose d'aller demander des infos scientifiques à l'OMS pour savoir comment les choses ont été abordées. Tu l'as fais ?

De la documentation, ça suppose de savoir comment se passe un cours d'éducation sexuelle comme proposé par ce rapport. Tu le sais ? Précisément ? Je veux dire, t'as les préparations de leçons entre les mains ? Tu as les phases d'accroche ? Les descriptions des outils pédagogiques utilisés ? Les schématiques de transmissions ? La chronologie idéale, le temps à donner à chaque acteur ?

J'utilise pas mon statut de prof pour faire passer une idée. J'utilise mon statut de prof pour dire deux choses :

- Y a pas de théorie du genre
- Ce rapport est un projet concernant une transmission de savoir. Pas de valeurs. On ne donne aucune valeur à l'enfant. Jamais. Je l'ai dit pourtant, ça nous est strictement interdit. A tout intervenant dans une école, que ce soit le concierge, un prof ou un exterieur.



Tu est dans le déni le plus complet, tu fait de la rhétorique en te posant comme une espèce d'autorité qui est mieux placé que tous le monde pour dire qu'est ce qui est et qu'est ce qui n'est pas mais je te le dis : tu trompe personne !

Faudrait descendre de ton nuage et commencer à regardé autour de toi : la plupart des enfants grandisse normalement sans qu'il n'y est d'anomlie quand à leur concéption et la percéption de la sexualité, tu parle de pédagogie par exemple, mais laisser l'enfant découvrir son corps et la sexualité par lui même fait partie du processus naturel qui l'apprend à ce connaitre par lui même, à être autonome. Ta façon de vouloir l'assisté dans cette découverte est louable en apparence, mais totalement futile dans le fond, parce qu'elle en fait que enfoncé des portes ouverte et pire, l'enfer est parfois pavé de bonne intention.


C'est pas parce que tu dis "point barre" que tous ce que tu affirmes est vrai.
 

Drianke

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la preuve mais vous par exemple qui vous croyez déjà supérieur à nous alors que vous êtes incapable d'amener des chiffres sur les bienfaits de votre éducation sexuelle d'enfants de 3 ans et de leur soi disante masturbation, apparemment vous en avez eu une centaine dans votre vie de professeur mais ou à l'université? ou lycée des 16/18 ans? au collège des 11/15 ans ? en primaire des 6/10 ans ou en maternelle des 3 / 6 ans?

je vous demande des chiffres sur les bienfaits de la sexualisation des petits enfants de 3 ans à 11 ans, ou peut on avoir les résultats?


@Drianke :

Et je suppose que tu as une preuve qu'on transmet "notre" savoir et non "le" savoir. Des morceaux du rapport de l'OMS qui l'indique, par exemple.

Tu veux savoir combien de gamins se sont exprimés suite à "mes" cours ? 14.

C'est vrai que ca semble peu par rapport au nombre d'élèves. Mais la pédophilie ne concerne qu'une toute petite partie des enfants, ca correspond +/- au pourcentage d'enfants abusés dans le pays.
 
la plupart des enfants grandisse normalement sans qu'il n'y est d'anomlie quand à leur concéption et la percéption de la sexualité, tu parle de pédagogie par exemple, mais laisser l'enfant découvrir son corps et la sexualité par lui même fait partie du processus naturel qui l'apprend à ce connaitre par lui même, à être autonome. Ta façon de vouloir l'assisté dans cette découverte est louable en apparence, mais totalement futile dans le fond, parce qu'elle en fait que enfoncé des portes ouverte et pire, l'enfer est parfois pavé de bonne intention.

.
Exactement. L'on assiste plutôt à la mise en oeuvre d'un faux prétexte afin de mieux contrôler l'idéologie qui régira la vie de nos enfants. L'école est le meilleur outil idéologique d'état (impossible pour un état comme le notre de diriger sans le consentement des gens et ce consentement s'obtient grâce à la mise en oeuvre de moyens idéologiques cherchant à assurer le consentement).

L'état (surtout la gauche) cherche à prendre le contrôle des consciences des gens. Il tente de les convertir à la religion laique (selon sa conception) et à asseoir sa légitimité et il est important de s'y prendre avec les plus jeunes car l'on a alors la conscience plus malléable qu'un adulte (quoique parfois).

Tout le monde sait que les gens n'ont pas attendu ce genre de cours pour savoir se reproduire correctement. C'est de la poudre aux yeux. On tente de formater les citoyens selon un même modèle en cherchant à annihiler l'altérité qui, elle, représente un danger.

"S'en prendre" aux enfants, c'est tenter d'asseoir son contrôle sur le peuple car les enfants ce sont les futurs citoyens adultes qui valideront le système par la suite.
 
@breakbeat :

T'as une drole de conception du monde scientifique. Une étude n'est pas reliée à une théorie.

Il y a d'abord une question. Ici : Qu'est-ce que le genre ? Et pas de façon philosophique, il s'agit d'étudier la biologie. Et quand on pose la question, on ne sait même pas si on pourra y répondre. On se contente de poser la question. Et la conclusion sera peut-être "la science ne peut pas répondre à cette question".

Sur base de cette question, on met en place des milliers d'études. Dans le but de collecter des données et de répondre à des micro questions. De type très très spécifiques. Par exemple, quel est le role du prion PrP sur la détermination du genre ? (Celle-ci, j'avoue, c'est moi qui l'ai inventé). Ou quel est l'influence de l'épigénétique entre les 3 et 9ème semaine du fœtus sur la détermination du genre de l'individu (ca par contre, c'est une vraie question, avec une vrai étude).

Une fois qu'on a collecté suffisamment de données, peut-être qu'on a de quoi faire une théorie. Ou peut-être pas. Peut-être qu'on ne pourra jamais. Et peu importe le cas de figure, on l'annoncera. Que ce soit un échec ou non.

Quand on dit études du genre, c'est un raccourci. Le nom complet devrait être quelque chose du type : Etudes sur la détermination du genre d'un individu par la génétique. A coté de ça, t'as le sétudes sur la détermination du genre d'un individu par l'épigénétique. Par les prions. Et par tous les facteurs possibles et inimaginables qui peuvent, ou non, avoir une influence. En gros, on parcourt tout le spectre de la biologie connue jusqu'à aujourd'hui.

T'avoueras que devoir les lister toutes, c'est un peu long, y a un paquet de subdivisions dans la biologie.. Donc, on parle d'études du genre.

Pour ta question suivante, savoir qu'un pénis entre en erection chez un adulte a permis à des momes de pouvoir parler de ce qu'ils avaient subi par la suite. J'ai deux exemples concrets de mon coté. Je suppose que d'autres intervenants en ont aussi. Donc, oui, ca aide. C'est pas une solution miracle, c'est pas LA solution, c'est un outil parmi d'autres.
Par contre, la contraception, je t'ai déjà répondu. On en parle pas à des enfants non pubères. C'est inutile.

Et dans mon message que tu cites et ici, je ne fais pas de la rhétorique. Je parle de situation concrète. Réelle. Qui sont arrivée. Et quand je parle de science, c'est pas non plus rhétorique, c'est comme cela que ca marche.

J'admets volontiers vulgariser. Parce que c'est suffisamment complexe comme cela. Je ne cherche pas à convaincre, je décris des faits. Ce dont je parle, c'est une réalité existante.
 
@Jimmyy :

Euh, non, on ne trouve pas les mêmes bases, je suis désolé. Plus depuis l'apparition de la méthode scientifique.
C'était vrai pour un Newton. Ca ne l'est plus du tout aujourd'hui. Ca ne fonctionne absolument plus comme cela.


Il ne s'agit pas de sacraliser la science d'une quelconque manière. Il s'agit simplement de dire ce sur quoi travail la science : le concret. Des faits. Et absolument rien d'autre.
Et pourtant je réitère, les principes sont les mêmes. Le philosophe pense lui aussi travailler sur du concret (et c'est un truisme que de l'énoncer). Les théories ne sont que des représentations du monde, qu'elles soient philosophiques ou scientifiques (seule leur qualification diffère).

Les théories scientifiques se basent sur des propositions premières issues de perception. Qui dit proposition dit non vérifiable. Ainsi à la base de chaque théorie se trouve un ou plusieurs axiomes non vérifiables. Le scientifique n'échappe pas non plus à la subjectivité. La base de son travail y est émergée. C'est d'ailleurs une des raisons qui fait que de nombreuses théories scientifiques se contredisent ou se sont vues réfuter par la suite (parce que les axiomes de départ sont issus de propositions et sont donc en conséquence subjectifs, issus de perceptions).

L'on peut donc avoir un cheminement scientifique tout à fait cohérent mais être complètement dans l'erreur car le pilier soutenant le tout est en réalité erroné. Après je comprends que le scientifique n'aime pas se voir reprocher ce point puisqu'il se complait à s'imaginer porteur d'un message universel de vérité. La remise en cause de son travail lui est donc difficilement supportable. Bien heureusement la science ne fonde pas les valeurs morales. (Il s'est d'ailleurs trouvé un moment de l'histoire où des scientifiques énonçaient que les noirs étaient scientifiquement inférieurs aux blancs et plus proches qu'eux des animaux, c'est dire si la science peut être à ce point éloigné de la réalité).

Et dire que si à cette époque une personne lambda avait réfuté cette vision, on lui aurait rétorqué que la méthode scientifique était plus valide que sa conception personnelle et qu'il n'avait donc pas son mot à dire. Jadis des gens lambdas ont combattu, à partir de leur propre subjectivité, des visions scientifiques qui faisaient force de lois et qui sont pourtant désormais désuètes.

Cette théorie du genre sera peut-être perçue comme complètement ridicule dans 50 ans et elle l'est déjà assurément dans certaines contrées du monde (de l'avis de scientifiques et de gens lambda). Il ne faut donc jamais prendre pour argent compte ce qui est dit (quand bien même ce serait labellisé comme étant scientifique, encore plus je dirais). La science devrait s'éloigner du domaine des valeurs morales, sociétales car ce n'est pas son domaine et cela ne l'a jamais été.
 
Dernière édition:
@Drianke :

Je me crois supérieur dans le domaine pour lequel j'ai été formé par rapport à quelqu'un qui n'est pas formé dans ce domaine.

Tu bosses dans le social tu m'as dis ? Et bien, tu m'es supérieure dans ce domaine puisque tu as été formée pour exercer ce métier (je suppose en tout cas).

C'est choquant de dire cela ?

Et je t'ai déjà expliqué mon parcours. J'étais prof pour ados de 15 à 18 ans. Je suis aujourd'hui prof d'unif. Quand j'étais prof pour le secondaire, j'ai aussi été bénévole dans une association qui se chargeait d'expliquer la sexualité aux enfants en voyageant d'école en école le temps d'une journée sur place. Je ne le suis plus aujourd'hui, ni prof pour ado, ni dans l'association, par manque de temps.

Je t'ai donné les chiffres que j'avais via l'association. Dans les cours où j'étais (et je n'étais pas seul, on travaillais à 4-8 par journée d'animation), 14 enfants ont dénoncés des faits de pédophilie. Sur environ 600 gosses (j'avoue ne plus savoir combien exactement j'ai eu devant moi dans ce cadre là). Ce qui, il me semble, est assez proche de la proportion d'enfants abusés sexuellement (qui est de l'ordre des 3%, selon mes souvenirs).
 
Exactement. L'on assiste plutôt à la mise en oeuvre d'un faux prétexte afin de mieux contrôler l'idéologie qui régira la vie de nos enfants. L'école est le meilleur outil idéologique d'état (impossible pour un état comme le notre de diriger sans le consentement des gens et ce consentement s'obtient grâce à la mise en oeuvre de moyens idéologiques cherchant à assurer le consentement).

L'état (surtout la gauche) cherche à prendre le contrôle des consciences des gens. Il tente de les convertir à la religion laique (selon sa conception) et à asseoir sa légitimité et il est important de s'y prendre avec les plus jeunes car l'on a alors la conscience plus malléable qu'un adulte (quoique parfois).

Tout le monde sait que les gens n'ont pas attendu ce genre de cours pour savoir se reproduire correctement. C'est de la poudre aux yeux. On tente de formater les citoyens selon un même modèle en cherchant à annihiler l'altérité qui, elle, représente un danger.

"S'en prendre" aux enfants, c'est tenter d'asseoir son contrôle sur le peuple car les enfants ce sont les futurs citoyens adultes qui valideront le système par la suite.
la vidéo qu'a posté @ibo95 , traite exactement de ce sujet ! ( la vidéo ou l'intervenante est canadienne )
 

Ebion

Ça a l'air que je suis l'esclave da partida
VIB
nous devons supprimer les sites pornos c'est très facile, on doit fermer les cinémas pornos, les boutiques pornos ! on a réussi à interdire dieudonné à nantes en un après midi ! la toute puissance Valls a réussi à faire ça! donc il a pu et il pourra le faire pour un problème de préservation de nos enfants ! vous envoyez la police, les gendarmes et vous fermez!

des mômes à poils dans votre classe ? vous avez une classe maternelle là? quel est le pourcentage dans votre école maternelle d'enfant qui se sont mis à poil et qui se masturbent devant la classe?

je suis dans un quartier difficile 5 écoles maternelles jamais entendu ça de la part d'une maitresse et pourtant les parents sont investis et il y a une surveillance car il n'y a pas de problème de masturbation mais de violence surtout...

Je suis bien d'accord avec l'idée de rendre illégale la porno.

La porno, c'est pour les perdants! :D

Et ça donne une image complètement faussée de la femme et du sexe, que des adolescents attardés et généralement puceaux prennent au sérieux.

Par contre on peut garder légale la littérature érotique, pourvu qu'elle ne soit pas trop de mauvais goût.
 
@Jimmyy :

La Belgique n'est pas laique. Elle dispense le même genre de cours pourtant. Donc pourquoi parler de laicité alors que ce n'est pas le sujet.

Et oui, bien sur, la science se trompe. Tout le temps. C'est une succession d'erreurs. Qui sont corrigées. Newton est une erreur. Et pourtant, il est toujours utilisé parce que "vrai" dans un certain référentiel. Einstein s'est trompé dans sa relativité (restreinte ou non). Et il est toujours utilisé. Et la prochaine sera de même.

Par contre, les théories scientifiques ne se basent pas forcément sur une perception si par perception tu entends "par les sens humain". La théorie quantique, ca n'a rien d'intuitif ni de perceptible humainement.

Du coup, qu'est-ce que tu proposes d'autres que la science pour décrire les caractéristiques du corps humain dans ses mécanismes sexuels. Pour les maladies sexuellement transmissibles ? Pour la fécondation ? Parce que bon, c'est juste de cela qu'il s'agit.
 
la vidéo qu'a posté @ibo95 , traite exactement de ce sujet ! ( la vidéo ou l'intervenante est canadienne )
Je n'avais pas vu mais j'essayerai de la voir Inch Allah car je suis persuadé qu'il s'agit là d'une partie des réels motifs (de toutes façons en France la gauche a historiquement toujours oeuvré à la conversion des consciences aux valeurs laiques et maçonniques qu'elle incarne)
 

Drianke

اللهم إفتح لنا أبواب الخير وأرزقنا من حيت لا نحتسب
Contributeur
pas besoin de connaitre votre parcours ni votre vie pour lire un rapport et connaitre les enjeux qui sont pas la préservation de l'enfant contre les pédophiles mais une approche pour introduire la théorie du gender...vous n'avez aucune supériorite dans l'éducation d'un enfant car vous aucultez la famille, le clan, la religion, les usages et traditions, les coutumes et les codes socios-culturels intra-familiaux et communautaires...

ne nous prenez pas pour des idiots du fait que nous sommes des croyants et que la sexualité n'est pas tabou chez nous mais cadré ce qui est différent avec des interdits! celà vous ne pourrez pas aller outre...vous me rappeler avec vos propos tout le long de ce fil et votre suffisance un livre que je vais lire qui s'appelle : le droit de la race supérieure d'Isaac Blumchen...parce que c'est un même shéma...

donc vous ne connaissez pas trop le primaire et la maternelle càd les enfants de 3 à 11 ans en gros...

@Drianke :

Je me crois supérieur dans le domaine pour lequel j'ai été formé par rapport à quelqu'un qui n'est pas formé dans ce domaine.

Et je t'ai déjà expliqué mon parcours. J'étais prof pour ados de 15 à 18 ans. Je suis aujourd'hui prof d'unif.

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@breakbeat :

T'as une drole de conception du monde scientifique. Une étude n'est pas reliée à une théorie.

Il y a d'abord une question. Ici : Qu'est-ce que le genre ? Et pas de façon philosophique, il s'agit d'étudier la biologie. Et quand on pose la question, on ne sait même pas si on pourra y répondre. On se contente de poser la question. Et la conclusion sera peut-être "la science ne peut pas répondre à cette question".

Sur base de cette question, on met en place des milliers d'études. Dans le but de collecter des données et de répondre à des micro questions. De type très très spécifiques. Par exemple, quel est le role du prion PrP sur la détermination du genre ? (Celle-ci, j'avoue, c'est moi qui l'ai inventé). Ou quel est l'influence de l'épigénétique entre les 3 et 9ème semaine du fœtus sur la détermination du genre de l'individu (ca par contre, c'est une vraie question, avec une vrai étude).

Une fois qu'on a collecté suffisamment de données, peut-être qu'on a de quoi faire une théorie. Ou peut-être pas. Peut-être qu'on ne pourra jamais. Et peu importe le cas de figure, on l'annoncera. Que ce soit un échec ou non.

Quand on dit études du genre, c'est un raccourci. Le nom complet devrait être quelque chose du type : Etudes sur la détermination du genre d'un individu par la génétique. A coté de ça, t'as le sétudes sur la détermination du genre d'un individu par l'épigénétique. Par les prions. Et par tous les facteurs possibles et inimaginables qui peuvent, ou non, avoir une influence. En gros, on parcourt tout le spectre de la biologie connue jusqu'à aujourd'hui.

T'avoueras que devoir les lister toutes, c'est un peu long, y a un paquet de subdivisions dans la biologie.. Donc, on parle d'études du genre.

Pour ta question suivante, savoir qu'un pénis entre en erection chez un adulte a permis à des momes de pouvoir parler de ce qu'ils avaient subi par la suite. J'ai deux exemples concrets de mon coté. Je suppose que d'autres intervenants en ont aussi. Donc, oui, ca aide. C'est pas une solution miracle, c'est pas LA solution, c'est un outil parmi d'autres.
Par contre, la contraception, je t'ai déjà répondu. On en parle pas à des enfants non pubères. C'est inutile.

Et dans mon message que tu cites et ici, je ne fais pas de la rhétorique. Je parle de situation concrète. Réelle. Qui sont arrivée. Et quand je parle de science, c'est pas non plus rhétorique, c'est comme cela que ca marche.

J'admets volontiers vulgariser. Parce que c'est suffisamment complexe comme cela. Je ne cherche pas à convaincre, je décris des faits. Ce dont je parle, c'est une réalité existante.

Franchement Docour tu fais des long discours pour rien dire ! encore cela aboutirait à un truc tangible et qui se défend je dis pas, mais là, me sortir que la théorie du genre existe pas en chipottant sur des détails de sémantique et ton histoire de pénis en érection qui permettrai aux enfants de dénoncé la pédophilie c'est vraiment faire passer des vessies pour des lanternes.
 
Dernière édition:
D'ailleurs la proposition de loi dont le lien a été posté plus haut démontre à quel point l'état s'évertue à convertir les consciences. Décharger la famille de la fonction d'éducation envers l'enfant pour la confier à l'état était une des caractéristiques des régimes totalitaires. Pour répandre l'idéologie du pouvoir et maintenir le pouvoir sur le peuple, il est impératif de l'éduquer. L'école est la première instance de socialisation. Elle permet de déterminer l'individu et il est donc important que la famille n'intervienne plus si l'on veut conditionner l'enfant à valider le système.

C est une particularité de l etat francais que de tenter d eduquer le peuple francais a la religion laique (par le biais des structures ideologiques telle que l ecole par-exemple) afin qu il puisse etre digne de la citoyenneté qu il lui confere. L etat s inscrit comme porteur d un projet educatif de conversion a une religion nouvelle de la vertu civique parfaite. Il s erige en instituteur du peuple.

Malgré la revendication d un pluralisme des opinions, ceux qui n adherent pas sont systematiquement excommuniés (et on le constate parfaitement par l ostracisme subi par les penseurs refractaires aux idees sortant des normes programmées aux plus hauts sommets de l etat).

D ailleurs les opinions ne sont rendues legitimes que si elles sont autorises par ces memes pontes qui pourtant proclament la sacralite de la liberte d expression. Il suffit de voir les nombreux tabous qui frappent certains sujets dont il est interdit d avoir une opinion opposée a celle "officielle".

Le terrorisme intellectuel est l arme de l etat convertisseur de paiens et les medias sont le meilleur endroit pour l exercer et qu il ait une efficacite au sein du peuple.
 
Exactement. L'on assiste plutôt à la mise en oeuvre d'un faux prétexte afin de mieux contrôler l'idéologie qui régira la vie de nos enfants. L'école est le meilleur outil idéologique d'état (impossible pour un état comme le notre de diriger sans le consentement des gens et ce consentement s'obtient grâce à la mise en oeuvre de moyens idéologiques cherchant à assurer le consentement).

L'état (surtout la gauche) cherche à prendre le contrôle des consciences des gens. Il tente de les convertir à la religion laique (selon sa conception) et à asseoir sa légitimité et il est important de s'y prendre avec les plus jeunes car l'on a alors la conscience plus malléable qu'un adulte (quoique parfois).

Tout le monde sait que les gens n'ont pas attendu ce genre de cours pour savoir se reproduire correctement. C'est de la poudre aux yeux. On tente de formater les citoyens selon un même modèle en cherchant à annihiler l'altérité qui, elle, représente un danger.

"S'en prendre" aux enfants, c'est tenter d'asseoir son contrôle sur le peuple car les enfants ce sont les futurs citoyens adultes qui valideront le système par la suite.

En effet, ceci démontre d'ailleurs l'hypocrisie que certains ont lorsqu'il prétende être garant de la liberté de forger son propre point de vue sur les choses de la vie, si au final c'est pour convertir les gens dès leur plus jeune âge à des concept ou des idées cela n'as plus aucun intérêt.
 

Drianke

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Contributeur
Essaie la littérature érotique arabo-musulmane alors.... : )

La littérature est plus saine effectivement je le pense aussi...

Je suis bien d'accord avec l'idée de rendre illégale la porno.

La porno, c'est pour les perdants! :D

Et ça donne une image complètement faussée de la femme et du sexe, que des adolescents attardés et généralement puceaux prennent au sérieux.

Par contre on peut garder légale la littérature érotique, pourvu qu'elle ne soit pas trop de mauvais goût.
 
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