Le déconfinement...

@Kaiserin excuse moi mais en même temps c est pas logique , tu me dis c est pas si grave si les enfants se touchent les mains ,et en même temps il faut suivre le protocole car ils peuvent qd même attraper le virus

Oui ok donc quoi ? On accepte des petites torsions au protocole imposé ? Ou on est strict et on le suit à fond ? Quelle es ta position réelle ?

Tu parles de pragmatisme , alors qu on dise que ce protocole est un ensemble de conseil fortement recommandé , et non pas obligatoires pour une réouverture d école ...

Regarde ce que dit le site du Gouvernement

Dans le cadre de la stratégie de déconfinement, il a été décidé d’ouvrir les écoles et établissements scolaires, progressivement, à partir du 11 mai 2020 et dans le strict respect des prescriptions émises par les autorités sanitaires. Des protocoles sanitaires précisent les modalités pratiques de réouverture et de fonctionnement.

C est clair

Il n'y a pas d'illogisme. Je te dis qu'il y aura forcément des incidents. Comme il y en a sur la distanciation sociale...
Deux enfants qui se touchent quelques secondes, oui cela arrivera.

Mais, c'est certainement moins grave que l'enfant qui va être emmené chez sa mamie, mamie qui revenait du supermarché et qui est passée chez une copine - et qui n'adopte pas toutes les précautions.

La mentalité d'un humain fait que si tu ne dis pas que c'est obligatoire, il transgresse beaucoup plus. Si tu ne mets pas un degré d'exigence élevé, les personnes se contenteront du minimum d'hygiène.

Le seul problème incontournable c'est l'espace. C'est maximum 10 personnes dans un même espace, avec les distances entre les bureaux.

Vu le nombre d'enfants qui pouvaient ne pas reprendre (parents au foyer, sans emploi, en télétravail...), les écoles qui ne peuvent véritablement pas réouvrir devraient être une exception.

Pour la suite, ils ont plusieurs mois pour y penser. Et il y aura certainement de nombreuses évolutions...

@Kaiserin j avais oublié , tu insinues en fait que les instit ne veulent pas rouvrir car ils ont peur .... t as entendu ça ou ?

J ai pas du tout cette impression , ils ne demandent pas un droit de retrait ils seraient prêts à ouvrir mais ils ne peuvent pas vu les conditions imposées
C est pas des jérémiades ou pleurnicheries comme tu dis c est du concret

Je vois rien que l école de mes enfants , école construite à la va vite ds les années 60 , pour la maternelle c est du préfabriqué
Bref élémentaire et primaire les couloirs font à peine 1,5 mètre de large , les classes exiguës , le nombre de lavabos réduits ds des locaux très petits , etc

Pour les moyens il y en a pas , ds l élémentaire la peinture des couloirs tombe par terre par plaques

Je crois que tu ne te rends pas compte de ce qui est demandé aux collectivités et écoles au vu de leurs moyens ....

Je défends pas toujours les instits mais là franchement je les comprends ....ils ont demandé des moyens pour accueillir les enfants suivant le protocole imposé , le maire peut pas , l école reste fermée , c est tout .... tu mets la faute sur qui qd c est comme ça ?

Les articles sur le sujet ne manquent pas ;
https://www.france24.com/fr/2020042...vie-de-renouer-le-contact-et-peur-du-covid-19

C'est mignon cette naïveté de croire qu'ils ne pensent qu'aux enfants.

Je m'en rends bien compte. Ils doivent s'adapter comme tout le monde.

Si tu réfléchis bien, les solutions sont plutôt simples. Sauf le manque d'espace, pour le reste, ce n'est pas insoluble dans l'immédiat.
 
A

AncienMembre

Non connecté
Le Dr Marty rappelle que quand on travaille dehors par 30 degrés, ce n’est pas toutes les 4h mais toutes les 2h qu’il faut changer de masque
A 95 centimes l’unité, ça fait plus de 200€ par mois

il parait qu'avant la crise, un masque coutait 0,12 centimes !

maintenant le meilleur prix, dans les grandes surfaces, ce sera 0,60 centimes.
 
A

AncienMembre

Non connecté
en fait l'état des connaissances change chaque jour avec l'apparition de nouvelles études
plus le virus qui mute...
 
il parait qu'avant la crise, un masque coutait 0,12 centimes !

maintenant le meilleur prix, dans les grandes surfaces, ce sera 0,60 centimes.

C'est un vrai business.

Même chose pour certaines couturières qui se font passer pour de grandes héroïnes en les vendant à des prix où elles margent très généreusement.

L'Etat aurait dû bloquer des prix. Je suis pour la liberté du commerce, mais cette situation exceptionnelle impose des mesures spéciales.

L'accès à des protections doit être envisagé comme celui de produits de première nécessité.

L'Etat aurait même dû les distribuer et doter chaque foyer en conséquence.

Il a raison ce Dr, pour des familles avec plusieurs enfants aux revenus modestes c'est hors de portée. On les exclut donc de facto de la protection sanitaire.

On aurait pu facilement mettre un système en place avec les pharmacies pour les faire passer sur la carte vitale, et donc intégralement remboursées.
En plus, cela aurait permis de doter correctement en fonction du nombre d'ayants droits.

Pour les non titulaires de carte vitale, un recensement et une distribution via les communes et associations.
 
A

AncienMembre

Non connecté
Ok @Kaiserin , pour l instant l état dit que 85% des écoles vont ouvrir
On verra ( ou pas ) , mais j ai du mal à y croire

plusieurs villes de l agglomération ici on déjà reporté l ouverture

Pour les masques c est une aberration , il ne faut pas se faire d illusion les gens prendront qq masqués qu ils réutiliseront a mon avis
 
A

AncienMembre

Non connecté
Ok @Kaiserin , pour l instant l état dit que 85% des écoles vont ouvrir
On verra ( ou pas ) , mais j ai du mal à y croire

oui mais on escompte que 15% des enfants viendront à l'école;
tous les parents qui le peuvent les garderont à la maison, tellement la peur a pris le dessus de tout.
 
Une manière d'installer Big brother en se servant de la "bonne cause"!
Ça fait déjà un moment, que l'espace publique est largement en vidéosurveillance voir videoprotection pour certains du pareil au même.. par contre je ne vois pas quels genres de camera ils vont rajouter en plus dans les transports, il y en a déjà beaucoup même dans les métros
 
A

AncienMembre

Non connecté
oui mais on escompte que 15% des enfants viendront à l'école;
tous les parents qui le peuvent les garderont à la maison, tellement la peur a pris le dessus de tout.

franchement je n aurais pas une fille avec des antécédents de maladie auto immune , ce virus ne me ferait pas peur

mais pour l école je ne pense pas que je les y mettrais qd même , déjà à cause de toutes ces conditions ( je préfère encore mes enfants chez moi et faire cours chez moi que ds les conditions ds lesquelles les écoles seront )
puis je laisserais la place à ceux qui n ont pas le choix qui doivent laisser leurs enfants , vu que de toutes façons meme ds les écoles ouvertes les places seront limitées
 

nordia

🇲🇫🇲🇦🇲🇫🇲🇦🇲🇫🇲🇦🇲🇫🇲🇦🇲🇫🇲🇦🇲🇫🇲🇦
Ok @Kaiserin , pour l instant l état dit que 85% des écoles vont ouvrir
On verra ( ou pas ) , mais j ai du mal à y croire

plusieurs villes de l agglomération ici on déjà reporté l ouverture

Pour les masques c est une aberration , il ne faut pas se faire d illusion les gens prendront qq masqués qu ils réutiliseront a mon avis
Oui à Villepinte en région parisienne beaucoup de parents se refusent à envoyer leur enfant les plus aisés mais ceux qui n ont pas le choix d aller bosser
 
Ça fait déjà un moment, que l'espace publique est largement en vidéosurveillance voir videoprotection pour certains du pareil au même.. par contre je ne vois pas quels genres de camera ils vont rajouter en plus dans les transports, il y en a déjà beaucoup même dans les métros

Je sais bien qu'il y en a, mais l'espace public n'est pas encore assez largement surveillé pour l'Etat.

C'est une belle occasion d'en rajouter en masse. :eek::ange:

Voici la loi :
https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F2517
 

Esperluette

Vivre et laisser vivre
VIB
Document émanant de l'Education Nationale

Covid-19 et risque de dérives sectaires

1. Enjeux

La crise du Covid-19 fragilise la population et contribue à développer un sentiment de vulnérabilité. La situation exceptionnelle que nous traversons et l’exploitation des peurs et des souffrances qu’elle suscite, sont propices aux risques de dérives sectaires et au renforcement de l’adhésion des adeptes. Depuis le 17 mars 2020, date à laquelle le gouvernement a opté pour un confinement strict de la majorité des français, la mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes) a déjà reçu plusieurs dizaines de signalements liés à la crise sanitaire du Covid-19.1. Enjeux• Identifier les changements de comportement des élèves, susceptibles d’être provoqués par des influences familiales ou extérieures. • Prévenir les risques de déstabilisation des élèves et les comportements irrationnels • Sensibiliser les élèves aux risques des discours dangereux qui prodiguent de faux remèdes et des conseils dangereux en lien avec le COVID-19.• Développer l’esprit critique des élèves pour mieux lutter contre la désinformation, les fake news, les rumeurs et les théories complotistes.

2. Conduites à tenir Identifier l’exploitation de la pandémie par les groupes sectaires

Durant la période de la crise sanitaire, les enfants sont exposés à des discours anxiogènes, particulièrement lorsque leurs parents adhèrent à un groupe sectaire. En effet, la pandémie mondiale est présentée par certains prédicateurs, gourous ou idéologues comme :• le révélateur de la volonté et de la puissance divine, • un avertissement de la « Nature », de forces obscures ou d’esprits divins, • un « châtiment envoyé par Dieu » et le signe de l’imminence de l’apocalypse,• le retour à la croyance comme seule solution salvatrice.Identifier les situations d’élèves en situation de risques de dérives sectaires. L'enfant étant dépendant de son environnement, une attention doit donc être portée aux élèves dont les responsables légaux, adeptes de certaines idéologies ou croyances, sont réticents ou opposés aux recommandations faites en matière de santé publique : contournement du confinement pour des rassemblements, refus de traitements, d'examens médicaux ou de tests sanguins, etc

Suite et doc PDF là
 

Esperluette

Vivre et laisser vivre
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C'est pour notre bien 241105

_

Coronavirus : la piste des bracelets électroniques pour tracer les contacts des malades

Plusieurs pays ont désormais recours à des bracelets électroniques pour suivre la propagation du coronavirus. Démarché par un leader français de l'Internet des objets, le gouvernement ne ferme pas la porte à l'éventualité d'utiliser des objets connectés pour les Français qui ne peuvent pas utiliser de smartphone.

Un voyageur porte un bracelet électronique à l'aéroport de Hong Kong le 18 avril 2020
Un voyageur porte un bracelet électronique à l'aéroport de Hong Kong le 18 avril 2020

Mise à jour du 24 avril 2020 : Le cabinet du secrétariat d'Etat au Numérique précise à RTL que si le gouvernement travaille sur un objet connecté susceptible d'être associé à une éventuelle application de traçage des contacts des malades, il ne s'agit en aucun cas de "suivre les malades, ni de géolocalisation".

"Il ne s'agit pas d'être coercitif, on est sur une démarche uniquement volontaire qui concerne tous les Français. On réfléchit à des solutions pour les gens qui n'ont pas de smartphone et ceux qui ne savent pas l'utiliser même si la cible principale de l'application sont les gens vivant en milieu urbain dense et utilisant des transports en commun. Depuis le début, des industriels apportent des projets, des choses sont étudiées, mais la solution d'un bracelet électronique n'est pas du tout priorisée pour l'instant, sachant que le traçage humain permettra de suivre ceux qui n'ont pas de smartphone".


Article original : L'exploitation des données des Français dans le cadre de la lutte contre l'épidémie de coronavirus suscite de nombreuses convoitises. Parallèlement au projet officiel d'application de traçage numérique des contacts des malades, StopCovid, porté par les chercheurs de l'Inria et attendu au Parlement lundi, où il doit être débattu puis soumis à la consultation des députés, un certain nombre d'industriels français développent dans l'ombre des solutions alternatives et se tiennent prêts à les mettre à la disposition du gouvernement.

Très en pointe sur le sujet, en fournissant les données de géolocalisation anonymisées de ses abonnés à l'Inserm dès le début de la crise, l'opérateur historique Orange s'est associé à cinq sociétés françaises (Dassault Systèmes, Capgemini, Sopra Steria, SIA Partners et Accenture) pour concevoir une application de "contact tracing" qui fonctionne en Bluetooth, comme celle du gouvernement. Actuellement à l'état de prototype, elle serait déjà prête à être testée et plusieurs régions auraient été démarchées en ce sens.

Une autre approche est explorée par un fleuron français de l'Internet des objets. Comme son patron l'a évoqué dans un entretien au journal Les Echos, la société toulousaine Sigfox, spécialiste des réseaux télécoms bas débit, propose de tracer les contacts des personnes infectées par le coronavirus à l'aide d'un bracelet connecté indépendant du smartphone. L'entreprise a déjà réalisé un prototype et se dit prête à collaborer avec les acteurs intéressés pour aller plus loin. Des discussions ont été ouvertes avec le gouvernement sur le sujet.

 

nwidiya

Moulate Chagma Lmech9o9a 🤣
Super Modératrice
Document émanant de l'Education Nationale

Covid-19 et risque de dérives sectaires

1. Enjeux

La crise du Covid-19 fragilise la population et contribue à développer un sentiment de vulnérabilité. La situation exceptionnelle que nous traversons et l’exploitation des peurs et des souffrances qu’elle suscite, sont propices aux risques de dérives sectaires et au renforcement de l’adhésion des adeptes. Depuis le 17 mars 2020, date à laquelle le gouvernement a opté pour un confinement strict de la majorité des français, la mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes) a déjà reçu plusieurs dizaines de signalements liés à la crise sanitaire du Covid-19.1. Enjeux• Identifier les changements de comportement des élèves, susceptibles d’être provoqués par des influences familiales ou extérieures. • Prévenir les risques de déstabilisation des élèves et les comportements irrationnels • Sensibiliser les élèves aux risques des discours dangereux qui prodiguent de faux remèdes et des conseils dangereux en lien avec le COVID-19.• Développer l’esprit critique des élèves pour mieux lutter contre la désinformation, les fake news, les rumeurs et les théories complotistes.

2. Conduites à tenir Identifier l’exploitation de la pandémie par les groupes sectaires
Durant la période de la crise sanitaire, les enfants sont exposés à des discours anxiogènes, particulièrement lorsque leurs parents adhèrent à un groupe sectaire. En effet, la pandémie mondiale est présentée par certains prédicateurs, gourous ou idéologues comme :• le révélateur de la volonté et de la puissance divine, • un avertissement de la « Nature », de forces obscures ou d’esprits divins, • un « châtiment envoyé par Dieu » et le signe de l’imminence de l’apocalypse,• le retour à la croyance comme seule solution salvatrice.Identifier les situations d’élèves en situation de risques de dérives sectaires. L'enfant étant dépendant de son environnement, une attention doit donc être portée aux élèves dont les responsables légaux, adeptes de certaines idéologies ou croyances, sont réticents ou opposés aux recommandations faites en matière de santé publique : contournement du confinement pour des rassemblements, refus de traitements, d'examens médicaux ou de tests sanguins, etc

Suite et doc PDF là
Si les parents pensent ça c’est quoi
Risque pour l’enfant? ( excusez ma curiosité mais j arrive pas à faire de lien )
Ces gens là arrêteraient de se prémunir contre le covid ???
 

nwidiya

Moulate Chagma Lmech9o9a 🤣
Super Modératrice
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Coronavirus : la piste des bracelets électroniques pour tracer les contacts des malades

Plusieurs pays ont désormais recours à des bracelets électroniques pour suivre la propagation du coronavirus. Démarché par un leader français de l'Internet des objets, le gouvernement ne ferme pas la porte à l'éventualité d'utiliser des objets connectés pour les Français qui ne peuvent pas utiliser de smartphone.

Un voyageur porte un bracelet électronique à l'aéroport de Hong Kong le 18 avril 2020'aéroport de Hong Kong le 18 avril 2020
Un voyageur porte un bracelet électronique à l'aéroport de Hong Kong le 18 avril 2020

Mise à jour du 24 avril 2020 : Le cabinet du secrétariat d'Etat au Numérique précise à RTL que si le gouvernement travaille sur un objet connecté susceptible d'être associé à une éventuelle application de traçage des contacts des malades, il ne s'agit en aucun cas de "suivre les malades, ni de géolocalisation".

"Il ne s'agit pas d'être coercitif, on est sur une démarche uniquement volontaire qui concerne tous les Français. On réfléchit à des solutions pour les gens qui n'ont pas de smartphone et ceux qui ne savent pas l'utiliser même si la cible principale de l'application sont les gens vivant en milieu urbain dense et utilisant des transports en commun. Depuis le début, des industriels apportent des projets, des choses sont étudiées, mais la solution d'un bracelet électronique n'est pas du tout priorisée pour l'instant, sachant que le traçage humain permettra de suivre ceux qui n'ont pas de smartphone".


Article original : L'exploitation des données des Français dans le cadre de la lutte contre l'épidémie de coronavirus suscite de nombreuses convoitises. Parallèlement au projet officiel d'application de traçage numérique des contacts des malades, StopCovid, porté par les chercheurs de l'Inria et attendu au Parlement lundi, où il doit être débattu puis soumis à la consultation des députés, un certain nombre d'industriels français développent dans l'ombre des solutions alternatives et se tiennent prêts à les mettre à la disposition du gouvernement.

Très en pointe sur le sujet, en fournissant les données de géolocalisation anonymisées de ses abonnés à l'Inserm dès le début de la crise, l'opérateur historique Orange s'est associé à cinq sociétés françaises (Dassault Systèmes, Capgemini, Sopra Steria, SIA Partners et Accenture) pour concevoir une application de "contact tracing" qui fonctionne en Bluetooth, comme celle du gouvernement. Actuellement à l'état de prototype, elle serait déjà prête à être testée et plusieurs régions auraient été démarchées en ce sens.

Une autre approche est explorée par un fleuron français de l'Internet des objets. Comme son patron l'a évoqué dans un entretien au journal Les Echos, la société toulousaine Sigfox, spécialiste des réseaux télécoms bas débit, propose de tracer les contacts des personnes infectées par le coronavirus à l'aide d'un bracelet connecté indépendant du smartphone. L'entreprise a déjà réalisé un prototype et se dit prête à collaborer avec les acteurs intéressés pour aller plus loin. Des discussions ont été ouvertes avec le gouvernement sur le sujet.

J ai vu une vidéo d’u. Youtubeur en Chine . Avant d’entrer dans un resto ou centre commercial on flash leur bracelet et on prend la température
Je vous la poste après le ftough
 

nwidiya

Moulate Chagma Lmech9o9a 🤣
Super Modératrice
D’ailleurs la prise de température en France devient caduque car elle est assimilée à un acte médicale donc seul un médecin ou une infirmière est en mesure de la prendre .
Donc finalement dans les lieux publics transports etc : exit cette préconisation
De plus il parait que la température ne veut pas forcément dire covid 🙄
Ahe bon? J’aurais parié que si...
Sans doute à cause des infos que j ai entendues en boucle...

:D
 
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