Les BRICS : c’est du flan

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Ok, donc d'un point de vue historique et géographique c'est tout de même plus légitime à la Chine, ou tout du moins c'est une contrée habitée par des populations asiatique, mongole peut-être, à la base.

Mouais au final cela ne nous regarde pas. Mais ils ont pas assez d'espace territoriale ces deux pays? Est ce bien sérieux tout cela 🤔
Les empires c'est comme le cancer, ça a toujours tendance à s'étendre.
 
Ok, donc d'un point de vue historique et géographique c'est tout de même plus légitime à la Chine, ou tout du moins c'est une contrée habitée par des populations asiatique, mongole peut-être, à la base.

Mouais au final cela ne nous regarde pas. Mais ils ont pas assez d'espace territoriale ces deux pays? Est ce bien sérieux tout cela 🤔
C'est un véritable territoire chinois conquis par la Russie pendant la deuxième guerre de l'Opium.
 
Nouvelles routes de la soie, Belt and road initiative (B.R.I.)

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Historiquement, les routes de la soie étaient un réseau d'échanges commerciaux reliant le monde chinois au bassin méditerranéen, depuis l'Antiquité. Les fouilles archéologique ont ainsi révélé l'existance de circulation monétaire sur de très longues distances.
Les nouvelles routes de la soie sont un projet stratégique chinois initié en 2013 et visant à relier économiquement la Chine à l’Europe, en intégrant les espaces d’Asie Centrale par un vaste réseau de corridors routiers et ferroviaires. Surnommé le « projet du siècle » par Xi Jinping, ce programme vise à créer une nouvelle génération de comptoirs transnationaux. Dans son versant maritime, ce réseau de routes commerciales inclut les espaces africains riverains de l’Océan indien.
En anglais, l'expression Belt and Road Initiative (BRI) a remplacé à partir de 2017, dans la terminologie officielle, l’expression « One Belt, One Road » (« une ceinture, une route ») ou OBOR. La référence historique à la route caravanière qui reliant la Chine à la Méditerranée est explicite dans les discours officiels chinois, dès l'annonce du projet en 2013 à Astana (Kazakhstan), lors d’une tournée en Asie centrale du président chinois Xi Jinping.
Depuis, ce projet est devenu central dans la politique économique chinoise. Il concerne plus de 68 pays regroupant 4,4 milliards d’habitants et représentant près de 40 % du produit intérieur brut (PIB) de la planète. Les banques et institutions financières chinoises, notamment la Banque asiatique de d'investissement pour les infrastructures (BAII), ont largement été sollicitées pour mettre en place un tel projet.

Document 1. Les projets de transports intégrés aux Nouvelles routes de la soie​

nouvelles routes de la soie BRI belt and road initiative

Les transports ne sont qu'un volet du projet « Belt and Road Initiative ». Par rapport à la carte ci-dessous, publiée dans Géoconfluences en 2018, cette version a été revue, corrigée et actualisée en 2023. Certaines informations de la version précédente, comme les conduites (gazoducs et oléoducs), n’ont pas été reportées, parce que leur existence n’est pas directement liée aux Nouvelles routes de la soie. De nombreux projets transasiatiques figurent fréquemment sur les cartes de la B.R.I. alors même qu’ils ne doivent pas leur existence aux investissements réalisés dans le cadre de ce projet.
Voir la version précédente de la carte (2018)

 
Les objectifs économiques sont multiples pour la Chine : il s’agit d’accroître ses exportations, d'écouler sa production et de trouver de nouveaux marchés pour ses entreprises de bâtiments et de travaux publics. En effet, la Chine est en surcapacité industrielle. Or, l’Asie centrale est un marché en pleine expansion. Autre objectif économique, la création de ces routes répond également à un besoin de diversification et de sécurisation de ses approvisionnements énergétiques. L'Asie centrale représente pour la Chine un intérêt majeur afin de se libérer de sa dépendance énergétique vis-à-vis des pays du Golfe et de la Russie. En solidifiant des accords de coopérations avec des pays comme le Sri Lanka, le Bangladesh ou la Birmanie, elle assure en même temps la sécurité de ses nouvelles routes d’approvisionnement.
Politiquement, l'objectif est autant intérieur qu’international. Sur le plan interne, il s’agit pour la Chine d’assurer l’intégrité de son territoire. La province du Xinjiang, très riche en matières premières et au carrefour des routes d’hydrocarbures, est régulièrement en proie à des conflits ethniques. Pékin souhaite que l’aide au développement des pays limitrophes (Afghanistan, Kazakhstan, Tadjikistan, Kirghizstan), réduise l’instabilité aux frontières et à l’intérieur du pays. L’objectif interne se greffe à un objectif de politique régionale en Asie centrale : étendre l’influence chinoise face à l’acteur historique russe, et s’affirmer comme un acteur stabilisateur des relations internationales.
Toutefois, le projet est loin de représenter une offensive économique planifiée de la part de la Chine. Dans un article de 2023, Frédéric Lasserre et al. montrent qu'il existe un écart important entre les projets et les déclarations d'intention d'une part, et les réalisations concrètes de l'autre. Le saupoudrage des investissements entre des secteurs très variés (transports et énergie, mais aussi agriculture, immobilier, finance...) et sur tous les continents font perdre au projet de sa consistance et de sa lisibilité, ce que les critiques internes dénoncent en Chine même au sein du PCC. Il faut donc se garder d'une vision maximaliste qui prêterait à tout investissement chinois l'ambition de s'insérer dans les nouvelles routes de la soie, alors que dans les faits les projets ne sont pas intégrés à une vision unique (Lasserre et al., 2023).
Nashidil Rouiaï, septembre 2018. Dernières modifications (JBB), mars 2022, juin 2023.




Disponible en pdf.

Article intéressant, très neutre pour le coup.
 
Sur le même sujet, autre angle de vue:

Nouvelle routes de la soie»: l’Europe «ne veut pas s'inscrire en opposition à la Chine»​

Le 7 septembre 2013, Xi Jinping lançait son vaste projet des « nouvelles routes de la soie ». Un chantier qui a suscité de nombreuses réactions, des États-Unis, du Japon, de l’Inde, mais aussi de l’Union européenne. Le 1er décembre 2021, Bruxelles a annoncé le lancement de la stratégie Global Gateway (« portail mondial » en Français). Nous analysons les contours, la philosophie, le financement de cette initiative européenne, avec Françoise Nicolas, directeur du Centre Asie de l'Institut français des relations internationales (Ifri).

RFI : Françoise Nicolas, il aura fallu huit ans pour que l’Union européenne lance le Global Gateway. Peut-on en conclure que les Européens sont longtemps restés sans stratégie face au narratif chinois concernant les « nouvelles routes de la soie » ?

Françoise Nicolas:
L’Union européenne est en effet restée assez muette face à la Chine et on peut donc se réjouir que finalement en 2021, elle ait lancé une stratégie. Cela étant dit, il faut être bien clair sur la nature de la stratégie européenne. Il ne s'agit pas d'apporter une réponse à la BRI (« Belt and Road Initiative », le nom officiel du projet des « nouvelles routes de la soie »). Ce que l'Europe essaie de faire, c'est apporter sa propre pierre à l'édifice, mais elle n'est pas nécessairement en opposition au projet chinois. Elle envisage, par exemple, de s'associer éventuellement à la Chine sur certains projets. Donc, on peut se féliciter que l'Europe ait défini sa propre stratégie mais le problème, c'est que jusqu'à présent, on n’a pas vu énormément de choses très concrètes sur le terrain.

Vous nous dîtes qu’il ne faut pas y voir un contre-projet, mais en même temps, quand on s’attarde sur les termes choisis par l'Union européenne : prise en compte du changement climatique, conception de projets durables et de qualité, transparence, on peut percevoir ce positionnement comme un contre-pied clairement affiché aux « nouvelles routes de la soie » chinoises, non ?

En effet, il est important de souligner que politiquement, l'Europe ne veut clairement pas s'inscrire en opposition à la Chine, mais quand on regarde dans le détail, on voit bien que les pratiques, la manière de faire sont fondamentalement différentes. Le Japon a le même positionnement. L’accent est mis sur des infrastructures de qualité. Il y a donc une opposition aux manières de faire chinoises, mais malgré tout, officiellement, il ne s'agit pas d'un contre-projet. Toutefois, derrière les annonces officielles de coopération potentielle avec la Chine, concrètement, on voit mal comment tout ça pourrait se passer.

 
Même sujet, autre angle de vue:

ÉDITO - Routes de la soie : Pourquoi la Chine est prise au piège​

La Chine fait face aux difficultés financières de dizaines de pays associés au projet des nouvelles routes de la soie. Pékin a été contraint de débourser plus de 200 milliards d’euros de prêts et de refinancement d’urgence.​


Les fameuses routes de la soie chinoises, ces projets de routes terrestres et maritimes sur les cinq continents, sont en train de sombre. Lancé en 2013 par le président Xi Jinping, ce gigantesque projet d’infrastructures de 800 milliards d’euros devait relier la Chine à toutes les parties du monde, y compris le pôle Nord. Il s’agissait de ressusciter les antiques routes de la soie du début de notre ère, qui ont servi pendant des siècles au commerce des biens, de l’argent, des techniques et des idées, confortant la suprématie chinoise. C’est au titre des nouvelles routes de la soie que la Chine a par exemple racheté le port du Pirée, en Grèce. Les projets initiaux allaient même jusqu’à l’atlantique français, avec comme point d’arrivée la ville de Brest. Dix ans plus tard, c’est plutôt la déroute de la soie.

L’effondrement financier de dizaines de pays qui avaient contracté des prêts à Pékin, pour financer ces infrastructures. À cause de la hausse des taux d’intérêt, de la montée du cours des matières premières qui étrangle certaines économies, de l’appréciation du dollar qui a aussi renchéri certains emprunts et du management épouvantable des constructions, les routes, les ports, les ponts, les barrages, par les entreprises chinoises. Selon une étude de AidData et de la Harvard Kennedy School parue cette semaine, la Chine a dû débourser plus de 200 milliards d’euros de prêts et de refinancement d’urgence, dont la moitié sur les seules trois dernières années. Pékin a été contraint d’organiser 128 opérations de sauvetage financier, pour 22 pays.

La Chine premier créditeur planétaire​

Le Sri Lanka, effondré par une crise de la dette. Le Bangladesh, dont le ministre des Finances conseillait l’été dernier aux pays candidats à des prêts de Pékin la plus grande des prudences. Mais c’est aussi l’Argentine, le Surinam, le Venezuela, la Turquie, l’Égypte… L’Ukraine, qui devait être une plaque tournante importante – inutile de dire que ça ne se fera plus. C’est bien simple, dans les dernières années, la Chine était devenue le premier créditeur planétaire pour les pays en développement, devant le FMI et la Banque mondiale.

L’idée était simple, il s’agissait de faire travailler les entreprises de BTP chinoises dans le monde entier, en faisant payer les pays grâce à des prêts léonins des banques chinoises – les taux à 5% étaient courants, alors que les organismes internationaux prêtaient à 2. Du coup, ils ont construit n’importe quoi, ce qu’on appelle des éléphants blancs. Sans aucun souci environnemental, souvent avec des affaires de corruption. Une route sans destination construite au Monténégro pour un milliard de dollars, rapporte ainsi le Financial Times. Un barrage en Équateur, installé tout près d’un volcan actif, sur lequel on compte déjà 7000 fissures. Un gigantesque port au Sri Lanka, construit dans la ville natale du président, surdimensionné et finalement saisi par les Chinois à cause d’impayés.

Les déboires vont mettre en coup de frein sur le déploiement de ces routes. Mais le projet de mettre en place une mondialisation alternative, subsiste lui, pour rivaliser avec les Américains, avec ou sans infrastructures. La guerre d’Ukraine lui a même donné un coup d’accélérateur, puisque la Chine se présente désormais comme le maître du monde non occidental, et qu’elle est devenue le premier partenaire commercial de la Russie.

 
On trouve encore nombre d'articles sur le sujet qui traité à chacun sa manière, comme souvent.

Je termine simplement par celui-ci:

L’économie des nouvelles routes de la soie: Opportunités et risques liés aux corridors de transport​




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La Chine a lancé les « nouvelles routes de la soie » en 2013. Ce projet baptisé Belt and Road Initiative (BRI) a pour objectif d’améliorer les voies de communication et la coopération à l’échelle transcontinentale.
Parce qu'il est ardu de mesurer les effets d’un projet d’une si grande ampleur, le Groupe de la Banque mondiale a entrepris de conduire une analyse indépendante des risques et opportunités associés au développement de ces corridors de transport. Élaborée à partir de travaux de recherche empirique et d’un modèle économique rigoureux, l’étude intitulée Belt and Road Economics entend aider les pays prenant part à l’initiative à entreprendre les investissements et les réformes qui répondront au mieux à leurs besoins de développement. Son but est aussi de nourrir les débats sur l’initiative des nouvelles routes de la soie en les ancrant sur une analyse et des données objectives.

TÉLÉCHARGER LE RAPPORT




« Pour réaliser les ambitions des nouvelles routes de la soie, les pays participants devront entreprendre des réformes tout aussi ambitieuses. Il sera particulièrement important d’améliorer la communication et la transparence des données, notamment en ce qui concerne la dette et la commande publique, et de se conformer aux normes sociales et environnementales les plus exigeantes. »
Ceyla Pazarbasioglu
vice-présidente, Croissance équitable, finance et institutions

Les principales conclusions

Résumé :
Les nouvelles routes de la soie peuvent considérablement améliorer les échanges commerciaux, les investissements étrangers et les conditions de vie des habitants des pays participants. Mais pour cela, la Chine et les pays de la Belt and Road doivent engager des réformes plus profondes afin de renforcer la transparence, développer le commerce, améliorer la soutenabilité de la dette et atténuer les risques environnementaux, sociaux et de corruption.

1. Dans les pays traversés par les nouvelles routes de la soie, l’essor des échanges commerciaux et des investissements directs étrangers (IDE) pâtit du manque d’infrastructures et de politiques publiques adaptées. La construction de nouvelles infrastructures peut contribuer à combler ces lacunes, mais elle est coûteuse, et ce d’autant plus qu’elle s’inscrit dans un contexte de hausse de la dette publique.
  • À l’heure actuelle, on estime que le niveau des échanges commerciaux et des IDE dans les économies concernées est inférieur de 30 % et 70 % respectivement par rapport à leur potentiel.

 
2. Parce qu’ils permettront de faire baisser le coût du commerce, les projets de transport entrepris dans le cadre des nouvelles routes de la soie peuvent conduire au développement des échanges commerciaux, à la hausse des investissements et à la réduction de la pauvreté. Mais, pour certains pays, le coût des nouvelles infrastructures risque de l’emporter sur les gains potentiels.
  • En supposant que ces projets de transport soient intégralement réalisés, ils pourraient se traduire par une augmentation des échanges commerciaux dans le monde comprise entre 1,7 et 6,2 %, ce qui entraînerait une hausse du revenu réel mondial comprise entre 0,7 et 2,9 %.
3. En les accompagnant de réformes complémentaires, il est possible de maximiser les effets positifs des projets de transport des nouvelles routes de la soie et de faire en sorte que les gains qui en découlent profitent au plus grand nombre. Pour certains pays, ces réformes sont même une condition préalable aux gains nets potentiels associés à ces projets.
  • L’étude estime que le revenu réel des pays participants pourrait être de deux à quatre fois plus élevé s’ils mettent en œuvre des réformes qui réduisent les temps d’attente aux frontières et assouplissent les restrictions commerciales.
4. L’initiative des nouvelles routes de la soie comporte des risques propres à tout grand projet d’infrastructure. Ces risques pourraient être aggravés par un degré de transparence et d’ouverture limité au niveau de l’initiative elle-même, ainsi que par la situation médiocre de plusieurs pays participants sur le plan de la gouvernance et des fondamentaux économiques.
  • Risques liés à la soutenabilité de la dette : Sur les 43 pays à revenu faible ou intermédiaire pour lesquels des données détaillées sont disponibles, douze risquent d'être confrontés à moyen terme à une détérioration de la viabilité de leur dette.
  • Risques liés à la gouvernance : En se rapprochant des bonnes pratiques mondiales en matière de transparence et d’ouverture dans la passation des marchés publics, les pays seraient davantage en mesure de garantir que les projets liés aux nouvelles routes de la soie soient attribués aux entreprises les mieux placées pour les mettre en œuvre.
  • Risques environnementaux : Les infrastructures de transport développées dans le cadre de l’initiative entraîneront, selon les estimations, une hausse des émissions de carbone de 0,3 % à l'échelle mondiale, mais qui pourra atteindre 7 % voire plus dans certains pays, en raison d’une augmentation de la production dans des secteurs plus émetteurs de CO2.
  • Risques sociaux : L’afflux de travailleurs associé à la réalisation d’un projet d’infrastructure peut générer des risques de violence contre les femmes, de maladies sexuellement transmissibles et de tensions sociales.


Rapport en dl.
 
Au passage:

"Historiquement, les routes de la soie étaient un réseau d'échanges commerciaux reliant le monde chinois au bassin méditerranéen, depuis l'Antiquité. Les fouilles archéologique ont ainsi révélé l'existance de circulation monétaire sur de très longues distances."



Toujours marrant les donneurs de leçons qui s'imagine que le monde dans l'antiquité était un monde rempli d'ignares où personne n'avait connaissance de ce qui se trouvait au delà de l'horizon. Chauvinisme bonjour:

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Et pourtant, rien de nouveau sous le soleil nous dit l'écclésiaste.
 
Pas intéressé par l'un, ni par l'autre. T'es pas melanchoniste rassure moi.

Moi je veux que mon labeur suffise à prospérer comme il se doit dans une situation de réalité et ne pas perdre mon temps à voter pour des mecs payer par le contribuable qui ne font que pavoiser et s'enrichir entre eux tout en se foutant de la gueule du monde.

Je veux être le roi sur mon domaine et régner en maître glaive à la main et un stick dans l'autre.

Un jour peut-être 🤷‍♂️

Sinon ça va le brics là t'en pense quoi objectivement, là, aujourd'hui? Faut redescendre d'un étage en ce qui concerne les illusions manifestement...
j'en pense qu'ils ont tétanisé l'occident qui n'ose plus attaquer les méchants dans le monde ...
 
Au passage:

"Historiquement, les routes de la soie étaient un réseau d'échanges commerciaux reliant le monde chinois au bassin méditerranéen, depuis l'Antiquité. Les fouilles archéologique ont ainsi révélé l'existance de circulation monétaire sur de très longues distances."



Toujours marrant les donneurs de leçons qui s'imagine que le monde dans l'antiquité était un monde rempli d'ignares où personne n'avait connaissance de ce qui se trouvait au delà de l'horizon. Chauvinisme bonjour:

Regarde la pièce jointe 366252


Et pourtant, rien de nouveau sous le soleil nous dit l'écclésiaste.
t'y crois çà à ces conneries de commerce sur 8000 km à travers foret plaine et montagne pour acheter de la soie contre de l'or ?
 
t'y crois çà à ces conneries de commerce sur 8000 km à travers foret plaine et montagne pour acheter de la soie contre de l'or ?

Bien sur, tout comme la route de l'ambre. C'est toi qui raconte des conneries à tout bout de champ du type:

j'en pense qu'ils ont tétanisé l'occident qui n'ose plus attaquer les méchants dans le monde ...

Bref.
 


@David39 Game of thrones.
 
@Bjorn, @David39 comme les chinois, je propose une nouvelle carte de France avec ses frontieres historiques. Nous recuperons egalement un peu de nos territoires chez nos alliés.

Regarde la pièce jointe 365830

🤣
10 sur 10 d'imagination
Vu comme ça.



Je ne connais pas bien ces pans de l'histoire. Faudrait que je m'y penche un peu.
Oui ça vaut la peine d'étudier comment les russes ont colonisé la partie orientale (jusqu'en Alaska) et en volant des territoires à une Chine affaiblie.
j'en pense qu'ils ont tétanisé l'occident qui n'ose plus attaquer les méchants dans le monde ...
Exact, malgré tout @Yancine et cie veulent nous faire croire que l'Occident aurait osé attaquer la Russie
 
10 sur 10 d'imagination

Oui ça vaut la peine d'étudier comment les russes ont colonisé la partie orientale (jusqu'en Alaska) et en volant des territoires à une Chine affaiblie.

Exact, malgré tout @Yancine et cie veulent nous faire croire que l'Occident aurait osé attaquer la Russie
ils n'osent plus attaquer directement comme avant en faisant les beaux dans leur chasseurs en larguant des bombes ou des missiles téléguidés ultra précis ... mais les proxys peuvent fonctionner quand ils sont trop stupide ... c'est le cas de l'Ukraine mais ce n'est pas le cas des pays de la CEDEAO ... les derniers pions vont sauter d'eux même tellement la pression est forte ...
 
La coalition des pays qui forment les BRICS est là pour contrer l’hégémonie des usa et des occidentaux qui utilisent leur monnaie et les embargos pour imposer leur politique aux autres pays. Peut-être, que les peuples des pays sous embargos souffriront un peu moins sans ces embargos ?

Mais faut pas s’attendre a la suppression de l’esclavage moderne ou l’esclave consent pour quelques miettes a enrichir les exploiteurs où ils se trouvent.

Les BRICS peuvent redresser les déséquilibres mondiaux, selon des experts :


Les BRICS offrent une occasion aux pays souhaitant améliorer le système commercial international actuel et le régime financier mondial qui minent les économies en développement petites et faibles, a indiqué à Xinhua Yusuf Dodia, président de l’Association pour le développement du secteur privé.


“Nous voyons une possibilité pour le monde de trouver (…) une manière plus équitable de coexister, une manière qui permettra aux petits pays de prospérer”, a-t-il affirmé.


Cet expert a estimé que les BRICS avaient le potentiel de remédier aux déséquilibres dans le monde où il y a une nécessité pour les pays de s’efforcent de mettre en place un système mondial équitable. Xinhua News Agency 29 août 2023



https://blogs.mediapart.fr/edition/...beaucoup-de-bruit-au-nord-peu-d-impact-au-sud

Cette vidéo d'Aberkane permet de mieux comprendre la nouvelle composition des BRICS. A l’exception toutefois de l’idée fortement saugrenue d’intégrer Israël, et à l’exception aussi de ce qu’il dit à propos de la dette, qui est ce qui met le bazar dans tous les pays. Poutine quand il est arrivé au pouvoir s’est dépêché d’éponger la dette et acheter de l’or. A l’époque où cela s’est fait, j’ai compris qu’il voulait affranchir son pays de la dominance américaine et qu’il voulait que son pays retrouve sa souveraineté. L’URSS ne s’est pas effondrée par hasard. Les démons américanosionistes y sont pour beaucoup.
A part le projet de contrer l'Occident (ce qui reste a démontrer) c'est quoi le bénéfice pour celui qui vit dans un pays brics, en terme de liberté d'expression, droits de l'homme, etc ?
 
A part le projet de contrer l'Occident (ce qui reste a démontrer) c'est quoi le bénéficie pour celui qui vit dans un pays brics, en terme de liberté d'expression, droits de l'homme, etc ?
c'est quoi pour toi les droits de l'homme ? le droit d'être pauvre en ayant la liberté d'espérer devenir riche ?

je suis contre la liberté et d'ailleurs un pays libre est un pays sans loi ...

va vivre dans la jungle si ça te chante !
 
ils n'osent plus attaquer directement comme avant en faisant les beaux dans leur chasseurs en larguant des bombes ou des missiles téléguidés ultra précis ... mais les proxys peuvent fonctionner quand ils sont trop stupide ... c'est le cas de l'Ukraine mais ce n'est pas le cas des pays de la CEDEAO ... les derniers pions vont sauter d'eux même tellement la pression est forte ...
L'Algerie a été un joli proxy...
 
c'est quoi pour toi les droits de l'homme ? le droit d'être pauvre en ayant la liberté d'espérer devenir riche ?

je suis contre la liberté et d'ailleurs un pays libre est un pays sans loi ...

va vivre dans la jungle si ça te chante !
Au moins ça a le mérite d'être clair.
Un pays sans loi pour toi. Sauf quand on a une éthique.
 
Je ne connais pas bien ces pans de l'histoire. Faudrait que je m'y penche un peu.
Ce n'est pas dans les livres d'histoire réécrits par poutine que tu trouveras des informations réelles.

Lis plutôt

Un livre historique super bien détaillé avec de nombreuses références.
 
c'est pour ça que je suis contre la liberté ...
En France ta liberté se limite à celle des autres. Pas compliqué. Une objection ?
Les lois permettent le vivre ensemble. D'amalgamer le tout.

La liberté véritable, celle que tu sembles refuser de voir alors que tu vis dans un pays où tu y baignes, réside dans un équilibre subtil entre la liberté individuelle et la protection des droits de chacun par les lois qui sont conçues pour garantir cette harmonie du vivre ensemble, en définissant des règles de jeu équitables pour tous.

Toi, comme moi.

Donc, un pays sans loi ne serait pas, comme tu sembles l'avancer, un pays libre, mais plutôt un sacré bordel où la liberté serait finalement sacrifiée au nom de l'absence de règles...

Une cité par exemple, zone de non droit... un monde merveilleux...pas de loi. On pourrait vivre dans le monde des Bisounours dans une cité. Mais l'humain préfère la violence, la domination, la haine, la peur. Donc c'est le caca, avec des gosses qui meurent tous les jours sans qu'aucun seul foute le feu aux poubelles pour protester.
 
Ce n'est pas dans les livres d'histoire réécrits par poutine que tu trouveras des informations réelles.

Lis plutôt

Un livre historique super bien détaillé avec de nombreuses références.

Si je trouve le temps un jour j'y veillerais. Merci.
 
Il n'y a que des conflits d'intérêts, je ne sais pas ce que vous essayer de défendre d'un côté comme de l'autre avec des idées sur ce qu'est la liberté...


“This is why you don’t bring back fallen warriors, sooner or later they’re going to see everything they fought for’s turned to shit.”
 
Exact, malgré tout @Yancine et cie veulent nous faire croire que l'Occident aurait osé attaquer la Russie.


Là dessus, écoute ce que dit J Baud


La relève de la 1ère ligne de défense russe (que les ukrainiens n’ont jamais même réussi à approcher) a concerné, en définitive, grosso-modo, env. 500 hommes.
Ce qui veut dire que 500 hommes ont résisté et ont usé toutes les brigades d’assaut qui leur ont été envoyées durant plus de 3 mois, soit 40 000 hommes environ avec tout leurs équipements lourds tels que chars, canons, etc.; mais rassurez-vous, la puissance de l’armée russe a sûrement des limites… mais elles sont largement au-delà de tout ce que l’ukraine sera en mesure de lui opposer.



…sauf qu’on sait qu’il faut mettre “otan” à la place de “ukraine”, et si J. Baud ne le fait pas c'est parce qu'il tient à continuer à faire ses conférences sûrement très bien payées, et à vendre ses bouquins.
 
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