Tu crois que tu m'apprend quelque chose là ? tu veut parler des "protéine chaperonnes" (je sais en Français c'est moins "sensationnel"...) ? engendré par les cellules pendant des moment de stress physico-chimique et brutal et qui affecte les gènes de développement par l'intermédiaire d'autres protéines ? Ce qui engendre une "mutation masquée" (ou silencieuse, sa ce dit aussi) c'est le rôle de la protéine HSP 90 qui accumule les mutations sans qu'elles est le moindre effet, un stress physico-chimique durant la phase embryonnaire ou une mutation du gène HSP 90 elle ne remplis plus sont rôle, et toutes les mutations accumulé arrive d'un coup !
C'est un jolie scénario, mais les évolutionnistes eux même admettent qu'il est hypothétique ! C'est pour ça que Ernst Mayr dis (attention sa viens pas de chez tonton Yahya mais de chez J.F Moreel le biochimiste et généticien) :
"Croire qu'une mutation d'une tel importance pourrait produire un nouveau type viable et capable d'occuper une nouvelles zone adaptative reviens à croire au miracle"
E. Mayr "Population, espèces et évolution", Hermann, 1974, pp. 279-280.
!
la prochaine fois prend des sources plus recente mon pauvre Kamal
À la fin de l'année 1998, deux généticiennes américaines, Suzanne L. Rutherford et Susan Lindquist, de l'université de Chicago, ont publié des résultats apportant pour la première fois la preuve que des changements de morphologie peuvent se réaliser avec rapidité d'une génération à l'autre par des mécanismes génétiques différant complètement de ceux postulés par la théorie néodarwinienne. Elles ont observé que des mouches drosophiles touchées par une mutation dans un gène particulier, appelé Hsp90, présentent des anomalies telles que pattes déformées, ailes de petites dimensions, yeux colorés en noir ou absents, etc. La fréquence d'apparition de ces mouches souffrant de difformités était d'abord faible : de 1 à 3 % de la population dans la première génération. Dans la mesure où, tels des « monstres prometteurs », elles étaient néanmoins capables de se reproduire, les chercheuses ont procédé à des croisements sélectifs des mouches difformes. De cette façon, en un petit nombre de générations, la malformation des yeux, par exemple, a concerné près de 90 % de la population (le nombre des gènes concourant à l'émergence de malformations de ce type étant de l'ordre d'une demi-douzaine, le même résultat n'aurait pas pu être facilement obtenu par le processus classique de la sélection cumulative des micromutations). Plus étonnant encore : les chercheuses ont montré que l'effet de la mutation de Hsp90, c'est-à-dire l'apparition de mouches monstrueuses, ne se fait souvent sentir que dans des conditions environnementales anormales (comme l'élévation de la température ambiante jusqu'à 30 °C). Elles ont alors expliqué la modification rapide des caractères morphologiques chez les drosophiles de la manière suivante....
http://www.larousse.fr/encyclopedie/ehm/sauts_évolutifs/182029
biologiquement l'homme est un animal.Faut vraiment que tu es rien comprit au créationnisme et à mes interventions pour croire que pour moi l'homme n'est pas un animal
tout a fait comparable à n'importe quel autre mammifere.