Exactement.
Ainsi le mercenaire s'enfuit, parce qu'il est mercenaire, et qu'il ne se soucie point des brebis. Je suis le bon berger, et je connais mes brebis, et mes brebis me connaissent. Comme le Père me connaît, je connais aussi le Père, et je donne ma vie pour mes brebis. A cause de ceci le Père m'aime, c'est que je laisse ma vie, afin que je la reprenne. Personne ne me l'ôte, mais je la laisse de moi-même; j'ai la puissance de la laisser, et la puissance de la reprendre; j'ai reçu ce commandement de mon Père. Mes brebis entendent ma voix, et je les connais, et elles me suivent. Et moi, je leur donne la vie éternelle, et elles ne périront jamais; et personne ne les ravira de ma main. Mon Père, qui me les a données, est plus grand que tous; et personne ne les peut ravir des mains de mon Père. Moi et le Père sommes un. (Jean 10:13-15, 17, 18, 27-30 FMAR)