Oui, ça s’appel la pédagogie. Mais à l’ère de l’instantanéité, ce n’est plus une chose rechercée. En plus elle demande du travail, alors elle est mal acceptée à l’ère du tout gratuit.
Ça dépend du domaine. L’informatique, c’est vaste. Parfois ça se résume à lire et mettre en pratique un mode d’emploi. Mais dans d’autres domaines, il y a de la théorie (du même niveau que les sciences fondamentales) ou de l’ingénierie.
Exactement. On fait croire que la pédagogie a été inventée avec les ordinateurs maintenant. De tout temps on s'est soucié de pédagogie.
Pour l'informatique je suis d'accord.
Moi je suis contre, on peut avoir le sérieux sans l’uniforme. L’uniforme, c’est l’uniformité, ce serait une mauvaise idée quand il est déjà trop demandé aux élèves de se plier à l’école sans que l’école ne s’adapte aux élèves. Je ne parle pas de manque d’assiduité de la part des élèves, mais de pédagogie adaptée à des groupes d’élèves. Ça manque, et l’uniforme ne ferait que remuer le couteau dans la plaie.
En fait j'aime bien les uniformes à l'anglaise om les élèves portent un uniforme mais peuvent porter leur signe religieux. Ca montre bien que la diversité est acceptée mais qu'on impose un standard scolaire, ça montre que le but est de donner une étiquette scolaire et pas d'exclure qui que ce soit.
Ar§s c'est juste un symboe pour moi l'uniforme ça a rien de nécessaire non plus.
Tu veux dire quoi en disant « super synthétiques » ?
On ne va pas chercher des savoir, on les étudie. Ce qu’on va chercher, c’est les données. Et les données sans le savoir, ça ne mène nul‑part, en effet.
Voila c'est ça et t'as raison de me corriger, ils vont à la pêche aux données et on fait passer ça pour la recherche d'un "savoir" qui se trouverait "au bout de leurs doigts", c'est tellement du n'importe quoi ...
Een fait ça me donne l'impression qu'on réduit désormais l'enseugmenet à une somme de connaissances pratiques, des données, pas de raisonnement, de réflexion, de cheminement derrière ... Et j'ai déjà remarqué ça chez les étudiants à l'université dans leur manière d'étudier et de faire leurs résumés.
Pour "super synthétiques" c'est aussi un mauvais terme, mais disons que leurs cours c'est juste une liste d'informations et ça tient sur une feuille. A l'époque où l'élève prenait note du cours, il prenait avec les explications, développements du professeur, il y'avait le chemonement pour aboutir à l'info, ça avait l'air long mais ça rendait l'nformation à apprendre beaucoup plus facile à retenir (puisque comprise) et surtout ça faisait que l'enseignement n'était pas réduite à une liste de données. maintenant c'est terminé c'est la pêche aux infos leurs cours, une liste de faits, comme ça. Et on s'étonne que ça ne les intéresse pas. Et on s'étonne qu'ils puisse pensenr ue le "savoif" se trouve sur internet. Alors que tout ce qu'on trouve sur internet c'est es données.
C'est pour ça que je parlais d'informatique tout à l'heure, parce qu'il est prof d'informatique, sans doute de codage, là om tu peu apprednre à coder grâce à la documentation sur intert, discipline où on a beaucoup de mal à voir les fondements du truc, et pou moi y'a un lien avec sa confusion entre savoir et données. Et c'est pas un hasard si c'est dans l'informatique qu'ont commencé à pulluler les trucs du genre mooc et compagnie.
Même si l'informatique c'est aussi des théories etc. comme tu le dis. Mais la partie la plus populaire et répandue de l'informatique c'est le "pissage de code" pour lequel l'enseignement est réduit à ses applications pratiques et où du coup tu peux effectivement troiuver tout sur internet. Quand on est dans le domaine du pissage d code, on a tendance à assimiler toutes les autres matières à une récolte de données sur internet alors que ça, c'est valable pour le "pissage de codes", à la rgieur pour les trucs du genre "management" et "marketing"m ais cetainement pas aux disciplins tradtionnelles qu'on enseigne à l'école, que ce soit les maths, les langues ou l'histoire, la géographie, etc.