Il commence en rappelant que cette épidémie n’est pas la catastrophe qu’en ont fait les médias, qu’il y a eu pire avant, sans bruit. Franchement, même sans être spécialiste, c’est bien ce que je me dis aussi. Si cette épidémie était vraiment grave, ça se verrait autour de chacun(e), et confinement ou pas, presque plus personne n’oserait sortir. Je resterai toujours convaincu je crois, que c’est la réaction de la Chine qui a semé la panique. Mais que l’épidémie ne soit pas si grave que ça ou pas, ça ne change rien aux conséquences graves de la mauvaise réaction, une réaction même pas cohérente d’ailleurs : les conséquences économiques, ont va les souper longtemps. Je considère que l’aggravation de la crise économique fait partie des symptômes de ce virus, mais qu’on a « nous‑mêmes » favorisé ces symptômes. Dans un sondage, j’ai remarqué que les gens mettent en balance l’économique et le sanitaire, alors qu’on ne peut pas faire peser l’un plus que l’autre : l’économique peut autant faire que les gens vont mal que le sanitaire, une mauvaise situation économique tue même plus que ce virus, c’est déjà le cas depuis des années (12 000 à 14 000 morts par an en france imputable à la pauvreté).
Ceci dit, que l’épidémie soit sanitairement grave ou pas, ça ne coûte rien de faire attention, ça reste préférable. En tous cas, c’est moins nocif que l’enfermement de la population.
Ensuite il parle d’une étude contradictoire ne respectant pas les règles, après qu’il ait été accusé de ne pas les respecter. Ce n’est pas une surprise, vu le niveau des arguments qu’on a entendu contre lui.
Il finit en mentionnant que vu le cours en bourse de deux entreprises concurrentes, dont il a été accusé de manœuvrer au profit de l’une d’elle, on devrait plutôt suspecter que ce sont plutôt ses détracteurs qui devraient être suspectés de manœuvrer au profit de l’autre. Vu le graphique qu’il présente, ce serait en effet facile à croire. Reste à savoir si ces détracteurs manœuvrent délibérément à cette fin ou si c’est une coïncidence, on ne sait pas et on ne le saura peut‑être jamais — ou peut‑être aussi qu’on le saura un jour ….