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Scandales et mensonges d'état : Coronavirus
- Initiateur de la discussion amachou
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Coronavirus : La France informée le 31 décembre de l’apparition du Covid-19, selon le Quai D’Orsay
EPIDEMIE Un article du « Canard enchaîné » paru mercredi affirme que l’Elysée a reçu des informations « alarmantes » en décembre
www.20minutes.fr
EPIDEMIE Un article du « Canard enchaîné » paru mercredi affirme que l’Elysée a reçu des informations « alarmantes » en décembre
La France informée le 31 décembre de l’apparition du Covid-19
Un article du « Canard enchaîné » paru mercredi affirme que l’Elysée a reçu des informations « alarmantes » en décembre
L'hôpital Schweitzer de Colmar évoque des cas de Covid dès novembre
L'hôpital de Colmar fait état ce jeudi 7 mai de l'apparition de cas de coronavirus dès la mi-novembre en Alsace. Soit trois mois et demi avant le premier cas officiel dans la région, un homme de 36 ans qui rentrait de Lombardie, diagnostiqué à Strasbourg le 27 février.
www.dna.fr
L'hôpital de Colmar fait état ce jeudi 7 mai de l'apparition de cas de coronavirus dès la mi-novembre en Alsace. Soit trois mois et demi avant le premier cas officiel dans la région, un homme de 36 ans qui rentrait de Lombardie, diagnostiqué à Strasbourg le 27 février.
Coronavirus. L'hôpital Schweitzer de Colmar évoque des cas de Covid dès novembre
L'hôpital de Colmar fait état ce jeudi 7 mai de l'apparition de cas de coronavirus dès la mi-novembre en Alsace. Soit trois mois et demi avant le premier cas officiel dans la région, un homme de 36 ans qui rentrait de Lombardie, diagnostiqué à Strasbourg le 27 février.
www.dna.fr
2017-2020 : comment la France a continué à détruire son stock de masques après le début de l’épidémie
www.lemonde.fr
2017-2020 : comment la France a continué à détruire son stock de masques après le début de l’épidémie
Retour sur les choix faits depuis l’arrivée au pouvoir d’Emmanuel Macron, et nos informations sur la gestion chaotique des stocks.
La députée pro-chloroquine Martine Wonner exclue de LREM
www.lexpress.fr
La députée pro-chloroquine Martine Wonner exclue de LREM
L'élue du Bas-Rhin avait voté contre le plan de déconfinement du gouvernement.
ABBVIE ?
c'était les concurrents directs (avec GILEAD) du traitement à la chloroquine
Dernière édition:
J'aimerais qu'on m'explique pourquoi l'hôpital de chez moi n'est pas débordé de cas de cov19?
Même une personne qui a fait 2 fois les urgences pendant le confinement relaie l'information que les soignants lui ont dit qu'il y'a zéro cas chez eux !
Peut-être a t-elle mal compris mais quoiqu'il en soit , il ne s'y passe pas grand chose!
Cette même personne qui était au chômage vient de trouver un emploi dans une maison de retraite, elle souffre d'hypertension, on l'a donc rassurée : " Ne vous inquiétez pas, il y a zéro cas chez nous"!
Cette même personne ( décidément ) nous dit à nous qui sommes confinés pour de vrai : " les gens sortent comme si c'était déjà le déconfinement "!
Bref, il y aura pas mal de chose à clarifier sur ce qu'il s'est vraiment passé...
Le 78 est un département moins touché avec ses plus de 260 communes ou la distanciation social est plus facile à appliquer, les quatre départements le plus touché en France sont paris en premier, le val de marne second, les hauts de seine en troisième et en quatrième la seine saint Denis
A
AncienMembre
Non connecté
Coronavirus: un stock d'un million et demi de masques chirurgicaux détruit en pleine épidémie
13/05/2020
En pleine crise sanitaire liée au coronavirus, un stock d'un million et demi de masques chirurgicaux entreposés dans la Marne a été brûlé entre janvier et mars 2020, sans que leur état n'ait été vérifié auparavant. Une destruction stoppée par le gouvernement sur le tard, au mois d'avril dernier.
Cela s'apparente à un immense gâchis. Fin mars, alors que la France fait face à une importante pénurie de masques en pleine épidémie de coronavirus, le gouvernement découvre qu'il en possède en réalité un stock astronomique caché dans la Marne. Mais selon nos informations, il va falloir quatre semaines pour que l'Etat sache si ces masques sont utilisables ou pas.
Le 25 mars dernier, au 12e jour de confinement, le gouvernement apprend qu'un stock de 362 millions de masques chirurgicaux est entreposé dans un hangar secret du département de la Marne. Mais trop vieux ou jugés plus fonctionnels, ces masques avaient été considérés comme désuets avant le début de l'épidémie. Ils sont donc voués à être détruits.
85 millions de masques sauvés in extremis
Entre janvier et mars 2020, pas moins d'un million et demi de masques sont donc brûlés. Or selon nos informations, bien qu'ils soient officiellement jugés "périmés", leur état n'a pas réellement été vérifié. Lorsque le gouvernement l'apprend au mois de mars, il fait immédiatement cesser leur destruction.
Un état des lieux est alors demandé, mais son verdict ne tombe qu'un mois plus tard, soit le 20 avril dernier. Au final, il s'avère que 85 millions de ces 362 millions de masques sont encore utilisables et pourraient être utiles au grand public. Ils devraient très bientôt être distribués.
Au ministère de la Santé, on assure qu'on ne savait pas que ces masques chirurgicaux périmés étaient encore conservés quelque part. Le ministère affirme n'en avoir découvert l'existence qu'au mois de mars, car il pensait qu'ils avaient déjà tous été brûlés. Et pour cause, dès 2018, un audit avait préconisé leur destruction.
Si Santé Publique France, qui gère ce stock, a continué de brûler ces vieux masques chirurgicaux, c'est qu'à l'époque (entre janvier et mars 2020), la doctrine n'était pas d'équiper la population en masques. L’Agence nationale de santé publique se défend en expliquant que les masques ne sont alors destinés qu'aux soignants. Et que les masques sont, de toute manière, trop vieux pour pouvoir être utilisés: il n'y a donc pas de raison de les garder. Personne, pendant cette période, ne songe donc à les mettre de côté au cas où.
........ quel immense gachis, et quelle insondable incompétence
13/05/2020
En pleine crise sanitaire liée au coronavirus, un stock d'un million et demi de masques chirurgicaux entreposés dans la Marne a été brûlé entre janvier et mars 2020, sans que leur état n'ait été vérifié auparavant. Une destruction stoppée par le gouvernement sur le tard, au mois d'avril dernier.
Cela s'apparente à un immense gâchis. Fin mars, alors que la France fait face à une importante pénurie de masques en pleine épidémie de coronavirus, le gouvernement découvre qu'il en possède en réalité un stock astronomique caché dans la Marne. Mais selon nos informations, il va falloir quatre semaines pour que l'Etat sache si ces masques sont utilisables ou pas.
Le 25 mars dernier, au 12e jour de confinement, le gouvernement apprend qu'un stock de 362 millions de masques chirurgicaux est entreposé dans un hangar secret du département de la Marne. Mais trop vieux ou jugés plus fonctionnels, ces masques avaient été considérés comme désuets avant le début de l'épidémie. Ils sont donc voués à être détruits.
85 millions de masques sauvés in extremis
Entre janvier et mars 2020, pas moins d'un million et demi de masques sont donc brûlés. Or selon nos informations, bien qu'ils soient officiellement jugés "périmés", leur état n'a pas réellement été vérifié. Lorsque le gouvernement l'apprend au mois de mars, il fait immédiatement cesser leur destruction.
Un état des lieux est alors demandé, mais son verdict ne tombe qu'un mois plus tard, soit le 20 avril dernier. Au final, il s'avère que 85 millions de ces 362 millions de masques sont encore utilisables et pourraient être utiles au grand public. Ils devraient très bientôt être distribués.
Au ministère de la Santé, on assure qu'on ne savait pas que ces masques chirurgicaux périmés étaient encore conservés quelque part. Le ministère affirme n'en avoir découvert l'existence qu'au mois de mars, car il pensait qu'ils avaient déjà tous été brûlés. Et pour cause, dès 2018, un audit avait préconisé leur destruction.
Si Santé Publique France, qui gère ce stock, a continué de brûler ces vieux masques chirurgicaux, c'est qu'à l'époque (entre janvier et mars 2020), la doctrine n'était pas d'équiper la population en masques. L’Agence nationale de santé publique se défend en expliquant que les masques ne sont alors destinés qu'aux soignants. Et que les masques sont, de toute manière, trop vieux pour pouvoir être utilisés: il n'y a donc pas de raison de les garder. Personne, pendant cette période, ne songe donc à les mettre de côté au cas où.
........ quel immense gachis, et quelle insondable incompétence
A
AncienMembre
Non connecté
Pendant le confinement, les arrêts cardiaques ont doublé en région parisienne
28/05/2020
En l'espace de six semaines, par rapport aux années précédentes, le taux d'arrêts cardiaques a atteint le chiffre de 521.
Les professionnels de santé avaient alerté. Pendant le confinement, les Français, en particulier ceux à la santé fragile, ne devaient sous aucun prétexte interrompre leurs traitements ni cesser de rendre visite à leur médecin traitant ou spécialistes.
521 arrêts en six semaines
Pour autant, malgré ces recommandations, une étude menée par le chercheur Eloi Marijon au Centre de Recherche Cardiovasculaire de Paris (Inserm/Université de Paris) en collaboration avec Daniel Jost (Brigade des sapeurs-pompiers de Paris), suggère que ces dernières semaines, le nombre d’arrêts cardiaques en région parisienne a été multiplié par deux par rapport à la même période les années précédentes.
Les résultats de ces travaux, publiés dans la revue scientifique The Lancet, se basent sur les chiffres issus du registre francilien du Centre d’Expertise Mort Subite (Paris-CEMS). Ainsi, au cours de ces six dernières semaines, 521 arrêts cardiaques hors hôpital ont été identifiés en région parisienne, soit un taux de 26,6 arrêts pour un million d’habitants. Entre 2012 et 2019 à la même période, ce taux était de 13,4 arrêts cardiaques pour un million d’habitants, informe un communiqué de l'Inserm.
De plus, la contamination au coronavirus a pu être confirmée chez 299 de ces patients.
Deux facteurs repérés
Les auteurs de cette étude pointent deux facteurs principaux pour expliquer cette inquiétante explosion. Dans un premier temps, le suivi moins régulier des personnes cardiaques, ou tout du moins à risques, a pu jouer un rôle important.
De plus, il est également signalé que 90% des arrêts recensés pour l'étude se sont déroulés au domicile des victimes. Du fait de délais d'intervention plus longs, et d'un entourage peut-être moins enclin à réaliser les gestes de premier secours, la mortalité de ces incidents a brusquement augmenté.
28/05/2020
En l'espace de six semaines, par rapport aux années précédentes, le taux d'arrêts cardiaques a atteint le chiffre de 521.
Les professionnels de santé avaient alerté. Pendant le confinement, les Français, en particulier ceux à la santé fragile, ne devaient sous aucun prétexte interrompre leurs traitements ni cesser de rendre visite à leur médecin traitant ou spécialistes.
521 arrêts en six semaines
Pour autant, malgré ces recommandations, une étude menée par le chercheur Eloi Marijon au Centre de Recherche Cardiovasculaire de Paris (Inserm/Université de Paris) en collaboration avec Daniel Jost (Brigade des sapeurs-pompiers de Paris), suggère que ces dernières semaines, le nombre d’arrêts cardiaques en région parisienne a été multiplié par deux par rapport à la même période les années précédentes.
Les résultats de ces travaux, publiés dans la revue scientifique The Lancet, se basent sur les chiffres issus du registre francilien du Centre d’Expertise Mort Subite (Paris-CEMS). Ainsi, au cours de ces six dernières semaines, 521 arrêts cardiaques hors hôpital ont été identifiés en région parisienne, soit un taux de 26,6 arrêts pour un million d’habitants. Entre 2012 et 2019 à la même période, ce taux était de 13,4 arrêts cardiaques pour un million d’habitants, informe un communiqué de l'Inserm.
De plus, la contamination au coronavirus a pu être confirmée chez 299 de ces patients.
Deux facteurs repérés
Les auteurs de cette étude pointent deux facteurs principaux pour expliquer cette inquiétante explosion. Dans un premier temps, le suivi moins régulier des personnes cardiaques, ou tout du moins à risques, a pu jouer un rôle important.
De plus, il est également signalé que 90% des arrêts recensés pour l'étude se sont déroulés au domicile des victimes. Du fait de délais d'intervention plus longs, et d'un entourage peut-être moins enclin à réaliser les gestes de premier secours, la mortalité de ces incidents a brusquement augmenté.
nordia
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Justement l île de France est moins toucher mais comme nous sommes annexe avec le la Somme 60 nous sommes considére comme à risque alors qu il y a moins d admission du covid 19 depuis quelques semaines
L’île de France a été touché le plus par la Covid19, jusqu’à présent les départements les plus touché dans l'ordre c'est le 75, 94, 92 et 93
nordia
🇲🇫🇲🇦🇲🇫🇲🇦🇲🇫🇲🇦🇲🇫🇲🇦🇲🇫🇲🇦🇲🇫🇲🇦
Et ben c est pas ce qui est dit seul le val d'Oise et fortement toucher c est pour cela que nous sommes en restriction de confinement alors que tout le reste de la France non
Si tu parle de l'Oise il ne sont même pas en zone Orange à présent.. c'est parce que les médias on beaucoup focalisé dessus en début de pandémie suivie du Grand est.. c'est resté gravé dans les esprits, mais on est de loin les départements les plus touchés avec la densité de la population en nombres de contaminations et de décès
ce qui à sauvé les meubles c'est qu'ils y a beaucoup de lieu hospitalier sinon on serait encore confiné ça se trouve
nordia
🇲🇫🇲🇦🇲🇫🇲🇦🇲🇫🇲🇦🇲🇫🇲🇦🇲🇫🇲🇦🇲🇫🇲🇦
En tout cas d après les infos le covid stagne en île de France depuis quelques semaines ils ont prévu la réouverture du parc Astérix à partir du 15 juin
GENERALDINGO
L AMIRAL pour les intimes ...
.
On dirait un énorme exercice sécuritaire pour évaluer l efficacité des états policés ... au cas où
Parceque bon pour les vaccins des saloperies on pourrait nous les fourguer par bien d autres moyend moins soupçonnables ... les finances ? Pour des gars qui ont la planche à billet je ne vois pas l intérêt... par contre une simulation d un état d urgence planétaire... ça peut servir
Évaluer la docilité et la gouvernabilité de 7 milliards de sujets à l aune des NTIC ... ca me paraît un projet louable... et nécessaire à la sombre suite des événements
On dirait un énorme exercice sécuritaire pour évaluer l efficacité des états policés ... au cas où
Parceque bon pour les vaccins des saloperies on pourrait nous les fourguer par bien d autres moyend moins soupçonnables ... les finances ? Pour des gars qui ont la planche à billet je ne vois pas l intérêt... par contre une simulation d un état d urgence planétaire... ça peut servir
Évaluer la docilité et la gouvernabilité de 7 milliards de sujets à l aune des NTIC ... ca me paraît un projet louable... et nécessaire à la sombre suite des événements
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On dirait un énorme exercice sécuritaire pour évaluer l efficacité des états policés ... au cas où
Parceque bon pour les vaccins des saloperies on pourrait nous les fourguer par bien d autres moyend moins soupçonnables ... les finances ? Pour des gars qui ont la planche à billet je ne vois pas l intérêt... par contre une simulation d un état d urgence planétaire... ça peut servir
Évaluer la docilité et la gouvernabilité de 7 milliards de sujets à l aune des NTIC ... ca me paraît un projet louable... et nécessaire à la sombre suite des événements
Pour les vaccins ils n'ont pas lâché l'affaire, ils sont même au taquet.
Tu remarqueras qu'il n'y a rien dans la presse française
Des doses à l’automne? Trudeau à un sommet mondial sur la vaccination
(Ottawa) Des dizaines de millions de doses de vaccin contre la COVID-19 pourraient être déployées dès cet automne, mais il faudrait s’assurer qu’elles sont réparties équitablement à travers le monde, en particulier dans les pays les plus pauvres, soutient-on dans certains milieux.
La Grande-Bretagne accueillera jeudi une conférence internationale d’« annonces de contributions », qui vise à recueillir près de 10 milliards pour GAVI – l’Alliance du vaccin, la principale agence internationale de distribution de vaccins dans les pays moins développés, créée il y a 20 ans.
Le premier ministre Justin Trudeau se joindra jeudi de façon virtuelle aux dirigeants de 50 pays et à de grandes organisations, dont les philanthropes Bill et Melinda Gates. Le Canada a déjà annoncé un engagement de 600 millions sur cinq ans au GAVI, qui a vacciné 760 millions d’enfants et évité 13 millions de décès dans les pays les plus pauvres du monde depuis 2000.
Le premier ministre britannique, Boris Johnson, présidera ce Sommet mondial sur la vaccination, mais l’apparition de M. Trudeau intervient alors que le Canada convoite un siège non permanent au Conseil de sécurité des Nations unies. M. Trudeau a aussi prononcé mercredi une allocution à un sommet de l’Organisation des États d’Afrique, des Caraïbes et du Pacifique, où il a déclaré que le Canada était déterminé à aider les pays en développement, les plus durement touchés par la pandémie.
La suite là
Des doses à l’automne? Trudeau à un sommet mondial sur la vaccination
Des dizaines de millions de doses de vaccin contre la COVID-19 pourraient être déployées dès cet automne, mais il faudrait s’assurer qu’elles sont réparties équitablement à travers le monde, en particulier dans les pays les plus pauvres, soutient-on dans certains milieux.
www.lapresse.ca
GENERALDINGO
L AMIRAL pour les intimes ...
.Pour les vaccins ils n'ont pas lâché l'affaire, ils sont même au taquet.
Tu remarqueras qu'il n'y a rien dans la presse française
Des doses à l’automne? Trudeau à un sommet mondial sur la vaccination
(Ottawa) Des dizaines de millions de doses de vaccin contre la COVID-19 pourraient être déployées dès cet automne, mais il faudrait s’assurer qu’elles sont réparties équitablement à travers le monde, en particulier dans les pays les plus pauvres, soutient-on dans certains milieux.
La Grande-Bretagne accueillera jeudi une conférence internationale d’« annonces de contributions », qui vise à recueillir près de 10 milliards pour GAVI – l’Alliance du vaccin, la principale agence internationale de distribution de vaccins dans les pays moins développés, créée il y a 20 ans.
Le premier ministre Justin Trudeau se joindra jeudi de façon virtuelle aux dirigeants de 50 pays et à de grandes organisations, dont les philanthropes Bill et Melinda Gates. Le Canada a déjà annoncé un engagement de 600 millions sur cinq ans au GAVI, qui a vacciné 760 millions d’enfants et évité 13 millions de décès dans les pays les plus pauvres du monde depuis 2000.
Le premier ministre britannique, Boris Johnson, présidera ce Sommet mondial sur la vaccination, mais l’apparition de M. Trudeau intervient alors que le Canada convoite un siège non permanent au Conseil de sécurité des Nations unies. M. Trudeau a aussi prononcé mercredi une allocution à un sommet de l’Organisation des États d’Afrique, des Caraïbes et du Pacifique, où il a déclaré que le Canada était déterminé à aider les pays en développement, les plus durement touchés par la pandémie.
La suite là
Des doses à l’automne? Trudeau à un sommet mondial sur la vaccination
Des dizaines de millions de doses de vaccin contre la COVID-19 pourraient être déployées dès cet automne, mais il faudrait s’assurer qu’elles sont réparties équitablement à travers le monde, en particulier dans les pays les plus pauvres, soutient-on dans certains milieux.
Tu penses qu il y aura une résistance ? Ou les gens se laisseront vacciner de force sans broncher ?
J'en sais rien, mais quand je vois ce qui s'est passé avec le confinement, je crains que les gens se fassent vacciner sans broncher.
Et ils vont tout faire pour limiter les mouvements de ceux qui n'en veulent pas voire les criminaliser et/ou les culpabiliser. Regarde ce qui s'est passé avec le passage de 3 à 11 vaccins pour les enfants.
GENERALDINGO
L AMIRAL pour les intimes ...
.
Tu as sûrement raison... ça devient tellement gros ! Mais je pensais naïvement que pour faire passer des cochonneries ils disposent de plein de vecteurs plus discret et moins coûteux ... rien qu avec coca et redbull tu touches 2 milliards de pèlerins ... bon reste les bobos et les hipster eux ils sont déjà dociles et maniables pad besoin d en rajouter
A
AncienMembre
Non connecté
Fallait-il confiner le pays? Des scientifiques français s'interrogent
10/06/2020
Après le monde économique, certaines voix se font entendre parmi les scientifiques pour critiquer le choix du confinement en France. De nombreuses études prouvent au contraire que cette mesure a évité des milliers de morts.
690.000 morts auraient été évités en France grâce au confinement. Face à ce constat et alors que l'épidémie est désormais "contrôlée", comme l'a indiqué le président du Conseil scientifique Jean-François Delfraissy, des voix s'élèvent pour critiquer les choix du gouvernement. Des critiques dans le monde économique, dont une partie de l'activité a été mise à l'arrêt, dans le monde politique, où certains élus redoutent un retour de bâton, mais désormais aussi dans le monde scientifique.
"Depuis le début, le Conseil scientifique se place dans l’unique perspective du pire scénario, obnubilé par des modèles qui prévoyaient 500.000 morts en France et qui ont failli. La réalité, c’est que la vague est passée presque partout, que la décrue est générale, que certains pays n’ont plus aucun mort, estime le professeur Jean-François Toussaint, directeur de l’Institut de recherche biomédicale et d’épidémiologie du sport dans les colonnes du Monde.
Des indicateurs mis en cause
Dans son dernier avis remis le 2 juin, le Conseil scientifique estime que le confinement a permis de réduire le taux de transmission du Covid-19 d'environ 70 à 80%. Le Conseil s'est notamment appuyé, pour son travail, sur le taux de reproduction du virus, le fameux taux R0 qui détermine le nombre de personnes contaminées par un seul malade. Un indicateur aujourd'hui établi à 0,76, cité dans les bulletin hebdomadaire de Santé publique France, et qui est mis en cause par Laurent Toubiana, épidémiologiste et directeur de l'Irsan, l'Institut de recherche pour la valorisation des données de santé.
10/06/2020
Après le monde économique, certaines voix se font entendre parmi les scientifiques pour critiquer le choix du confinement en France. De nombreuses études prouvent au contraire que cette mesure a évité des milliers de morts.
690.000 morts auraient été évités en France grâce au confinement. Face à ce constat et alors que l'épidémie est désormais "contrôlée", comme l'a indiqué le président du Conseil scientifique Jean-François Delfraissy, des voix s'élèvent pour critiquer les choix du gouvernement. Des critiques dans le monde économique, dont une partie de l'activité a été mise à l'arrêt, dans le monde politique, où certains élus redoutent un retour de bâton, mais désormais aussi dans le monde scientifique.
"Depuis le début, le Conseil scientifique se place dans l’unique perspective du pire scénario, obnubilé par des modèles qui prévoyaient 500.000 morts en France et qui ont failli. La réalité, c’est que la vague est passée presque partout, que la décrue est générale, que certains pays n’ont plus aucun mort, estime le professeur Jean-François Toussaint, directeur de l’Institut de recherche biomédicale et d’épidémiologie du sport dans les colonnes du Monde.
Des indicateurs mis en cause
Dans son dernier avis remis le 2 juin, le Conseil scientifique estime que le confinement a permis de réduire le taux de transmission du Covid-19 d'environ 70 à 80%. Le Conseil s'est notamment appuyé, pour son travail, sur le taux de reproduction du virus, le fameux taux R0 qui détermine le nombre de personnes contaminées par un seul malade. Un indicateur aujourd'hui établi à 0,76, cité dans les bulletin hebdomadaire de Santé publique France, et qui est mis en cause par Laurent Toubiana, épidémiologiste et directeur de l'Irsan, l'Institut de recherche pour la valorisation des données de santé.
Selon lui, l'épidémie de Covid-19 a touché moins de deux millions de personnes en France. "Ce qui est faible", jugeait-il sur BFMTV. "C'est toujours facile de dire a posteriori ce qu'il aurait fallu faire", estime auprès de BFMTV.com François Bricaire, infectiologue et membre de l'Académie nationale de médecine. Le médecin fait pourtant partie de ceux qui avaient émis dès le mois de mars des réserves quant à la nécessité de confiner complètement le pays. "Oui, on aurait pu faire autrement, mais en sachant qu'on prenait un risque sanitaire au niveau hospitalier", poursuit-il.