Un professeur agressé à Bordeaux après un cours sur le Maroc
- Initiateur de la discussion yasmine3305
- Date de début
Ce midi sur France3 Aquitaine ( on doit pouvoir trouver le journal) la journaliste etait en directe devant le collège pour le reportage..
Devinez,.... il y a un petit malin 18 20 ans qui s'est allumé une clope d'une main avec le portable dans l'autre et qui faisait le guignol jusqu'a gêner la journaliste ...
Elle lui a signalé qu'il etait en direct là !!
Ca ne l'a pas dérangé, il a continué a faire le pitre...
Franchement j'avais honte pour lui et pour sa famille..
Devinez,.... il y a un petit malin 18 20 ans qui s'est allumé une clope d'une main avec le portable dans l'autre et qui faisait le guignol jusqu'a gêner la journaliste ...
Elle lui a signalé qu'il etait en direct là !!
Ca ne l'a pas dérangé, il a continué a faire le pitre...
Franchement j'avais honte pour lui et pour sa famille..
Que vient faire la laïcité la-dedans ?
En cours de philosophie c'est possible de discuter de l'islam ou en cours d'histoire.
T'as l'air animé de la même violence que le petit gamin nerveux qui tabasse son prof , c'est pas toi qui te plains après de la mauvaise image médiatique que vous avez ? mérité ou pas avec des cassos dans ton genre tu penses ?
firar
VIB
ce matin j'ai vu une interview du prof.
Calme, positif, il a dit du bien de l’élève concernant son travail.
Cela dédramatise.
Le problème est je pense concomitant à ce nationalisme exacerbé qui sévit au Maroc depuis la guerre des sables.
Si au début cela a resserré les liens nationaux l'effet secondaire pervers est qu'il annihile toute esprit critique et met à fleur de peau une sensibilité patriotique qui peut allerr jusqu'à la violence.
Dans le cas présent serait le fait de ne pas vouloir parler du cas du Maroc qui aurait déclencher cette colère.
C'est à dire même pas une divergence.
J'espère que ce gamin va comprendre son erreur et que l'administration trouve une solution.
J'ai bon espoir après l'interview du prof vraiment apaisante.
Calme, positif, il a dit du bien de l’élève concernant son travail.
Cela dédramatise.
Le problème est je pense concomitant à ce nationalisme exacerbé qui sévit au Maroc depuis la guerre des sables.
Si au début cela a resserré les liens nationaux l'effet secondaire pervers est qu'il annihile toute esprit critique et met à fleur de peau une sensibilité patriotique qui peut allerr jusqu'à la violence.
Dans le cas présent serait le fait de ne pas vouloir parler du cas du Maroc qui aurait déclencher cette colère.
C'est à dire même pas une divergence.
J'espère que ce gamin va comprendre son erreur et que l'administration trouve une solution.
J'ai bon espoir après l'interview du prof vraiment apaisante.
Ça doit en calmer plus d'un qui se délectait en début de topic de voir un problème avec l'Islam...ils sont ou pour réagir par rapport à ce qu'ils ont dit?
J'ai aussi vu une interview du prof ce matin...
C'est vraiment regrettabe d'en arrivé là d'autant plus qu'il a d'une certaine manière parler pour la défense de ce jeune homme.
Au fond je peux comprendre la colère de certains jeunes maghrebins meme pour du tout et du n'importe quoi ...
Mais d'autres se servent de cette colère de façon plus pertinente.
On est pas tous fait pareil!
Et si cela avait étè dit par de ses potes il aurait eu la meme réaction?
Sans doute que non.
muskatnuss
VIB
Bordeaux : pourquoi Marouane, 18 ans, a "pété les plombs"
Christophe Cavagnac, le professeur de lettres et d'histoire du lycée professionnel bordelais Tregey, version poids léger, yeux noirs et visage anguleux, n'a conservé aucune marque ni contusion de son agression de mardi dans l'établissement installé dans un ***-de-sac du quartier populaire de la Benauge. Un endroit plutôt tranquille où les HLM construits dans les années 50 côtoient les échoppes, ces petites maisons typiquement bordelaises aux résidents plus bourgeois.
Ce professeur de 36 ans n'est pas K.-O. physiquement - il n'a pas demandé d'interruption de travail temporaire - , mais il est "amer" psychologiquement. Il a du mal à comprendre comment cet élève qu'il suit depuis deux ans a pu agir ainsi. Par solidarité, ses collègues ont refusé de faire cours jeudi tout l'après-midi. "Les enseignants ne veulent pas non plus que cet incident grave donne une mauvaise image de l'établissement", souligne Jean-Louis Nembrini, le recteur de l'académie de Bordeaux, qui est passé les voir mercredi matin. Il a d'ailleurs mis à disposition une équipe mobile de sécurité de deux personnes. Leur rôle ? Prévenir la violence, accompagner les jeunes et sécuriser en renfort de l'équipe éducative. "Ils resteront tout le temps nécessaire", précise le recteur.
(...)
http://www.lepoint.fr/societe/bordeaux-le-professeur-agresse-est-amer-14-09-2012-1506081_23.php
Christophe Cavagnac, le professeur de lettres et d'histoire du lycée professionnel bordelais Tregey, version poids léger, yeux noirs et visage anguleux, n'a conservé aucune marque ni contusion de son agression de mardi dans l'établissement installé dans un ***-de-sac du quartier populaire de la Benauge. Un endroit plutôt tranquille où les HLM construits dans les années 50 côtoient les échoppes, ces petites maisons typiquement bordelaises aux résidents plus bourgeois.
Ce professeur de 36 ans n'est pas K.-O. physiquement - il n'a pas demandé d'interruption de travail temporaire - , mais il est "amer" psychologiquement. Il a du mal à comprendre comment cet élève qu'il suit depuis deux ans a pu agir ainsi. Par solidarité, ses collègues ont refusé de faire cours jeudi tout l'après-midi. "Les enseignants ne veulent pas non plus que cet incident grave donne une mauvaise image de l'établissement", souligne Jean-Louis Nembrini, le recteur de l'académie de Bordeaux, qui est passé les voir mercredi matin. Il a d'ailleurs mis à disposition une équipe mobile de sécurité de deux personnes. Leur rôle ? Prévenir la violence, accompagner les jeunes et sécuriser en renfort de l'équipe éducative. "Ils resteront tout le temps nécessaire", précise le recteur.
(...)
http://www.lepoint.fr/societe/bordeaux-le-professeur-agresse-est-amer-14-09-2012-1506081_23.php
"Christophe Cavagnac, sept ans d'enseignement à Tregey, se rappelle : "J'ai cru comprendre qu'il m'a posé une question du genre : Pourquoi moi, Marocain d'origine, de confession musulmane, je me sens en décalage avec les valeurs de l'école républicaine ?" Je lui ai répondu que le système politique des deux pays était différent : entre la France républicaine et démocratique et le Maroc, une monarchie au fonctionnement dictatorial. Ce n'est pas un discours de ma part mais des faits géopolitiques et étayés", explique l'enseignant,"
Voila ce qui a fait péter les plombs chez le jeune...
Voila ce qui a fait péter les plombs chez le jeune...
Pourquo avoir honte pour.sa famille tu comprends pas que c'est.sa famille la.premiere responsable ?
un vrai boufon celui la il sait pas que le maroc est une dictature
shivvah
VIB
Dernièrement un petit jeune a écopé de 18 mois de prison pour avoir dit: Allah, Al Watan, Al Barça....
Alors bon, pour une démocratie c'est plus que limite.
18 mois pour ça....on se dit qu'il y'a encore du chemin...
Quand j'ai passé mon permis, l'inspecteur donnait le papier rose dans la voiture et puis la violence est passée par là, désormais le candidat connaît le résultat par courrier.
Bientôt les profs en ZEP feront cours par vidéoconférence et leurs élèves seront dans une autre salle, encadrés par d'anciens légionnaires....
hajbaoui
VIB
Salam, la réponse par courrier date depuis 2006...
j'imagine la scène, dès qu'il y en a un qui bouge ou qui veut jouer au ***, un bon coup de pied dans la tronche et des pompes pour apprendre à vivre
à ce rythme-là, nos élèves seront tous brillants
Le makhzen lobotomise des gamins MRE afin de repandre le systeme makhznique en France terre republicaine et de liberte.
"Bordeaux : pourquoi Marouane, 18 ans, a "pété les plombs"
Christophe Cavagnac, le professeur de lettres et d'histoire du lycée professionnel bordelais Tregey, version poids léger, yeux noirs et visage anguleux, n'a conservé aucune marque ni contusion de son agression de mardi dans l'établissement installé dans un ***-de-sac du quartier populaire de la Benauge. Un endroit plutôt tranquille où les HLM construits dans les années 50 côtoient les échoppes, ces petites maisons typiquement bordelaises aux résidents plus bourgeois.
Ce professeur de 36 ans n'est pas K.-O. physiquement - il n'a pas demandé d'interruption de travail temporaire - , mais il est "amer" psychologiquement. Il a du mal à comprendre comment cet élève qu'il suit depuis deux ans a pu agir ainsi. Par solidarité, ses collègues ont refusé de faire cours jeudi tout l'après-midi. "Les enseignants ne veulent pas non plus que cet incident grave donne une mauvaise image de l'établissement", souligne Jean-Louis Nembrini, le recteur de l'académie de Bordeaux, qui est passé les voir mercredi matin. Il a d'ailleurs mis à disposition une équipe mobile de sécurité de deux personnes. Leur rôle ? Prévenir la violence, accompagner les jeunes et sécuriser en renfort de l'équipe éducative. "Ils resteront tout le temps nécessaire", précise le recteur.
"Il a voulu m'impressionner"
Rappel des faits : mardi matin, à l'occasion d'un cours sur le fait religieux en France depuis 1880, Marouane, un jeune de 18 ans qui a grandi dans le quartier, s'oppose à son professeur au détour d'une discussion sur la France et le Maroc, dont les parents du jeune homme sont originaires. Interrogé par Le Point.fr, Christophe Cavagnac, sept ans d'enseignement à Tregey, se rappelle : "J'ai cru comprendre qu'il m'a posé une question du genre : Pourquoi moi, Marocain d'origine, de confession musulmane, je me sens en décalage avec les valeurs de l'école républicaine ?" Je lui ai répondu que le système politique des deux pays était différent : entre la France républicaine et démocratique et le Maroc, une monarchie au fonctionnement dictatorial. Ce n'est pas un discours de ma part mais des faits géopolitiques et étayés", explique l'enseignant, à la "bonne réputation" selon les élèves, toujours prêt à discuter, mais aussi à trancher et sanctionner quand c'est nécessaire.
Le jeune Marouane n'est pas d'accord. Il s'emporte, sans trouver d'arguments, tient des propos incohérents. Ses camarades veulent le raisonner. Sans succès. Son professeur le prévient qu'il va convoquer ses parents. C'est à ce moment-là que le jeune majeur, 1,80 m, "pète un câble", comme le résume un lycéen, crête sur la tête. Le garçon est adepte de la musculation, mais n'est connu dans l'établissement que pour des problèmes de discipline. Cette fois, les chaises volent. Le professeur le renvoie devant le conseiller principal d'éducation (CPE). La situation est toujours aussi tendue devant le CPE, qui confirme la convocation des parents et son exclusion temporaire.
"Bordeaux : pourquoi Marouane, 18 ans, a "pété les plombs"
Christophe Cavagnac, le professeur de lettres et d'histoire du lycée professionnel bordelais Tregey, version poids léger, yeux noirs et visage anguleux, n'a conservé aucune marque ni contusion de son agression de mardi dans l'établissement installé dans un ***-de-sac du quartier populaire de la Benauge. Un endroit plutôt tranquille où les HLM construits dans les années 50 côtoient les échoppes, ces petites maisons typiquement bordelaises aux résidents plus bourgeois.
Ce professeur de 36 ans n'est pas K.-O. physiquement - il n'a pas demandé d'interruption de travail temporaire - , mais il est "amer" psychologiquement. Il a du mal à comprendre comment cet élève qu'il suit depuis deux ans a pu agir ainsi. Par solidarité, ses collègues ont refusé de faire cours jeudi tout l'après-midi. "Les enseignants ne veulent pas non plus que cet incident grave donne une mauvaise image de l'établissement", souligne Jean-Louis Nembrini, le recteur de l'académie de Bordeaux, qui est passé les voir mercredi matin. Il a d'ailleurs mis à disposition une équipe mobile de sécurité de deux personnes. Leur rôle ? Prévenir la violence, accompagner les jeunes et sécuriser en renfort de l'équipe éducative. "Ils resteront tout le temps nécessaire", précise le recteur.
"Il a voulu m'impressionner"
Rappel des faits : mardi matin, à l'occasion d'un cours sur le fait religieux en France depuis 1880, Marouane, un jeune de 18 ans qui a grandi dans le quartier, s'oppose à son professeur au détour d'une discussion sur la France et le Maroc, dont les parents du jeune homme sont originaires. Interrogé par Le Point.fr, Christophe Cavagnac, sept ans d'enseignement à Tregey, se rappelle : "J'ai cru comprendre qu'il m'a posé une question du genre : Pourquoi moi, Marocain d'origine, de confession musulmane, je me sens en décalage avec les valeurs de l'école républicaine ?" Je lui ai répondu que le système politique des deux pays était différent : entre la France républicaine et démocratique et le Maroc, une monarchie au fonctionnement dictatorial. Ce n'est pas un discours de ma part mais des faits géopolitiques et étayés", explique l'enseignant, à la "bonne réputation" selon les élèves, toujours prêt à discuter, mais aussi à trancher et sanctionner quand c'est nécessaire.
Le jeune Marouane n'est pas d'accord. Il s'emporte, sans trouver d'arguments, tient des propos incohérents. Ses camarades veulent le raisonner. Sans succès. Son professeur le prévient qu'il va convoquer ses parents. C'est à ce moment-là que le jeune majeur, 1,80 m, "pète un câble", comme le résume un lycéen, crête sur la tête. Le garçon est adepte de la musculation, mais n'est connu dans l'établissement que pour des problèmes de discipline. Cette fois, les chaises volent. Le professeur le renvoie devant le conseiller principal d'éducation (CPE). La situation est toujours aussi tendue devant le CPE, qui confirme la convocation des parents et son exclusion temporaire.
C'est en sortant et en voyant son professeur que le jeune garçon - qui apprécie pourtant beaucoup son prof de lettres, selon sa petite amie - s'emballe à nouveau. Première altercation dans l'escalier, où l'enseignant évite les coups. Puis dans la cour, où il reçoit "beaucoup de coups". Sans vouloir minimiser le geste de son élève, Christophe Cavagnac souligne que la violence était limitée. "Il a voulu m'impressionner pour que j'entre dans son jeu, ce que je ne voulais pas faire." La police intervient rapidement. Interpellation, direction le commissariat.
"Mauvais rôle"
Étonnant Marouane qui, après sa garde à vue et la déposition du prof, vient s'excuser. "J'avais l'impression d'avoir un gamin de 10 ans quand quelques heures plus tôt, c'était Tony Montana [le personnage principal de mafieux violent du film Scarface]."
Résultat : Marouane est exclu 10 jours avant le conseil de discipline, "qui risque d'être sévère", avoue un membre de la communauté éducative girondine. La justice l'attend également. En février 2013, il devra comparaître devant le tribunal correctionnel de Bordeaux pour "violences n'ayant pas entraîné d'interruption temporaire de travail, préjudice à des personnes chargées d'une mission de service public, dégradations volontaires et menaces de destructions dangereuses pour les personnes".
"Mauvais rôle"
Étonnant Marouane qui, après sa garde à vue et la déposition du prof, vient s'excuser. "J'avais l'impression d'avoir un gamin de 10 ans quand quelques heures plus tôt, c'était Tony Montana [le personnage principal de mafieux violent du film Scarface]."
Résultat : Marouane est exclu 10 jours avant le conseil de discipline, "qui risque d'être sévère", avoue un membre de la communauté éducative girondine. La justice l'attend également. En février 2013, il devra comparaître devant le tribunal correctionnel de Bordeaux pour "violences n'ayant pas entraîné d'interruption temporaire de travail, préjudice à des personnes chargées d'une mission de service public, dégradations volontaires et menaces de destructions dangereuses pour les personnes".
Christophe Cavagnac est intéressé depuis longtemps par les questions d'autorité. il a écrit un livre sur le sujet qui n'a pas été édité. Il compte rencontrer le ministre de l'Éducation nationale Vincent Peillon. "Ce sont les valeurs qui définissent l'autorité et non l'inverse. Nous, enseignants, nous avons le mauvais rôle : celui de les contraindre à écouter et à apprendre des choses dont ils ne perçoivent pas le sens ni l'intérêt. Il faut mettre ça sur la place publique. En associant les parents, qui ont une responsabilité énorme."
source: le point
source: le point
firar
VIB
Déboucher sur du concret : Sois plus préciser
Une remise en cause du fonctionnement de l'éducation nationale.
En particulier, la mise en place d'un système permettant que le respect revienne dans ces lieux entre tous les acteurs et pas que dans le dialogues élèves prof et inverse mais également dans le dialogue inter élèves.
Celui d'aujourd'hui fait d'insultes n'est pas supportable à terme.
Les bâtard, bouffon ça va à petite dose mais un jour ou l'autre la marmite explose.
et pour ceci toute la société doit être mobilisée
Des médias, au cinéma, aux jeux vidéos, aux sportifs, aux politiciens, aux parents.
Nos enfants reproduisent ce qu'ils voient ou entendent.
Il ne discernent pas la frontière entre le réel et le virtuel.
Entre le vécu et l'imaginaire.
Cela sera un travail de longue haleine et contraignant mais fructueux dans leurs vies d'adultes.
oui chacun a le droit de penser que le Maroc a un régime monarchique dictatorial mais je ne comprends pas comment on arrive parler religion ou politique à l'école. Est ce qu'il faut que l'école française juge le régime politique marocain et apprenne à ses élèves que le Maroc est un régime politique dictatorial ???
Ceci dit je donne 200% tort à cet élève qui aurait dû se controler même s'il n'était pas d'accord avec son professeur.
Ceci dit je donne 200% tort à cet élève qui aurait dû se controler même s'il n'était pas d'accord avec son professeur.
firar
VIB
Et comment tu veux l'appeler monarchie démocratique constitutionnelle.
D'après les explications du prof, c'est lélève qui a voulu débattre et c'est le refus du débat qui a déclenché sa colère
Concernant la prof de Buxerolles,c est un beau retour de baton.Quel mensonge,les journalistes qui disent qu elle s etait faite agresse il y a quelques annees alors que c est elle qui avait agresse.A cause d elle mon Frere s etait fait renvoyer de ce college apres qu elle l ait gifle (et qu il ait repondu)
et pourquoi l'avait-elle giflé ? parce qu'il était assis bien sage en train de prendre des notes ou parce qu'il était particulièrement insolent ?
Ben en classe d'Histoire-géo, je trouve normal qu'on parle politique...
en lycée pro faut peut-être supprimer toutes les matières générales pour ne faire que des travaux pratiques ?
traduction ?
Mdr j'ai juste compris quil aime la bière
j'ai du rater un episode comment un cours sur le Maroc devient un cours sur l'islam j'ai mal compris..Deux possibilités au minimum en lisant ce texte:
1) l'élève est musulman (et le prof non)
2) c'est le prof qui est musulman (et l'élève un méchant facho)
Je sais pas pourquoi tout le monde va comprendre que c'est l'option 1 qui est la bonne
C'est le problème de la presse qui a d'abord parlé de l'Islam avant que l'on sache que la dispute était davantage d'ordre politique.
