8 conseils pour avoir un beau jardin sans pesticides
- Initiateur de la discussion mam80
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Admirez moi ce magnifique paysage 
Je viens de m'offrir deux feijoas, deux asiminiers, un goumi du japon et un cerisier du nankin. Je tropicalise mon jardin. En plus ils sont très rustiques.
Mon engrais, du purin de consoude. ( plantez de la consoude pour fabriquer votre engrais ), ou de la colombine.
Je viens d'installer un arrosage auto au goutte a goutte. C'est top. 25 € le kit sur amazon.
Mon engrais, du purin de consoude. ( plantez de la consoude pour fabriquer votre engrais ), ou de la colombine.
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Il fait des prunes pourpres acides avec un noyau qui se détache mal, non ?
Elles sont pourpres en effet, elle sont légèrement acide et le noyau se détache normalement. Elles sont bonnes.
L'année dernière, j'en ai eu beaucoup du coup j'ai fait des confitures, ma foi elles ont rencontré un franc succès
J’en vois beaucoup de ces pruniers, j’en cherche une bonne variété, mais sans avoir eu assez de temps pour m’en occuper. Habituellement, le noyau se détache mal, alors tu dois en avoir une bonne.Elles sont pourpres en effet, elle sont légèrement acide et le noyau se détache normalement. Elles sont bonnes.
L'année dernière, j'en ai eu beaucoup du coup j'ai fait des confitures, ma foi elles ont rencontré un franc succès
Celles que je connais, à la cuisson, elles deviennent trop acides, comme les prunes sauvages jaunes, mais crues, je les trouve bonnes quand j’ai soif. Par ici, elles sont mûres vers début Juillet.
Ma ruche pour abeilles "solitaires". Une rangée a survécu aux parasites et autres prédateurs.
Je viens de voir une abeille rester à l'entrée, sûrement un mâle qui sont les premiers à sortir. Pour l'espèce, comme je n'ai pas vu son Corps en entier je pense peut être qu'il s'agit d'une osmie rousse ou cornue.
Je viens de voir une abeille rester à l'entrée, sûrement un mâle qui sont les premiers à sortir. Pour l'espèce, comme je n'ai pas vu son Corps en entier je pense peut être qu'il s'agit d'une osmie rousse ou cornue.
Pièces jointes
J'ai installé une petite ruche comme celle-ci qui a été colonisées par des abeilles mégachiles sculptularis. Elles sont énormes, mais pas du tout agressive. Du moins envers l'homme...
Je ne connaissais pas, du moment que ces abeilles asiatiques sont innofensives envers les osmies et autres abeilles "solitaires", ça me va.
Sinon, j'ai pu identifier la seule "lignée" qui a survécu, se sont des osmies cornues. J'aurais aimé qu'il y en ait eu au moins deux lignées, mais tant pis, je tâcherai de protéger le nichoir plus tôt...
Ils ont de quoi butiner : romarin encore en fleurs, pêchers, cerisiers, fraisiers qui commencent, des poiriers et des légumes pour plus tard, inchallah...
La même technique que pour capter des abeilles pendant un essaimage. C’est la reine, qu’elle attrape avec une pince en plastique, pour que les autres abeilles la suive et s’installent dans la ruche avec elle. Je me demande comment elle fait pour reconnaître la reine aussi facilement.
Normalement elles ne sont pas agressives, mais j'ai assisté à une eviction manu militari d'une osmie et de sa larve d'un trou d'une chaise en bois de mon jardin par un mégachile. Ce fut rapide.
Mais cela semble etre assez rare.
Par contre fait gaffe aux fourmis, elles sont attirees par les reserves de nourriture des larves.
D'accord, je ne pense pas qu'il faut trop craindre ces megachiles asiatiques, pour les fourmis, je verrai comment je pourrais détourner leur attention, je ne penses pas mettre de la glue, par exemple.
Ce que je crains le plus, se sont les mouches parasitaires et les guêpes prédatrices.
salam/bonjour!
qui a utilisé la terre de diatomé ? je vois les avis qui tourne autour des animaux ou contre les insectes de maison mais moi je la veux pour mes plants, j'ai des chenilles verte qui me mange mes feuilles de menthe et citronnier ect... et ils disent pas comment l'utilisé pour les plantes merci
qui a utilisé la terre de diatomé ? je vois les avis qui tourne autour des animaux ou contre les insectes de maison mais moi je la veux pour mes plants, j'ai des chenilles verte qui me mange mes feuilles de menthe et citronnier ect... et ils disent pas comment l'utilisé pour les plantes merci
Le risque de gel s’étend à mesure que les prévisions se précisent : du Jeudi 18 Mars au Dimanche 21 Mars. Il y a même des risques de chutes de neige, pas seulement en montagne, en plaine aussi.
@zigotino , le taux de levé des graines de mauve, est faible. Il est de un cinquième au mieux.
Je parle des graines de mauve sous leur forme séparée, pas des petits fromageons qui en contiennent plusieurs collées en cercle.
Je ne suis pas sûr de la cause, mais j’avais remarqué que souvent les graines sont perforées d’un minuscule trou visible seulement à la loupe. Ce trou doit être fait par une larve d’insecte, mais aucune idée duquel. Sans certitude non‑plus que ce soit la seule explication au faible taux de levée.
Même si le taux de levée est faible, la levée est rapide : pour des graines faiblement enfouies, à 16 ℃, il suffit de quatre jours à peine.
Je parle des graines de mauve sous leur forme séparée, pas des petits fromageons qui en contiennent plusieurs collées en cercle.
Je ne suis pas sûr de la cause, mais j’avais remarqué que souvent les graines sont perforées d’un minuscule trou visible seulement à la loupe. Ce trou doit être fait par une larve d’insecte, mais aucune idée duquel. Sans certitude non‑plus que ce soit la seule explication au faible taux de levée.
Même si le taux de levée est faible, la levée est rapide : pour des graines faiblement enfouies, à 16 ℃, il suffit de quatre jours à peine.
Il est énorme
. Ils sont toujours aussi grands ? J’en ai en plaquettes de semis, encore à l’état de pousses.
Mélanger ensemble du tournesol et de l’amarante, ça risque de ne pas aller, non ? Je crains que les deux ne se concurrencent trop. J’ai l’impression que le tournesol fait moins une racine pivot que l’amarante, mais j’ai lu que la racine du tournesol peut dans de bonnes conditions, descendre à 3 m de profondeur alors que je croyais qu’il a un système racinaire plus superficiel que celui de l’amarante.
Oui, c'est ça troisième année, je crois. Il était dans un pot d'environ 25 cm au depart. Un frère à moi l'avait reçu d'un collègue de travail, il l'a eu d'Italie.Il est énorme
Je ne l'ai jamais taillé, mais je crois que cette année je vais le tailler pour lui donner un port un peu plus compact et surtout plus dense. Je laisse les butineurs (abeilles solitaires, mellifères, bourdons, syrphes, etc...) en profiter pour l'instant en espérant qu'ils en profiteront davantage en septembre/octobre prochain, inchallah, le début de la floraison.
Dernière édition:
Un demi-siècle de mensonges et de secrets sur le paraquat, pesticide lucratif et poison violent
ENQUÊTEDevenu lanceur d’alerte, un ancien employé du producteur de cet herbicide révèle les manipulations visant à protéger la rentabilité de ce produit, lié à des dizaines de milliers de morts.
Le petit Américain a 15 mois quand, un jour de 2000, une bouteille colorée de Gatorade qui traîne là attire son attention. Mais au lieu du soda, elle contient du paraquat, un pesticide ultratoxique, qu’il boit. Les soins intensifs qui lui sont prodigués à l’hôpital n’y font rien. Après treize jours d’agonie, ses reins et son foie cessent de fonctionner. L’enfant meurt.
Longtemps après, en 2018, la lecture de cette « histoire vraie », sur le site de l’Agence américaine de protection de l’environnement (EPA), plonge Jon Heylings dans un profond désarroi. Ce récit-là et d’autres plus récents, aux Etats-Unis, au Costa Rica, en Inde et ailleurs. Car ce pesticide, le Britannique en a une connaissance intime. Près de Manchester, sur les paillasses du laboratoire central d’Imperial Chemical Industries (ICI), son fabricant, le scientifique a consacré la majeure partie de sa carrière à s’efforcer de le rendre moins dangereux. En 2008, il avait quitté la firme avec un sentiment de devoir accompli.
Mais le paraquat, constate-t-il dix ans plus tard, a continué à tuer. « Et là, j’ai pensé : “***** !” » Ses efforts n’ont-ils donc servi à rien ?, se demande Jon Heylings, d’ordinaire fort courtois, les cheveux blancs traversés par la lumière qui baigne son bureau. Petit à petit, l’idée de s’exprimer fait son chemin et le scientifique de 65 ans, qui se décrit comme un « employé modèle », est aujourd’hui déterminé à raconter son histoire. Le Monde, en collaboration avec le site d’investigation américain The Intercept, a recueilli sa première prise de parole publique, lors d’un long entretien en ligne.
Notre enquête s’appuie aussi sur plus de 350 documents internes à ICI, société devenue Zeneca puis Syngenta, obtenus à la suite d’une procédure de divulgation (« discovery »), liée à un procès intenté contre Syngenta aux Etats-Unis par des personnes ayant développé la maladie de Parkinson, une pathologie incurable qui affecte le contrôle des mouvements, à la suite d’une exposition au paraquat. Une trentaine de documents supplémentaires proviennent d’une enquête conjointe des organisations environnementales Public Eye et Greenpeace Unearthed.
Un carnet comme point de départ
Le procès, qui devrait commencer en mai, a beau porter sur la maladie de Parkinson, il inclura aussi une autre facette du paraquat : celle d’un poison extraordinairement toxique, sans antidote connu. « Des dizaines de milliers de personnes » sont mortes empoisonnées au paraquat depuis sa mise sur le marché dans les années 1960, a indiqué au Monde Michael Eddleston, professeur de toxicologie clinique à l’université d’Edimbourg (Ecosse). « Probablement plus de 100 000. »La suite est réservée aux abonnés
Source
Un demi-siècle de mensonges et de secrets sur le paraquat, pesticide lucratif et poison violent
Devenu lanceur d’alerte, un ancien employé du producteur de cet herbicide révèle les manipulations visant à protéger la rentabilité de ce produit, lié à des dizaines de milliers de morts.
Pour ceux qui veulent en savoir plus vous pouvez vous diriger vers le site The Intercept
The Paraquat Poisoning Problem
A former Syngenta scientist calls the failure to heed his warnings about the deadly pesticide paraquat “a conspiracy within the company to keep this quiet.”
theintercept.com
Chaleur estivale aujourd’hui, mais si les prévisions météos sont fiables, dans les nord‑est de la france, un gel matinal à -2 ℃ le Mardi 6 Avril et un autre à -1 ℃ le Samedi 10 Avril. Les températures devraient dans l’ensemble, être nettement plus basses dans les deux semaines qui viennent.
C’est n’importe quoi ce temps … punaise, comment gérer ça ?
C’est n’importe quoi ce temps … punaise, comment gérer ça ?
Salut,
Quelle chance d'avoir une jolie surface comme la tienne.
j'ai planté des rabundas également, gariguettes, charlottes, maestros.
Je prepare le sol quelques jours avant au fish mix. Puis colombine et potasse.
Les maestros sont très productives des la deuxième annee . Très gros fruits.
Tu arroses à la main ? J'ai installé un kit d'irrigation pour trois fois rien avec minuteur. Grosse économie d'eau. Les fraises et mon potager adorent.
Bye
Salut, j'ai complété les deux lignes (6 plants de rabunda et 6 plants de gento avec des fraisiers en trop de mon ancien fraiseraie de ce qui ressemblent à des gariguettes.
J'arrose directement au goulot d'arrosoir, j'aimerais bien paillé, l'idéal serait d'avoir du bref (aillant vu le comparatif du site de Gerbeau sur les différents paillages)
J'ai déjà étalé des écorces de pin en fine couche acheté en sachet lors d'une promo sur mon ancien fraiseraie.
J'ai des pieds de consoude bocking 14 qui recommence à lever, je compte m'en resservir comme engrais naturel pour la fructification.
C'est vrai que j'ai été tenté par la maestro lors de mes achats...
Si tu as un conseil à me donner pour que mon nouveau fraiseraie démarre bien, je sais qu'il faut miser sur le phosphore comme on en trouve dans la cendre de bois pour un bon enracinement.
Des fraisiers que j'ai acheté il y a 2 semaines commencent déjà à fleurir depuis quelques jours, j'ai déjà supprimé quelques hampes florales ayant trop de fleurs pour favoriser l'enracinement comme c'est conseillé mais j'avoue que j'ai laissé une fleur à chaque fraisiers qui fleurit.
Merci pour les noms des engrais que tu utilises, fish mix à l'air très intéressant, je me renseignerai...
Pour mes fraises, je prepare d'abord qq jours avant le sol avec de la colombine. J'arrose bien une premiere fois.
Le jour de la plantation, avant tout j'utilise un inoculat de rhizosphère sur les racines de chaque plant. Tu en as plein sur amazon.
Ca permet aux racines de mieux capter les nutriments.
Tu arroses au biobizz fishmix qui va enrichir le sol, booster la vie microbienne et apporter suffisamment de nutriments pour une croissance explosive ( fraises : 1ml/l une fois sur deux arrosages jusqu'â la premiere hampe florale. Apres la colombine prends le relais.
Je rajoute 2ml/l de kelp à ce premier arrosage comme booster de racine.
(Tu peux appliquer en foliaire le kelp de temps en temps ca booste la croissance et la floraison. 2CAS pour 10 litres.)
Bon la solution melangee de fish mix ça sent le nuoc mam mais je trouve pas ça degueu et mon fils non plus. C'est un hydrolysat de poisson sirupeux.
Quand tu vois la premiere hampe, tu la coupes effectivement et tu envoies la potasse organique ( jardinerie ) et éventuellement le Top Max qui est bio de biobizz (1ml/l jusqu'au debut de la fraise à chaque arrosage ), un booster de floraison tiptop.
Boom floraison abondante.
Envoie la cendre. Quand tu vois les fraises se former tu peux envoyer de la melasse 1CS pour 10L, du top max ( 2ml/l ) a chaque arrosage, brumisation foliaire par irrigation au crepuscule et là...
... t'auras des fraises de compet'.
Semaine prochaine, on perd quasiment 10 degrés. La chaleur remonte d'Afrique.
N'oublie pas, en avril, ne te découvre pas d'un fil
++
C’est un ancien proverbe, les Avril frais et pluvieux, c’était avant, maintenant ils sont chauds et secs[…]
N'oublie pas, en avril, ne te découvre pas d'un fil
++
, même si les nuits de début Avril restent fraîches.Pour la bulle d’air d’Afrique, j’ai appris après. Sur le coup, j’étais inquiet. J’ai fait des semis que j’ai supposé appropriés pour être fait tôt quand il fait encore frais, puis hier je constate cette grosse chaleur, je me demandais si tout allait finir par brûler sur place à peine levée et je me demandais aussi si je devrais devancer les semis prévus pour quand il fait chaud. Finalement, je vais en rester au calendrier prévu, je vais attendre mi‑Avril pour ceux‑là (puis d’autres encore pour peu avant fin‑Avril).
Jamais testé mais qui me semble crédible, c’est de les attirer sous une planche de bois humide. Elle s’y réfugient en journée, il n’y a plus qu’à les ramasser pour leur offrir un séjour longue durée ailleurs.
Sinon, il y a aussi le décalage de la période de semis. J’ai remarqué ça avec le colza. L’année dernière, j’en avais semé mi‑Mars, croyant qu’ils sont annuels. J’ai constaté qu’ils étaient tous dévorés par les limaces même s’ils s’en sont remis après. S’ils s’en sont remis après, c’est justement parce que les limaces n’y allaient plus. Le colza semble être semés dans les champs vers fin‑Août ou début‑Septembre, et je ne n’y ai jamais vu de limaces. Elles semblent attendre que le temps soient assez réchauffé pour sortir au début de l’année, mais dès que ça se réchauffe plus encore, on ne les voit presque plus. Si les cultures sont assez hautes, elles n’ont pas l’air de monter dessus et semblent n’aller qu’aux feuilles accessibles depuis les sol. L’idée serait alors de s’arranger pour que les cultures soient assez hautes aux périodes de fortes activité des limaces.
Le cerisier et le romarin en fleurs
Je ne sais pas si ce sera partout comme ça, mais vers chez moi au moins, ce mois d’Avril s’annonce atypique, plus froid que d’habitude et peut‑être plus humide aussi. Le seuil des douze degrés ne sera pas atteint dans la première quinzaine et de grosses pluies qui vont retarder le réchauffement du sol, sont attendues dans deux à trois jours. Des reports de semis et plantations peuvent devoir être envisagés, mais à vérifier au cas par cas, comme je parle d’après les prévisions pour ma région.