Affirmation de soit : volonté choix

  • Initiateur de la discussion Initiateur de la discussion tajali
  • Date de début Date de début

tajali

ORDRE (douceur) & CHAOS (force)
VIB
Bladinaute averti
manquons nous de volonté ?
Doit on se faire violence et comment ?
Doit on imposer notre volonté par la force ?


2 personnalité dans l'affirmation de soit :
le psychopathe (aggressif) et l'hypersensible empathique (passif)
laquel choisir ou comment les concilier ?
 
etre subtil ou pas
le probleme c la culpabilité la peur de blessé l'autre et du retour de baton

violent intense
le probleme des mechant : de la psychopatie ou pn ne se souci pas des autre il n'y a que lui est cela rend insensible (perte d'emotion ) et que l'on bascule du coté obscur
en general ceux qui reussissent dans la vie sont ceux qui appartiennent a cette categoris

ce qui fait le plus peur c si l'on bascule vers le 2 eme profil la prise de conscience peut etre terrible

subtil intense
le gentil l'hypersensible empathique est bienveillant et cela lui fait plaisir de faire passé les autre avants lui
la richesse des emotions et sensation sont est magic

voir comment l'on bascule de l'un à l'autre :

au sujet de la volonté

profil mbti
volonté representation emotion associer
 
c'est encore une histoire de cerveau gauche egocentrique psychopate et droit spirituel empathie


1690112771104-jpeg.362259



DojtKFkXsAAdEt4
 
retranscription


l'ensemble des caractéristiques d'un texte qui met l'accent sur une perception particulière de la réalité par l'auteur
et qui peuvent provoquer un effet particulier sur le lecteur
le registre tragique se caractérise par un certain nombre de constantes
mais aussi de variantes que nous allons essayer de schématiser

le registre tragique concerne avant tout un être humain
parce qu'il est doté d'une conscience qui lui permet de mesurer avec lucidité la situation dans laquelle il se trouve
cet être humain a d'abord une perception très nette du temps qui transforme sa vie en destin

il sait ou bien il prend brusquement conscience du fait qu'une rupture s'est produite
plus ou moins récemment qu'il a fait passer d'un avant où il n'était pas tragique a maintenant où il l'est

cet être humain sait donc qu'il se trouve présent dans une situation que nous pouvons figuré par une prison symbolique
il est impuissant à en sortir il est prise au piège d'une situation qui lui est imposé
il sait aussi que le temps lui est compté et qui lui est impossible de revenir en arrière
on peut symboliser cette irréversibilité par des engrenages le temps avance

et le dénouement est inéluctable
rien ne pourra l'empêcher ce dénouement est figurée par une chute

qui n'est pas nécessairement la mort mais qui peut tout aussi bien consister en un échec une solitude un exil etc

2:00
reste à déterminer quelle est la cause d'une pareille situation
et ce qui fait que l'être tragique est impuissant à s'en délivrer en donne à cette cause
le nom de transcendance
il s'agit d' une force externe ou interne en tout cas supérieure à l'individu

qui s'impose à lui et contre laquelle il ne peut pas ou ne veut pas lutter
on trouve des forme de transcendance très différente selon les cas
d'abord des transcendances extérieur à l'individu

il peut s'agir d'une divinité ou de dieu qui décide de son destin
il peut aussi s'agir du mouvement de l'histoire qu'un individu tout seul est incapable de changer
il peut s'agir aussi tout simplement du temps qui passe et qui condamne à mort la condition humaine depuis le jour de la naissance

mais on peut être aussi trouvé des transcendances intérieur à l'individu
elles sont essentiellement de deux sortes
d'abord la morale ou les impératifs sociaux qu impose à l'individu son éducation sa religion sa conscience
ce camp psychanalyse on appelle le surmoi ou bien les passions de cet individu qui constituent des forces contre lesquelles il est incapable de lutter
il peut s'agir évidemment de l'amour mais aussi de la colère de la haine de la tyrannie
etc

3:33
on voit que le registre tragique propose une réflexion sur le destin de l'homme perçu en général comme impuissants à lutter contre ce qu'il entraîne mais il faudra veiller à nuancer ce sentiment d'impuissance en pensant que certains individus particulièrement lucide et
courageux décident d'eux mêmes de leur destin ce qui donne au registre trajets qu une couleur plus épique plus héroïque


faire recherche lien
 
Dernière édition:
reprendre le controle


 
Dernière édition:
honneteté honte jugement ... jeux psychologie ... responsabilité

"C'est notre propre lumière et non notre obscurité qui nous effraie le plus."




 
Dernière édition:
Chapitre 4 : fiabilité (vs sincérité).
Repartons de la subjectivité conçue en Europe : la sincérité en est une exigence directement issue de la liberté. L’homme libre se reconnait à un certain usage de la parole : parresia dit le grec, qu’on traduit par franchise, expression directe, sans fard, de la pensée. D’une certaine façon la religion radicalise cette exaltation de la sincérité en concevant un Dieu omniscient, à qui nul frémissement de la subjectivité n’échappe et imposant au croyant le devoir de l’aveu (confession).

Ce credo moral, pour nous si familier, il n’est pas exagéré d’affirmer que la tradition chinoise le contredit,
en valorisant la sociabilité au moyen de la conduite rituelle ( li 礼).
Dire ce qu’on pense, abruptement, est alors aussi indécent que socialement dévastateur.
Ce qu’on attend d’autrui, dans toute l’étendue du champ relationnel, de la famille à l’Etat,
c’est qu’il fasse ce qu’il dit, et non pas une fois mais dans la durée.
Ainsi s’oppose à la sincérité (rapport à la vérité) cette qualité morale fondamentale xin 信 que F.Jullien traduit
par
fiabilité (rapport à l’action, capacité à tenir ses engagements).

Au vertigineux de la sincérité – dire de soi le vrai, tout le vrai (5) –

la pensée chinoise préfère l’assise de la fiabilité – pour construire une relation solide.

Tique

Chapitre 5 : Ténacité (vs volonté). (ou adaptation ?)

Le schéma oppositif du chapitre précédent est déplacé du rapport entre les personnes (fiabilité)
à la personne elle-même (ténacité : en chinois zhi 志 ).
Sur les deux plans c’est la durée de la position adoptée qui lui confère sa valeur.
Quant à la notion de volonté, centrale dans la philosophie moderne (Descartes encore : « …la seule volonté que j’expérimente en moi si ample… en sorte que c’est elle principalement qui me fait connaître que je porte l’image et la ressemblance de Dieu »),
F.Jullien ajoute qu’on la voit se défaire en Europe sous le regard corrosifs des penseurs du Soupçon (Nietzsche, puis Freud).


Ignorant la volonté et ses drames (monologue intérieur, choix crucial, tentation angoissante, dilemme faustien),
la pensée chinoise relève très prosaïquement, dès l’antiquité (Mencius),

les conditionnements socio-économiques dont a besoin pour s’exercer la ténacité dont l’homme est capable.
N’attendez pas de comportement humain de qui est plongé dans des conditions de vie inhumaines.

Optique très ancienne dans laquelle, note F.Jullien, se coulera aisément la conception marxiste des rapports sociaux.
Tout pouvoir politique responsable doit commencer par le commencement :
assurer le fonctionnement de ce que Marx appelle l’infrastructure.


au sujet de la fiabilité efficacité voir
 
Dernière édition:
1 : Propension vs Causalité
2 : Potentiel de situation (vs initiative du sujet).
3 : Disponibilité (vs liberté).

4 : fiabilité (vs sincérité).
5 : Ténacité (vs volonté).

6 : obliquité (vs frontalité).
7 : biais (vs méthode).
8 : influence (vs persuasion).
9 : cohérence (vs sens).

10 : connivence (vs connaissance).
11 : maturation (vs modélisation).
12 : régulation (vs révélation)
13 : transformation silencieuse (vs évènement sonore).

14 : évasif (vs assignable)
15 : allusif (vs allégorique)
16 : ambigu (vs équivoque)

17: entre (vs au-delà)
18 : essor (vs étale)
19 : non-report (vs savoir différer)

20 : ressources (vs vérité)
 
Dernière édition:
 
Retour
Haut