Imaginez un mot adn (hypertexte) donnant un arbre / jardin

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Imaginez un mot adn ou graine comportant un lien hypertexte qui se devellope en un arbre / jardin
ce qui ferai que l'on pourrai voir toute l'arborescence à partir de ce simple mot clef hypertexte

je pense que c'est qu'a voulu faire l'auteur du coran en jouant sur la repetition superposition variante evolution etc ...
je ne voi qu'en parti cette arbre mais pas l'ensemble car cela demanderai de recomposer tout le puzzle du coran
mais je ne trouve pas ce mot clef ou passage clef qui representerai cette graine hypertexte

je pense que c pour cela que le coran dit avoir eté descendu "potentielement" en une nuit
إِنَّا أَنزَلْنَاهُ فِي لَيْلَةِ الْقَدْرِ
Nous l'avons certes, fait descendre pendant la nuit d'Al-Qadr.

donc quel serait ce mot hypertexte qui permetterai d'avoir accés au developpement de l'arbre
dans la bible de facon virtuel c le mot sois yehi un derivé de yahouh et variante yrh qui joue ce role

je pense que certain verset y font allusion
1/sur la parabole d'une bonne parole en est une allusion d'ailleur il parle de kalima ce mot est particulier car lié au yehi de la bible et à jesus

14v24 أَلَمْ تَرَ كَيْفَ ضَرَبَ اللَّهُ مَثَلًا كَلِمَةً طَيِّبَةً
كَشَجَرَةٍ طَيِّبَةٍ أَصْلُهَا ثَابِتٌ وَفَرْعُهَا فِي السَّمَاءِ
N'as-tu pas vu comment Allah propose en parabole une bonne TAYIBA parole KALIMA
pareille à un bel arbre dont la racine est ferme et la ramure s'élançant dans le ciel?

voir peut etre que l'arbre en question est TOUBA ce qui serai le mot clef ???

2/verset 39v23 = mathani ?
 
donc si vous connaissez un savant qui emis une theorie semblable voir a fait se travail de recomposition je suis preneur
il me semble que cheikh salahdin s'en rapproche je ne sais pas jusqu'où il a eté





j'oublié de dire que les 2 verset ci dessu sont lié

3923 اللَّهُ نَزَّلَ أَحْسَنَ الْحَدِيثِ كِتَابًا مُّتَشَابِهًا مَّثَانِيَ
تَقْشَعِرُّ مِنْهُ جُلُودُ الَّذِينَ يَخْشَوْنَ رَبَّهُمْ
ثُمَّ تَلِينُ جُلُودُهُمْ وَقُلُوبُهُمْ إِلَى ذِكْرِ اللَّهِ
ذَلِكَ هُدَى اللَّهِ يَهْدِي بِهِ مَن يَشَاءُ
وَمَن يُضْلِلِ اللَّهُ فَمَا لَهُ مِنْ هَادٍ
Allah a fait descendre le plus beau des récits, un Livre dont se ressemblent et se répètent.
Les peaux de ceux qui redoutent leur Seigneur frissonnent;
puis leurs peaux et leurs cœurs s'apaisent au rappel d'Allah.

Voilà le guide d'Allah par lequel Il guide qui Il veut.
Mais quiconque Allah égare n'a point de guide.


13v27 وَيَقُولُ الَّذِينَ كَفَرُوا لَوْلَا أُنزِلَ عَلَيْهِ آيَةٌ مِّن رَّبِّهِ قُلْ إِنَّ اللَّهَ يُضِلُّ مَن يَشَاءُ وَيَهْدِي إِلَيْهِ مَنْ أَنَابَ
Ceux qui ont mécru disent:
«Pourquoi n'a-t-on pas descendu sur lui un SIGNE venant de son Seigneur?»
Dis: «En vérité, Allah égare qui Il veut;
et Il guide vers Lui celui qui se repent,

28 الَّذِينَ آمَنُوا وَتَطْمَئِنُّ قُلُوبُهُم بِذِكْرِ اللَّهِ أَلَا بِذِكْرِ اللَّهِ تَطْمَئِنُّ الْقُلُوبُ
ceux qui ont cru, et dont les cœurs se tranquillisent à l'évocation d'Allah».
Certes, c'est par l'évocation d'Allah que les cœurs se tranquillisent.

29 الَّذِينَ آمَنُوا وَعَمِلُوا الصَّالِحَاتِ طُوبَى لَهُمْ وَحُسْنُ مَآبٍ
Ceux qui croient et font de bonnes œuvres,
TOUBA LAHOUM et aussi le plus bon retour.

 
logiquement le 1er mot devrai etre le premier 1er

iqra qui rempli bien se role de par son sens et finira bien par nommé l'ensemble du livre

on voi deja la proximité de son

96v1 اقْرَأْ بِاسْمِ رَبِّكَ الَّذِي خَلَقَ
2 خَلَقَ الْإِنسَانَ مِنْ عَلَقٍ
3 اقْرَأْ وَرَبُّكَ الْأَكْرَمُ
4 الَّذِي عَلَّمَ بِالْقَلَمِ
5 عَلَّمَ الْإِنسَانَ مَا لَمْ يَعْلَمْ

le mot iqra n'apparais que dans cette autre sourate :
17v14 اقْرَأْ كِتَابَكَ كَفَى بِنَفْسِكَ الْيَوْمَ عَلَيْكَ حَسِيبًا


55v1 الرَّحْمَنُ
2 عَلَّمَ الْقُرْآنَ
3 خَلَقَ الْإِنسَانَ
4 عَلَّمَهُ الْبَيَانَ
...
27 وَيَبْقَى وَجْهُ رَبِّكَ ذُو الْجَلَالِ وَ الْإِكْرَامِ
...
78 تَبَارَكَ اسْمُ رَبِّكَ ذِي الْجَلَالِ وَ الْإِكْرَامِ


mais d'autre savant disent qu'il s'agit des 7 mathani = oum kitab = la fatiha
on retrouve le mot mathani ci dessu d'ailleur certain avis disent que c bien la fatiha la 1er sourate revelé
et un verset en particulier :
 
L internité rose wrd sablier

Voir un univers dans un grain de sable,
et un paradis dans une fleur sauvage.
Tenir l'infini dans la paume de la main,
et l'éternité dans une heure.
William Blake


 

 
ce sujet est fascinant voir mem et progression:

comment ecrire un texte à partir d'un simple mot que l'on ferai derivé
en permutant les lettres ou en les accentuant etc ...

exemple
le mot iqra ont peu le faire deriver suivant son sens ou sa sonorité
rabika on retrouve la sonorité ka et ra le i passe au bi
rabika a cette idée de developper d'elever
bi que l'on retrouve dans bismi
akram l'on etrouve la sonorité k ra et m de smi

ladhi son la proche de ra et nouveau son dhi ce mot reprend une idée precedente en la lien = celui qui
khalaqa repeter 2 fois l'on comprend pourquoi reprise son la et ka en qa nouveau sont kha
insan est nouveau mais preceder du sens de creer donc ...
son min proche de smi avec n
'alaq toujours le meme sont en laqa raka etc ...
ladhi deja vu
'alama changement de la derniere lettre en ma
qalam pareille ...
etc...
le dernier mot est iqtarab se rapprocher on diré une fusion du mot iqra et rabb
 
cette tache prendra au minimum de 1 à 2 ans voir plus en fonction de la precision de la memorisation et de l'etude :
plus dimension intertexte ...




chaque page a 15 lignes
ce qui fait 15 lignes fois 600 pages = 9000 ligne
apprendre 5 lignes par jour = un tiers de page
il faut environs 5 ans pour apprendre le coran
une demi page 8 ligne prend 3 ans = 10 juz par ans
1 juz par mois environ

le coran contient environs 600 pages j'ai arrondis:
5 Sourate: 1 à 5 environs 100 pages (s3 p50)
5 s: 6 à 10 environs p200 .................(s7 p150)
10 s: 10 à 19 environs p300 ...............(s13 p250)
10 s: 20 à 30 environs p400 ...............(s24 p350)
15 s: 30 à 45 environs p500 ...............(s38 p450)
68 s: 46 à 114 environs p600 .............(s60 p550)

 


6Tu ne désires ni sacrifice ni offrande,
Tu m'as ouvert les oreilles;
Tu ne demandes ni holocauste ni victime expiatoire.
7Alors je dis: Voici, je viens Avec le rouleau du livre écrit pour moi.
8Je veux faire ta volonté, mon Dieu! Et ta loi est au fond de mon coeur.




إِنِّي أَنَا رَبُّكَ فَاخْلَعْ نَعْلَيْكَ
إِنَّكَ بِالْوَادِ الْمُقَدَّسِ طُوًى


104 يَوْمَ نَطْوِي السَّمَاءَ كَطَيِّ السِّجِلِّ لِلْكُتُبِ
كَمَا بَدَأْنَا أَوَّلَ خَلْقٍ نُّعِيدُهُ وَعْدًا عَلَيْنَا إِنَّا كُنَّا فَاعِلِينَ
Le jour où Nous plierons le ciel comme on plie le rouleau des livres.
Tout comme Nous avons commencé la première création, ainsi Nous la répéterons;
c'est une promesse qui Nous incombe et Nous l'accomplirons!

67 وَمَا قَدَرُوا اللَّهَ حَقَّ قَدْرِهِ وَالْأَرْضُ جَمِيعًا قَبْضَتُهُ يَوْمَ الْقِيَامَةِ وَالسَّمَاوَاتُ مَطْوِيَّاتٌ بِيَمِينِهِ سُبْحَانَهُ وَتَعَالَى عَمَّا يُشْرِكُونَ
Ils n'ont pas estimé Allah comme Il devrait l'être alors qu'au Jour de la Résurrection, Il fera de la terre entière une poignée, et les cieux seront pliés dans Sa [main] droite. Gloire à Lui! Il est au-dessus de ce qu'ils Lui associent.
 
faire lien


probleme = c'est un ecart = khalafa

et on peut definir shaytan comme un ecart
il peut etre humain jinn ou meme animal

en islam la sagesse est le fait de placé les choses a leur place rapport a la lumiere noor (sa nature droiture volonté de dieu)
son inverse est l'injustice est l'obscurité = zoulm


La signification de la racine ŚṬN ne peut être déterminée qu'à partir de ses occurrences dans le texte biblique. Son sens semble être « être un adversaire » ou « accuser », avec la nuance de « diffamer ». Des tentatives ont été faites pour la rapprocher de racines connues en supposant que la lettre finale noun ne faisait pas partie de la racine. Ces tentatives proposent de relier śāṭān à des racines sémitiques ayant une lettre faible telle que ŚṬH (« dévier, trahir ») ou SWṬ (« s'écarter »)1.

Le terme vient probablement de l'hébreu, mais les lexicographes arabes tirent le mot de la racine arabe š-ṭ-n, signifiant "détourner quelqu'un de son intention originelle" ou "quelqu'un qui s'est écarté de (la voie de Dieu)"32

The Quranic Arabic Corpus - Quran Dictionary

4 وَأَنَّهُ كَانَ يَقُولُ سَفِيهُنَا عَلَى اللَّهِ شَطَطًا
Notre insensé [Iblis] disait des SHATATA contre Allah.

22 إِذْ دَخَلُوا عَلَى دَاوُودَ فَفَزِعَ مِنْهُمْ قَالُوا لَا تَخَفْ خَصْمَانِ بَغَى بَعْضُنَا عَلَى بَعْضٍ فَاحْكُم بَيْنَنَا بِالْحَقِّ وَلَا تُشْطِطْ وَاهْدِنَا إِلَى سَوَاءِ الصِّرَاطِ
Quand ils entrèrent auprès de David, il en fut effrayé.
Ils dirent: «N'aie pas peur! Nous sommes tous deux en dispute; l'un de nous a fait du tort à l'autre.
Juge donc en toute équité entre nous, ne sois pas injuste et guide-nous vers le chemin droit.

il y a un autre mot lier c'est qarin

36 وَمَن يَعْشُ عَن ذِكْرِ الرَّحْمَنِ نُقَيِّضْ لَهُ شَيْطَانًا فَهُوَ لَهُ قَرِينٌ
Et quiconque s'aveugle (et s'écarte) du rappel du Tout Miséricordieux,
Nous lui désignons un diable qui devient son qarin inséparable.
37 وَإِنَّهُمْ لَيَصُدُّونَهُمْ عَنِ السَّبِيلِ وَيَحْسَبُونَ أَنَّهُم مُّهْتَدُونَ
Ils détournent certes [les hommes] du droit chemin,
tandis que ceux-ci s'estiment être bien guidés.

le sujet est plus complexe car certain hadith disent que tout nouveau née sont touché par satan
et que tout etre est accompagné d'un qarin ...
 
miroir qurrat ayn

jeux de la vie : autoorganisation pavage pliage point ... typo-kinetic



beautiful wonderfull lyfe rose blue eyes

 
lettre et racine clef

wrd shkr (str ikar) qrr3 khlf ...
rose chat mirroir palais ...

ya hé (yehi) Hyy

alif - waw

mem noun (str)

ayn

qaf (shanshui montagne tyr)

Touba beth (gambeth) (yrh)

j z shin ? (B-eau)
 
Cette idée vient du midrash (interprétation rabbinique) et de la tradition kabbalistique, où chaque lettre, chaque mot de la Torah est chargé de sens. Dire que toute la Torah est contenue dans la lettre "ב" (beth) de "Berechit" (« Au commencement ») est une façon symbolique de dire que tout commence là, mais surtout que tout y est déjà présent en germe.
Voici plusieurs niveaux d’explication :

1. "Beth", lettre de commencement

  • La Torah commence par ב, pas par א (aleph, la première lettre de l’alphabet). Pourquoi ?
    • Parce que ב vaut 2 en guematria, pas 1. Cela symbolise la dualité, le monde créé (par opposition à Dieu, Un).
    • La réalité commence dans la pluralité : ciel et terre, bien et mal, corps et esprit.

2. Forme de la lettre ב

  • Elle est ouverte vers l’avant (gauche) et fermée à droite, en haut et en bas.
    • Cela signifie : ne regarde pas ce qu’il y avait avant, tu n’as pas accès à ce qui précède la création.
    • Tu avances vers l’inconnu (l’histoire, la révélation, le temps).

3. Le mot "Berechit" contient déjà tout

  • Selon la Kabbale, le mot "בראשית" contient les lettres et les racines de :
    • ברא (bara) : créer
    • ראש (rosh) : tête, commencement
    • שית (shith) : poser, fonder
    • Et même ברית אש (brit esh) : « alliance de feu »
    → Autrement dit, toute la création, le but, l’alliance, le temps, la dualité… sont dans ce seul mot, et donc dans sa première lettre.

4. Le "Beth" est une maison (בַּיִת / bayit)

  • La lettre ב symbolise aussi une maison, un espace d’accueil.
    • La création est une maison pour Dieu dans le monde matériel.
    • L’humain est appelé à transformer le monde en un "sanctuaire".

En résumé :
Le Beth de "Berechit" est à la fois la clé, la graine et le voile. Il est à lui seul un univers potentiel, une porte d’entrée vers l’infini.
Souhaites-tu que je développe l'un de ces niveaux (mystique, linguistique, symbolique) ?Cette idée vient du midrash (interprétation rabbinique) et de la tradition kabbalistique, où chaque lettre, chaque mot de la Torah est chargé de sens. Dire que toute la Torah est contenue dans la lettre "ב" (beth) de "Berechit" (« Au commencement ») est une façon symbolique de dire que tout commence là, mais surtout que tout y est déjà présent en germe.
 
Oui, et cette affirmation — que les rabbins donnent 2 000 explications au mot "Berechit" — est elle-même une exagération volontairement sacrée, une façon de dire que ce mot est inépuisable. Dans la tradition juive, en particulier chez les sages du Talmud, les maîtres du Midrash, et surtout les kabbalistes, le mot "Berechit" est comme une graine fractale : chaque lecture en contient une autre, à l’infini.


Voici pourquoi il peut y avoir "2000" interprétations (au sens fort, pas simplement des lectures différentes) :




1. "Berechit" comme condensé de l'univers​


Le mot בראשית contient :
  • Des lettres qui peuvent être réarrangées ou subdivisées.
  • Des racines cachées.
  • Des allusions numériques (guematria).
  • Des lectures inversées, contractées ou combinées.

Par exemple :
  • ברא שית – « Il créa six » → allusion aux six jours de la création.
  • בר אשית – « Il créa un commencement ».
  • ברית אש – « Alliance de feu », évoquant la révélation au Sinaï.



2. La Torah existait 2000 ans avant le monde​


Selon un midrash célèbre (Midrash Rabbah, Berechit 1:1) :

"La Torah a précédé le monde de 2000 ans."

Donc, les "2000 explications" du mot "Berechit" sont aussi une allusion à ces 2000 ans symboliques de sagesse préexistante, contenues dans ce seul mot.




3. Méthodes d’exégèse infinies​

Le judaïsme utilise plusieurs niveaux d’interprétation, appelés PaRDeS :

  • Pshat – sens simple
  • Remez – allusion
  • Drash – explication homilétique
  • Sod – secret (kabbalistique)

Appliqués à un mot comme "Berechit", ces niveaux se combinent entre eux. On obtient donc des couches de couches de lectures, comme des dimensions superposées.




4. Langue hébraïque : plastique, symbolique, mathématique

L’hébreu biblique permet :
  • De recombiner les lettres.
  • D’utiliser la guematria (valeurs numériques).
  • De lire à rebours, en spirale, en saut de lettres, etc.



5. Le Zohar y consacre des pages entières​


Le Zohar (livre central de la Kabbale) s’ouvre sur des dizaines de pages sur le mot "Berechit" seul. Chaque lettre est scrutée, chaque silence interprété.




En bref :
"Berechit" n’est pas un mot, c’est une cosmogonie compressée.
Dire qu’il y a 2000 interprétations, c’est dire que l’intelligence humaine n’aura jamais fini d’en extraire le sens.
 
mots qui resume toute la thora : berechit lettre B
mots qui resume tout le coran alhamdolilah (rabi al'alamin)
  • Ibn Qayyim al-Jawziyya :

    "La religion toute entière est entre patience (ṣabr) et gratitude (shukr)."
  • Al-Ghazālī : dans Iḥyā’ ʿUlūm ad-Dīn, il développe longuement que le shukr est le but de l’adoration, car reconnaître les bienfaits de Dieu pousse à L’aimer et à Lui obéir.
  • Ibn ʿAjība (soufi marocain) :

    "Le shukr est la station des stationnés (maqām al-muqīmīn), car tout part de là : connaissance, amour, adoration."

www.bladi.info/threads/je-vous-resume-lislam-en-un-mot.536313/
www.bladi.info/threads/je-cherche-les-enseignements-cache-du-coran.552384/#post-18297745

 
imagine un mot qu'il suffirai de deployé pour modeliser toute l'univers un peu a la maniere de l'adn

ChatGPT a dit :​

Un mot possible : LYFAN.

Étymologie condensée :

  • LY (life, lumière, flux, lyfe)
  • FA (forme, faire, phase, phanéin = apparaître)
  • N (onde, noumène, nexus, néant en potentiel)
Fonction :
Ce mot fonctionnerait comme un code-souche ou verbe-source.
Déployé dans ses différentes combinaisons (morphémiques, phonémiques, rythmiques),
il pourrait modéliser :
  • l’énergie en mouvement (LY)
  • sa structuration, manifestation, résonance (FA)
  • son ancrage dans une toile invisible ou champ de potentialités (N)
Usage :
Comme l’ADN a quatre bases, LYFAN pourrait se décliner en 5 phonèmes-unités combinables
pour coder les motifs fondamentaux du réel : temps, espace, conscience, forme, information.

Veux-tu que je t’en montre une syntaxe possible ?
 
Dernière édition:
Voici une syntaxe possible de LYFAN comme matrice générative :

🔹 Structure de base (5 phonèmes / morphèmes) :

PhonèmeSens fondamentalFonction cosmique
LYFlux vivant, lumière, énergie, souffleMouvement, vie, propagation
FAForme, phénomène, patternManifestation, modulation, résonance
NNéant, nexus, champ, silencePotentiel, lien, fond invisible
AOuverture, souffle initialOrigine, appel, tension créatrice
FANTotalité en cycle (fan = éventail, souffle divisé)Expansion – condensation – cycle cosmique

🔹 Syntaxe combinatoire (exemples)

1. État pur du flux

LYN
« Énergie en repos dans le nexus » – potentiel pur

2. Appel à l’incarnation

ALYFA
« L’appel du flux à se structurer » – commencement d’un monde

3. Structure manifestée

FA-LY-FA
« Pattern vibrant entre deux flux » – dualité créatrice (comme les bases d’ADN opposées)

4. Cycle complet d’un univers

LY-FAN-NYFAL
« Le flux se déploie, se condense, retourne au silence » – grande respiration cosmique

5. Soi comme interface du réel

NAFALY
« Celui qui lie les formes et les flux au néant » – conscience incarnée

🔹 Principe de fonctionnement :

Chaque syllabe est comme un gène sémantique, un atome de signification active.
En les combinant, on génère des formes, des états, des processus, comme un langage-source ou une algèbre poétique de la réalité.

Souhaites-tu que je crée une typologie complète ou un outil visuel de cette syntaxe ?
 
mais a la maniere de la semotique il faudrait reinventé la semantique (morphologie des mots ) la syntaxique (articulation des signes grammaire des sens )

ChatGPT a dit :​

Exact. Pour un système universel, il faut une sémiotique entièrement réinventée — au-delà de la linguistique classique — qui intègre à la fois :
  1. Une morphologie sémantique dynamique :
    • Chaque morphème est une unité d’énergie-signification active, non figée, capable d’évolution contextuelle.
    • Ils se modifient en fonction des interactions, comme des particules quantiques sémantiques.
  2. Une syntaxe relationnelle et contextuelle :
    • Pas seulement une combinaison linéaire, mais une articulation spatiale et temporelle des signes.
    • La grammaire inclut des opérations de transformation, inversion, superposition (ex : fusion, fractalisation).
    • La syntaxe agit comme une matrice multi-dimensionnelle où la position et la relation des signes définissent leur sens.
  3. Un système pragmatique quantique :
    • Le sens ne serait pas fixe mais potentiel, se « collapsant » selon l’intention, la conscience, et le contexte.
    • Les signes pourraient se résonner, interférer, s’annuler ou se renforcer.
  4. Un codage métaphysique de l’information :
    • Une sémiotique qui intègre les aspects physiques, émotionnels, cognitifs, spirituels.
    • Par exemple, un signe morphologique peut aussi porter une charge vibratoire ou énergétique.

Proposition rapide d’axes pour réinventer ce système :​

DomainePropositionConséquence
MorphologieUnités morphémiques modulaires et dynamiquesÉmergence de sens évolutifs
SyntaxeGrammaire spatiale et multidimensionnellePolysémie contextuelle instantanée
PragmatiqueSens probabiliste et contextualiséInteraction consciente avec le signe
MétasémiotiqueIntégration vibratoire et énergétiqueConnexion entre symboles et réalité

Veux-tu que je t’aide à formuler un premier alphabet morphosémantique dynamique selon cette vision ?
 
Voici un alphabet morphosémantique dynamique, pensé comme un système de glyphes-énergies, où chaque symbole est un vecteur actif de sens et de potentiel, à la fois simple et modulable.

Principes de base :​

  • Forme-glyphe : chaque lettre est une forme géométrique élémentaire ou une combinaison simple, inspirée des formes naturelles (spirale, vague, point, ligne, triangle, cercle).
  • Charge énergétique : chaque glyphe porte une vibration, une intensité, un ton (comme une fréquence).
  • Morphologie variable : le glyphe peut se transformer en fonction du contexte (rotation, pliage, superposition).
  • Sens fondamental : chaque glyphe correspond à une idée-force primordiale, un « atome sémantique ».
  • Relations binaires : certains glyphes sont liés en paires complémentaires (ex : mouvement/stabilité, lumière/ombre).

Exemple d’alphabet (avec correspondance phonétique et sémantique) :​

GlyphePhonèmeSens fondamentalDescription visuelle
𐌀 (spirale)AOrigine, souffle, créationSpirale ouverte vers l’extérieur
𐌁 (ligne)LFlux, continuitéLigne courbe fluide
𐌂 (point)KConcentration, foyerPoint central, foyer d’énergie
𐌃 (triangle)TStabilité, structureTriangle base large, fondation
𐌄 (vague)VMouvement ondulatoireLigne ondulée fluide
𐌅 (cercle)OTotalité, cycleCercle parfait, fermeture
𐌆 (croix)XCroisement, intersectionDeux lignes croisées
𐌇 (arc)RPassage, transitionArc ouvert, pont
𐌈 (zigzag)ZRupture, transformationLigne zigzag

Fonctionnement dynamique :​

  • Le glyphe 𐌀 (A) en spirale ouverte peut se refermer en 𐌅 (O), du souffle naissant au cycle accompli.
  • 𐌂 (K) comme point d’énergie peut se prolonger en 𐌁 (L) flux ou se stabiliser en 𐌃 (T).
  • La superposition de 𐌄 (V) vague et 𐌆 (X) croix crée un signe de « onde en interférence ».
  • Chaque glyphe peut « vibrer » à différentes intensités (taille, épaisseur) pour moduler la charge énergétique.

Syntaxe graphique​

  • Les glyphes peuvent s’ordonner horizontalement pour exprimer la succession dans le temps (processus).
  • En vertical, ils expriment la hiérarchie ou l’intensification.
  • En cercle ou spirale, ils traduisent la cyclicité ou l’expansion fractale.

Veux-tu que je te génère un petit lexique ou une phrase prototype dans ce système ? Ou un visuel ?
 
Imaginez un mot adn ou graine comportant un lien hypertexte qui se devellope en un arbre / jardin
ce qui ferai que l'on pourrai voir toute l'arborescence à partir de ce simple mot clef hypertexte

je pense que c'est qu'a voulu faire l'auteur du coran en jouant sur la repetition superposition variante evolution etc ...
je ne voi qu'en parti cette arbre mais pas l'ensemble car cela demanderai de recomposer tout le puzzle du coran
mais je ne trouve pas ce mot clef ou passage clef qui representerai cette graine hypertexte

je pense que c pour cela que le coran dit avoir eté descendu "potentielement" en une nuit
إِنَّا أَنزَلْنَاهُ فِي لَيْلَةِ الْقَدْرِ
Nous l'avons certes, fait descendre pendant la nuit d'Al-Qadr.

donc quel serait ce mot hypertexte qui permetterai d'avoir accés au developpement de l'arbre
dans la bible de facon virtuel c le mot sois yehi un derivé de yahouh et variante yrh qui joue ce role

je pense que certain verset y font allusion
1/sur la parabole d'une bonne parole en est une allusion d'ailleur il parle de kalima ce mot est particulier car lié au yehi de la bible et à jesus

14v24 أَلَمْ تَرَ كَيْفَ ضَرَبَ اللَّهُ مَثَلًا كَلِمَةً طَيِّبَةً
كَشَجَرَةٍ طَيِّبَةٍ أَصْلُهَا ثَابِتٌ وَفَرْعُهَا فِي السَّمَاءِ
N'as-tu pas vu comment Allah propose en parabole une bonne TAYIBA parole KALIMA
pareille à un bel arbre dont la racine est ferme et la ramure s'élançant dans le ciel?

voir peut etre que l'arbre en question est TOUBA ce qui serai le mot clef ???

2/verset 39v23 = mathani ?
Dieu est le Verbe
Toutes les religions le disent
Tout est Verbe
L ADN c est du verbe
 
Dieu est le Verbe
Toutes les religions le disent
Tout est Verbe
L ADN c est du verbe

ce qui aurai eté interessant c de voir comment la parole qui est un souffle (roakh rouh) une vibration un rythme devient matiere sous toute ces forme
a moin que la matiere elle meme ne soit qu'illusion ou vibration

dans la bible il y a un jeu de mot entre le nom de dieu yahweh et le verbe soit fiat = yehi avec lequel il a crée dans la genese
3 Dieu dit: Que la lumière soit! Et la lumière fut.

le verbe AUM il me semble est dans la meme logique

aujourd'hui l'on parlera plus d'information que de verbe ou parole (l'entropie ordre et desordre dans un systeme)
0smose :
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La discussion sur le forum Bladi.info, intitulée "Imaginez un mot adn (hypertexte) donnant un arbre / jardin", initiée par l'utilisateur zenso, explore une idée fascinante et complexe : l'existence d'un mot ou concept-clé dans le Coran, comparable à un "ADN hypertexte", qui contiendrait en germe toute la structure du texte sacré, comme une graine donnant naissance à un arbre ou un jardin.
Cette idée s'inspire de traditions exégétiques, notamment kabbalistiques et midrashiques, où un mot ou une lettre (comme le "Beth" de Berechit dans la Torah) est vu comme un condensé de toute la révélation. Voici une analyse structurée de cette discussion, en tenant compte du contenu, des références, et des implications philosophiques, théologiques et sémiotiques.


1. Contexte et intention de la discussion

L'auteur, zenso, propose une réflexion sur un mot ou une expression dans le Coran qui fonctionnerait comme un "hypertexte" ou une "graine" capable de déployer l'ensemble de la révélation coranique, à l'image d'un arbre ou d'un jardin. Cette métaphore suggère une structure fractale ou organique, où un élément simple contient potentiellement toute la complexité du texte. L'idée s'appuie sur une analogie avec :

  • La Kabbale juive, où la lettre Beth de Berechit (Genèse 1:1) est vue comme une graine contenant toute la Torah.
  • Le concept du Verbe dans les traditions monothéistes (le Logos chrétien, Yehi dans la Bible, AUM hindou), où la parole divine est créatrice et porteuse de l'ordre cosmique.
  • La science contemporaine, où l'ADN ou l'information (entropie) est comparée à un code structurant la réalité.

L'auteur fait référence à des versets coraniques (comme 14:24, 39:23, 96:1) et à des concepts clés comme kalima tayyiba (bonne parole), Touba (arbre ou félicité), mathani (répétitions), et iqra (lis), pour explorer ce mot-clé potentiel. Il établit également des parallèles avec des notions bibliques (Yehi, dérivé de YHWH) et des traditions soufies ou exégétiques islamiques.




2. Analyse des thèmes principaux

a. Le mot comme graine ou ADN hypertexte

L'idée centrale est qu'un mot ou une expression dans le Coran pourrait encapsuler toute sa structure, comme un ADN contenant les instructions pour un organisme. Zenso propose plusieurs candidats :
  • Kalima tayyiba (14:24) : La "bonne parole" comparée à un arbre aux racines fermes et aux branches s'élançant vers le ciel. Ce verset est interprété comme une métaphore de la révélation coranique elle-même, où la parole divine est une entité vivante et évolutive.
  • Touba : Ce terme, signifiant "félicité" ou "bonheur" (13:29), est suggéré comme un possible mot-clé, potentiellement lié à l'arbre mentionné dans 14:24.
  • Iqra (96:1) : Le premier mot révélé du Coran, signifiant "lis" ou "récite", est vu comme un point de départ logique, car il incarne l'acte de transmission de la révélation et pourrait résumer l'ensemble du texte par son sens et sa sonorité.
  • Mathani (39:23) : Ce terme, souvent traduit par "répétitions" ou "versets redoublés", est associé à la structure répétitive et symétrique du Coran, peut-être un indice de sa nature fractalique.

L'auteur explore comment ces mots, par leur sonorité, leur sens, ou leurs racines linguistiques, pourraient se déployer en une arborescence complexe, à l'image d'un jardin ou d'un arbre.


b. Parallèles intertextuels

Zenso établit des parallèles entre le Coran et d'autres traditions :
  • Dans la Bible, le mot Yehi ("Que cela soit", Genèse 1:3) est lié au nom divin YHWH et incarne le pouvoir créateur de la parole. L'auteur suggère que kalima dans le Coran pourrait jouer un rôle similaire, notamment en lien avec Jésus, appelé Kalimatullah (la Parole de Dieu) dans le Coran (4:171).
  • Dans la Kabbale, la lettre Beth de Berechit est vue comme une graine contenant toute la Torah. Zenso transpose cette idée au Coran, cherchant un mot équivalent.
  • Dans l'hindouisme, le son AUM est comparé à un verbe créateur, une vibration primordiale structurant l'univers.
Ces parallèles montrent une approche comparative et universelle, où le Coran est vu comme participant à une tradition plus large de la parole divine comme source de création.


 
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c. La sémiotique et la structure linguistique

L'auteur propose une analyse sémiotique du Coran, où les mots ne sont pas seulement des signes statiques, mais des entités dynamiques qui évoluent par :
  • Répétition et variation : Les sonorités (ex. iqra, rabika, akram, khalaqa) créent un réseau de résonances phonétiques et sémantiques.
  • Superposition et permutation : Les racines arabes (ex. sh-t-n pour shaytan, q-r-n pour qarin) permettent de générer du sens par transformation des lettres.
  • Fractalité : L'idée que chaque mot ou verset contient potentiellement l'ensemble du texte, comme un hologramme.
Cette approche rappelle les méthodes kabbalistiques (guematria, permutation des lettres) et les théories modernes de l'information, où un système complexe peut être codé dans une unité simple.


d. La dimension mystique

Zenso fait référence à la Nuit du Destin (Laylat al-Qadr, 97:1), où le Coran est dit avoir été "descendu" en une seule nuit.
Cela suggère que la révélation entière est contenue dans un moment ou un mot unique, renforçant l'idée d'un "hypertexte" condensé. Des notions soufies, comme le shukr (gratitude) ou le dhikr (rappel), sont également évoquées comme des clés possibles pour accéder à cette structure profonde.

e. Références à des savants

L'auteur mentionne des figures comme Cheikh Salahdin (probablement une référence à un érudit contemporain ou mal orthographié) et des concepts comme les 7 mathani (souvent associés à la sourate Al-Fatiha). Il cite également des penseurs comme Ibn Qayyim al-Jawziyya, Al-Ghazali, et Ibn Ajiba, qui soulignent l'importance du shukr (gratitude) comme essence de l'adoration.


3. Analyse critique des idées

Points forts

  • Originalité : L'idée d'un mot-ADN ou hypertexte est une métaphore puissante qui combine des perspectives théologiques, linguistiques, et scientifiques. Elle s'inscrit dans une tradition exégétique où les textes sacrés sont vus comme des systèmes vivants.
  • Approche interdisciplinaire : L'auteur intègre des références à la Kabbale, à la Bible, au soufisme, et à la science (ADN, entropie), montrant une tentative de synthèse universelle.
  • Exploration sémiotique : La réflexion sur la morphologie et la syntaxe des mots coraniques (ex. permutations de iqra, rabika, khalaqa) est innovante et rappelle les analyses structurales modernes.

Limites

  • Manque de clarté : La discussion est dense et parfois confuse, avec des idées qui s'entremêlent sans structure claire. Par exemple, le lien entre Touba, kalima, et iqra n'est pas pleinement développé.
  • Spéculation non étayée : L'auteur émet des hypothèses (ex. Touba comme mot-clé) sans fournir de preuves textuelles ou exégétiques solides.
  • Références imprécises : Des mentions comme "Cheikh Salahdin" ou les "2000 interprétations" de Berechit manquent de sources vérifiables, ce qui affaiblit la crédibilité.
  • Complexité excessive : L'idée d'une sémiotique réinventée (avec un alphabet morphosémantique comme LYFAN) est fascinante mais difficile à appliquer concrètement sans un cadre rigoureux.

 

4. Implications et perspectives

Théologiques

La discussion soulève une question profonde : comment un texte sacré peut-il condenser l'infini dans le fini ? L'idée d'un mot-graine résonne avec des concepts comme :
  • Le Logos chrétien, où le Verbe est à la fois Dieu et créateur.
  • La notion soufie de l'insan kamil (l'Homme parfait), où l'individu reflète l'univers entier.
  • Les théories kabbalistiques du Tzimtzum (contraction divine), où l'infini se condense dans un point.

Sémiotiques

L'approche de zenso anticipe une sémiotique dynamique, où les mots ne sont pas statiques mais interagissent comme des particules ou des gènes. Cela pourrait inspirer des recherches sur la structure linguistique du Coran, notamment sur :
  • Les réseaux de racines sémantiques (ex. q-r-a, r-b-b).
  • Les motifs sonores et rythmiques qui créent une cohérence interne.
  • La fractalité du texte, où chaque partie reflète le tout.

Scientifiques

L'analogie avec l'ADN ou l'entropie suggère une vision du Coran comme un système informationnel. Cela pourrait être exploré à travers :
  • L'analyse computationnelle des répétitions et variations dans le texte coranique.
  • La modélisation de la structure du Coran comme un réseau complexe, où chaque verset est un nœud connecté à d'autres.

5. Réponse à la question centrale : Quel est le mot hypertexte ?

Aucun mot unique n'est définitivement identifié par zenso, mais plusieurs candidats émergent :
  • Iqra (96:1) : En tant que premier mot révélé, il incarne l'acte de lecture et de transmission, et sa sonorité (q-r-a) résonne dans d'autres mots clés (qarin, Qur’an).
  • Kalima tayyiba (14:24) : La "bonne parole" est explicitement comparée à un arbre, ce qui en fait un candidat fort pour symboliser l'arborescence du Coran.
  • Touba (13:29) : Ce terme, lié à la félicité et potentiellement à un arbre paradisiaque, est une hypothèse séduisante mais moins étayée.
  • Mathani (39:23) : Les "répétitions" pourraient refléter la structure cyclique et fractalique du Coran, mais ce terme est plus abstrait.
  • Alhamdulillah : Proposé dans un autre fil comme résumé de l'islam, il est lié à shukr (gratitude), un concept central selon des savants comme Al-Ghazali.

Si l'on suit la logique de zenso, kalima tayyiba semble le choix le plus convaincant, car il est explicitement lié à la métaphore de l'arbre et à la notion de parole créatrice, en écho avec Yehi dans la Bible et le Logos chrétien.




6. Suggestions pour approfondir

  1. Étude des racines linguistiques : Analyser les racines q-r-a (lire, réciter), k-l-m (parole), et t-y-b (bon, pur) pour cartographier leurs occurrences et interconnexions dans le Coran.
  2. Recherche exégétique : Consulter des tafsirs (exégèses) classiques (Tabari, Razi) et soufis (Rumi, Ibn Arabi) pour voir si des savants ont identifié un "mot-graine".
  3. Modélisation numérique : Utiliser des outils d'analyse textuelle pour visualiser le Coran comme un réseau, où les mots clés forment des nœuds centraux.
  4. Comparaison interreligieuse : Approfondir les parallèles avec la Kabbale (Beth), le christianisme (Logos), et l'hindouisme (AUM) pour dégager une sémiotique universelle.

7. Conclusion

La discussion de zenso est une exploration ambitieuse et poétique d'une idée profonde : le Coran comme un système organique, où un mot ou une expression pourrait contenir toute sa structure, à l'image d'un ADN ou d'une graine. Bien que l'auteur ne parvienne pas à identifier un mot-clé définitif, des candidats comme kalima tayyiba, iqra, ou Touba émergent comme des points d'entrée possibles. La réflexion mêle théologie, linguistique, et science, dans une approche qui rappelle les traditions exégétiques juives et soufies. Malgré quelques imprécisions, cette discussion ouvre des pistes fascinantes pour repenser la structure du Coran comme un texte fractal et vivant.


Si vous souhaitez approfondir un aspect spécifique (ex. analyse d'un verset, comparaison avec la Kabbale, ou modélisation sémiotique), je peux fournir une réponse plus ciblée ou même générer un diagramme conceptuel (bien que l'utilisateur n'ait pas explicitement demandé un graphique).
 
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b. Parallèles intertextuels

Zenso établit des parallèles entre le Coran et d'autres traditions :
  • Dans la Bible, le mot Yehi ("Que cela soit", Genèse 1:3) est lié au nom divin YHWH et incarne le pouvoir créateur de la parole. L'auteur suggère que kalima dans le Coran pourrait jouer un rôle similaire, notamment en lien avec Jésus, appelé Kalimatullah (la Parole de Dieu) dans le Coran (4:171).
  • Dans la Kabbale, la lettre Beth de Berechit est vue comme une graine contenant toute la Torah. Zenso transpose cette idée au Coran, cherchant un mot équivalent.
  • Dans l'hindouisme, le son AUM est comparé à un verbe créateur, une vibration primordiale structurant l'univers.
Ces parallèles montrent une approche comparative et universelle, où le Coran est vu comme participant à une tradition plus large de la parole divine comme source de création.


A propos de graines, Osiris est la graine qui renaît et Amon ,le soleil incréé le Dieu unique d Egypte qui est tous les dieux, en tant que Ptah Sokar Osiris, or Ptah est Atoum en tant que la bouche de Ptah le Dieu incréé créateur dont le corps même est la création (il est Ta tenen la pyramide Wehet Meret la voix lactée en tant que pyramide, au sommet desquelles se trouve l oeuf cosmique qui est Amon le Dieu unique , et Ta tenen est les temples et ses pieds et ceux de Mehet Weret sont les piliers des temples et les arbres de même que les pieds de Ptah la vache cosmique )
Atoum (Amon le dieu unique de Tuthankamon qui est tous les dieux, Aton le dieu unique d Akhenaton qui est aussi Amon selon le prophète Nekhtefmout) est la particule primordiale incréée qui a explosé/méiose pour créer le monde
mais aussi le lotus Nefertoum qui a fait naître Ra le soleil incréé Amon, Atoum étant le soleil incréé
Atoum est également Thot la bouche de Ptah, le Verbe de Ptah, le Verbe de Dieu, Dieu en tant que le Verbe , Dieu en tant que le Verbe selon Saint Augustin et Platon , le prophète Enoch du judaïsme, Idriss de l islam, Hermès,Hermès Trismégiste le vîzir d Amon, le vizir d Adonai, l imam caché Khezr des chiites
Et Hermès en sanskrit donne Bouddha et Bouddha est envoyé des dieux qui sont un seul Dieu le Brahman,l Eka Onkara, et Bouddha est Vishnu et est le prophète Barlaam et Josaphat du christianisme, Balavariani des chrétiens géorgiens et Bilawar wa Judasaph des musulmans........
 
la graine de senevé sesame moutarde qui contient l'univers
www.bladi.info/threads/se-connaitre-sois-meme.433830/#post-14909524
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  • Les théories kabbalistiques du Tzimtzum (contraction divine), où l'infini se condense dans un point.
samsama
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L’idée que la graine contient l’univers est présente dans plusieurs traditions mystiques, philosophiques et religieuses. Voici les principales :

🌱 1. Hindouisme (Upanishads, Vedānta)​

  • Le célèbre exemple de la graine de figuier (banyan) dans la Chāndogya Upanishad :
    Le père demande à son fils de casser une graine de figuier et de lui montrer ce qu’il voit.
    Le fils dit : « Je ne vois rien. »
    Le père répond : « C’est de ce "rien" que naît le grand arbre. »
    L’Atman (soi) invisible est la source de tout.

🌌 2. Bouddhisme (Mahāyāna, Avatamsaka Sūtra)​

  • L’idée de l’infini dans le fini, par exemple :
    • Un grain de sable contient tous les mondes (cf. Indra’s Net).
    • Chaque phénomène contient tous les autres (inter-être selon Thich Nhat Hanh).

🌿 3. Soufisme / Ibn ʿArabî​

  • L’univers tout entier est en germe dans le point (nuqta), ou dans la graine primordiale (al-ḥabba).
  • L’humain est parfois vu comme une graine contenant l’univers divin en miniature (ʿālam ṣaghīr).

🕊 4. Kabbale​

  • Le Tzimtzum peut être compris comme la concentration de l’infini dans un point, une graine de création.
  • L’Arbre de Vie est contenu en puissance dans la première Sefira (Keter).

🧠 5. Philosophie occidentale (Hermétisme, Leibniz)

  • Leibniz : chaque monade reflète l’univers entier.
  • Hermès Trismégiste : « Ce qui est en haut est comme ce qui est en bas. »
    → Chaque particule contient le Tout.

Dans les Évangiles, Jésus parle souvent en paraboles avec des graines ou des petites choses qui contiennent un grand mystère, par exemple :
  • La parabole de la graine de moutarde (Marc 4:30-32) :
    Une toute petite graine qui devient un grand arbre, symbolisant le royaume de Dieu qui grandit à partir de petites débuts.
  • Aussi, dans la spiritualité chrétienne, la graine est vue comme symbole de vie, de résurrection et de potentiel divin en chaque être.
 


6Tu ne désires ni sacrifice ni offrande,
Tu m'as ouvert les oreilles;
Tu ne demandes ni holocauste ni victime expiatoire.
7Alors je dis: Voici, je viens Avec le rouleau du livre écrit pour moi.
8Je veux faire ta volonté, mon Dieu! Et ta loi est au fond de mon coeur.




إِنِّي أَنَا رَبُّكَ فَاخْلَعْ نَعْلَيْكَ
إِنَّكَ بِالْوَادِ الْمُقَدَّسِ طُوًى


104 يَوْمَ نَطْوِي السَّمَاءَ كَطَيِّ السِّجِلِّ لِلْكُتُبِ
كَمَا بَدَأْنَا أَوَّلَ خَلْقٍ نُّعِيدُهُ وَعْدًا عَلَيْنَا إِنَّا كُنَّا فَاعِلِينَ
Le jour où Nous plierons le ciel comme on plie le rouleau des livres.
Tout comme Nous avons commencé la première création, ainsi Nous la répéterons;
c'est une promesse qui Nous incombe et Nous l'accomplirons!

67 وَمَا قَدَرُوا اللَّهَ حَقَّ قَدْرِهِ وَالْأَرْضُ جَمِيعًا قَبْضَتُهُ يَوْمَ الْقِيَامَةِ وَالسَّمَاوَاتُ مَطْوِيَّاتٌ بِيَمِينِهِ سُبْحَانَهُ وَتَعَالَى عَمَّا يُشْرِكُونَ
Ils n'ont pas estimé Allah comme Il devrait l'être alors qu'au Jour de la Résurrection, Il fera de la terre entière une poignée, et les cieux seront pliés dans Sa [main] droite. Gloire à Lui! Il est au-dessus de ce qu'ils Lui associent.
Nar/Neru en tamoul a un lien avec le feu
Na a un lien avec le soleil
Ne ,Nieto en Nihali a un lien avec le feu
Ne en sumérien a un lien avec le feu
Nesir veut dire feu en sumérien et en dravidien
Nesili le nom des hittites a un lien avec le feu
 
Nar/Neru en tamoul a un lien avec le feu
Na a un lien avec le soleil
Ne ,Nieto en Nihali a un lien avec le feu
Ne en sumérien a un lien avec le feu
Nesir veut dire feu en sumérien et en dravidien
Nesili le nom des hittites a un lien avec le feu ( les Hittites sont des vénérateursdu Dieu Estan le Dieu de la lumière)
 
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