Quel est ce sibgha et dihan ?

typologie · 10 Déc. 2018

salam

comment comprendre les versets qui parle de DIHAN et de SIBGHA?
l'olivier n'est pas mentionné pourquoi les musulmans parlent d'olivier ?

la traduction est telement farfelu que j'ai preferé remplacé ces 2 terme par des ?????
2v138 صِبْغَةَ اللَّهِ وَمَنْ أَحْسَنُ مِنَ اللَّهِ صِبْغَةً وَنَحْنُ لَهُ عَابِدُونَ
«???? d'Allah! Et qui est meilleur qu'Allah en Sa ??????
C'est Lui que nous adorons».

23v20 وَشَجَرَةً تَخْرُجُ مِن طُورِ سَيْنَاءَ تَنبُتُ بِالدُّهْنِ وَصِبْغٍ لِّلْآكِلِينَ
ainsi qu'un arbre qui pousse au Mont Sinaî,
en produisant ???? servant à ????
et où les mangeurs ?????.

55v37 فَإِذَا انشَقَّتِ السَّمَاءُ فَكَانَتْ وَرْدَةً كَالدِّهَانِ
Puis quand le ciel se fendra et deviendra alors ???? comme ????

dico pour SIBGHA donne teinture et immersion certain on rapproché ce mot de bapteme que vient faire le sujet du bapteme dans ce contexte ?

faire rapprochement avec l'histoire du veau d'or buisson ardent menorah:
https://www.bladi.info/threads/nar-feu-lumiere.432026/page-2#post-16040342
https://www.bladi.info/threads/pourquoi-reine-saba-converti.465625/#post-16038474

dahana oindre graissé .... etc ...

typologie · 10 Août 2020

typologie · 10 Août 2020

typologie · 12 Août 2020

Shadowmaster · 15 Août 2020

typologie a dit:
la traduction est telement farfelu que j'ai preferé remplacé ces 2 terme par des ?????

C'est peut-être une erreur de scribe ?

2v138 صِبْغَةَ اللَّهِ وَمَنْ أَحْسَنُ مِنَ اللَّهِ صِبْغَةً وَنَحْنُ لَهُ عَابِدُونَ
«???? d'Allah! Et qui est meilleur qu'Allah en Sa ??????
C'est Lui que nous adorons».

Et si c'était "طاعة" (obéissance). Dans les anciens manuscrits, il n'y avait pas de alif au milieu des mots. Cela s'écrirerait ainsi "طعة"

Et si on remplace les "????" par "obéissance" dans ce verset, regarde ce que ça donne

typologie a dit:
23v20 وَشَجَرَةً تَخْرُجُ مِن طُورِ سَيْنَاءَ تَنبُتُ بِالدُّهْنِ وَصِبْغٍ لِّلْآكِلِينَ
ainsi qu'un arbre qui pousse au Mont Sinaî,
en produisant ???? servant à ????
et où les mangeurs ?????.

Ici, c'est peut-être "وطعام" (et de la nourriture) à la place de "وصبغ"

Shadowmaster · 15 Août 2020

Après ça n'a peut-être aucun rapport avec tout ça. Bref, ne te prends la tête avec un bouquin qui n'en vaut pas la peine.

typologie · 16 Août 2020

Shadowmaster a dit:
Après ça n'a peut-être aucun rapport avec tout ça. Bref, ne te prends la tête avec un bouquin qui n'en vaut pas la peine.

j'aime allé au bout des choses est comprendre le comment du pourquoi
car notre monde est basé sur toute ces legendes

je vien de comprendre que le concept de diable tel que concus par l'islam n'existe pas dans la thora
cela est tiré de l'histoire du roi de tyr
c pour cela que l'histoire de salomon est rempli de diable a son service car hiram de tyr etait le batisseur de salomon
ce que je cherche a comprendre c pourquoi le roi de tyr et d'ecrit de la sorte
c un peu comme balaam ...
il faut aussi ce rapellé que le thora ne croi pas en un au dela donc l'eden en question est un endroit terrestre

ezekiel 28:
12Fils de l'homme, Prononce une complainte sur le roi de Tyr!
Tu lui diras: Ainsi parle le Seigneur, l'Eternel:
Tu mettais le sceau à la perfection, Tu étais plein de sagesse, parfait en beauté.
13Tu étais en Eden, le jardin de Dieu; ...
14Tu étais un chérubin protecteur, aux ailes déployées;
Je t'avais placé et tu étais sur la sainte montagne de Dieu;...
15Tu as été intègre dans tes voies, Depuis le jour où tu fus créé
Jusqu'à celui où l'iniquité a été trouvée chez toi.

tajali · 27 Nov. 2022

pourquoi le traducteur a t'il rajouté le mot pain alors qu'il n'est pas dans le texte ?
le mot akilin peut il avoir le sens de roi ?
faire le rapprochement avec le mot messih
faire le rapporchement avec l'esprit saint et l'esprit de l'eternel

20 وَشَجَرَةً تَخْرُجُ مِن طُورِ سَيْنَاءَ تَنبُتُ بِالدُّهْنِ وَصِبْغٍ لِّلْآكِلِينَ
ainsi qu'un arbre (l'olivier) qui pousse au Mont Sinaî,
en produisant l'huile servant à oindre et où les mangeurs trempent leur pain.

La seule possibilité dans le cas présent est donc que akilîn
désigne non pas « ceux qui mangent » puisqu’ils sont expressément
désignés par deux fois, avant et après, d’une manière différente,
mais « les rois », deuxième signification possible du terme. Un autre
détail particulièrement significatif incite à se tourner vers ce sens, il
s’agit de l’utilisation pour désigner l’onction de la racine s. b. gh. qui,
dans un autre passage du Coran, représente, sous la forme sibgha le
baptême spirituel conféré par Dieu à tout homme à sa naissance.40
Le rapprochement s’impose d’autant plus qu’il s’agit là des deux
seules occurrences de cette racine dans le texte coranique. De
surcroît, il est clairement spécifié dans la Bible que les rois d’Israël
étaient oints exclusivement avec de l’huile d’olive, à la différence
des sacrificateurs qui l’étaient par une composition dont elle ne
constituait que l’un des éléments.
Cette onction des rois, évoquée en 1 Samuel 10, 1 ; 16, 1 ; 13, 1
et 1 Rois 1, 39 ; 2 Rois 9, 1–6 était appelée sainte parce qu’elle se
trouvait employée au nom de Dieu (Ps 89, 21).
Le premier roi-oint fût Saül, que Dieu rejeta ensuite en raison de sa désobéissance. Pour
le remplacer, le Seigneur envoya son prophète Samuel oindre David,
l’homme qui était selon le cœur de Dieu. Dans les deux cas, la
manifestation de l’Esprit de Dieu accompagna l’onction d’huile.
...
6–7 : « L’esprit de l’Eternel te saisira, tu prophétiseras avec eux, et tu
seras changé en un autre homme. Lorsque ces signes auront eu pour
toi leur accomplissement, fais ce que tu trouveras à faire, car Dieu est
avec toi ». ...
1 Samuel 16:13 Samuel prit la corne d’huile, et oignit David au milieu
de ses frères. L’esprit de l’Éternel saisit David,

tajali · 27 Nov. 2022

les mouvement bapiste SB comment est on passé du sacrifice par le feu au bapteme par l'eau et le saint esprit ?

Et si quelqu’un d’autre avait reçu cette même onction, comme s’il en tirait un pouvoir, il devenait lui aussi
roi, prophète, ou grand prêtre. Or, si ce signe de grâce temporelle,
composé par les hommes, a eu tant d’influence, il faut comprendre
quelle puissance a l’onguent tiré par Dieu de l’arbre de vie ».
3—« Un grand prêtre ou un prophète, ayant reçu l’onction du
baume composé, lorsqu’il embrasait l’autel de Dieu, était tenu pour
illustre dans le monde entier. Mais après Aaron, qui fut grand
prêtre, un autre fut retiré des eaux. Non pas Moïse, mais celui qui,
dans les eaux du baptême, par Dieu fut appelé son Fils. Car c’est
Jésus qui a éteint, par la grâce du baptême, le feu qu’allumait le
grand prêtre pour nos péchés. Depuis le temps où il est apparu, le
chrême a pris fin ; par lequel étaient conférées, soit la dignité de
grand prêtre, soit le don de prophétie, soit le titre de roi ».
C’est précisément l’image d’un « recouvrement » de l’huile
temporelle, désignée par le terme duhn, évoquée au verset 23, 19,
par l’huile céleste appelée zayt que mentionne le Coran dans les
célèbres versets de la sourate al-Nûr (24, 35–36):
« (35) Dieu est la lumière des cieux et de la terre !
...
A l’instar des Reconnaissances, le Coran veut mettre ici en
évidence le « recouvrement » de la substance de l’huile terrestre par
celle qui provient directement de Dieu, cette transmutation étant
envisagée comme totalement symbolique, ainsi que le précise le
Coran lui-même par l’utilisation du terme mathal. En effet, si dans
les Reconnaissances, Saint Pierre exprime le fait qu’avec Jésus la nécessité de l’onction a totalement disparu du monde, tout comme a
disparu la nécessité de faire brûler cette huile sur l’autel du temple,
puisque Jésus a effacé les péchés des hommes, le Coran fait allusion
pour sa part exclusivement à la seconde fonction de cette huile, qui
est d’être allumée dans les lieux consacrés.
Le texte coranique indique que cette dernière a pour fonction de symboliser la
présence de l’huile divine tiré de l’arbre béni, l’olivier, équivalent de
l’arbre de vie des Reconnaissances, comme l’a compris al-Hakîm alTirmidhî qui présente l’olivier comme un autre nom donné à l’arbre
de Tûba, l’arbre de vie qui est au Paradis.43
L’huile de l’arbre terrestre doit être considérée comme presque totalement effacée
par la présence réelle de ce qu’elle symbolise, à savoir la lumière
divine : nûr ’âlâ nûr, une lumière éternelle et suprême qui éclipse par
son éclat unique la lumière terrestre des lampes rituelles. C’est
pourquoi il est précisé que ce sont la foi et l’agrément divin qui
permettent la présence de cette lumière dans les temples et non pas
la seule médiation des huiles consacrées.44

tajali · 27 Nov. 2022

texte interessant

Les problèmes des noms Isa, Uzayr et Idriss : la preuve des origines nazaréennes du Coran

Isa n'est pas Jésus, mais Asyah (le Maître de Justice), Uzayr et Idriss ne sont ni Ezra ni Henoch mais l'Instructeur de la Loi (Doresh haThorah), les textes coraniques sont donc des traductions de textes en usage à Petra dans les communautés

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Les chrétiens, un des sens du mot nazaréen, n’ont jamais judaïsé ; ce mot
(ٰىَرَٰ َّص ن n ts r â) désigne plutôt des esséniens ou nazaréens, en hébreu
notzèrîm, les « gardiens » ; quant aux sabéens, que l’on traduit parfois
par les « convertis », ce mot ( َين ِء ِبٰصَّ ts b ‘ î n) vient de l’hébreu et/ou
de l’araméen (ts b, « soldat, armée ») soit, plus vraisemblablement, du
syriaque (ts b ‘, « conversion par submersion » d’après Yehudah Segal).
La traduction plus correcte serait ainsi :
Certes, ceux qui ont cru et ceux qui ont judaïsé, [ce sont] les
nazaréens (Gardiens) et les sabéens (baptistes ou soldats), etc.
Sabéens et Nazaréens ne sont probablement pas deux religions
différentes, il s’agit des disciples esséno-sadducéens qui suivirent
El_Qasay et qui, quoi que non-juifs, combattirent les légions romaines
avec les Juifs pendant la Révolte des Communautés (115–118) ;
ils en
payèrent le prix fort, et subirent le même sort que les Juifs en étant
exterminés comme eux ; les survivants se dissimulèrent sous forme de
petites communautés en Syrie et à Petra… Les communautés syrienne
disparurent, ou plutôt adoptèrent le dualisme radical et devinrent ceux
qui le mouvement religieux connu sous le nom de manichéisme, fondé
par un elqasaïte du nom de Mani ; c’est ce qui explique que ces
communautés eurent en leur possession le Livre des Géants qui
correspond au Sefer_Nefilim trouvé à Qumran. Les communautés
nazaréennes de Petra vivotèrent pendant plusieurs siècles, entourées de
païens et ensuite, de chrétiens. La ville de Petra fut fortement
endommagée par de nombreux séismes (363, 419, 551, etc. ; ce fut le
début de l’exil pour les nazaréens qui se réfugièrent en Arabie en y
convertissant des tribus à leur version particulière du judaïsme.
...
Il est difficile de savoir la différence exacte entre sabéens et nazaréens,
néanmoins si différences il y avait, le sabéisme est une purification par
l’eau, le nazaréisme est une méditation sur le feu angélique, ces
différences ne devaient plus être comprises au VIIe
siècle et ces deux écoles s’étaient probablement fondues en une seule école.
...
°îsa est-il Jésus ou °asayah-Diogène, le Maître de Justice?
...
Diogène signifie « Fabriqué ou fait par Dieu » ce qui correspond à deux
prénoms hébraïques attestés par la Bible °asayah hébreu עשיה ou, moins
vraisemblablement, °asay’èl, hébreu עשיאל .
Ce nom, °asayah commence bien par un °ayin et est probablement à
l’origine du °isa coranique, ce qui montre que le Maître de Justice sous
son identité réelle continuait d’être révéré des siècles après sa mort. Le
succès du Jésus des chrétiens finit néanmoins par l’éclipser et, à l’époque
où le Coran fut rédigé (VIe–VIIesiècle), les deux personnages, Jésus et
°asyah se sont confondus. Les musulmans disent que °îsâ fut créé par
Dieu, ce qui ne manque pas d’humour, parce que c’est simplement le
sens de son nom, en effet °asyah provient de la trilittère °/s/h (עשה (qui
signifie « créer, fabriquer » et de Yah (יה (ou de ‘èl (אל (qui signifient
Dieu ; son nom signifie donc « créé ou fabriqué par Dieu ».

tajali · 27 Nov. 2022

Le nom d’Idris n’a cessé d’être mystérieux, il s’écrit en arabe ‘(alif)dris
(إدريس ,(et on ne voit pas bien le rapport entre Henoch (hébreu Hanokh
חנוך (qui signifie à la fois « instruire », « initier », « inaugurer » et
même « bâtir, édifier » (notons que la fête de Hanûkah provient de la
même trilitère et signifie la Fête de l’Édification, en
hébreu hag_hahanûkah החנוכה חג} ,quasiment « la Fête de Hanokh »,
à une lettre près} donc Fête de l’« inauguration » sous-entendu du
Temple ; cette fête fut établie après que Yehudah Macchabée eut purifié
le Temple de la profanation qu’en firent les Séleucides).
Le nom d’Idris semble venir de l’hébreu d/r/sh (דרש (qui signifie «
instruire », « chercher » ; mais cela n’explique pas le nom. Or les
manuscrits de Qumran parlent d’un autre mystérieux personnage, qu’ils
appellent le Dôresh_haTorah (דורש־תורה ,(c’est-à-dire « l’Instructeur
de la Loi », il s’agit certes d’un titre, probablement d’un des titres du
Maître de Justice, voire de Hanôkh lui-même ; mais avec le temps, le
titre a pu se transformer en nom. C’est l’origine la plus vraisemblable du
nom d’Idriss. Donc, lorsque les manuscrits nazaréens ou pré-Coraniques
furent translittérés d’araméen en nabatéen, et ensuite de nabatéen en
arabe, des fautes auront été commises sur les noms. Quant à l’adjonction
du ‘alif initial (DRS > ‘iDRIS), il fut probablement ajouté par les
traducteurs des feuillets araméo-nabatéens qui servirent à rédiger le
Coran, pour des questions de sonorité, du moins, après avoir pris ce titre
d’« Instructeur de la Tôrah » pour un nom propre.

tajali · 27 Nov. 2022

°uzayr s’écrit en arabe عزير ,ce qui se translittère en hébreu עזיר°) ,ayin,
zayn, yôd et resh), ce qui correspond quasi parfaitement au nom °ezrâ qui
s’écrit en hébreu עזרא° .uzayr doit donc être identifié à °èzrâ le Scribe
plus connu en français sous le nom d’Esdras. Sauf que le verset est
extrêmement problématique puisqu’il n’existe nulle trace que des Juifs
auraient jamais considéré °èzrâ comme un fils de Dieu. Il n’est
néanmoins pas impossible que les esséniens aient décrit le Maître de
Justice comme étant un « Fils de Dieu », c’est-à-dire dans leur
vocabulaire, comme d’un homme ayant atteint vivant l’état angélique ;
notre esprit grec nous pousse à croire que le titre de « Fils de Dieu » veut
dire que Dieu aurait un fils, alors qu’en hébreu « fils de Dieu » est une
forme poétique pour dire « les anges » ; un homme angélique est donc un
homme qui a, dès cette vie-ci, atteint l’état de ressuscité, il est entré
vivant dans l’éternité, c’est ce qu’on appelle aussi l’angélomorphisme.
Mais la question n’est pas là, pourquoi °ezrâ ? Un texte que l’on sait
aujourd’hui avoir été très apprécié par les esséno-sadducéens et rejeté par
les pharisiens, il s’agit de la Sagesse de Ben Sira, aussi appelé Siracide
ou Ecclésiastique. Ce texte qui fut composé vers –200 possède une
énigme : à la fin du livre, il cite les grands noms du judaïsme, et un nom
manque, celui d’°ezrâ ; il cite Néhémie, il cite Zorababel, mais pas °ezrâ.
...
Mais revenons à °uzayr. Il est certain que son nom se réfère à
°ezrâ/Esdras, mais sa description comme « Fils de Dieu » correspond à
Hanôkh ou au Maître de Justice qui tous deux sont considérés comme
ayant atteints un état de ressuscité dès cette vie-ci et sont qualifiés d’«
Instructeurs » (notons que Moïse aussi). Mais alors comment a-t-on fait
pour passer de ces sages à °uzayr/°ezrâ ? Nous pensons que la réponse
est plus simple qu’il n’y paraît. Le Coran n’est pas l’œuvre d’un seul
homme, il y eut de nombreux groupes qui y travaillèrent, et donc des
contradictions qui s’accumulèrent
...
c’est probablement ce qui s’est passé avec °uzayr. Les traducteurs vers
l’Arabe ont trouvé, DRS, mot qui signifie Instructeur, les uns en ont fait
‘idrîs (voir ci-dessus) et les autres on voulu savoir à quel prophète
correspondait DRS ou ‘idrîs, or la seule identification phonétiquement
proche qu’ils auront pu trouver, c’est le nom grec d’°ezra, savoir Esdras ;
ils auront ultérieurement appris qu’Esdras se dit °ezrâ en hébreu et
auront préféré le translittéré en °uzayr, plus logique à leurs yeux.
1. DRS (Instructeur confondu avec un nom inconnu) > Idrîs
2. DRS (Instructeur confondu avec Esdras, le nom grec d’°ezrâ) > °uzayr
Idris et °uzayr sont un seul un même personnage qualifié d’Instructeur et
dont le titre fut confondu avec des prénoms.
...
Le Coran est issu de textes nazaréens en usage à Petra et traduits ou
translittérés en arabe au début du VIIe siècle. Les traducteurs furent
perplexes face à certains noms ou titres et y accumulèrent les confusions.
Ils confondirent le nom authentique du Maître de Justice, °asayah avec le
Jésus des chrétiens, donnant le nom du premier aux qualités du second ;
ils confondirent aussi un des titres du Maître de Justice, « Instructeur »,
qu’ils prirent pour un nom, les uns l’arabisèrent en ‘idrîs, les autres
crurent à une erreur pour Esdras, et en firent °ûzayr en arabisant le nom
hébreu °ezrâ.

tajali · 27 Nov. 2022

trés interessant

couture fil de lumiere et tenebre

Verset en rapport avec la couture et le rapport à la lumiere et tenebre le jour et la nuit sont elle meme comparé a des vetement ce qui est interessant dans le verset suivant c'est le rapport manger et vetement 7 recit adam et diable nudité et vetement 26 يَا بَنِي آدَمَ قَدْ أَنزَلْنَا...

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On peut enfin supposer que l’histoire talmudique sur Jésus, qui se croit
rejeté par un rabbin, et qui sort et part adorer une pierre est bien une
allusion à Muhammad, ou plutôt aux tribus judaïsantes arabes qui
pratiquaient un judaïsme inorthodoxe au possible et qui refusèrent les
mesures de conciliation, en se croyant rejetée par les Rabbins. Ce qu’ils
furent probablement mais pas pour les raisons qu’ils supposaient.
On constate que l’Islam contient de nombreux souvenir du Judaïsme
mais complètement transformé ; par exemple il n’est pas compliqué de
reconnaître que la Ka’aba (le cube de La Mecque) autour de laquelle les
pèlerins font sept tours provient des tefilin que les Juifs portent sur la tête
et sur le bras gauche lors de leurs prières quotidiennes, et dont la lanière
est tournée sept fois autour du bras comme le nombre de tours faits lors
du pèlerinage à La Mecque. Des sabéens, ils reprirent les ablutions que
ceux-ci faisaient abondamment.
— Stephan HOEBEECK

Les problèmes des noms Isa, Uzayr et Idriss : la preuve des origines nazaréennes du Coran

Isa n'est pas Jésus, mais Asyah (le Maître de Justice), Uzayr et Idriss ne sont ni Ezra ni Henoch mais l'Instructeur de la Loi (Doresh haThorah), les textes coraniques sont donc des traductions de textes en usage à Petra dans les communautés

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tajali · 27 Nov. 2022

origine des mouvement baptiste et judeo chretien : ebionite nazareen

Jean le Baptiste meilleur que Jesus

Jean le baptiste dit qu' il faiut respectere tout le monse et n' abuser de personne et de ses droits jesus dit si tu es amoureux d' une femme mariee tu es pecheur jean le baptiste lui te deconseille de sortir avec cette femme mais ne condamne pas ton amour aux romains ils disaient juste de se...

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couture fil de lumiere et tenebre

Verset en rapport avec la couture et le rapport à la lumiere et tenebre le jour et la nuit sont elle meme comparé a des vetement ce qui est interessant dans le verset suivant c'est le rapport manger et vetement 7 recit adam et diable nudité et vetement 26 يَا بَنِي آدَمَ قَدْ أَنزَلْنَا...

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Mouvements baptistes antiques — Wikipédia

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Judéo-christianisme — Wikipédia

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Judéo-chrétien — Wikipédia

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Christianisme — Wikipédia

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tajali · 27 Nov. 2022

voir le mot nazarreen dans le livre de jeremie faire le parallele avec izar veilleur

Aux origines du judéo-christianisme

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https://archive.org/stream/LivreDesRvlationsT2LesSourcesDeLInventionDeDieu/Livre%20des%20R%C3%A9v%C3%A9lations%20%28T2%29%20les%20Sources%20de%20l%27Invention%20de%20Dieu_djvu.txt

Point de vue du judaïsme sur Jésus — Wikipédia

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https://www.erudit.org/en/journals/ltp/1900-v1-n1-ltp378/000366ar.pdf

tajali · 28 Nov. 2022

juif hellenisé et hebreu ivrii dans le nouveau testament

Qui sont les yahoud dans le coran?

@compassion dit nous concretement qui sont les yahoud mentionné dans le coran ? vas y c'est à toi de montrer concretement a quel point ta lecture du coran est le vrai lecture et de corriger tout les savant musulmans qui depuis 1400 ans ont mal interpreté ce mot je sens que l'on va bien...

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nazorren

Aux origines du judéo-christianisme

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Ensuite, il est désigné par un terme énigmatique hébreu, sur lequel nous allons nous attarder : il est dit nazoréen. Quand il s’agit de désigner Jésus, en Jean 19, 20, il est dit que Pilate fit écrire sur la croix une inscription en trois langues, en hébreu, en latin et en grec (dans cet ordre) : ce qui donne (en latin) le célèbre I.N.R.I. : « Jésus, le nazoréen, le roi des juifs ». Notons que Paul de Tarse, qui parle grec et est citoyen romain, doit être classé parmi les « hébreux ». Il est très hostile aux hellénistes. Il est dit que, sur la route de Damas, Paul (qui avait choisi ce nom romain) s’entendit appeler par son nom hébreu « Shaul ! Shaul ! » (Actes 26, 14) et enfin (dix ans plus tard), arrêté et mené à la forteresse d’Hérode, convoqué devant le tribunal, il tint à parler au peuple en hébreu (Ac 21, 40).

Ceci nous conduit à considérer la désignation perdue, oubliée, de Jésus : « nazoréen » (notzri), qui servait à le désigner et qui servira bientôt à Jérusalem, en milieu juif, à désigner aussi ses disciples – alors qu’à Antioche, en milieu païen, ce terme reste ignoré et ces disciples sont appelés « chrétiens ». On remarquera que, chez les historiens profanes, grecs ou romains, le terme nazoréen n’apparaît jamais. On verra plus loin le sens que ce terme a pris en milieu gréco-latin.

Il est clair en tout cas que le terme principal qui fut utilisé par les juifs pour qualifier Jésus était « nazoréen ». C’est ce que rapportent les évangiles (Lc 18, 38 ; 24, 19 ; Jn 8, 5 ; 19, 19 ; Ac 2, 22 ; 3, 6 ; 6, 14 ; 10, 38 ; 22, 8 ; 26, 9, etc.) et il est donc nécessaire d’en déterminer le sens.

Une première indication est fournie par l’évangile de Luc (18, 37). On annonce dans Jéricho que « Jésus le nazoréen est en train de passer ». Un aveugle s’écrie : « Jésus, fils de David, aie pitié de moi ». L’appellation paraît connue et comprise par cet aveugle, car elle évoque pour lui l’attente messianique et la légitimité davidique. Cet acte de reconnaissance méritait pour les évangélistes d’être signalé.

tajali · 28 Nov. 2022

Être notzer, c’est-à-dire, littéralement veilleur, vigilant, gardien, fidèle, est une idée biblique fondamentale.
C’est d’abord un attribut divin inscrit dans la révélation du Sinaï, où il est lié au mot hessed (cf. Ex 34, 7 : notzer hessed laalaphim, « qui garde sa faveur à la millième génération » : le mot notzer est ici tracé dans les Bibles hébraïques avec une grande majuscule).
En Is 27, 2, l’Éternel est dit le « gardien de sa vigne », c’est lui-même « qui veille sur elle afin que Jacob fleurisse et qu’Israël soit comme un arbre qui remplit le monde de ses fruits » (27, 6).
Et en Jérémie : « Il est fixé ce jour où les notzrim crieront sur la montagne d’Ephraïm : debout, montons à Sion vers le Seigneur notre Dieu ! Le Seigneur délivre son peuple (cf. Is 118, 25 et Mt 21, 9), le reste d’Israël. Ils suivront tout en pleurs, ils crient : grâce ! et je les pousse… » (Jr 31, 6, 7 et 9) « Des notzrim viennent des terres lointaines » (Jr 4, 15).
L’idée de veille, de vigilance s’étendra spécialement à la garde de la loi.
On la trouve dans la prière juive tout au long des psaumes (cf. 119, 2 : « Heureux ceux qui gardent ses statuts » : ashrei notzrei édotâv. Voir aussi Ps 119, 22, 56, 100, 129 etc. Ps 34, 14 : « Garde ta langue du mal »
et au livre des Proverbes (Pr 2, 8) : « L’Éternel donne la sagesse (tushiah), pour veiller (lintzor) sur les chemins du droit, il garde la voie de ses fidèles, derekh hassidâv » ; 4, 13 « hahazeq ha-musar al-teref nitzeréah ki hi hayyekha ».
« Tiens-toi fermement à l’éducation que tu as reçue, ne l’abandonne pas, garde-la, car elle est ta vie » ; 6, 20).

La fidélité à la voie et aux préceptes est ainsi une règle biblique fondamentale, antérieure en quelque sorte à l’observance littérale des préceptes. C’est Dieu même qui en est la source et l’origine. Dans le « Cantique de Moïse » (Dt 32, 10), concernant Jacob, Moïse dit : « Le Très-Haut veille sur lui comme sur la prunelle de son œil » 
La bénédiction de Lévi est encore plus explicite : « Oui, ils sont fidèles à ta parole : ils ont gardé ton alliance, ouverithkha intzoru» Pour ne pas s’être joints à l’adoration du Veau d’or, les lévites ont été appelés à prendre la relève des premiers-nés. Ils sont revêtus d’une dignité particulière – dignité qui avait été mise en cause par le mouvement politique de Coré. En ce sens, les notzrim sont strictement ceux qui sont restés « fidèles au moment de l’épreuve ». Ils doivent enseigner la voie droite à tout le peuple d’Israël. Ils ont conscience d’être consacrés et d’appartenir à Dieu.

Dans le prophète Isaïe, il est dit : « Et ton peuple ne sera composé que de justes : ils posséderont à jamais la terre, eux, rejeton (netzer) que j’ai planté, œuvre de mes mains dont je me glorifie. Moi, l’heure venue, j’aurai vite accompli mes promesses » (Is 60, 21). Dans l’office juif, aujourd’hui comme hier, avant de lire les Pirqe avot, on lit ce verset Notons que le terme notzer reste toujours employé en hébreu, comme dans la Bible, jamais traduit dans la langue araméenne (où le verbe natar, avec un tet, veut dire aussi « celui qui veille sur la voie à suivre » ou « qui veille sur la Torah » : comme dans Natorei karta). Cette idée de vigilance, de veille, de garde de la Torah est présente aussi à Qumran avec cette connotation que la voie à suivre, la fidélité ne peut être gardée que dans un certain secret. Elle n’est pas étrangère aux réunions des confréries (haburot) pharisiennes. En Berakhot 17a, il est dit que pour garder le Shema Israël, il faut se rappeler le commandement « Tu aimeras le Seigneur ton Dieu de tout ton cœur, de toute ton âme, de toutes tes forces, de tout ton esprit ».

tajali · 28 Nov. 2022

Les nazoréens ce sont les « gardiens de la voie », les observants de la Torah dans la fidélité, indépendamment de ses ministres, des partis et des jeux d’influence, en dehors aussi de sa captation politique au profit de la cause nationale. On comprend alors mieux pourquoi la cause nazoréenne a pu susciter des oppositions et qu’il soit assez difficile de la définir. Cela expliquerait en partie son aspect de secret, son occultation, ainsi que la difficulté de sa permanence et de son maintien.

20La référence au terme netzer du prophète Isaïe est toujours présente. Jérôme (in Isaiam 11, 1) déclare que les savants des Hébreux, qu’il a consultés pour connaître la signification du mot notzer, renvoient « au rejeton de la souche de Jessé » et ils lui disent que Jésus fut désigné d’après ce verset. La connotation messianique du terme netzer est traditionnelle dans le judaïsme. Selon Épiphane, les notzrim étaient appelés en grec « jesséens » (membres de la tige de Jessé)

Dans les Actes des apôtres, où les disciples de Jésus sont dit nazoréens, ce nom a pour équivalent : « ceux qui suivent la voie ». La voie : ce terme se retrouve entre soixante et quatre-vingts fois dans les Épîtres et dans les Actes des apôtres (par exemple 2, 28). Ici apparaît la question décisive : quelle est cette voie ?
...
Ils ne sont pas d’accord sur la voie. Mais tous savent qu’il faut être soi-même « gardien de la Torah », face au détournement de celle-ci par les hypocrites et les imposteurs, face à ceux qui se targuent de l’appliquer mais en réalité la détournent de son sens. Nous touchons ici à l’essentiel. Il n’y a rien qui puisse être autant objet de détournement que la Torah, qui est l’ordre en Dieu. Tel serait le sens du Sermon sur la montagne. Aussi faut-il être miséricordieux, annoncer la bonne nouvelle aux pauvres, rendre effectif le texte d’Isaïe 61, 1 : « L’esprit de l’Éternel sur moi… » (cf. Lc 4, 18) et être purifié, « baptisé dans l’eau ». Cette exigence était d’ailleurs celle des « confréries » (haburot) qui cherchent à être délivrées de leurs fautes, exigent des purifications et veulent observer la « pureté » dans le partage de la nourriture [15][15]Sur la constitution des confréries (haburot) dans le judaïsme…. Être « gardien de la Torah », ce n’est pas du tout être gardien de son « esprit » au détriment de sa « pratique », mais c’est veiller sur la Torah elle-même, c’est la garder dans sa « pureté », terme que l’on retrouve à Qumran en particulier.
...
Cette présentation des « nazoréens » comme un mouvement plus large et antérieur est accréditée par le fait que l’on retrouve ce nom dans divers mouvements religieux, que l’on appelle baptistes mais non chrétiens, qui ne parlent pas de Jésus et même n’ont jamais connu son nom. Dans ces groupes très divers, c’est aussi une tebilah (ou « baptême ») qui est le rite principal, et parfois aussi le repas communautaire (appelé « pureté » plutôt que louange ou bénédiction). Ces groupes religieux peuvent être des héritiers ou des cousins de nos nazoréens. Ils ont avec eux certaines ressemblances mais se sont orientés dans une direction plus ésotérique que messianique. Ce domaine de l’histoire des religions demeure encore plein d’obscurités et d’énigmes, aussi est-il difficile d’afficher des certitudes.

tajali · 28 Nov. 2022

https://archive.org/stream/LivreDesRvlationsT2LesSourcesDeLInventionDeDieu/Livre%20des%20R%C3%A9v%C3%A9lations%20%28T2%29%20les%20Sources%20de%20l%27Invention%20de%20Dieu_djvu.txt

ces termes de cette révolte anti-romaine de Bar Kochba dans le Panarion 29, 9, 2 :
« Cependant ils (les Nazôréens) sont très haïs par les juifs. Car, non seulement les enfants juifs nourrissent de la haine contre eux, mais le peuple aussi se lève le matin, à midi et le soir, trois fois par jour, et ils prononcent des injures et des malédictions sur eux en disant leurs prières dans les synagogues. Trois fois par jour, ils anathématisent en disant "Que Dieu maudisse les Nazôréens".» À noter qu'il convient de ne pas assimiler les Nazôréens, premiers Christiens des origines (Nazoraioi, mot tiré de "Nazir" et "Nasi" signifiant "Prince", titre désignant la descendance des Dâvidum d'Is-Râ-El) aux Nasaréens juifs (Nasaraioi), Épiphane (367 - 404) les ayant distingués ainsi : « "ils (les Nazôréens Christiens) ne se sont pas appelés Nasaréens ; la secte des Nasaréens était d'avant le Christ et n'a pas connu le Christ... Quand aux Nazôréens, ils étaient des juifs par la nationalité. Moïse, selon eux, n'a pas écrit le Pentateuque. Moïse était reconnu par eux et ils croyaient qu'il avait reçu les lois de Dieu. Non pas les Dix Commandements cependant, mais une autre Loi qui a été ensuite falsifiée...
Ils ont accepté d'autres écritures en plus de la Loi, bien qu'ils aient rejeté la plupart des prophètes qui sont venus après.» Se basant sur des écrits de Marcus Agrippa (63-12 av. J.C.), Pline l'Ancien (23-79 ap. J.C.), évoquant une "tétrarchie des Nazôréens", écrivit dans le livre V de ses "Histoires Naturelles" qu'il y avait bien des Nazôréens en Syrie occidentale, vers Apamée, des années avant le début de notre ère.

Quant au terme "Nasaréen", on pense trop souvent que "Jésus le Nazaréen "signifie "Jésus de Nazareth", mais ce n'est qu'une interpolation autant malhabile que malheureuse puisque le village de Nazareth, construit au Illè siècle de notre ère dans l'intention de soutenir le dogme de l'Église de Rome, n’existait pas à cette époque : l'évangile de Luc IV, 29 situe d'ailleurs le site de Nazareth sur une colline ; or la ville actuelle de Nazareth a été bâtie non pas sur une colline, mais dans une vallée, au pied d'un cercle de petites collines ; de plus, aucun auteur du Ier siècle, juifs y compris, ne mentionne le nom de la pseudo bourgade, et pour cause, puisqu'elle n'existait de leur temps. L'adjectif "nazaréen" entendu comme "homme du village de Nazareth" résulte en fait d'une nouvelle erreur de traduction de compilateurs très tardifs, "de Nazareth" ou "Nazaréthain" se traduit en grec par Nazarethenos, Nazarethanos ou Nazarethaios et non par Nadzarenos, Nadzôraios, Nadzôrenos ni même Nadzarénos comme on le trouve dans les Évangiles (= "Nazôréen"). Nazareth / Nazara s'écrivait en hébreu avec un Tsadé (qui est rendu en français par un Z), et en grec par un Sigma et non par un Dzêta. Le nom "Nazôréen" ou "Naziréen" provient de l’hébreu "Nazir" (avec un Zaïn), devenu en grec "Nadzaraois" (avec un Dzêta), terme désignant un homme "saint" ou "consacré", voué au service de Dieu. L’Ancien Testament indique d'ailleurs les règles que devaient suivre ceux qui faisaient voeux de Naziréat : ils ne devaient pas boire d'alcool, ne pas se couper les cheveux et ne pas s'approcher d'un cadavre (Juges 13 et Nombres 6). Le IESVS (et non Jésus) fut un Mesi Nazôréen, Oint de YHVH, le mot grec
"Khrestos" (Christ) voulant également dire "Oint" ou "Consacré") - assurément pas un villageois Nazaréen !

tajali · 28 Nov. 2022

Ce fut en vertu des nombreuses anomalies inhérentes et des traits particulièrement déplaisants de la représentation de
Dieu que le Judaïsme philosophique (Kabbale, etc...) se développa. Ce mouvement commença à Alexandrie durant la
période entre les deux Testaments, quand la recherche érudite grecque de la "théogonie" (généalogie des dieux) céda la
place à la "théologie" (analyse de la foi religieuse théiste); ceci conduisit, dans l'une de ses branches en Judée, à une
perception déiste révisée des Nazôréens (Notzrim en hébreu, Nasara en araméen, Nasrani en arabe; également nommés
Nazaréens, Nazirs, Nazirites ou nazarites), et à l'émergence du Dieu redéfini de la future Chrétienté.

Les Esséniens n'étaient pas les seuls à pratiquer le culte Nazôréen, la secte des Nazir existant, mais en circuit
relativement fermé et familial. Elle était constituée des familles des Cohenim formant la communauté extérieure de
Qumrân. Profondément insérés dans le tissu social, ces grandes familles de la Maison des Dâvidum et de Lévi se
réunissaient pour célébrer le culte ancien issu de la Tradition des Enseignements légués par Adam l’Adapa, le 1er des
Rois de la Terre consacré par Enki - Éa. Les Esséniens entretinrent des contacts étroits avec les Universités Celtes de
Bretagne et de Grand Bretagne. Ces savants échangeaient des notes et des vues sur différents sujets sur l'histoire des
peuples, l'étude des astres et des étoiles, le Grand Œuvre Alchimique du père Céleste. On retrouve d’ailleurs de grandes
concordances entre les rites Nazôréens et les conceptions druidiques de l'Univers et de la Création. De plus, il ne faut pas
oublier que le Breton est, comme par hasard, une langue hébraïque dans sa structure grammaticale et dans certains de
ses mots !

On sait aujourd'hui que les Esséniens s'établirent à Qumrân pendant deux à trois siècles, arrivés aux alentours du
troisième siècle av. J.-C., mais délogés par les Romains entre 66 et 70, lors de la Révolte Juive.

L’évangile de Luc est le seul à évoquer la naissance de îo’hanan en ces termes : << ... Car il sera grand devant le
Seigneur. Il ne boira ni vin ni liqueur enivrante, et il sera rempli de l’Esprit sain dès le sein de sa mère ; il ramènera
plusieurs des fils d’Israël au Seigneur, leur Dieu ; il marchera devant Dieu avec l’esprit et la puissance d’Élie, pour
ramener les coeurs des pères vers les enfants, et les rebelles à la sagesse des justes, afin de préparer au Seigneur un
peuple bien disposé...>> Il est dit que Jean, pourtant né de lignée royale, mena une vie d’ermite ascétique,
métaphoriquement "caché dans le désert", c’est à dire transparent aux yeux de tous ; hors, la description que fait
l’évangile de la vie de Jean est celle d’un Nazir ; nous dirons qu’il fut plutôt un Nasi (Prince), membre de la secte
Nazôréenne. Le Nouveau Testament prétend que vers l’an 29 de notre ère, Jean est installé sur les bords du Jourdain, où
il pratique le "baptême de repentir pour la rémission des péchés", ce qui est une interprétation fallacieuse. Les écrits
apocryphe, écartés du canon catholique, le Livre de Ginza, et l’historien Flavius Josèphe, entre-autres, précisent que Jean
ne prétendait pas par ce baptême laver les âmes de leurs péchés, mais seulement le corps de ceux qui avaient

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tajali · 28 Nov. 2022

Vers 200 av. J.C., rédaction du livre de l'Ecclésiaste prétendument écrit sous Salomon en - 970. Le lié siècle avant J.C.
voit l'arrivée de "Natale", donnant "Noël" en français, nom latin de la fête du solstice d'hiver : chaque 25 décembre, le
Soleil semble reprendre vie quand les jours s'allongent à nouveau. Plus tard, les chrétiens feront donc naître Jésus à cette
date pour court-circuiter la fête païenne solsticiale. Ce siècle voit aussi la fondation de la secte des Ésséniens, résultant
de l'éclatement de la congrégation des Assidéens, près de la Mer Morte, qui considèrent que leur foi est la seule vraie. Ils
mentionnent la crucifixion, les "pauvres en esprit", attendent la venue d'un Oint (Mesi, Messie), la Rédemption et la
survenue du "Royaume" : la Fin des Temps est proche où viendra un monde parfait. Ils se désignent "Fils de Lumière",
croient au "Sain-Esprit". Les Évangiles ont beaucoup emprunté aux écrits des Ésséniens : "Les aveugles voient, les
boiteux marchent, les lépreux sont purifiés et les sourds entendent, les morts ressuscitent, la Bonne Nouvelle est
annoncée aux pauvres". '"II sera le Fils de Dieu et Fils du Très-Haut on l'appellera. Son royaume est un royaume éternel".
De même, les Béatitudes : "Heureux l'homme qui a atteint la sagesse / qui marche dans la loi du Très-Haut / Heureux
celui qui dit la vérité avec un cœur pur et ne calomnie pas avec sa langue..." Pour les sectateurs, le mauvais penchant, la
prédisposition au péché existent en chaque homme : c'est la "chair". Et c'est lors de la persécution du roi grec Antiochus
Épiphane qu'est né le concept de la mort rédemptrice de Jésus. Le mot hébreu "Neser" (branche, rejeton) donne "nazîr"
("Saint consacré à Dieu") puis "naziraios" en grec qui donnera "nazôreén" puis, par déformation, "nazaréen", d'où Jésus
"le Nazaréen" qui engendrera le mythe du village de Nazareth, en réalité fondé par les croisés au XlIIè siècle de notre
ère. Enfin, les Ésséniens citent la résurrection (4Q521).

En 164 av. J.C. est rédigé le "Livre de Daniel", littérature apocalyptique qui a trouvé un écho considérable dans les
populations, engendrant des prophètes et des messies qui entraîneront les foules derrière eux comme Judas le galiléen,
Simon, Anthrogès, Thaddée et bien d'autres.

tajali · 2 Déc. 2022

tajali · 16 Déc. 2022

DRS
pardes idris esdras ezra uzayr (L)azar oziris thot hermes enoch metatron

Qui sont vraiment les prophetes ? genie ?

la "prophetie" n'a rien de mysterieu c meme commun ... c juste une chose oublié ... mon hyppothese sur : qui sont vraiment les prophete ? genie ? les differents sens du mot genie ... 1/ce sont des enfants reperé pour leur signe aptitude hypersensibilité (indigo zouhri ...) 2/on les inities...

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Racine commune : dhyāna dharma daena dan din don/dette zen?

19/ 100/ qoph (singe nuque) qaf (montagne ) koppa https://www.bladi.info/threads/retrouver-le-sens-originel-du-coran-quel-est-cette-oiseau-tayr-attache-a-notre-cou.536423/ 20/ 200/ resh (tete principe premice premier )arkhé chir acher touba

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tajali · 13 Nov. 2023

DWD msh

Qu'est ce que ce nar (feu ou lumiere)?

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Prendre notre vie en main : Quel chose nous empeche nous adulte à nous eduquer corriger ameliorer ?

gen star (westworld-matrice l'architecte et l'oracle) lettre 23 24 42 decrypter nos reves notre imagination ... heritage https://www.bladi.info/threads/le-coran-a-til-predit-la-creation-de-letat-disrael-et-le-retour-des-juif.542993/#post-18059334 6 وَكَذَلِكَ يَجْتَبِيكَ رَبُّكَ وَيُعَلِّمُكَ...

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Pourquoi 2 cherubins (qrb) qui s'embrasse (qbl)?

https://www.bladi.info/threads/femme-terre-fertile-puis.496047/page-2 https://www.bladi.info/threads/terre-promise-devenu-paradis.516036/page-2#post-17218322 https://www.bladi.info/threads/cherche-romans-sensuels-erotiques.472391/page-7#post-17236806

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tajali · 7 Mai 2024

arbre a beurre ?

Arbre à beurre — Wikipédia

fr.wikipedia.org

Prophete envoyé de dieu dans les autres culture

pour moi : je reflechi a voix haute : quel est l'origine du mot YAM (jam)? https://corpus.quran.com/qurandictionary.jsp?q=ymm proximité yamin yawm nahar nahal nakhr soba (soudan) et saba (abysinie yemen) droite occident couchant mer ...

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tajali · 12 Sept. 2024

Quel est ce sibgha et dihan ?

aedem sed aliter

aedem sed aliter

aedem sed aliter

aedem sed aliter

On n'a rien sans rien

On n'a rien sans rien

aedem sed aliter

ORDRE (douceur) & CHAOS (force)

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