« J’aurais dû faire ce p* de vaccin » : le dernier SMS d’un Américain de 39 ans non vacciné et mort du Covid

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Mais évidement, on va sortir des histoires tant dans les pour et contre pour justifier sa position.

Que ceux qui veulent se faire vacciner le fassent........et qu'on fiche la paix à ceux qui refusent.......

Je déteste cette sournoiserie, cette manipulation pour inviter un camp à suivre un autre......
En remarquant qu’il y a une dysmétrie, même si peut‑être pas partout de la même manière. En france au moins et dans d’autres pays, il y a stratégie du pourrissement pour contraindre, il n’y a rien de telle de la part des gens qui ne veulent pas le vaccins pour eux, il n’y a que des gens qui veulent le vaccin pour vouloir l’imposer aux autres. Plus en général assez partout, les médias ont un net biais pour la quasi négation des effets secondaires du vaccins, l’exagération des effets secondaires des traitements, et l’alarmisme sur le virus.

Cette dysmétrie pèse beaucoup dans cette remarque.
 
Il n'y sera officiellement jamais.
Mais officieusement... qui sait... le zouk fait parfois des ravages...
Mais bon, cantonnons-nous donc aux maghrébins de France et de Navarre. :D
Pkoi juste les maghrébins ?
moi je parle de pcr pour tous ! Casse pas le délire stp
 
Pkoi juste les maghrébins ?
moi je parle de pcr pour tous ! Casse pas le délire stp
Tu as raison. Musulmans de tous les pays se trouvant en France, pas de discrimination.
Auxquels s'ajoutent les membres de la croix bleue...
Il y aura bien plus de résistance à ton PCR qu'il n'y en a au vaccin... :D

Et puis, évite le "PCR pour tous".
Ca pourrait se ranger aux côtés du "vaccin pour tous"... et du "mariage pour tous". :D
 
Je n'ai pas dit qu'on ne pouvait pas être en bonne santé sans avoir été vacciné.
J'ai simplement dit que les vaccins qu'on nous faisait à l'époque, ce n'était pas PARCE QUE on était en mauvaise santé. Vu que j'ai cru lire qu'il était surprenant de vacciner des gens alors qu'ils étaient en bonne santé. :)
A priori, on ne nous vaccinait pas parce que nous étions malades, mais parce que c'était censé nous éviter de tomber malade ou de faire les formes graves de ces maladies contre lesquelles on nous vaccinait.
Si c'est plus clair... :)

Okay mais on peut mettre tous les vaccins au même niveau

Corina c'est pas ebola ou le palu
 
Okay mais on peut mettre tous les vaccins au même niveau

Corina c'est pas ebola ou le palu
ben... un vaccin sur lequel on a de bonnes données statistiques et une bonne expérience sur une période assez longue, et qui est valable sur une durée appréciable (plusieurs années, jusqu'à 10 ans pour la fièvre jaune), c'est quand même autre chose qu'un vaccin créé tout juste hier, sur lequel on n'a pas vraiment d'expérience dans le temps, et qui n'est censé agir que pour une poignée de mois. 🤷‍♂️
 
ben... un vaccin sur lequel on a de bonnes données statistiques et une bonne expérience sur une période assez longue, et qui est valable sur une durée appréciable (plusieurs années, jusqu'à 10 ans pour la fièvre jaune), c'est quand même autre chose qu'un vaccin créé tout juste hier, sur lequel on n'a pas vraiment d'expérience dans le temps, et qui n'est censé agir que pour une poignée de mois. 🤷‍♂️
Je voulais on dire on peut pas mettre au meme niveau tous les vaccins
 
Tu as raison. Musulmans de tous les pays se trouvant en France, pas de discrimination.
Auxquels s'ajoutent les membres de la croix bleue...
Il y aura bien plus de résistance à ton PCR qu'il n'y en a au vaccin... :D

Et puis, évite le "PCR pour tous".
Ca pourrait se ranger aux côtés du "vaccin pour tous"... et du "mariage pour tous". :D
T’es vraiment un rageux casseur d’ambiance
Vas te faire vaxxiner :D
 
En gros le Variant Delta est entrain de changer la donne et il ne savent pas vraiment comment aborder le sujet...on verra dans les prochains jours... aux US le masque est redevenu obligatoire pass sanitaire ou pas, et certains pays vont carrément remettre toutes les mesures barrière obligatoire vacciné ou pas...et en France ça parle d'un amendement déposé qui demandera un test pcr pour tout le monde dans les lieux de loisirs clos etc...

Clairement, imposer un test à tous, (vaccinés ou non vaccinés) je trouve cela plus cohérent par rapport aux préoccupations sanitaires.
 
La vaccination c'est de la prévention. Jusqu'à preuve du contraire, ça marche et de nombreuses maladies ne sévissent plus sur notre continent européen.

Je suis assez d'accord, mais pas pour les vaccins Covid actuels. C'est même plus que de la prévention, un vaccin. Pour autant, jamais, nous n'avons eu des vaccins sortis aussi rapidement.
Il faut comprendre les réserves sur CES vaccins. Cela ne veut pas dire être contre les vaccins de façon générale

En tout cas, quand on me vaccinait contre la tuberculose, la variole, la rougeole (ah non, celle là, je l'ai eue), la poliomyélite, la diphtérie, la fièvre jaune et que sais-je encore, j'étais plutôt en bonne santé...🤷‍♂️

Oui, mais c'est absolument incomparable. Toi-même, tu as des réserves sur CES vaccins sur le marché contre la Covid 19.

Ah d'accord ça explique pas mal de chose

D'ailleurs je n'ai fait aucun vaccin dont tu parles et je suis en vie et en bonne santé moi aussi

Tu n'as donc jamais vécu en France? A minima, tu aurais eu le DTP (sur les vaccins cités, certains y figurent).

Saisissons la différence tous les deux. Parce que je crois que tu te méprends sur le sens de mon message que tu as quoté. :D

Mon message n'étais pas relatif au manque de recul que l'on peut avoir vis-à-vis d'un vaccin récent (manque de recul qui est d'ailleurs la raison pour laquelle MOI je ne me vaccine pas, et que je ne me vaccinerai que si je suis obligé de le faire pour voyager, ou s'il y a des retours plus probants sur un vaccin avec une efficacité éprouvée et qui va au-delà de quelques mois.)

J'ai plutôt parlé du fait d'avoir été vacciné étant bien portant, et du fait que les vaccins n'étaient pas spécifiquement pour des gens pas bien portants.

En espérant avoir levé les équivoques... :)

Voilà, nous sommes d'accord. Tu as des résrves sur CES vaccins, mais pas contre la vaccination de façon générale.
 

Covid-19


Les raisons d’un vaccin en temps record​

À peine un an après le début de l’épidémie de Covid-19, deux vaccins devraient être autorisés en Europe. Un développement éclair possible grâce à des investissements faramineux, d’importants progrès technologiques et des procédures administratives accélérées.


Les premières vaccinations contre le Covid-19 pourraient débuter « dès la dernière semaine du mois de décembre avant de monter en puissance début janvier », a annoncé Jean Castex, le Premier ministre, devant l’Assemblée nationale mercredi dernier. La France, à l’image des 25 autres pays européens, attend le feu vert de l’Agence européenne du médicament (EMA). Cette dernière devrait octroyer l’autorisation de mise sur le marché (AMM) au vaccin développé par Pfizer/BioNTech le 21 décembre. Le vaccin de l’américain Moderna devrait être autorisé la semaine suivante.

Jamais dans l’histoire des vaccins n’auront été développés et autorisés si vite. Qui plus est des vaccins dotés d’une efficacité « exceptionnelle », de l’aveu de tous les experts. Une prouesse scientifique qui enthousiasme, mais qui inquiète aussi. Comment a-t-on pu développer des vaccins aussi efficaces en 10 mois, au lieu de 10 ans habituellement ? Et comment peut-on les mettre si rapidement sur le marché ?

UN VIRUS PAS TOTALEMENT INCONNU​

L’une des principales explications est que ce virus inconnu jusqu’en janvier n’est pas un total étranger. En effet, le SARS-CoV-2 a un cousin germain que les infectiologues connaissent bien, le SARS-CoV-1, responsable de l’épidémie de syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS) en 2003. « Ces virus sont étroitement apparentés et appartiennent à la famille des coronavirus que l’on étudie depuis longtemps. Ils ont à leur surface des protéines similaires et utilisent les mêmes pour s’attacher aux cellules et y entrer pour les infecter. La plus importante étant la protéine Spike, qui est aujourd’hui la cible de la majorité des vaccins en cours de développement », décrit le Pr Christian Rabaud, infectiologue au CHRU de Nancy.

Plusieurs essais vaccinaux ont été lancés chez l’animal en 2003. Mais aucun essai clinique n’a été réalisé chez l’homme, car le SARS-CoV-1 a disparu au bout de 3 mois. Dix-sept ans plus tard, lorsque le SARS-CoV-2 a fait son apparition, ces travaux ont été sortis des placards et ont permis à la recherche académique et aux laboratoires pharmaceutiques de se mettre au travail immédiatement. Début décembre, pas moins de 274 candidats-vaccins sont en cours de développement. Et parmi eux, 59 sont en phase d’évaluation chez l’homme.
 

DE NOUVELLES TECHNOLOGIES VACCINALES​

Les importantes avancées des technologies vaccinales et l’émergence des vaccins à ARNm ont aussi permis ce développement rapide. Cette approche innovante utilisée par Pfizer/BioNTech et Moderna est médiatisée depuis peu, mais en réalité, elle est étudiée depuis près de 30 ans. « Dès 1993, une équipe française a montré que les vaccins à ARNm pouvaient induire une réponse immunitaire, relève le Pr Lamiae Grimaldi de l’unité de pharmacologie-pharmaco-épidémiologie du groupe hospitalier Paris-Saclay (AP-HP). Et depuis 2017, des vaccins contre le virus Zika, Ebola, la grippe ou encore le cytomégalovirus sont conçus et testés chez l’homme. » Cette technologie présente un avantage indéniable lors d’une pandémie : sa rapidité de production. Contrairement aux vaccins classiques, il est inutile de mettre en culture des virus, les tuer puis s’assurer qu’ils sont inoffensifs. Il suffit de connaître le code génétique de la fameuse protéine Spike puis de le reproduire chimiquement en laboratoire. Une étape qui aurait pris seulement 2 à 3 jours, à en croire Moderna. Pourtant, de nombreuses questions persistent autour de ces vaccins, en particulier leur efficacité sur le long terme et le risque d’effets indésirables à moyen et long terme.

DES INVESTISSEMENTS COLOSSAUX​

Les protocoles d’essais cliniques mis en place dans l’urgence ne peuvent pas répondre à ces questions pour le moment. Au lieu de se succéder, les phases se réalisent en parallèle et quasi simultanément, ce qui fait gagner beaucoup de temps mais limite également le recul sur ces produits. Les premières injections du vaccin Moderna, le premier testé, ont eu lieu en mars. Le suivi des sujets vaccinés est donc de 8 mois seulement.

Dernière pièce du puzzle, et non des moindres : l’investissement des États et l’adaptation du cadre réglementaire. Pour accélérer le développement des vaccins, l’Union européenne a débloqué plus de 2,15 milliards d’euros et a négocié avec 6 laboratoires différents, dont Pfizer, AstraZeneca ou encore Sanofi, afin de réserver plus de 2 milliards de doses. « Cela a permis de financer la finalisation des essais cliniques, la mise en place de nouvelles chaînes de production, ou encore l’achat de matières premières. Si le candidat-vaccin obtient l’AMM, le contrat s’enclenche et chaque pays européen achète lui-même le nombre de doses fixé par le contrat », explique-t-on à la Commission européenne. Les États-Unis ont eux aussi signé des contrats de préréservation et dépensé plus de 11 milliards de dollars. Des investissements inédits qui ont permis aux industriels de lancer la production de leurs candidats-vaccins alors même qu’ils n’avaient pas l’assurance que leurs vaccins étaient sûrs et efficaces.
 

UNE PROCÉDURE ACCÉLÉRÉE​

Dans le même temps, l’Agence européenne du médicament (EMA) a également bouleversé sa manière d’évaluer les dossiers. L’étude ne prendra pas 210 jours, comme c’est le cas en temps normal, mais à peine un mois et demi. Une procédure accélérée permise notamment grâce à l’examen continu des données. « Les industriels envoient leurs résultats au fil de l’eau, et non pas au moment de la demande d’autorisation de mise sur le marché, ce qui permet aux experts d’évaluer plus vite les dossiers. Mais les critères d’exigence et les standards de qualité, d’efficacité et de sécurité sont les mêmes que d’habitude », explique Alban Dhanani, directeur de la direction vaccin à l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM). Ainsi, les experts de l’EMA décortiquent les données de Pfizer depuis le 6 octobre et celles de Moderna depuis le 16 novembre.

Mais le suivi de ces vaccins ne s’arrêtera pas là. Une fois l’AMM octroyée, un processus de pharmacovigilance commencera. Les patients vaccinés seront suivis, et les déclarations d’événements indésirables seront encouragées. Les laboratoires auront aussi l’obligation de communiquer leurs nouvelles données et d’établir un rapport des événements inattendus tous les mois.

 
Dernière édition:
Y a pire. Des gens qui étaient en bonne santé, sont morts du vaccin, sans avoir la Covid. D’autres, se sont vus paralysés juste après s’être vaccinés.

À partir de la min 2:26


Mais ben.. Tu ne comprends pas notre langue. Et tant mieux je trouve.

Hier on m'en a parlé d'une qui s'est fait vaccine et décédé qq temps après du covid.
Une autre personne aussi vaccine puis décédé du covid.
(ce sont des gens qu'on connaît)
 
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