Salam
Le dernier discours du Roi est très claire, les pays qui ne s'aligne pas sur le plan d'autonomie du Maroc n'auront plus rien à attendre du Maroc,
Le président Tunisien a fait le larbin de certains sans penser aux conséquences pour son peuple, c'est triste et dommageable pour eux mais ça reste un problème interne aux Tunisien qui sont Souverain de leur choix et la le choix est fait à chacun d'assumer sa position.
Salam,
Il y a eu un autre discours quelques semaines auparavant avec un petit passage concernant l'Algérie, et je ne crois pas qu'il y ait eu changement de cap entre temps. Il faut trouver le fil directeur entre les deux discours.
Il a été clairement dit que l'Algérie trouvera
toujours le Maroc à ses côtés en toutes circonstances et situations. Et que le Maroc aspirait à travailler
avec la présidence Algérienne pour établir des relations normales entre les deux peuples frères.
Dans le cas de l'Algérie on encense l'indifférence de l'Etat marocain à l'égard des agissements de l'Algérie, y compris quand cela touche les intérêts des citoyens marocains. Au contraire de la Tunisie, l'Algérie crie sur tous les toits son hostilité au Maroc et le fait savoir par les actes. Dernière en date, l'Algérie a rompu le traité portant sur l'exploitation commune d'une mine de fer, devant un silence assourdissant des autorités marocaines (peut-être que le Maroc prépare une riposte et que l'avenir me donnera tort). Mais qu'importe, il faut participer aux jeux d'Oran quitte à faire le détour par la Tunisie, il ne faut pas interdire l'espace aérien ni l'espace maritime, il faut continuer à appeler à l'ouverture des frontières (Là où je suis d'accord c'est qu'il y a effectivement des dérives de marocains dans les réseaux sociaux. Il ne faut jamais insulter les gens par leurs origines) ... On me dira que le relations diplomatiques sont déjà coupées ... Or cela n'a pas été le fait du Maroc, mais plutôt de l'Algérie.
Dans le cas de la Tunisie, le comportement inverse devient une vertu : il faut réagir, il faut frapper fort ...
C'est ce paradoxe que je souligne.
Si le président Tunisien a accueilli le leader du Polisario, ne pas oublier que c'est un avion Algérien qui l'y a amené ...