LA MORT TOUJOURS UN MYSTÈRE SCIENTIFIQUE
Autrefois, les légistes attachaient une cloche au niveau de la cheville des cadavres, pour s'assurer qu'ils étaient réellement morts. Le doute ne quittait jamais le médecin lorsque son patient supposé décédé est déclaré mort pour des raisons inconnues ou dans des circonstances peu communes.
Que savons - nous réellement sur le Mort ?
Après la mort, le cerveau humain continue de fonctionner durant dix minutes alors que tous les autres systèmes vitaux ont cessé d’assurer leurs taches.
Quelques minutes avant le décès, le cerveau reçoit une décharge électrique importante pour une raison qu’on ignore et le déclin commence avec la perte d’oxygène, cependant la personne décédée reste consciente durant au moins 2 à 20 secondes car son cortex cérébral peut continuer son travail quelques minutes en anaérobie. Le cerveau active par la suite, des voies nerveuses jusqu'alors muettes qui conduiront l'individu à sa mort ultime.
Alors que la majorité du tissu cérébral est mort, une partie de lui s’accroche encore à la vie : le siège de la mémoire, qui pour certains fait défiler nos souvenirs quand on s’apprête à passer de l’autre coté.
D'après les enregistrements de l'EEG et les images de l'IRM fonctionnelle, des différences existent entre les mourants, cela démontre que chacun passera par une expérience unique lors de sa fin.
Deux jours après la mort, plus de 1000 gènes continuent de travailler dans le corps, certains parmi eux sont très actifs et assurent des fonctions importantes (stimulant l’inflammation, le système immunitaire et neutralisant la cascade des réactions de stress). Ces gènes ne sont normalement fonctionnels que durant la vie embryonnaire. Est – ce que le corps n’a pas encore compris qu’il était mort et s’acharne à se réparer ?
D’autres encore stimulent la formation de cellules cancéreuses après la mort pour une raison qu’on ignore.
Est – il possible que notre compréhension de la mort soit fausse ? Est – il éthique de prononcer le décès d’une personne quand certaines fonctions perdurent encore? Que signifie cela pour ceux dont on prélève les organes immédiatement pour les dons de greffe ? Doit – on faire plus attention quand on pratique des autopsies sur des cadavres ? Seules les découvertes futures nous apporteront peut – être les réponses...
Autrefois, les légistes attachaient une cloche au niveau de la cheville des cadavres, pour s'assurer qu'ils étaient réellement morts. Le doute ne quittait jamais le médecin lorsque son patient supposé décédé est déclaré mort pour des raisons inconnues ou dans des circonstances peu communes.
Que savons - nous réellement sur le Mort ?
Après la mort, le cerveau humain continue de fonctionner durant dix minutes alors que tous les autres systèmes vitaux ont cessé d’assurer leurs taches.
Quelques minutes avant le décès, le cerveau reçoit une décharge électrique importante pour une raison qu’on ignore et le déclin commence avec la perte d’oxygène, cependant la personne décédée reste consciente durant au moins 2 à 20 secondes car son cortex cérébral peut continuer son travail quelques minutes en anaérobie. Le cerveau active par la suite, des voies nerveuses jusqu'alors muettes qui conduiront l'individu à sa mort ultime.
Alors que la majorité du tissu cérébral est mort, une partie de lui s’accroche encore à la vie : le siège de la mémoire, qui pour certains fait défiler nos souvenirs quand on s’apprête à passer de l’autre coté.
D'après les enregistrements de l'EEG et les images de l'IRM fonctionnelle, des différences existent entre les mourants, cela démontre que chacun passera par une expérience unique lors de sa fin.
Deux jours après la mort, plus de 1000 gènes continuent de travailler dans le corps, certains parmi eux sont très actifs et assurent des fonctions importantes (stimulant l’inflammation, le système immunitaire et neutralisant la cascade des réactions de stress). Ces gènes ne sont normalement fonctionnels que durant la vie embryonnaire. Est – ce que le corps n’a pas encore compris qu’il était mort et s’acharne à se réparer ?
D’autres encore stimulent la formation de cellules cancéreuses après la mort pour une raison qu’on ignore.
Est – il possible que notre compréhension de la mort soit fausse ? Est – il éthique de prononcer le décès d’une personne quand certaines fonctions perdurent encore? Que signifie cela pour ceux dont on prélève les organes immédiatement pour les dons de greffe ? Doit – on faire plus attention quand on pratique des autopsies sur des cadavres ? Seules les découvertes futures nous apporteront peut – être les réponses...