Toujours pour dire sur quelle pente est la société française, on peut aussi se rappeler les discours de Macron, assimilant la critique de l’état à du terrorisme.
Question criminalisation de la critique de l’état ou de ses lois, on a un exemple flagrant avec la loi sur l’avortement. Justement parce que le sujet est sensible, pour éviter toute discussion, l’état a fait le choix de la criminalisation (ça date d’avant Macron, mais il n’est évidemment pas revenu dessus).
Pour rappel : au moment du précédent allongement de l’âge du fœtus jusqu’auquel l’avortement peut être pratiqué, des médecins concerné(e)s trouvaient que les limites de l’acceptable étaient dépassées. Le gouvernement n’en a tenu aucun compte. Pour faire taire les critiques, il a préféré criminaliser la critique de la loi sur l’avortement. Justement récemment j’ai appris que cet âge légal du fœtus jusqu’auquel il est possible d’avorter, va encore être rehaussé (les féministes, la Gauche et l’extrême‑Gauche, sont toujours dans la surenchère avec cette limite, elle est pour eux toujours trop basse) et d’après ce que j’ai compris, il n’y aura aucune opposition à cette allongement.
On peut quelque part faire un peu le rapprochement avec l’obligation de se faire injecter NN doses (il y en aura bien plus de deux, ne pas se faire d’illusions, vu le nombre de doses commandées par l’état) d’un produit potentiellement dangereux (selon les gens et c’est d’autant plus imprévisible que l’état s’en moque) dont personne ne veut assumer la responsabilité, pour avoir le droit de rentrer au collège ou au lycée.
Question criminalisation de la critique de l’état ou de ses lois, on a un exemple flagrant avec la loi sur l’avortement. Justement parce que le sujet est sensible, pour éviter toute discussion, l’état a fait le choix de la criminalisation (ça date d’avant Macron, mais il n’est évidemment pas revenu dessus).
Pour rappel : au moment du précédent allongement de l’âge du fœtus jusqu’auquel l’avortement peut être pratiqué, des médecins concerné(e)s trouvaient que les limites de l’acceptable étaient dépassées. Le gouvernement n’en a tenu aucun compte. Pour faire taire les critiques, il a préféré criminaliser la critique de la loi sur l’avortement. Justement récemment j’ai appris que cet âge légal du fœtus jusqu’auquel il est possible d’avorter, va encore être rehaussé (les féministes, la Gauche et l’extrême‑Gauche, sont toujours dans la surenchère avec cette limite, elle est pour eux toujours trop basse) et d’après ce que j’ai compris, il n’y aura aucune opposition à cette allongement.
On peut quelque part faire un peu le rapprochement avec l’obligation de se faire injecter NN doses (il y en aura bien plus de deux, ne pas se faire d’illusions, vu le nombre de doses commandées par l’état) d’un produit potentiellement dangereux (selon les gens et c’est d’autant plus imprévisible que l’état s’en moque) dont personne ne veut assumer la responsabilité, pour avoir le droit de rentrer au collège ou au lycée.