salam
je cherche tout les explication donné du mot ayat
voir le probleme que souleve ce mot dans la traduction :
http://www.bladi.info/threads/quune-preuve-islam.441785/
les traduction proposé rappel en partie le sens que donne la semiotique au mot signe :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Sémiotique#Types_de_signe
https://fr.wikipedia.org/wiki/Signe_linguistique#Classifications_des_signes
meme l'exemple du feu et des cendre donné ci dessou est souvent repris :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Logique_de_Port-Royal#La_th.C3.A9orie_des_signes
« Car la même chose pouvant être en même temps & chose & signe, peut cacher comme chose, ce qu'elle découvre comme signe. Ainsi la cendre chaude cache le feu comme chose, & le découvre comme signe. »2.
dualité du nar :
http://www.bladi.info/threads/nar-feu-lumiere.432026/
Āya 13 : https://mideo.revues.org/783
...
4 « Âya », in EI², I, 796.5 Si, en arabe, le mot prend finalement le sens de « verset coranique »,
en hébreu tardif ’ōtdésigne (...)6 Remarquer que, en XXXIV, 15, āya est à entendre au sens de « événement significatif » et que, au v. (...)14Il s’agit d’un vieux mot sémitique.
On le trouve en hébreu (ʾōt),
en araméen et syriaque (ʾātā).
Son champ sémantique est assez large, mais bien cohérent.
Il désigne d’abord un signal, un indice matériel (des feux qu’on allume pour prévenir, comme dans l’ostrakon no 4 de Lakish ;
les cendres d’un campement abandonné, comme dans des vers cités par Lisān al-ʿArab) ;
un étendard, signe de ralliement (cf. Nb 2, 2 ; Ps 74, 4) ;
puis une chose étonnante, prodige de la nature ou événement miraculeux (Ex 7, 3 ; Coran VII, 103) ;
enfin un récit qui en conserve le souvenir.
A. Jeffery4 cite ainsi plusieurs passages du Coran où le mot āya désigne non pas un signe au sens vague, ni un verset5au sens précis que prendra le mot quand le Coran sera devenu un texte définitivement organisé, mais tout un passage, un texte antérieur auquel on se réfère et qui parle de Saül et David (II, 252), de Joseph et ses frères (XII, 7), de Loth et du sort de Sodome (XV, 75), des jardins de Saba’ (XXXIV, 19)6 ; de même, en V, 75, on explique aux chrétiens les « textes » concernant le Messie.
15Lire le Coran en arabe n’oblige pas à choisir, quoiqu’il faille bien comprendre ce qu’on lit.
La traduction doit choisir. ...
je cherche tout les explication donné du mot ayat
voir le probleme que souleve ce mot dans la traduction :
http://www.bladi.info/threads/quune-preuve-islam.441785/
les traduction proposé rappel en partie le sens que donne la semiotique au mot signe :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Sémiotique#Types_de_signe
https://fr.wikipedia.org/wiki/Signe_linguistique#Classifications_des_signes
meme l'exemple du feu et des cendre donné ci dessou est souvent repris :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Logique_de_Port-Royal#La_th.C3.A9orie_des_signes
« Car la même chose pouvant être en même temps & chose & signe, peut cacher comme chose, ce qu'elle découvre comme signe. Ainsi la cendre chaude cache le feu comme chose, & le découvre comme signe. »2.
dualité du nar :
http://www.bladi.info/threads/nar-feu-lumiere.432026/
Āya 13 : https://mideo.revues.org/783
...
4 « Âya », in EI², I, 796.5 Si, en arabe, le mot prend finalement le sens de « verset coranique »,
en hébreu tardif ’ōtdésigne (...)6 Remarquer que, en XXXIV, 15, āya est à entendre au sens de « événement significatif » et que, au v. (...)14Il s’agit d’un vieux mot sémitique.
On le trouve en hébreu (ʾōt),
en araméen et syriaque (ʾātā).
Son champ sémantique est assez large, mais bien cohérent.
Il désigne d’abord un signal, un indice matériel (des feux qu’on allume pour prévenir, comme dans l’ostrakon no 4 de Lakish ;
les cendres d’un campement abandonné, comme dans des vers cités par Lisān al-ʿArab) ;
un étendard, signe de ralliement (cf. Nb 2, 2 ; Ps 74, 4) ;
puis une chose étonnante, prodige de la nature ou événement miraculeux (Ex 7, 3 ; Coran VII, 103) ;
enfin un récit qui en conserve le souvenir.
A. Jeffery4 cite ainsi plusieurs passages du Coran où le mot āya désigne non pas un signe au sens vague, ni un verset5au sens précis que prendra le mot quand le Coran sera devenu un texte définitivement organisé, mais tout un passage, un texte antérieur auquel on se réfère et qui parle de Saül et David (II, 252), de Joseph et ses frères (XII, 7), de Loth et du sort de Sodome (XV, 75), des jardins de Saba’ (XXXIV, 19)6 ; de même, en V, 75, on explique aux chrétiens les « textes » concernant le Messie.
15Lire le Coran en arabe n’oblige pas à choisir, quoiqu’il faille bien comprendre ce qu’on lit.
La traduction doit choisir. ...